Solitude...[Privé Alister!]

Julien était allongé dans son lit dans le dortoir des Serdaigle, il entendait les respirations régulières de ses camarades de chambres, pendant que certains ronflaient bruyamment…alors que lui ne dormait pas, fixant le plafond, malgré que son regard soit vide, il était ailleurs dans la lune, il réfléchissait à beaucoup de choses, il se demandait pourquoi lui et pas un autre, pourquoi il avait cette vie et pas les autres, pourquoi il était un Sang-de-bourbe? Même si il trouvait cette insulte sans importance à son égard....
Il tourna la tête vers sa table de chevet ou été posé un réveil qui faisait un petit bruit régulié et il pus y lire 4h28.

Il se redressa arrêtant de fixer ce plafond qui été de la couleur de sa maison, certainement pour lui faire honneur, il poussa sa couverture vers ses pieds un peu trop brusquement et ce leva, il mit une main sur ses cheveux et l’autre sous son menton et fit pivoter sa tête, ce qui produit plusieurs craquement au niveau de son cou avant de faire la même chose dans le sens inverse, avant de ce diriger vers la salle de bain d’un pas lent traînant les pieds sur le sol qui était en bois lisse, ne faisant pas de bruit pour ne pas réveiller ses camarades, la tête baissée pendant que ses cheveux blanc lui tombait sur le visage qui exprimés beaucoups d’émotions ce qui était très rare pour Julien, il ne faisait ça que quand il était seul et encore, rarement.
*Rien de tel qu’une bonne douche froide pour me remettre les idée en place* Se dit Julien.

Il arriva dans la salle de bain, enleva son pyjama avant de ce dirigeait vers la douche…il ouvrit l’eau froide. L’eau froide au contact de son corps chaud le réveilla complètement et lui tira un petit crie ce qui lui fit rapidement oublier tout ses problème auquel il pensait souvent c’est temps ci.

L’eau coulait abondement sur son corps, pendant qu’il claquait légèrement des dents ayant la chair de poule sous l’eau froide, ses cheveux tout mélangés et qui lui collait sur le visage. Il arrêta l’eau de coulait se commença à ce sécher avant de mettre sa serviette autour de sa taille en ce dirigeant vers la glace qui était mise à disposition dans la salle de bain.
Il ce fixa regardant surtout ses cheveux….ce qui lui fit poussait un grand soupir .

*Y’a des jours j’aimerais me les couper cour pour ne plus à avoir à me les coiffer* Pensa Julien tout en ce fixant avant de prend son peigne et de ce coiffer ses cheveux blanc. Il sortit de la salle de bain à pas de loup étant beaucoup plus attentif et réveillez que tout à l’heure, il se dirigea vers sa commode toujours vêtue d’une simple serviette attachait autour de sa taille. Il tira doucement le tiroir mais s’arrêta brusquement car cela avait crée un bruit assez bruyant.

*C’est bien ma veine aujourd’hui* Se dit Julien un peu énerver contre cette commode, avant de tirer le tiroir d’un coup sec ce qui créa un grand bruit, mais pas aussi bruyant que les ronflements de ses camarades, ce qui lui fit levait les yeux au ciel, car ce bruit l’aurait à coup sur réveillez … il fouilla dans ses vêtements et opta pour un jean noir moulant accompagné d’une ceinture noire et de son habituel chemise noire aimant particulièrement cette couleur lui rappelant son passé et lui prouvant qu’il était vivant.

Il s’habilla rapidement toujours en silence malgré que ce ne soit pas nécessaires avec c’est ronflements….

*Comment vous voulez dormir avec ce bruit infernal* Se dit Julien faisant ses lacets avec énergie n’ayant pourtant pas dormit de la nuit. Une fois vêtu il ce dirigea vers la porte du dortoir pour enfin sortir de ce lieu où il commençait à étouffer. Il descendit les escalier doucement ne voulant réveiller personne des autre chambres, il n’y avait personne dans la salle commune, le feu était presque était il restait juste quelque braise au milieu des cendre qui dégageait une faible chaleur, pendant que dehors il devait faire froid faisant encore nuit.

Il sortit de la salle commune, il marchait dans les couloirs avec une lenteur montrant qu'il n'était pas pressé ou qu'il avait encore du temps devant lui. Son regard toujours sur le sol il se dirigeait vers le parc, il entendait les ronflements des tableaux qui dormaient toujours vus l’heure qu’il était, les professeur eux même devait dormir, seul un élève idiot et anormal ce promener dans les couloirs.

