Conversation entre homme [pv]

Depuis quelques temps, le moral d’Eliot était quasi dépressif. Donner une gifle n’était pas du tout une idée du siècle. Surtout quand on se met à parler dans tout Poudlard grâce à la plume empoisonnée! Dans ces moments là, il avait négligé sa petite amie. Il s’en voulait de ne pas avoir prit le temps d’être avec elle alors qu’il avait d’autres soucis encore plus grave que d’être Arya. Il ne le savait pas comment Sibelle réagissait face à son coup un peu lâche. Dans son dictionnaire, frapper une fille était un geste grotesque et il l’était. Il se sentait mal et surtout coupable. Mais il s’était enfin rassurer de voir que Sibelle avait prit la peine de lui envoyer un hibou alors qu’il était toujours à la volière pour se cacher des autres. Elle lui avait dit qu’elle ne lui en voulait aucunement pas et qu’elle voulait le voir. Il se sentit mieux, mais toutefois l’a voir devra attendre un peu. Il n’était pas encore prêt. Il avait répondu à sa lettre et se disait qu’il devait commencer par sortir de la volière d’où il l’était depuis des derniers mois. Quand il n’avait pas de cours, il allait là et il était assurer d’être tranquille. Rare les élèves aillent là. Sauf Sibelle qui elle visiblement se cachait là quand elle voulait fuir. Ils se ressemblaient au niveau de ce caractère. Comme Sibelle se dirigeais vers la volière, il devait se cacher tout vraisemblablement. Pendant des mois, il avait vu Sibelle pleurer, crier et même dessiner de façon agressive. Mais maintenant, il l’a voyait moins. Il semblait qu’elle prenait du mieux. La correspondance entre les deux lui rassurait qu’elle allait beaucoup mieux. Ses écrits sont positifs et cela rassurait Eliot. C’était maintenant au tour d’Eliot de sortir à son tour de la volière. Sa petite amie a été compréhensive exemplaire de lui avoir demandé d’attendre qu’il se sente mieux. Trois mois ont passés et il devait à présent faire face à la musique. Il voulait passer plus de temps avec Arya, qui est la préfète de la maison des Serdaigles. En sortant de la volière, il vit des fleurs étranges qui poussaient non loin de lui. À Poudlard, il ne fallait pas s’étonner des choses étranges qui pouvaient se passer ici. Il décida de les cueillir pour les donner à sa douce. Il rentra alors l’énorme château et se demandait ce qu’il devait faire. Il opta pour passer à la grande salle si sa petite amie était présente mais il était déçu qu’elle n’y fût pas. Il scruta alors parmi les tables de chaque et vit alors un copain qu’il avait rencontré l’ors de sa chute malheureuse qui avait failli être plus grave que ça… Il se nommait Ezhno. Il se dirigea alors vers sa rencontre pour lui saluer chaleureusement et déposa ses fleurs sur sa table…

Hey! Salut mec!

Il s’assit sur le banc en face de son ami. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas vu les gens et il était bien content de voir un ami.

Au faite, as-tu vu Arya au alentour? Je l’a cherche… Je veux… lui donner les fleurs la…

Il se sentait idiot, mais que ne ferait-il pas pour la jolie petite amie à ses yeux. Il espérait qu’elle ne lui en voudrait pas trop de lui avoir distancé depuis deux mois. Mais là, il avait envie de voir ses yeux, sa bouche et son sourire. Il était fou d’elle, mais comment a-t-il pu attendre après tout ce temps?

Sinon, tu vas bien?

Il cherchait désespérément un fil de conversation, parce que c’était lui qui avait commencé. Que c’est donc compliquer la relation humaine…. Il attendit patiemment que le jeune homme réponde pendant qu’Eliot observait ses fleurs. Bein quoi? Il fallait qu’il soit beau… Non?

