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 30 Baisers princiers [09/30]

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Ξ Sujet: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyDim 17 Fév - 23:22

30 Baisers princiers [09/30] 021413_jtrain

Nicolas de Liechtenstein




o1* Take Care - Drake ft. Rihanna
o2* Your Song - Elton John
o3* All Day - Cody Simpson
o4* Eyes Wide Open - Gotye
o5* Beautiful Soul - Jesse McCartney
o6* The Man Who Never Lie - Maroon5
o7* Out of Town Girl - Justin Bieber
o8* Dans les Bras de Personne - Mickael Miro
o9* That Green Gentleman (Things Have Changed) - Panic At The Disco
1o* Lights - Ellie Goulding
11* Nine In The Afternoon - Panic At The Disco
12* Et Alors ! - Shy'm
13* Kill All Your Friends - My Chemical Romance
14* Seal It With A Kiss - Britney Spears
15* Thrift Shop - Lindsey Stirling & Tyler Ward
16* Nightcall - Kavinsky
17* Runaway Baby - Bruno Mars
18* Written In The Stars - Tinie Tempah ft. Eric Turner
19* Comment Dire - 1995
2o* She's Not Afraid - One Direction
21* Pretty Girl (The Way) - SugarCult
22* Demolition Lovers - My Chemical Romance
23* Boston - Augustana
24* Geronimo - Aura Dione
25* Underwater - Mika
26* Mirror - Bruno Mars ft. Lil Wayne
27* Ho Hey - The Lumineers
28* Kiss You - One Direction
29* Some Nights - FUN
30* Beautiful - Carly Rae Jepsen ft. Justin Bieber


Dernière édition par Nicolas De Liechtenstein le Ven 24 Jan - 0:40, édité 8 fois
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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyJeu 11 Avr - 18:51

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Nicolas & Opalyne
I’m gonna pop some tags, only got 20 $ in my pocket
I’m, I’m, I’ma hunting, looking for a come up
This is something awesome

Walk into the club like what up it’s me and lindsey stomp
I’m so pumped 'bout some swag from the thrift shop
Ice on the fringe, it’s so, so frosty
The people like whoa, that’s a cold, cold teetee
Rolling in, rolling deep, headed to the mezannine
Dressed in all pink, except my gator shoes, those are green
Draped in a leopard mink, girl steady next to me
Prolly should have washed this, smells like r kelly sheets
But wait, it was 99 cents
Coppin it, washin it, bout to go and get some compliments
Passing up on those mocassins
Someone else’s been walking it
but me and grungy had em in
I am studin' and flossin' saving my money,
And I’m really happy that’s a bargain trick
I’ma take your grandpa style, no for real
I’ma take his style, velour jumpsuits and some house slippers, dookie brown leather jacket that I found diggin
They had a broken keyboard so I bought that broken keyboard
I bought some blankets and I’m out says a new board to say hello, hello, and to take a photo
John wayne ain’t got nothing on my fringe game, no, no
I could take the pro inks, make em cool, sell those
The sneakers heads be like, oh you got the velcro

[Chorus] x 2
I’m gonna pop some tags, only got 20 $ in my pocket
I’m, I’m, I’ma huntin, looking for a come up
This is something awesome

What you know about rocking a wolf on your noggin?
What you know about wearing a fur, fur fox skin?
I’m diggin, I’m diggin, searchin right through that luggage
While another man’s trash is another man’s come up
Thank your grand dad for donating that plaid button
Up shirt, cause right now I’m up and I wanna flirt
I’m at the goodwill, you can find me in the on sale
I’m that I'm that sucker searchin in that section on sale
Your grannie, your auntie, your mama, your mammy
I take those flannels, zebra jammies, second and I rock that
Even better
The build in onesies with the socks on even better
I hit the party and it never stop, even better
They be like, oh, that gucci, that’s so tight
I’m like yo, that’s 50 dollars for a t shirt
Limited edition, let’s do some simple addition
50 dollars for a t shirt, that’s just some ignorant bizness
I call that getting swindled and tricked
I call that getting swindled by the bizness
And that shirt’s really dope
And having the same one as 6 other people in the club is a no no
Peep the game come and take a look through my telescope
Tryina get the girls for my brand and you really wont, you really wont
You really want, really wont
Naha, aha, you really wont, you really wont

I wear your grand dad’s clothes
I look incredible
I’m in this big old coat from the thrift store down the road
I wear your grand dad’s clothes
I look incredible
I’m in this big old coat from the thrift store down the road

[Chorus] 2x
I’m gonna pop some tags, only got 20 $ in my pocket
I’m, I’m, I’ma hunting, looking for a come up
This is something awesome





15. Thrift Shop - Lindsey Stirling & Tyler Ward
Nicolas, Opalyne
L'histoire se déroule au 21ème siècle, Nicolas et Opalyne ne sont pas sorciers et habitent tous les deux à Londres pour leurs études.
1 555 mots


Nicolas de Liechtenstein était un élève comme les autres, ou presque. Scolarisé dans l'établissement relativement renommé Rose Bruford, dans le coin de Westminster en dernière année, le jeune homme se fondait dans la masse. Sauf qu'il y avait un point sur lequel il se démarquait. Nicolas n'était pas un élève lambda dans cette école. Il était un prince, le seul de l'école, mais tenait à garder ce point secret. Pourquoi ? Parce qu'il préférait voir comment on pouvait le percevoir pour ce qu'il était réellement que pour son titre. Il savait très bien que des abrutis, simplement attirés par l'argent et la réussite tenterait de devenir amis avec lui si sa véritable identité. Aussi, à l'école, Nicolas avait changé son nom de famille. Oui, « de Liechtenstein », ça aiguisait bien trop vite la curiosité des autres, et il était facile, à cette époque, de faire une recherche internet et de trouver tout ce que l'on voulait sur n'importe qui. Ici, il s'appelait alors Nicolas Daniels. C'était simple, et ça passait relativement bien. Il avait exécuté sa première année de lycée dans un lycée français très réputé de la capitale britannique, avec son nom de famille inchangé, et les résultats avaient été relativement catastrophiques... Alors le changement pouvait avoir du bon de temps à autre.

Ce qu'appréciait Nicolas, dans ces écoles britanniques, était le fait que les élèves étaient obligés de porter un uniforme. C'était ainsi dans tout le Royaume-Uni, et ce qui changeait par rapport aux autres écoles où il avait pu aller, et bien c'était que tout le monde était au même niveau. Pas de différence de revenus, de titres... Bien sûr, le lycée dans lequel il était était privé et pour une certaine partie de la population, mais au moins, il se fondait plutôt bien dans la masse. Dans cette école, il ne s'était fait que très peu d'amis, et encore, il refusait à les appeler ainsi. Ils étaient des relations positives, et Nicolas les appréciaient, mais il n'irait pas jusqu'à passer tous ses week-ends avec eux. De toute façon, ses week-ends étaient rythmés par les cours particuliers de droit, pour qu'il puisse un jour succéder à son père, le Roi du Liechtenstein. Nicolas, à la base, n'était pas le prince héritier. Il était le dernier né de la royauté, et devait donc ne jamais accéder au trône. Sauf qu'il avait toujours eut une certaine attirance pour ce rôle, plus que ses frères et sœurs. Et au fur et à mesure du temps, cela n'avait pas changé. Toujours aussi motivé, il avait de nombreuses fois demandé audience à son père pour que ce dernier écoute ce que son fils avait à lui dire. Puis, lorsqu'il eut quinze ans, Nicolas fut nommé prince héritier. Il avait grandit d'une façon relativement saine, et ses frères et sœurs, trop occupés par d'autres passions -Joseph, le prince héritier de base, avait pratiquement fini la faculté de médecine et se voyait devenir un grand chirurgien, sa sœur Marie, allait devenir une avocate de renom, et son frère, George, n'avait que faire du titre de roi. Nicolas avait donc été désigné. Il avait été ravi, bien évidement, mais il n'avait rien pu dire à son nouveau lycée. Il gardait cela relativement secret, et à par la direction de l'école et les professeurs, personne ne connaissait la véritable identité du jeune homme. Ce n'était peut-être pas plus mal.

Hors de l'école, Nicolas s'habillait relativement normalement. Certains portaient des vestes à 400 livres, et s'il pouvait le faire sans risquer de se faire repérer, Nicolas le ferait aussi. Cependant, il devait faire attention. Il était la prochaine tête couronnée de son pays, et même si ce dernier était relativement petit, Nicolas était tout de même connu. C'est pourquoi il portait toujours des lunettes de soleil quand il sortait, qu'il pleuve ou qu'il neige. L'hiver, c'était plus simple de se cacher des paparazzis, mais l'été... Des fois, pour les éloigner, il se rendait dans une friperie. C'était une petite boutique, dans une ruelle de Londres, où le jeune homme passait parfois chercher un vieux manteau, ou une écharpe de trois mètres de long qui le ferait passer inaperçu. Et aussi, il y avait cette fille. Pas dans la boutique, non, mais dans l'école, non loin, devant laquelle il passait quand il se rendait dans la vieille boutique. Des cheveux rouges, flamboyant, et une allure de danseuse... Normal, elle était dans une école de danse... Elle lui plaisait, oui, mais lui, lui plairait-il ? Elle semblait être à l'opposé de sa vie à lui. Elle ne se cachait pas, vivait sa passion, visiblement... Une fois, il avait même surpris la demoiselle a chanter à tue-tête dans la rue, un casque sur les oreilles, tout en dansant. Elle était gracieuse... Bruyante, mais gracieuse.

