L'attente du match

Les couloirs du château étaient déserts, les rares élèves qui peuplaient les couloirs ne regardaient pas ou ils allaient et ksénia faisait de même. Toutes les personnes qu’elle croisait étaient des élèves qu’elle ne connaissait pas et temps mieux, elle ne voulait pas faire la connaissance de personne pour les quelle elle n’avait aucune estime ni aucun respect.

Le match de Quiditch qui opposerait Serpantard et Serdaigle aller bientôt commencer, Ksénia était sur de la victoire des joueurs de son équipes. Sa sœur Diabalzane et Drago Malefoy étaient dans l’équipe, elle connaissait sa sœur pour avoir jouer avec elle, une joueuse doué même très doué, Diabalzane et Drago elle l’ais avaient vue joué de loin mais d’assez prés pour savoir que Diabalzane était rapide et que Drago ne reculerait devant rien pour attraper le vif d’or.

La jeune fille brune marchait le plus tranquillement qu’une jeune fille sans but peut marcher, elle avait les bras le long du corps, elle était droite comme toujours et ses yeux verts se perdaient dans l’immensité des couloirs de Poudlard. Ksénia marchait sans trop savoir ou elle allait, elle en avait l’habitude maintenant, d’aller des cours au dortoir pour se reposer, des dortoirs au parc pour se balader, du parc a la bibliothèque pour écrire, de la salle commune et la grande salle pour manger et étudier, c’était la routine. Elle n’était pas particulièrement extravertie elle préférait la solitude, la seule chose en la qu’elle est confiance, le silence ne ment pas, le silence de trahis pas, le silence est le silence on ne trahis pas le silence et Ksénia faisait de celui ci un ami. La jeune fille plutôt sournoise et intelligente, préférait de loin agire dans l’ombre que devant tout le monde… Elle ne craignait pas de dire ce qu’elle pensait tout haut mais son caractère la faisait être plus prudente que faire dedans quelque chose qu’elle ne connaît pas et qui risquait de se retourner contre elle.

L’aire qui circuler dans les couloirs était plus fort, quelqu’un devait avoir oublier de fermer une porte voir une fenêtre, c’était bien peut probable et Ksénia aurait était bien étonner de voir un courant d’aire dans le château même si une entrée devait être rester ouverte trop longtemps ou encor un idiot d’élève qui devait s’être amusée à jeté un sort pour faire une blague ou alors c’était Pives, le petit fantôme farceur qui ne cessait d’ennuyer les Poufsoufle, ou les martyriser même… Quoi qu’il en soit Ksénia se contenta de resserrer sa veste et de continuer à marcher…

Il ne faisait pas très froid ce qu’il n’empêchait pas au élèves de mettre leurs vestes et de s’emmitoufler dans ses écharpes, Ksénia faisait partie des gens frileux, elle était habituer à avoir chaud, chez elle il faisait chaud et elle trouvait toujours une couverture à se mètre sur le dos, dans la salle commune il y avait le feu de la cheminé, il avait juste dans les couloirs de l’école qu’elle devait se contentait de son manteau noir qui descendait jusqu’au chevilles.

Kséani, une jeune serpantard, marchait dans les couloirs de Poudlard avec le regard perdu on ne sait ou…

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Luna se promenait dans les couloirs vides. A vrai dire, plutôt que se promener, elle avançait d’une démarche sautillante. Pourquoi une telle démarche ? La raison en était très simple. Luna Lovegood était de bonne humeur. Plus encore, elle était heureuse. La cause de cette joie aurait pu être le match de Quidditch qui s’annonçait, mais ce n’était pas le cas, même si la jeune Serdaigle éprouvait pour ce sport une vraie passion. Il en allait autrement des commentaires. Pourquoi les commentateurs étaient-ils tous aussi.. plats ? sans fantaisie ? ennuyeux ? Elle aurait pu trouver bien d’autres adjectifs pour les décrire et soupçonnait que ce devait être du à une invasion de Cesteraux dans les tribunes. Chacun sait que ces insectes invisibles prennent un malin, plaisir à dévorer les mots originaux sortant de la bouche des commentateurs pour les remplacer par d’autres d’une effrayante banalité.