En s’approchant, il avait remarqué que son ami était plongé dans sa lecture. Même s’il était décidé de converser avec lui, reste qu’il ne voulait pas le déranger non plus. Mais, il aimait parler à des gens, surtout à ceux qu’il connait. C’est alors qu’il avait croisé celui d’Ezhno alors qu’il cherchait sa douce dans la grande salle. Après lui avoir salué et que celui-ci lui avait répondu. Il avait répondu dans la négativité à savoir s’il avait croisé Arya. Bien sûr, que c’est plutôt rare de croiser celui ou celle qu’on veut voir parmi tous les élèves de Poudlard. Il était plutôt déçu tout de même de ne pas avoir de réponse positive.

« Surement qu’elle doit faire sa ronde de préfète sans doute. J’espérais de l’a croisé ici… Je vais essayer de l’a cherché ailleurs… »

Il avait dit dans un soupir de découragement. Puis, bien sûr de dire la raison des fleurs, il s’en attendait de se faire demander du pourquoi qu’il voulait donner ces fleurs à Arya… Il n’y avait pas vraiment réfléchi. Il voulait juste offrir ces fleurs pour lui avoir patienté. Ce n’est pas tous les petites amies qui attendraient son petit copain comme ça. Il s’en voulait carrément de lui avoir négligé, mais il avait bien une raison. Il était juste paniqué qu’il pourrait faire la même chose à celle qu’il aime vraiment beaucoup. Comme il avait vécu, il avait eu une réaction instantanée qu’il n’avait pas réalisée au moment de ce geste fort regrettable. Alors, il avait fui pour se remettre de ce choc qui lui avait pesé sur sa conscience. Il avait eu de la peine, de la colère face à lui-même pour avoir osé de faire ce qu’il avait faite.

« En quelque sorte, Arya est ma petite amie et je m’en suis voulu de l’avoir négligé. Ce qui était passé avec Sibelle m’a …. Bref, tu dois avoir entendu parler de ça avec la plume empoisonnée ? Mettons que je l’ai fait sans réfléchir. Puis, bein, avec tout ça, je me suis éclipsé parce que j’ai eu un peu peur de blesser la fille que j’aime tu vois ? Mais c’est complètement idiot d’avoir fait ça. Là avec les fleurs, je voulais juste l’a remercié d’avoir patienté le temps que je sorte de mon hibernation. Si elle ne m’en veut pas. Tu sais, deux mois… C’est long ! »

Il passa sa main sur sa tête pour cacher sa nervosité. Il se sentait idiot d’avoir fui après cet incident. Mais que pouvait-il faire ? Il n’allait pas se mettre à pleurer comme un imbécile devant tout le monde dans son dortoir ou dans sa maison des Poufsouffles. La seule façon qu’il avait trouvé, c’est de se cacher dans la volière. Au moins là, il n’y avait pas de personne qui pouvait le harceler sans arrêt.

« Oui, je vais bien et mon dos s’est réparé avec de la physio. Bon, l’avantage à Poudlard, tout est fait par la magie. Mais au départ, il était déplacé de 3 vertèbres. Eh non, je n’ai pas retenté de redevenir cascadeur, si tu veux savoir. J’en ai eu une secousse l’autre fois. Ça ne me tente clairement pas de le revivre. Surtout, j’ai eu peur sur le coup. »

Il avait dit cela en rigolant, il savait bien que c’était de la chose passée. Mais sur le coup, non ce n’était pas amusant cela dit. Il avait dû cesser ses activités pour laisser reposer son dos qui était blessé sérieusement. Mais bon, il avait du bon à ça. Il avait été exempté des cours d’éducations physique ou des cours ou cela demandait de la force ou de bouger les bras. La seule façon, c’était de lire un roman pendant que les autres travaillaient. Cela lui avait bien marré pendant trois semaines. Des fois, c’était clairement intéressant de voir les autres qui l’enviait pendant qu’eux ils faisaient des travaux forcés.

Il avait remarqué que son ami lisait un roman. Lui qui aime beaucoup bouquiner les livres, il était tout simplement curieux.

« J’ai vu que tu lisais un roman, c’est quoi le titre ? »

En attendant sa réponse, il prit une pomme lui aussi qu’il le croqua à pleine dent.