Aujourd'hui, Nicolas s'était arrêté devant l'école de la demoiselle. Elle devait avoir son âge, ou peut-être deux ans de moins, tout au plus. Il ne comptait pas aller à la friperie, non, il comptait voir la rouquine, lui parler, voir ce qu'il pouvait éventuellement se passer. Nicolas avait de mauvais souvenirs de ses anciennes copines. Vénales, attirées uniquement par son titre. Là, il passerait presque inaperçu. Il ne serait pas le prince du Liechtenstein, qui hériterait du trône un jour ou l'autre. Juste Nicolas, ce mec un peu guindé, mais au final, sympa... Okay, il avait plutôt une haute estime de lui-même, mais il était un prince après tout, il n'allait pas se laisser marcher sur les pieds !

Vers dix-sept heures, la rouquine sortit de son école de danse et se retrouva rapidement à marcher seule dans la rue bondée. Nicolas quitta son point de dissimulation et avança avec rapidité vers la demoiselle. Elle allait vite, mais il était plus grand, et faisait donc de grandes enjambées. La route qu'elle prit sembla familière au jeune prince, et quand elle entra dans une boutique, Nicolas remarqua qu'il s'agissait de la friperie. Travaillait-elle ici ? Non, il ne l'avait jamais vue dans la boutique... Passant la porte, il suivit du regard la rousse, et alla voir quelques rayons, sans trop y prêter attention. Finalement, Nicolas se décida à aller vers elle. Elle avait déjà pas mal de robes à paillettes, à froufrous et autres trucs complètement vieillot dans les bras.

« Salut, tu as besoin d'aide ? »

La rouquine releva la tête vers lui, presque blasée, avant de le détailler et de le dévisager sans gêne particulière. Nicolas lui adressa un sourire bienveillant, et resta derrière le portant, hors de portée d'une éventuelle baffe. Courageux mais pas téméraire ! Mieux valait éviter de s'en prendre une directement.

« Je m'appelle Nicolas, et toi ? »

Dire qu'il ne l'avait jamais vue dans la boutique ? Mauvaise idée. Qu'il l'avait suivit alors qu'elle sortait de l'école ? Encore pire ! Nicolas n'avait pas envie de passer pour un mec super relou... Quoi que cela était peut-être déjà ce qu'elle pensait, puisqu'elle ne lui répondait pas... Alors qu'il allait la laisser s'éclipser, vu qu'elle ne comptait visiblement pas lui répondre, et qu'il alla donc s'intéresser à des bacs remplis d'écharpes et de foulard, il remarqua une mèche rouge à côté de lui. Des yeux bleus le transperçait du regard. Elle semblait le jauger, voir s'il lui voulait un mal quelconque, ou s'il était juste un mec normal...

« Je m'appelle Opalyne. Tu devrais prendre ce foulard là, il irait bien avec ton manteau. »

Nicolas la regarda, un peu surpris. Elle semblait l'éviter depuis qu'il lui avait parlé et voilà qu'elle lui conseillait un foulard ? Nicolas se saisit du foulard en question et le passa autour de son cou, avant de se regarder dans un des nombreux miroirs de la boutique. Elle avait raison, ça lui allait bien. Décidant de le garder, il partit à la recherche de la rousse, avant de s’apercevoir qu'elle avait disparut. Partie ? Sûrement pas, elle avait des tonnes de vêtements dans les bras, elle n'avait pas pu les voler... Donc, elle devait être dans les cabines. Ca avait beau être une friperie, il fallait bien essayer les vêtements avant de les acheter. Nicolas se dirigea vers ces dernières, et remarqua un tas de vêtements sur un tabouret, devant l'une des cabines. Avançant doucement jusqu'à cette dernière, Nicolas retint sa respiration avant de se décider.

« Opalyne ? »

La rouquine ouvrit le rideau, transformée en boule à facette argentée. La robe qu'elle avait sur le dos brillait de mille feux, et elle semblait elle-même rayonner. Tout sourire, elle fit un tour sur elle même avant de se poster devant le miroir, dos à Nicolas.

« Tu aimes ? »
« C'est... Relativement voyant. »
« On fait un spectacle sur le disco, je pense qu'elle sera parfaite... »


Si elle le disait, Nicolas voulait bien la croire. Alors qu'il allait refermer le rideau pour qu'elle se change, Opalyne stoppa sa main et l'attira vers elle. Sans qu'il ne s'en rende compte, elle était collée à lui, ses lèvres posées sur les siennes. Opalyne l'embrassait, comme si de rien n'était, comme s'il était son petit ami depuis des lustres. Nicolas lui rendit son baiser, et après un moment qui lui parût bien trop court, elle s'éloigna de lui, fermant le rideau. Nicolas allait devenir fou. Cette fille était complètement différente de celles qu'il avait pu fréquenter...
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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyMar 14 Mai - 20:16

fiche créée par littleharleen



Nicolas & Opalyne
Ahhhh ahhhhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo

I'll get you outta here
There's too much talking in this atmosphere
Cause I just wanna get you out of here
My baby gonna get a lot of me uuhhh

She goes:
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo
Ze-ze-e so-so uh lala hmm let's go, Geronimo
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go

And I'm breaking, I'm breaking away
I'm aiming power power shots
And I'm giving all I got
I'm fearless, I'm fearless today
I paint my face with teardrip-drops
And I'm kissing underdogs

Ahhh ahhhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo
Ahhh ahhhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo

Wanna get you outta here
There's too much smoke in this atmosphere
I just wanna see you bright and clear
My baby gonna get a lot of me uuhh

She goes:
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo
Ze-ze-e so-so uh lala hmm let's go, Geronimo
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go

Yeah I'm breaking, I'm breaking away
I'm aiming power power shots
And I'm giving all I got
I'm fearless, fearless today,
I paint my face with teardrip-drops
And I'm kissing underdogs

Ahhh ahhhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo
Ahhh ahhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo

Do it all for love
Let's do it all for love
It all comes down,
To you and me,
To me and you
You and me

And I'm breaking, I'm breaking away
I'm aiming power power shots,
And I'm giving all I got
I'm fearless, fearless today,
I paint my face with teardrip-drops
And I'm kissing underdogs

Ahhh ahhhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo
Ahhh ahhh
Ge-ge-e jo jo uh lala hmm let's go, Geronimo

Do it all for love
Let's do it all for love
La la la la la la...





24. Geronimo - Aura Dione
Nicolas, Opalyne
L'histoire se déroule au 21ème siècle, Nicolas et Opalyne ne sont pas sorciers et habitent tous les deux à Londres pour leurs études.
1 030 mots



Nicolas sortait avec Opalyne depuis un peu plus d’un mois maintenant. Leur romance était relativement innocente, à cause du serment que Nicolas avait fait à sa mère, mais Opalyne était tellement folle qu’au final, ils n’avaient pas besoin de plus pour se sentir ailleurs. Son imagination était débordante et surprenante, pas étonnant qu’elle soit danseuse. A travers la danse, et notamment ses costumes, elle pouvait entrer dans n’importe quel univers. Ca aidait souvent. Le blond restait très vague sur sa vie, mais la rouquine ne semblait pas s’en soucier. Il fallait avouer qu’elle ne lui posait pas de questions sur sa famille. D’ailleurs, Nicolas faisait de même, et cela semblait leur convenir à tous les deux. Si ça se trouve, elle était une tueuse à gage et le prince risquait de mourir à tout moment…

Ce jour là, ils étaient tout simplement en train de se promener dans les rues de Londres. Comme ni l’un ni l’autre ne faisait visiter son chez-soi au second, c’était plus simple pour se retrouver. Parce qu’honnêtement, Nicolas ne voyait pas comment pourrait réagir Opalyne s’il lui disait qu’il vivait dans un palais et qu’il l’y emmenait. Elle pourrait tout aussi bien sauter de joie, s’émerveiller et s’extasier devant la beauté du lieu et la surprise du blond, mais cela pourrait également tout détruire. L’envie, la haine, tout se mélangeait rapidement, et le résultat pouvait être pire que catastrophique. Et comme l’atmosphère actuelle lui convenait parfaitement, il n’allait pas se précipiter dans un trou sans fin.

Arrivés dans Hyde Park, ils prirent place sur un banc, près d’une fontaine. Tout était relativement calme, le froid de l’hiver sûrement beaucoup. Une fine pellicule de neige recouvrait le sol, et quelques rares oiseaux s’aventuraient parfois près du couple. C’était un moment tranquille, en somme. Un peu trop tranquille peut-être, Nicolas se sentant de plus en plus mal à l’aise. Opalyne avait l’habitude de parler, beaucoup et fortement, de sorte qu’on l’entendait même si on ne le voulait pas. Mais là, la rouquine ne disait pas un seul mot. Tournant son regard sur elle, le prince remarqua qu’elle semblait perdue dans le ciel. Elle devait penser à quelque chose, une danse peut-être, à moins qu’elle tout simplement morte sans qu’il ne s’en rende compte, mais il doutait sur cette dernière hypothèse.

« Opalyne ? Qu’est-ce qu’il a ? »
« Hum ? »
Elle battit des cils avant de tourner la tête et de fixer son regard sur le blond, elle semblait réellement ailleurs. « Oh, rien, je pensais juste que ça serait bien de filer d’ici, comme les oiseaux, changer d’air. »

D’un seul coup, elle se redressa, si brusquement d’ailleurs que Nicolas dû réprimer un sursaut. Elle le fixait maintenant d’un regard pétillant. L’Opalyne qu’il connaissait et dont il avait l’habitude était de retour. Elle le fixait, avec un sourire, semblant prête à lui annoncer une immense nouvelle. Sauf qu’elle restait muette, tout en trépignant sur le banc.

« Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ? »
« Je viens de penser à un truc génial ! »


Nicolas craignait le pire à présent. Opalyne avait beau être adorable, parfois, elle lui fichait un peu la trouille. Peut-être son côté trop excentrique qui gênait les bonnes mœurs que le prince avait au plus profond de son âme…

« Et si on partait ? On part d’ici, on va ou on veut, sans se soucier de ce qu’il va se passer ? On laisse tout tomber. Le lycée, l’école de danse… On pourrait aller en Irlande ? Ou même en France ou en Italie ! »

Nicolas se demandait maintenant ce que la jeune fille à ses côtés avait bien pu recevoir sur la tête pour parler aussi bizarrement. Elle voulait partir à l’autre bout de monde –à peu de choses près- et ne se souciait absolument des personnes qu’ils pourraient laisser derrière eux… Etrange oui, et flippant aussi.

« Opalyne, on ne peut pas partir comme ça… Tout laisser tomber d’un coup sans savoir ou on va… C’est de la pure folie, on n’est même pas majeur ! »

Ce n’était plus le lycéen qui parlait, mais le prince. Il ne pouvait pas partir comme cela, sans rien dire à personne. Il en allait de la sécurité de la jeune fille, avant que les parents du blond ne la déclare comme ennemie de l’Etat. Et honnêtement, il ne voyait pas ce que pourraient bien faire deux adolescents dans un pays qu’ils ne connaissaient pas. Bon, d’accord, Nicolas connaissait assez bien la France, il s’y rendait souvent et avait même effectué une année scolaire là-bas, mais ce n’était pas une raison pour aller dans le sens d’Opalyne. La rousse le regardait maintenant avec autant d’envie que de haine. Bon, d’accord, le mot haine était un peu fort. Disons qu’elle était déçue qu’il réagisse ainsi.

« Oh, aller Nicolas ! De quoi t’as peur ? Personne ne va nous kidnapper, on ne va pas mourir dans les deux jours qui suivent… »

Opalyne voulait vraiment partir. S’enfuir loin d’ici. Ca l’avait prise d’un seul coup, en regardant les oiseaux partir de Londres pour se réfugier dans les pays chauds. Elle aussi, elle voulait pouvoir faire ça…

« Juste toi et moi. Personne d’autre. On part, on va ou on veut… On peut travailler pour gagner de l’argent, on prendre des chambres pas très chères, dans des auberges de jeunesse… T’as pas envie de rompre avec Londres un peu ? »

Non, pas vraiment. Londres, ça ne faisait que deux ans qu’il y était. Si la première année, il avait du changer de lycée, il était bien ou il était maintenant… Alors non, il n’avait pas envie de partir. Poussant un soupir las, il ferma les yeux et déposa un bref baiser sur les lèvres de la rousse avant de prendre la parole.

« Désolé Opalyne, je ne partirais pas d’ici… »

Il n’était pas drôle, pas aventurier non plus. Opalyne lui en voulait, mais surtout, elle se demandait pourquoi –alors que lui était presque majeur (dans trois ans quoi)- il ne voulait pas partir. Il devait y avoir une raison… Et elle était bien décider à la trouver.

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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyMar 21 Jan - 23:26

 
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Nicolas & Opalyne
Some nights I stay up cashing in my bad luck
Some nights I call it a draw
Some nights I wish that my lips could build a castle
Some nights I wish they'd just fall off

But I still wake up, I still see your ghost
Oh, Lord, I'm still not sure what I stand for oh
Whoa oh oh (What do I stand for?)
Whoa oh oh (What do I stand for?)
Most nights I don't know anymore...
Oh, whoa, oh, whoa, oh, whoa, oh, oh,
Oh, whoa, oh, whoa, oh, whoa, oh, oh

This is it, boys, this is war - what are we waiting for?
Why don't we break the rules already?
I was never one to believe the hype
Save that for the black and white
I try twice as hard and I'm half as liked,
But here they come again to jack my style

That's alright (that's alright)
I found a martyr in my bed tonight
She stops my bones from wondering just who I am, who I am, who I am
Oh, who am I? Mmm... Mmm...

Well, some nights I wish that this all would end
'Cause I could use some friends for a change.
And some nights I'm scared you'll forget me again
Some nights I always win, I always win...

But I still wake up, I still see your ghost
Oh, Lord, I'm still not sure what I stand for, oh
Whoa oh oh (What do I stand for?)
Whoa oh oh (What do I stand for?)
Most nights I don't know... (oh, come on)

So this is it. I sold my soul for this?
Washed my hands of that for this?
I miss my mom and dad for this?

(Come on)

No. When I see stars, when I see, when I see stars, that's all they are
When I hear songs, they sound like this one, so come on.
Oh, come on. Oh, come on. Oh, come on!

Well, that is it guys, that is all - five minutes in and I'm bored again
Ten years of this, I'm not sure if anybody understands
This one is not for the folks at home;
Sorry to leave, mom, I had to go
Who the fuck wants to die alone all dried up in the desert sun?

My heart is breaking for my sister and the con that she call "love"
When I look into my nephew's eyes...
Man, you wouldn't believe the most amazing things that can come from...
Some terrible nights... ah...

Oh, whoa, oh, whoa, oh, whoa, oh, oh,
Oh, whoa, oh, whoa, oh, whoa, oh, oh

The other night you wouldn't believe the dream I just had about you and me
I called you up but we'd both agree

It's for the best you didn't listen
It's for the best we get our distance... Oh...
It's for the best you didn't listen
It's for the best we get our distance... Oh...





29. Some nights - FUN
Nicolas, Opalyne
L'histoire se déroule au 21ème siècle, Nicolas et Opalyne ne sont pas sorciers et habitent tous les deux à Londres pour leurs études.
895 mots
 




Quelques mois après leur discussion au parc, Nicolas se demandait si la rousse pensait toujours à son évasion. Elle ne lui en avait pas reparlé et il faisait toujours très attention à ne pas parler de voyage avec la demoiselle. Il lui avait d’ailleurs caché son départ d’une semaine pour le royaume du Liechtenstein et avait simplement prétexté qu’il avait bien trop de travail au lycée pour pouvoir voir Opalyne. La rousse semblait s’en être contentée, heureusement pour le jeune prince. Il ne lui avait d’ailleurs toujours pas parlé de sa véritable identité, de sa situation officielle. Il était le prince héritier du royaume du Liechtenstein et un jour, quand son père serait trop vieux ou qu’il serait mort -mieux vaut le plus tard possible- il deviendrait roi et règnerait sur le pays et sur ses habitants. Nicolas était donc destiné à de longues études de droit, mais aussi à une formation très stricte sur les lois de son pays et les façons d’agir en public. Pour le moment, comme il était encore lycéen, on le laissait tranquille. On ne le connaissait pas trop en Angleterre, et il faisait tout son possible pour passer inaperçu. Mais quand il aurait dix-huit ans, il devrait faire une apparition officielle en tant que prince héritier, et son visage serait dévoilé au monde entier. Il pourrait alors tirer un trait sur tout espoir de tranquillité. Alors il en profitait tant qu’il le pouvait.

Lorsqu’il fut rentré de son voyage au Liechtenstein, Nicolas prit une décision très importante. Il avait décidé de faire venir Opalyne chez lui, dans sa résidence londonienne. La demoiselle n’était encore jamais venue chez lui, ils se retrouvaient le plus souvent à l’extérieur, dans un parc, dans un café, à faire les magasins… Pourtant, son appartement londonien n’avait rien du palais dans lequel il habitait normalement. Il était grand et imposant, décoré avec goût. Nicolas ne s’était occupé de rien et partageait cet appartement avec George et Marie. Joseph, lui, faisait ses études aux Etats-Unis donc n’était jamais présent. Le blond passa un coup de téléphone à la demoiselle et lui demanda si elle était libre et si elle acceptait de passer l’après-midi avec lui, chez lui. La demoiselle hésita un moment avant d’accepter la proposition de Nicolas. Il lui donna alors rendez-vous devant un magasin tout près et alla à la rencontre de sa petite amie. Le chemin n’était pas bien long, mais Nicolas avait tout de même peur de la réaction de la rouquine. Quand il la vit arrivée, il esquissa un sourire et l’embrassa tendrement. Nicolas ayant fait voeu de chasteté -et en témoignait la bague qu’il portait depuis l’âge de ses treize ans-, Opalyne n’avait absolument rien à craindre de cet après-midi.

« Bonjour. Tu vas bien ? »
« Salut ! Parfaitement bien et toi ?! Tu as fini de réviser et de travailler ?! »
« Ca va. Oui, ce n’était pas la meilleure semaine, crois moi. »

Ils continuèrent à discuter sur le chemin menant à l’appartement. Ils n’eurent pas à marcher bien longtemps et arrivé en bas de la bâtisse, Nicolas était stressé. Il ne savait pas comment Opalyne allait réagir. Il lui jeta un coup d’oeil discret. Visiblement, elle détaillait l’immeuble sans trop savoir à quoi s’attendre. Les mouleurs sur les murs extérieurs laissaient entendre une certaine richesse, mais il n’aurait peut-être pas besoin de s’expliquer, elle penserait peut-être que sa famille l’avait hérité, ou quelque chose dans ce genre. Une fois dans l’ascenseur, elle lui posa peu de questions, et lui parla surtout de la prochaine représentation qui allait avoir lieu à son école. Finalement, les portes s’ouvrir directement sur l’appartement, situé au dernier étage. Après avoir fait quelques pas dans le couloir, Lyne se tourna vers Nicolas.