Luna était donc d’excellente humeur, non pas grâce au match qui s’annonçait, mais grâce à une lettre de son père qu’elle avait reçue. Il lui annonçait que cet été, ils partiraient ensemble à la recherche des célèbres verobors, une sorte de papillons qui avait, paraît-il, le pouvoir de guérir de n’importe quelle maladie. Ils se nourrissaient exclusivement de cornouilles. D’après les informations de son père, plusieurs témoins en avaient repérés dans le sud de l’Angleterre. La jeune fille adorait ces expéditions avec son père, à la recherche d’animaux étranges. Chaque été était une fête grâce à lui.

Mine de rien, marcher en sautillant pouvait s’avérer fatigant, aussi la jeune fille fit-elle une pause et salua amicalement un tableau, engageant une conversation avec celui-ci, tout en jouant d’un geste négligeant avec son collier fait de capsules de bouteilles de verre. Selon elle, c’était là la preuve indéniable de l’intelligence incomparable des moldus : ceux-ci parvenaient à joindre merveilleusement l’agréable au nécessaire, le beau à l’utile. En effet, il était incontestable, les capsules de métal colorés de teintes vives et de mots amusants étaient un parfait exemple d’objet esthétique et utile. Après usage, on pouvait même en faire des bijoux. Selon elle, il était grand temps que le monde sorciers se mette au recyclage. Sans quoi, un jour ou l’autre, les légumes et les fruits se révolteraient. Elle avait à ce sujet toute une théorie…

Sa conversation avec le tableau se tirait en longueur, celui-ci étant fort peu porté sur la discussion. Cela se comprenait. Franchement, si vous étiez condamné à vivre sur un morceau de toile, vous aussi vous seriez de mauvaise humeur. Après s’être excusée auprès de la peinture, Luna repris donc son chemin, un léger sourire au lèvre et les yeux perdus dans le vague de ses rêves. Son imagination la portait déjà vers l’été prochains et les découvertes qu’il lui apporterait…

Elle fut tirée de sa rêverie par uen jeune fille qui se trouvait elle aussi dans le couloir. Elle était brune et… le blason sur sa robe indiquait son appartenance à la maison de Serpentard. Cela ne fit pas perdre le sourire à Luna. Elle avait en effet une théorie sur la folie profonde du Choixpeau… Celui-ci prenait plaisir à envoyer les élèves dans les mauvaises maison. Selon cette logique, la moitié des Serpentard, au moins, se trouvaient chez les vert et argent par erreur. Luna compatissait sincèrement au déchirement que cela devait être. Il en était de même pour toues les maisons, d’ailleurs. Peut-être aurait-elle elle-même du aller à Serpentard ? Qui sait…

Trève de pensées oiseuses, ce qui était était et elle était à Serdaigle. Peut-être.. Peut-être étaient-ce les élèves qui faisaient les maisons ? La question était vaste, et elle en avait discuté )à mainte reprises avec la vieille dame du pot aux roses qui se trouvait au pied de l’escalier du troisième étage. Ce qui importait vraiment, c’était que les maisons semblaient avoir une certaine importance pour la plupart des élèves, même si pour elle, elles en avaient moins.

Une bourrasque de vent s’introduisit dans le couloir. Sans doute une porte ou une fenêtre ouverte quelque part… Une mèche de ses longs cheveux blonds vint se plaquer sur sa bouche et elle la repoussa d’un geste quelque peu impatient, faisant tomber, par la même occasion, sa boucle-d’-oreille-radis.

« Mince…T’enfuis pas, voyons »

Se penchant, la jeune fille rammassa le légume et le suspendit à nouveau à son oreille d’un air rêveur

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