« Hé bien, tu vis dans un palace… Tu es héritier ? Roi ? Garde de la reine ? »
« Non, pas du tout… Mes parents ont eut de la chance… »

La rousse haussa les épaules et attendit patiemment que Nicolas lui fasse visiter. Le salon, la cuisine, la salle de bain, puis sa chambre en dernier. Elle se composait d’ailleurs d’une chambre avec deux pièces attenantes. L’une était un dressing, l’autre une salle de bain. Nicolas laissa Opalyne se mettre à son aise et alla chercher quelque chose à boire et à manger. C’est pendant ce laps de temps que la rousse en profita pour fouiner un peu. Il devait y avoir quelque chose qui retenait son petit ami ici. Non, elle n’avait pas baissé les bras. Elle voulait s’enfuir et comptait bien savoir ce qui empêchait Nicolas de partir avec elle. En ouvrant l’un des tiroirs du bureau, Opalyne tomba sur une grosse enveloppe qui portait un cachet en cire sur le devant.

« Principauté du… Lie…Liechtenstein ? »

Opalyne ouvrit l’enveloppe et jeta un coup d’oeil aux papiers qu’elle contenait. Divers certificats de scolarisés, mais aussi un livret de famille et un passeport. Ouvrant le livret de famille, Opalyne eut le loisir de rencontrer les parents de son petit ami ainsi que ses frères et soeurs. Elle trouva également un papier signé de la main de Nicolas, qui attestait comprendre les droits qu’il avait et les devoirs qu’il devrait accomplir lorsqu’il serait…

« Roi ?! »

Opalyne remit tout dans l’enveloppe et ferma le tiroir. Quand Nicolas revint, elle était assise sur le lit, comme si de rien n’était. Elle allait devoir faire une petite enquête sur Google…

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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyJeu 23 Jan - 14:46

 
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Nicolas & Opalyne
I'm giving you a night call to tell you how I feel
I want to drive you through the night, down the hills
I'm gonna tell you something you don't want to hear
I'm gonna show you where it's dark, but have no fear

There's something inside you
It's hard to explain
They're talking about you boy
But you're still the same

There's something inside you
It's hard to explain
They're talking about you boy
But you're still the same

I'm giving you a night call to tell you how I feel
I want to drive you through the night, down the hills
I'm gonna tell you something you don't want to hear
I'm gonna show you where it's dark, but have no fear

There's something inside you
It's hard to explain
They're talking about you boy
But you're still the same

There's something inside you
It's hard to explain
They're talking about you boy
But you're still the same

There's something inside you (there's something inside you)
It's hard to explain (it's hard to explain)
They're talking about you boy (they're talking about you boy)
But you're still the same






16. Nightcall - Kavinsky
Nicolas, Opalyne
L'histoire se déroule au 21ème siècle, Nicolas et Opalyne ne sont pas sorciers et habitent tous les deux à Londres pour leurs études.
1 026 mots
 




L’après-midi s’était plutôt bien passée. Nicolas et Opalyne avaient parlé de pas mal de choses, aussi diverses que variées. L’école de danse, les représentations à venir, les différents thèmes approchés, le lycée de Nicolas, les examens qu’il devait passer à la fin de l’année, ce qu’il comptait faire plus tard. Ils n’avaient pas reparlé de l’envie d’Opalyne de quitter Londres et la Grande-Bretagne, ni de la richesse de l’appartement dans lequel vivait Nicolas. Opalyne avait passé sous silence ce qu’elle avait découvert dans le tiroir. Elle se demandait pourquoi son petit ami pouvait garder des papiers d’un autre pays et avoir signé un papier qui assurait qu’il comprenait ce qu’il devait faire en tant que prince héritier. Il n’était pas un prince, il ne pouvait pas être un prince. Les princes, ça allait dans des écoles prestigieuses, qui coûtaient au moins trois bras et ils ne fréquentaient que les gens qu’ils leur étaient similaires. Les fils de la princesse par exemple… Tout le monde connaissait William et Harry, et même s’ils avaient été assez peu séquestrés, William ayant même été dans une université tout à fait normale, il y avait quand même certaines règles non ? La rousse était donc plutôt perturbée parce qu’elle avait trouvé. Elle n’aurait peut-être pas dû ouvrir ce tiroir. Si Nicolas ne lui avait rien dit, il devait avoir une bonne raison… Quoi que. Maintenant qu’elle y pensait, il ne lui avait jamais donné son nom de famille. Elle, elle n’avait pas attendu bien longtemps avant de le lui donner, Nicolas ne semblait pas être complètement malade et ne l’aurait sûrement pas traquée jusque chez elle si elle n’avait pas voulu sortir avec lui. Mais oui, elle, elle ignorait tout de lui. Bon, elle savait qu’il avait deux frères et une sœur plus âgés que lui, elle connaissait leurs prénoms et avait même croisé George une fois… Mais ça s’arrêtait là…

Nicolas raccompagna Opalyne jusqu’à son bus. Ils s’embrassèrent une dernière fois et la demoiselle disparut en quelques secondes. Le blond retourna chez lui. Pour l’instant, tout semblait bien se passer. Joseph et Marie, qui étaient au courant de l’histoire de leur petit frère, n’étaient pas très ravis, ils affirmaient que cela se retournerait un jour contre lui. Mais il ne faisait rien de mal, n’est-ce pas ? Il omettait simplement la vérité de temps à autre, mais il n’avait pas encore trouvé comme expliqué à Opalyne qui il était vraiment. Ni si leur couple durerait assez longtemps pour qu’elle ait besoin de le savoir. Car après tout, certains ne se gênaient pour afficher clairement l’identité de leur partenaire, et Nicolas tenait trop à sa liberté actuelle pour risquer de tout gâcher. Egoïste ? Sûrement, mais quand on était un prince, on l’était forcément un petit peu…

Une fois chez elle, Opalyne alluma l’ordinateur et ouvrit une page de recherche. Elle avait du mal à se souvenir du nom de famille de Nicolas, mais se décida pour ne taper que ce dernier. Le Linchtinsten, ou quelque chose comme ça… Google était intelligent, il trouverait sûrement de quoi la rousse parlait. Le temps de charger, et la page lui afficha « Résultats pour Liechtenstein ». Wikipédia était le premier lien. Même si Opalyne savait qu’il ne fallait pas croire le site sur parole, ça l’aiderait quand même à comprendre, non ? Elle cliqua. La page décrivait tout d’abord le pays en lui-même. Où il se trouvait, sa surperficie, combien de personnes y habitaient… Sur le côté, une carte montrait l’emplacement de la principauté, son drapeau et ses armoiries. En dessous, on trouvait d’autres renseignments, utiles ou non, comme la langue, la capitale, et la famille régnante. C’est là qu’Opalyne bugua littéralement. Sous le nom du roi et de la reine, les noms de leurs enfants. Joseph, Marie, George et… Nicolas. Bon, il n’y avait pas que ces prénoms là, visiblement, avoir trois ou quatre prénoms, c’était la mode. Mais ce n’était pas le plus important. A côté du nom à rallonge de Nicolas, on trouvait, entre parenthèses « prince héritier ». Le nom était en bleu, elle pouvait donc cliquer dessus. Ce qu’elle fit, bien évidement. Tout d’abord, elle cru qu’on se moquait d’elle, que Google pouvait lire dans sa tête et qu’il faisait exprès d’afficher une photo de son petit ami. Mais elle lu l’article, qui ne consistait qu’en quelques lignes. Le nom complet, la date de naissance, le titre qui lui revenait. On expliquait aussi comment, alors qu’il était le dernier né de sa fratrie, il se retrouvait prince héritier. Niveau scolarité, on lui connaissait une école dans son pays, en Allemagne et en France. Aucune trace de l’Angleterre. Opalyne était sous le choc. Il s’agissait de son petit ami. Nicolas, qui allait au lycée à Londres, qui s’habillait parfois dans une friperie, était en fait un prince.

La rousse prit son téléphone et composa le numéro du blond. Il lui devait des explications. Elle avait, certes, découvert la chose par hasard, mais quand même ! Il aurait pu le lui dire ! Elle n’avait rien, mais absolument rien à voir avec lui !

« Allô ? »
« Nicolas ? C’est moi. Il faut qu’on parle. »
« Rien de grave j’espère ? »
« Ca dépend. Sur une échelle de 1 à 10, tu trouves que mentir à sa petite amie sur son statut de prince, prince héritier en plus, ça se situe où ? »
« Euh… Je peux tout t’expliquer Lyne… »
« J’y compte bien ! »
« Ecoute, par téléphone c’est trop long… On peut se voir demain ? S’il te plait ? »


Opalyne resta silencieuse quelques minutes avant de se décider. Elle ne savait pas si elle avait envie de le voir, si elle ne lui mettrait pas une claque quand sa petite tête blonde se matérialiserait devant elle… Finalement, elle accepta et raccrocha. Cette nuit là, elle dormit peu. Elle passa en revue de nombreux articles, vit des tonnes de photos. Si Nicolas savait se faire discret, les journalistes, eux, en profitaient pour spéculer… Éducation privée au château, mariage arrangé au fin fond de l’Europe… Il avait intérêt à s’expliquer !


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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyJeu 23 Jan - 16:10

 
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Nicolas & Opalyne
pretty girl is suffering while he confesses everything.
pretty soon she'll figure out what his intentions were about.
and that's what you get for falling again;
you can never get him out of your head.
and that's what you get for falling again;
you can never get him out of your head.

it's the way that he makes you feel.
it's the way that he kisses you.
it's the way that he makes you fall in love.

she's beautiful as usual with bruises on her ego and
the killer instinct tells her to be aware of evil men.
and that's what you get for falling again;
you can never get him out of your head.
and that's what you get for falling again;
you can never get him out of your head.

it's the way that he makes you feel.
it's the way that he kisses you.
it's the way that he makes you fall in love. [2x]

pretty girl... pretty girl...

pretty girl is suffering while he confesses everything.
pretty soon she'll figure out: you can never get him out of your head.

it's the way that he makes you cry.
it's the way that he's in your mind.
it's the way that he makes you fall in love.
it's the way that he makes you feel.
it's the way that he kisses you.
it's the way that he makes you fall in love...




21. Pretty Girl -
Sugarcult
Nicolas, Opalyne
L'histoire se déroule au 21ème siècle, Nicolas et Opalyne ne sont pas sorciers et habitent tous les deux à Londres pour leurs études.
1 027 mots
 




Opalyne n’avait que très peu dormi cette nuit là. Entre les articles qu’elle avait lu et son stress quant à la discussion qu’elle devait avoir avec l’intéressé, elle n’avait pas réussit à trouver le sommeil. Elle avait finit par s’endormir vers quatre heures du matin, alors que son réveil sonnait quatre heures plus tard. A huit heures, elle fonça d’abord dans la douche pour se réveiller. Elle ne faisait pas la fière. Elle avait des cernes violacés larges comme des valises et son teint était terne. Pour une danseuse comme elle, où presque tout était basé sur le physique, cette nuit sans trop de sommeil lui mettait une claque monumentale.

De son côté, Nicolas de Liechtenstein, prince héritier n’avait pas plus dormi. Il avait attendu que sa sœur et son frère soient de retour à l’appartement pour tout leur expliqué. Ils avaient appelés Joseph, et Nicolas lui avait demandé des conseils. Avant que Nicolas ne soit nommé prince héritier, Joseph avait eut ce titre d’office, étant le frère aîné de la fratrie. Et aussi loin qu’il pouvait s’en souvenir, Joseph n’avait jamais fait ce genre de bêtises. Nicolas se trouvait nul et en venait même à remettre sa position de prince héritier. S’il avait été capable d’occuper cette place, il n’aurait sûrement pas fait cette erreur stupide. C’était une erreur de débutant. Il n’aurait jamais dû tomber amoureux de quelqu’un. Car oui, malgré tout, Nicolas aimait Opalyne. Marie avait fini par lui dire que de toute façon, sa copine voudrait tout savoir et que le mieux à faire était de lui dire toute la vérité. Après, libre à elle de choisir si elle voulait rester ou non. Cependant, la blonde mis son frère en garde. Le seul fait qu’Opalyne puisse vouloir rester à ses côtés ne voulait pas dire qu’elle l’aimait. Certains étaient attirés par les titres et l’argent. Nicolas le savait, mais il espérait bien qu’Opalyne ne soit pas comme ça. Elle n’aurait sûrement pas exigé des explications, si tel était le cas, si ?

Ils avaient convenu de se retrouver dans le Starbucks de Baker Street. Un café, c’était un endroit neutre. Nicolas arriva en avance et alla se prendre un Latte au Caramel. Il n’était pas café, mais le Latte passait plutôt bien. Et ça faisait moins gamin. Opalyne arriva quelques temps après lui et il déposa un baiser sur les lèvres de la rousse. Peut-être le dernier, maintenant qu’il y pensait. La rousse n’avait d’ailleurs pas semblé enchantée de son geste. Il lui demanda si elle voulait boire quelque chose et elle opta pour un thé. Elle le remercia et but une gorgée de son thé. Le silence était pesant. Même si les autres clients parlaient, eux restaient muets et ce n’était pas vraiment la meilleure des choses. Pour casser la glace, Nicolas décida de prendre la parole.

« Alors euh… T’es au courant… »
« Oui. »


Nicolas se demandait bien comment cela avait bien pu se passer, mais ce n’était pas vraiment l’important, si ? Maintenant qu’elle savait de toute façon, c’était trop tard. Pourtant, il ne lui semblait pas avoir laissé quoi que ce soit traîner sur son bureau ou dans sa chambre. Mais bon, ce n’était pas la peine de se poser trente mille questions.

« Tu es vraiment prince ? »
« Oui. Je suis Nicolas Sébastien Alexandre Marie de Liechtenstein, dernier né du roi et de la reine de la principauté de Liechtenstein et également prince héritier. Cela aurait dû être Joseph, pas moi, mais il n’a pas voulu de son titre. »
« Et pourquoi toi alors ? »
« Normalement, il aurait dû revenir à Marie, ma sœur. C’est la deuxième née. Mais elle veut devenir une grande avocate, alors être reine n’allait pas avec ses envies. Après elle, il y a George. Mais il n’a jamais voulu être roi, et c’est moi qui ai donc reçu le titre. J’aurais pu le refuser, je suis sûr que certains de mes cousins en aurait été ravi. Mais je ne pouvais pas faire cela à mon père. »


Nicolas se tut pour laisser à Opalyne le temps d’enregistrer ce qu’il venait de lui dire. Ce n’était sûrement pas évident, ni quelque chose qu’on entendait tous les jours. La rousse l’avait fixé tout le temps où il avait parlé. Maintenant, elle avait le nez dans sa tasse de thé et ne le regardait plus. Elle se sentait trahie. Elle ne comprenait pas pourquoi cela lui arrivait à elle. Elle était une fille normale, tout ce qu’il y avait de plus banal, et voilà qu’elle apprenait, du jour au lendemain, qu’elle sortait avec un prince. Un prince qui finirait roi un jour, en plus de cela ! Comment tout cela pouvait lui arriver, pile à elle ?!

« Et pourquoi tu m’as menti ? Tu n’as pas le droit de le dire ? Tu ne devrais même pas sortir avec moi, je ne suis pas comme toi… »
« Lyne… J’ai le droit de le dire. J’ai le droit de faire ce que je veux… »
« Et tu as choisi de me mentir ? C’est encore pire… »
« Personne dans mon école ne sait qui je suis, à part la direction et les profs. Je ne te l’ai pas dit, parce que j’avais peur… J’avais peur que tu ne veuilles plus me parler, et que la presse l’apprenne aussi. Ils ne savent pas où je fais mes études, et je voulais garder ma liberté… Ou du moins le peu de liberté que je peux avoir… »


Opalyne ne comprenait pas. Elle avait vraiment du mal à digérer tout cela, et elle n’avait plus envie d’en entendre d’avantage. Tout ce qu’elle retenait, c’était qu’il était un futur roi, et qu’elle, pauvre petite anglaise de base, ne pouvait pas faire partie de sa vie. Elle avait pourtant des sentiments pour lui, de forts sentiments et ça la tuait de l’intérieur. Elle se leva, et sans un mot, quitta le café. Nicolas aurait voulu la suivre, mais la tasse de thé à moitié pleine et l’attitude de la rousse lui signifièrent qu’il valait mieux pour lui de rester à sa place…





Dernière édition par Nicolas De Liechtenstein le Ven 24 Jan - 11:37, édité 1 fois
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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyJeu 23 Jan - 19:59

 
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Nicolas & Opalyne
In the middle of hollywood boulevard
Screaming at each other, screaming at each other
Like oh oh oh, can't take it anymore oh oh oh
Like a tragedy, like a dark comedy
Laughing at each other, laughing at each other, like oh oh oh
It isn't funny anymore, oh oh

I was the man who never lied
Never lied until today
But I just couldn't break your heart
Like you did mine yesterday
I was the man who never lied, oh oh oh
I was the man who never lied, oh oh oh, yeah

Sometimes honesty is the worst policy
Happy ever after, happy ever after
Let it go, oh oh, you never need to know, oh oh
I don't wanna be picking up all of these tiny little pieces, tiny little pieces
Of your heart, oh oh, won't do it anymore, oh oh


I was the man who never lied
Never lied until today
But I just couldn't break your heart
Like you did mine yesterday
I was the man who never lied, oh oh oh
I was the man who never lied, oh oh oh

I was the....yeah, yeah, oh, oh

In the middle of hollywood boulevard
What am I doing in hollywood boulevard?
In the middle of hollywood boulevard
Screaming at each other, screaming

I was the man who never lied
Never lied until today
But I just couldn't break your heart
Like you did mine yesterday

I was the man who never lied
Never lied until today
But I just couldn't break your heart
Like you did mine yesterday
I was the man who never lied, oh oh oh
I was the man who never lied, oh oh oh


06. The man who
never lied
- Maroon 5
Nicolas, Opalyne
L'histoire se déroule au 21ème siècle, Nicolas et Opalyne ne sont pas sorciers et habitent tous les deux à Londres pour leurs études.
1 016 mots
 




Nicolas n’avait pas suivi Opalyne. Il ne savait pas s’il avait choisi la bonne option, mais il ne pensait pas que la suivre aurait aidé en quoi que ce soit. Si Opalyne ne voulait pas lui parler pour le moment, il lui laisserait du temps. Quand il était rentré chez lui, son frère George était déjà là et lui demanda comme tout s’était passé. George n’avait pas de petite amie et il se satisfaisait parfaitement en tant que célibataire. Une fille ? Trop compliqué, trop de problèmes, trop de tout en fait. Non, en tant que célibataire au moins, il pouvait faire ce qu’il voulait. Joseph lui, avait une petite amie. Pas une fille qu’il avait rencontré comme ça, par le plus grand hasard, non. Elle était une fille de l’aristocratie Liechtensteinoise et avait presque grandit avec Joseph. Ils s’étaient connus très jeunes et heureusement, le feeling était passé. Oh, peut-être que Joseph aurait aimé se marier à quelqu’un d’autre, mais visiblement, cette fille était adorable et très aimante. Elle aimait Joseph pour ce qu’il était réellement et pas pour son titre, c’était déjà ça. Quand elle avait su qu’il refusait son titre, elle l’avait encouragé. Il avait su alors qu’elle était la bonne et qu’il pouvait envisager un avenir avec elle. Marie elle, était célibataire également. Mais elle avait tellement de choses à faire pour devenir avocate qu’elle ne voulait même pas penser à sa vie personnelle pour le moment. Et Nicolas lui, venait de tout gâcher avec une fille qu’il appréciait beaucoup, et qu’il aimait. Bien sûr, il n’aurait jamais pu l’épouser, ses parents se seraient opposés à cette union, mais bon…

Opalyne n’avait pas rappelé Nicolas. Non pas qu’elle n’en n’ait pas envie, au contraire, elle voulait en apprendre d’avantage sur lui, mais elle avait toujours son mensonge en travers de la gorge. Elle voulait bien comprendre que ça n’était pas facile de dire à quelqu’un qu’on connaissait à peine qu’on était un roi, un prince héritier ou n’importe quoi dans ce genre, mais ils sortaient ensemble puis quelques mois maintenant… S’il ne lui faisait confiance, ça ne servait sans doute à rien de continuer. Elle évita donc de l’appeler et de le croiser pendant une semaine. Elle prenait des routes légèrement différentes de d’habitude, partait plus tard aussi. Elle savait que c’était bête, mais elle ne pouvait pas prendre le risque de le voir, comme ça, dehors à l’attendre. Elle ne l’aurait pas supporté. Pour le moment, elle avait besoin de digérer la chose. Elle n’avait parlé de son petit ami à personne, aussi, ses amies de l’école de danse furent surprises de la voir de mauvais poil. Elle ne donna pas d’explication pour autant. Elle dansait, voilà tout. Elle était dans cette école pour cela de toute manière.

Une semaine et demie après leur « dispute » Nicolas décida qu’il était temps d’arrêter tout cela. Il avait besoin de savoir comment Opalyne gérait la chose et s’il pouvait encore espérer quoi que ce soit avec elle. Il n’avait plus trop d’espoir, mais comme le disait si bien George, tant qu’on ne demande pas, on ne peut pas savoir ! Nicolas, après ses cours, avait donc été attendre que la rousse sorte elle-même de son école de danse. Quand il la vit, il traversa le trottoir  pour aller la voir.

« Opalyne… »

Les copines de la rousse regardèrent le blond avec des yeux pleins de curiosité. Heureusement pour le prince, Opalyne leur dit que tout allait bien et rejoignit Nicolas en quelques enjambées. Le blond lui sourit, content de voir, qu’au moins, elle acceptait tout de même de lui parler. Ils avancèrent en silence et finirent par s’asseoir sur un banc, dans un parc. Nicolas ne savait trop comment amener ce qu’il comptait dire à Opalyne, mais il devait bien finir par se lancer quand même.

« Je suis désolé de ne pas t’avoir dit qui j’étais vraiment… Je n’ai jamais eut l’occasion d’avoir ce genre de relation avant. J’étais toujours suivit avant, mais je suis parti en Angleterre sans que la presse le sache. J’étais tranquille, et… J’étais vraiment bien avec toi. Je n’avais pas besoin de suivre le protocole toute la journée… »
« Mais tu m’as menti quand même… »
« Je… Je n’avais pas vraiment le choix… Je pourrais crier sur tous les toits qui je suis, mais avec toi, je pouvais être la personne que je suis vraiment, pas le prince. Ca me faisait du bien. Je ne suis pas aussi détendu, d’habitude. Je dois suivre des règles, être tiré à quatre épingles… Avec toi, je pouvais être juste Nicolas. »


Nicolas n’avait pas menti délibérément à Opalyne. Il l’avait fait parce qu’il se sentait bien en étant Nicolas, le lycéen, et rien de plus. Alors forcément il avait voulu oublier qu’il était un prince. Pouvait-on vraiment lui en vouloir ?

« Est-ce que… Est-ce que le reste… »
« Tout le reste est vrai Opalyne. J’ai juste zappé le fait que j’étais un prince. Mais tout le reste, c’est la pure vérité. Mes frères et sœurs, ce qu’ils font… Et mes sentiments aussi. Je t’aime Opalyne. »


Nicolas déposa un baiser sur les lèvres de la rousse, qui le repoussa après quelques secondes. Nicolas en conclut que leur histoire était désormais finie. Cela le rendit triste. Opalyne était une chic fille, ils s’entendaient bien et elle lui permettait de penser à autre chose. Malheureusement, il ne pouvait la forcer à rien. Elle avait ses propres opinions, et elle ét§ait différente des filles de Vaduz, qui lui couraient après juste pour pouvoir un jour peut-être devenir reine...

« Je suis désolée, Nicolas… Je ne peux pas. Je ne dirais rien, ne t’en fais pas. Au revoir. »

Opalyne jeta un dernier regard au blond, avant de se lever et de partir. Leur histoire se finissait maintenant. Ils avaient vécu quelques mois charmants, mais Opalyne ne pouvait supporter la nouvelle. Nicolas était un prince, il était d’un autre monde et ils ne pourraient jamais être réellement ensemble. Autant arrêter de se faire du mal plus tôt possible.


[Terminé]



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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyJeu 23 Jan - 22:35

 
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Nicolas & Jules
Hello, I know it's been a while
I wonder where you are
And if you think of me
Sometimes cause you're always on my mind
You know I had it rough
Tryin' to forget you but

The more that I look around
The more I realize
You're all I'm lookin' for

What makes you so beautiful
Is you don't know how beautiful you are
To me
You're not tryin' to be perfect
Nobody's perfect
But you are
To me (to me)
It's how you take my breath away
Feel the words that I don't say
I wish somehow
I could say them now
Oh, I could say them now
Yea

Just friends
The beginning or the end
How do we make sense
When we're on our own
It's like you're the other half of me
I feel incomplete
Should have known
Nothing in the world compares
To the feelings that we share
It's so not fair

What makes you so beautiful
Is you don't know how beautiful you are
To me
You're not tryin' to be perfect
Nobody's perfect
But you are
To me (to me)
It's how you take my breath away
Feel the words that I don't say
I wish somehow
I could say them now
Oh

It's not you
Blame it all on me
I was running from myself
Cause I couldn't tell
How deep that we
We were gonna be
I was scared it's destiny
But it hurts like hell
Hope it's not too late
Just a twist of fate

What makes you so beautiful
Is you don't know how beautiful you are
To me
You're not tryin' to be perfect
Nobody's perfect
But you are
To me (to me)
It's how you take my breath away
Feel the words that I don't say
I wish somehow
I could say them now
Oh, I could say them now
Mmmm


30. Beautiful - Carly
Rae Jepsen &
Justin Bieber

Nicolas, Jules
Nicolas et Jules sont sorciers et de la même année. Tous les deux sont à Serpentard.
957 mots
 




Nicolas de Liechtenstein était un cinquième année. Dans la maison des Serpentard, il se surnommait lui-même le roi, à cause du sang royal qui coulait dans ses veines. Nicolas n’était pas le genre de personne que l’on pouvait apprécier au premier coup d’oeil. Il était suffisant et ne faisait jamais oublier qui il était. Il était un prince et tout le monde se devait de le savoir. Autant dire qu’il fallait avoir les épaules assez larges pour pouvoir le supporter. A la tête de l’équipe de Quidditch, il ne passait pas non lus inaperçu. Nicolas était quelqu’un dont on entendait parler et qui savait faire parler de lui. Quand il était plus jeune, on aurait pu lui donner le bon dieu sans confession, avec son visage angélique. Mais avec les années, ses traits s’étaient durcis, il avait grandit et avait prit des muscles. Bien sûr, à l’âge de quinze ans, il ne faisait pas trois mètres et n’avait pas des biceps de trente centimètres de diamètre. Non, il était musclé, oui, mais bon non plus monsieur biscotto.

Dans la même année que lui, il y avait Jules Cameron. La demoiselle était arrivée tout droit du Mexique en compagnie de son frère aîné. Elle détestait la Grande-Bretagne et n’avait des bonnes notes que pour satisfaire ses parents, qui l’avaient carrément menacée de l’envoyer à Beauxbâtons si ses notes n’étaient pas assez bonnes. Elle avait un caractère bien trempé et il fallait réussir à la supporter. Elle n’hésitait pas à faire savoir ce qu’elle pensait, qu’on le veuille ou non. Elle n’était pas du genre à mentir pour le bien des autres. Après tout, à quoi cela servait ? A rien, bien évidement. Si Jules était particulièrement énervante parfois, elle arrivait tout de même à se faire passer un ange.

Deux personnages assez similaires dans le fond, n’est-ce pas ? Et pourtant, si les personnes identiques avaient plutôt l’habitude de s’insupporter mutuellement, ces deux là s’entendaient bien. Bizarrement. Ils se connaissaient depuis leur première année et s’étaient presque tout de suite entendus. Ils avaient trouvé un terrain d’entente. Ils savaient quoi faire pour avoir tout ce qu’ils voulaient, savaient manipuler les gens et être ceux que l’ont reconnaissait sans même les voir, rien qu’à leur voix. Ils étaient amis mais avant tout, ils étaient alliés.

Comme tous les étés, Nicolas était reparti dans son pays, le Liechtenstein, une principauté relativement petite coincée entre l’Autriche et la Suisse. Jules elle, était retournée au Mexique. Ils ne s’écrivaient jamais l’été, ça ne servait à rien. A plusieurs milliers de kilomètres l’un de l’autre, ils ne pouvaient pas régner sur Poudlard. Cependant, cette année, Nicolas trouvait le temps long. Le palais, c’était sympa cinq minutes, mais au bout d’un moment, il n’y avait pas grand chose à faire. Les serviteurs étaient toujours les mêmes, aucun inconnu n’entrait, et généralement il voyait toujours les mêmes têtes. Des gens qu’il connaissait depuis qu’il était petit et voyait ceux de son âge grandit, sans se voir lui-même grandir. Enfin bref. Nicolas avait donc décidé d’écrire une lettre à Jules.

« Chère Jules,

Non, tu ne rêves pas, ceci est bien une lettre. J’espère que tu vas bien. Moi, je m’ennuie au château, et à part voir des gens que je connais depuis que je suis né, aucun visage nouveau…

Tu vas peut-être trouver ce qui va suivre bizarre, et à vrai dire, je le pense aussi, mais… Et bien tu me manques, petite tête ! Deux mois sans entendre tes ricanements, c’est vraiment bizarre en fait, ça fait vide… Attention Cameron, prends pas la grosse tête non plus, tu peux toujours rêver pour que je t’invite au palais… Mais je pensais que t’écrire pouvait être sympa, au final.

On se revoit dans deux semaines,

Nicolas, prince du Liechtenstein »


Comment ? Nicolas se la pétait en signant ainsi ? Peut-être oui, mais au moins, ça ferait rire -ou râler, au choix- Jules. C’était bien cela l’important non ?

Jules ne répondit pas à la lettre de Nicolas. Cela ne le surpris pas plus que cela. C’était Jules, elle avait dû se ficher ouvertement de lui et avait rangé la lettre sans même penser ne serait-ce qu’une seule seconde à lui répondre. Quand elle le reverrait sur le quai 9 3/4, elle lui dirait qu’elle le trouvait pathétique, il lui dirait qu’il s’en fichait, lui au moins, il était un prince, et ils entreraient dans le Poudlard Express et cet épisode serait oublié. Le jour J arriva. Nicolas débarqua sur le quai flanqué d’un garde royal et et il ne mit pas longtemps à trouver Jules. Elle le remarqua avant lui, et avançait déjà vers le blond, un sourire narquois aux lèvres.

« Bah alors, on fait dans le sentimental ? »
« La ferme Cameron… »

Nicolas esquissa un sourire. Jules allait ouvrir la bouche pour en rajouter, mais Nicolas la prit de cours. Le blond brisa les quelques centimètres qui les séparaient et déposa ses lèvres sur celles de Jules. Il l’avait embrassé, comme ça, sur un coup de tête. Pourquoi ? Il n’en savait trop rien. La mexicaine le repoussa et le regarda bizarrement.

« Quoi, tu veux jamais la fermer, là au moins, tu gardes le silence… »

La brune lui décocha un coup de poing dans l ‘épaule et se dirigea vers le train en lançant « T’as franchement un grain, le prince ! ». Nicolas, pas peu fier de son coup la suivit jusqu’au compartiment qu’elle avait choisi. Ils entrèrent dans la cabine et prirent place, chacun sur une banquette. Jules lui lança un regard en coin. Elle se méfiait, maintenant… Pourtant, il n’allait pas lui sauter dessus, qu’elle se rassure ! En tout cas, cette cinquième année promettait d’être bien plus drôle que les quatre qu’ils avaient déjà passé à l’école.





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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyVen 24 Jan - 0:05

 
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Nicolas & Jules
Our life is right here
Ri-ri-right here
Uh oh oh oh, whoa
Ri-ri-right here

Thi-thi-this young girl (girl)
She's so cute (cute)
Every time I see her wear a fresh pair of shoes
'Cause this young girl
She's such a killer
Can't wait 'til I have it,
I'ma spend half a milla

I can see us together on top
We livin' like we hit the jackpot
Cha-ching, like money in the bank
You should be with me

You're like my favorite song on the radio, radio, radio, radio
I could listen to you all day
You're like a music video, video, vi-vi-video
I could look at you all day
You make me do my two-step all day
You keep me lookin' proud for ya all day
So you should be my girlfriend all day
We're like a hit on the radio, radio

You got this young boy,
Racking his brain
Tryna make you mine, but I don't got a ring
You got this young boy
Going insane
Tell me that you're single and you're waiting for me

I can see us together on top
We livin' like we hit the jackpot
Cha-ching, like money in the bank
You should be with me

You're like my favorite song on the radio, radio, radio, radio
I could listen to you all day
You're like a music video, video, vi-vi-video
I could look at you all day
You make me do my two-step all day
You keep me lookin' proud for ya all day
So you should be my girlfriend all day
We're like a hit on the radio, radio

Singing to this song all day-ay-yay-yay, yay-yay-yay
Day-ay-yay-yay, singing to this song
All day-ay-yay-yay, yay-yay-yay
Day-ay-yay-yay, yeah...

Stopped me in my tracks
I have to know your name, know your nickname
(Nick nack patty got a fine little swag, you and me together is a match, match)
Tell me baby why you making me wait all day, all day
(Nick nack patty got a fine little swag, you and me together girl we got it in the bag, bag, bag)

You're like my favorite song on the radio, radio, radio, radio
I could listen to you all day
You're like a music video, video, vi-vi-video
I could look at you all day
You make do my two-step all day
You keep me lookin' proud for ya all day
So you should be my girlfriend all day
We're like a hit on the radio, radio

Singing to this song all day-ay-yay-yay (aye!), yay-yay-yay
Day-ay-yay-yay (aye!), singing to this song
All day-ay-yay-yay (aye!), yay-yay-yay
Day-ay-yay-yay, yeah...



03. All Day - Cody
Simpson

Nicolas, Jules, Aélys, Jade, Emeric, Adam
Nicolas et Jules sont sorciers et de la même année. Tous les deux sont à Serpentard.
759 mots
 



Nicolas et Jules s’entendaient très bien. Trop bien peut-être, pour que quelque chose d’autre puisse se passer entre eux. Non pas que Nicolas ressentait des sentiments spéciaux à l’égard de Jules, ou que Jules pouvait être éventuellement amoureuse du prince, non, loin de leurs esprits ces idées là, mais il y avait quelque chose qui, malgré tout, empêchait aux deux Serpentard de pouvoir penser aller plus loin, dans leur relation. Officiellement, aucun n’y pensait, mais officieusement, était-ce également le cas ? Et bien cela était bien compliqué à dire. Nicolas avait des amis autres que Jules, bien entendu, des amis garçons, comme Emeric ou Adam, qui ne se gênaient pas pour lui demander ce qu’il en était de son histoire avec Jules, mais Nicolas finissait toujours par éclater de rire et dire « Non, Jules ? Sérieux les mecs ? C’est limite comme mon frère quoi ! » puis il secouait la tête et changeait généralement de pièce. Jules, elle, avait des amies filles. Jade et Aélys, deux commères de première, lui posaient également des questions. La plupart concernaient Nicolas, son statut de prince et la relation qu’ils avaient. Jules finissait toujours par tirer la langue de dégoût et ajouter « Non, Nicolas est trop chiant de toute façon ! ». Chiant, peut-être, mais au final, c’était avec lui qu’elle était le plus souvent. Mais officiellement comme officieusement, aucun des deux jeunes Serpentard ne daignait avoir des sentiments pour l’autre… Comme quoi, des fois, quand on était trop identiques et trop fusionnels, ça ne pouvait pas forcément être évident. Du moins… évident pour les intéressés. Parce qu’autour d’eux, tout le monde semblait avoir compris qu’il y avait quelque chose qui se tramait derrière cette amitié.

Les jours et les semaines passaient, Nicolas et Jules étaient toujours autant fourrés ensemble. Que ça soit pour critiquer tous ceux qui leur passait sous le nez, ou juste pour argumenter en cherchant qui des deux était le plus fort, le plus intelligent, le plus malin ou d’autres choses dans ce genre, ils passaient tout leur temps ensemble. Bien sûr, dans les dortoirs, les questions s’intensifiaient. Peut-être voulaient-il garder leur histoire secrète, au final… Personne n’arrivait vraiment à le savoir et tous voulaient découvrir ce qu’il se passait réellement. On ne pouvait en tout cas pas nier que ces deux là étaient tout le temps fourrer ensemble, cela faisait donc déjà un point de relevé. Ils passaient presque plus de temps ensemble que Rusard avec Miss Teigne, c’est dire… Mais même s’ils étaient si souvent ensemble, ils ne semblaient pas si proches que cela. Enfin, si bien, sûr qu’ils étaient proches, ils riaient ensemble, mangeaient très souvent l’un à côté de l’autre, se mettaient aux mêmes tables en cours ou dans les mêmes groupes… Mais on ne les voyait jamais se tenir la main ou s’embrasser furtivement. Rien ne laissait donc penser qu’ils pouvaient être un couple.

Et en réalité, ils n’étaient pas un couple. Nicolas avait ri quand Jules lui avait dit que Jade et Aélys pensaient qu’ils sortaient ensemble, et Jules avait paru offensée. Pourquoi, Nicolas n’en savait rien, mais c’était plus fort que lui, il avait ri. Lui et Jules ? Okay, il y avait pensé, et même si il avait beaucoup de mal à se passer de la présence de la mexicaine -il avait pu le remarquer durant les grandes vacances, cet été-, il ne pensait pas que cela était de l’amour. Jules était comme son frère, sauf qu’elle était une fille… Mais comme Nicolas avait du mal à s’entendre avec sa soeur, mieux valait pour la brune qu’elle ne soit pas comme sa soeur…

« Nicolas, tu es vraiment stupide des fois… »
« Quoi ? Pourquoi ? Tu vas pas me dire que tu veux sortir avec moi quand même ? »
« Non. Je ne suis pas idiote. Mais si les autres le pensent, c’est qu’il doit y avoir quelque chose de bizarre dans notre comportement… »
« Pff, laisse-les parler… »


Comme pour la contrarier, Nicolas se rapprocha d’elle et l’embrassa. Encore une fois. Cela faisait deux fois qu’il l’embrassait. D’abord à la gare, juste pour la faire taire, et maintenant, juste pour l’embêter… Mais au final, il aimait bien l’embrasser. Ses lèvres étaient douces et chaudes, c’était agréable… Finalement, peut-être que tout le temps qu’il passait avec Jules, c’était pour une raison bien précise… Cette idée le fit grimacer.

« Veux-tu arrêter ça ?! C’est dégoutant ! »
« J’aime bien moi… »


Esquissant un sourire, Nicolas fila avant que Jules ne lui mette un coup de poing. Elle pouvait s’avérer violente parfois, et il préférait éviter d’être défiguré. Après tout, il était un prince !



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Ξ Sujet: Re: 30 Baisers princiers [09/30]   30 Baisers princiers [09/30] EmptyVen 24 Jan - 0:49

 
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Nicolas & Jules
Louis:
YEAH! ONE, TWO, THREE, FOUR! (Yeahh)

Harry:
She sneaks out in the middle of the night, yeah
Tight dress with the top cut low
Shes addicted to the feelin' of lettin' go ohh
(Let it go)

Louis:
She walks in and the room just lights up
But she dont want anyone to know
That Im the only one who gets to take her home ohh
(Take her home)

Liam:
But everytime I tell her that I want more
She closes the door

Chorus:
(Main Vocals: Zayn)
Shes not afraid of all the attention
Shes not afraid of runnin' wild
How come shes so afraid of fallin' in love
Shes not afraid of scary movies
She likes the way we kiss in the dark
But shes so afraid of f-f-fallin' in love, love

Niall:
Maybe shes just trying to test me
Wanna see how hard Im gonna work
Wanna see if I can really tell how much shes worth

Louis:
(what you worth)
Maybe all her friends have told her
Dont get closer he'll just break your heart

Niall:
But either way she's teasing me and its just so hard

Liam:
(So hard)
cuz every time I tell her how I feel
She says its not real

Chorus:
(Main Vocals: Zayn)
Shes not afraid of all the attention
Shes not afraid of runnin' wild
How come shes so afraid of falling in love
Shes not afraid of scary movies
She likes the way we kiss in the dark
But shes so afraid of f-f-fallin' in love, love

Harry:
What about all the things we say
Talkin' on the phone so late(so late)
I cant let her get away from me

All:
oh

Zayn:
When I say that I cant do it no more
Shes back at my door

All:
Shes not afraid of all the attention(Shes not afraid)
Shes not afraid of runnin' wild(runnin' wild)
How come shes so afraid of fallin' in love(fallin' in love)
Shes not afraid of scary movies(Shes not afraid)
She likes the way we kiss in the dark(Kiss in the dark)
But shes so afraid of f-f-fallin' in love(ohhh)

Zayn:
She's not afraid
She's not afraid






20. She's not afraid -
One Direction

Nicolas, Jules
Nicolas et Jules sont sorciers et de la même année. Tous les deux sont à Serpentard.
1 021 mots
 



Nicolas avait l’impression de pédaler dans la semoule depuis un mois. Il avait compris qu’il avait des sentiments plus forts qu’il ne l’avait imaginé pour Jules, mais ne voyait pas vraiment le faire comprendre à la brune. Ni même comment savoir si la brune en question avait ce genre de sentiments à son égard également. Alors, après mûre réflexion, il avait prit son courage à deux mains -pas évident pour un Serpentard, il faut en avoir conscience- et avait décidé de lui faire une proposition. Non, il n’allait pas la demander en mariage, ni même en fiançailles. Il n’était pas stupide à ce point et sa mère n’accepterait jamais de toute manière… Mais il pouvait lui demandé d’être sa cavalière pour le bal. La réponse avait été… Pour le moins étrange.

« Je ne sais pas… Je vais y réfléchir… »
« Tu te fiches de moi là ? »
« Bien sûr que non, Nicolas. Tu ne connais pas le mot « patience » ? Tu devrais l’apprendre, ça t’aiderait ! »

Le blond avait été plus que surpris. D’habitude, les filles a qui il avait demandé d’être ses cavalières les années passées, avaient dit oui sans se donner le temps de réfléchir. Et comme il était très proche de Jules, il avait pensé qu’elle ne réfléchirait même pas à l’éventualité de ne pas y aller avec lui… Nicolas était resté bouche bée et avait boudé la brune une bonne semaine avant de repasser à l’attaque. Il était hors de question qu’elle lui dise non. Surtout que Nicolas voyait bien qu’elle jouait à un jeu qui lui plaisait atrocement… Et bien, à Nicolas, lui, ça ne lui plaisait pas. Car depuis environs deux semaines, Jules jouait avec lui. Cela avait le don d’énerver le prince, mais de ravir la mexicaine. Décidément, il ne comprendrait jamais les filles. Une fois, Jules l’avait prit à par, alors qu’ils rentraient d’un double cours de métamorphose, en compagnie des autres élèves de leur année. Elle lui avait dit qu’elle était contente de l’avoir à ses côtés et s’était mordillé les lèvres. Puis elle s’était approché de lui, et alors qu’il pensait qu’elle allait l’embrasser, elle se contenta de lui éclater de rire dans l’oreille. Et le pire dans tout cela, c’était que Nicolas s’était laissé faire, sans broncher. Il avait même espéré qu’elle l’embrasse. Finalement, il l’avait retenue par le bras quand elle avait décidé de continuer son chemin et avait prit lui-même l’initiative de l’embrasser. Cette fois, elle ne l’avait pas repoussé. Elle avait même répondu à son baiser. Mais quand ils étaient ensemble, devant tous les autres, Jules ne le laissait même pas l’approcher. Si leurs bras venaient à se frôler, elle retirait le sien. En d’autres mots, elle rendait Nicolas complètement dingue et semblait en être ravi.

« Jules, sois ma cavalière au bal. »
« Je t’ai dit que je réfléchissais Nicolas… »
« Tu le fais exprès… Dans les cachots… »
« Tais toi. Je t’ai dis que je réfléchissais, laisse moi réfléchir ! »
« Si tu ne veux pas venir avec moi, dis le, simplement ! Mais ne me fais pas espérer comme un idiot. Je t’ai dis ce que je ressentais pour toi ! Tu pourrais avoir la décence de faire semblant d’être touchée ! »
« Tu parles, tu penses que tu m’aimes, Nicolas, c’est tout. Je ne suis pas la femme de ta vie… »
« Je n’ai jamais dit que tu l’étais… Mais je t’aime et ça, je le sais ! Et toi aussi tu m’aimes, mais t’es juste trop bornée pour l’avouer. Ou alors t’as peur de je sais pas quoi… »


Nicolas, blessé, fit demi-tour et planta la jeune Serpentard dans la salle commune des vipères. Heureusement pour lui, ils étaient seuls, il avait pu râler et s’exprimer à haute voix sans risquer qu’on ne lui jette un regard plein de curiosité. Il avait rejoint son dortoir en pestant et avait fini allongé sur son lit, la tête dans son oreiller. Il la détestait quand elle était comme ça. Elle se fichait bien d’être celle qu’on regardait, celle qui critiquait tout le monde, celle qui pouvait manipuler tout le monde, mais devenir la petite amie de Nicolas, visiblement c’était impossible. Pourtant, il n’était pas un si mauvais bougre que ça. Il était même un bon petit copain, de ce que disaient ses exs… Bon, d’accord, elles n’étaient pas des exa pour rien, mais bon, elles n’étaient pas Jules non plus, par Merlin !

Il redescendit deux heures plus tard. La salle commune était bondée, et pas de traces de Jules. Sûrement était-elle partie raconter à ses copines que Nicolas s’était énervé alors qu’elle ne lui donnait pas de réponse et qu’il avait clairement avouer être amoureux d’elle. Cela énerva le blond rien que d’y penser. Il prit la direction de la sortie, passa la porte et commença à arpenter les couloirs. Ces derniers temps, il était tellement sur les nerfs à cause de Jules et tout ce qu’elle provoquait en lui, qu’il était insupportable en tant que capitaine. Les entrainements n’étaient pas une partie de plaisir et il fallait l’avouer, ses joueurs avaient au moins le mérite de le supporter. Alors qu’il tournait, une main le retint et le tira en arrière.

« Qu’est-ce qu’il se passe b… »

Des lèvres se posèrent sur les siennes et il sut de suite qu’il s’agissait de Jules. Il l’attira contre lui et lui rendit son baiser. Il avait vraiment du mal à comprendre la mexicaine ces derniers temps, mais pour qu’elle lui vole ainsi un baiser, c’est qu’elle devait bien avoir quelques sentiments à son égard, non ?

« Alors c’est d’accord ? »
« Oui. Je serais ta cavalière… Mais… Je ne veux pas qu’on s’affiche, Nicolas… »
« Quoi ? Je comprends pas ? »
« On ne s’affiche pas. On peut être ensemble, mais c’est notre secret, d’accord ? »
« Pour… Ouais d’accord, ça me va… »


Il avait d’abord voulu demander pourquoi avant de se dire que c’était tout de même mieux que rien. Il sortait avec Jules, c’était leur petit secret, allez savoir pourquoi, mais au moins, il pourrait en profiter tranquillement. Il embrassa une dernière fois la brune et prit sa main dans la sienne. Il n’y avait personne dans les couloirs, ça ne la gênerait pas, n’est-ce pas ?

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