*Putain mais ils ronflent tous où quoi* Se dit Julien énerver de n’entendre que ça….avant d’arrivait enfin devant la grande porte, il ouvrit la grande porte et fut a l'extérieur où le vent et la froideur du matin lui fouetaire le visage, en sentant ce contact sur sa peau il ne pus retenir un soupir de bien être. Les yeux toujours fermés se dirigeant vers le lac qui était toujours obscurcit du fait qu'il ne faisait toujours pas jour. Il ouvra les yeux pour ne pas se cogner contre un arbres ou quelques chose d'autre. Arrivait devant le lac il se mit en évidence à avoir la vue bien dégagé, il pouvait voir l'horizon magnifiquement avec aucun obstacle sur plusieurs kilomètres.

Se tenant debout les bras croiser le regard fixait droit devant vers l'horizon il attendait. Ses pensées furent arrêtés, devant lui, les premiers rayons du soleil apparaissait, certains penses qu'un couché de soleil est magnifique mais ils n'ont jamais vue la beauté d'un levé de soleil, c'est comme si le soleil renaissait de ses propres cendres et que la vie revenait alors que quand il ce couchait c'été comme si il sombrait dans le néant.
En pleine observation Julien avait perdu la notion du temps, le soleil était déjà entier dans le ciel, on pouvait entendre les premiers gazouillis et sifflements des oiseaux qui sortaient de leur perchoirs.

Julien était toujours assis à regardait droit devant lui les genoux rabattus sur son torse les bras autour de ses genoux pour ce tenir, pendant que le vent s’engouffrait dans ses cheveux qui, en bougeant caché la vue à Julien de ce spectacle qu’il regardait tout les matins depuis sa venue à Poudlard. Il détourna le regard pour regardé un peu ce qui l’entourait, voyant au passage que le vent faisait comme des vagues sur l’herbe avec ses reflets, créant ce magnifique mouvement régulier.

Julien ne bougeait presque pas, recroquevillé sur lui même sur l'herbe fraîche de ce début de journée, éblouit par le soleil qui devenait de plus en plus aveuglant au fur et à mesure qu'il montait dans le ciel. Julien avait remarqué que presque tout les matin, à certains endroits du lac, toujours différent, quelque chose sortait du lac, mais trop loin de lui pour lui permettre de distingué ce que c'était, surtout que la chose, s'en allait dès que Julien posait ses yeux dessus, comme si elle le fuyait. C'était presque devenu un jeu pour lui de découvrit qu'elle était cette être vivant qui sortait de l'eau le matin...car aux autres moment de la journée il ne voyait rien sortir du lac.

Mais ce matin il était trop dans ses pensées pour chercher...il fut sortit de sa torpeur par un coup de vent violent lui faisant virevoletait ses cheveux blanc devant son visage, les morsures de cet air frais, le fit se ressaisir,
Julien ce redressa, il jeta un dernier regard droit devant lui avant de baisser la tête et de mettre ses mains dans ses poches tout en ce dirigeant vers un des nombreux sentier du parc de Poudlard, au contact de ses chaussure, il y avait le bruit des gravillons sous ses pieds, il marcha un bon moment à faire le tour du lac sur ce sentier qui ne semblait ne pas ce terminer.

Au bout d'un moment il arriva à un rosier qui fleurissait, Julien s'en rapprocha, il tendit l'une de ses mains en direction d'une des roses qui avait pratiquement éclose, il fit attention à ne pas ce piquer les doigt avec les épines, avant de faire une lègère pression pour la couper.

Il la porta à son nez pour s'ennivrer de sa senteur joviale, ennivrante, la tenant désormais par ses pétales roses, on pouvait distingué on beau rose vers le bords des pétales, mais plus on allait vers le centre plus le blanc prenait le dessus pour être totalement mettre de la pétales vers le coeur de la fleur, mais cachait par le polène.

Julien reprit sa promenade matinale en arrachant une à une, avec douceur les pétales avant de les laisser s'envolait dans le cour du vent,
Julien continuait de marcher lentement sur le chemin en gravillon qui faisait le tour du lac de Poudlard, préstigieuse école de sorcellerie.
Il continuait d'arracher les pétales de la rose rouge qu'il tenait entre ses doigt délicat, ses yeux bleu saphir vide d'émotion regardant la rose se guidant au bruit des gavillon pendant que ses cheveux blanc bougeaient dans tout les sens à cause du vent.

[HJ 1516 mots!]

5h00, Alister remué dans son lit c’était la deuxième nuits depuis sa deuxième année dans cette école qu’il n’arrivait pas à trouver le sommeil. Prenant son mal en patiente, il avait attendu mais rien n’y faisait, il prit alors ses couvertures, les rabattit au bout de son lit. Le jeune Poufsouffle, se leva tira sur ses couvertures pour que les draps s’aère un peu en son absence, il rentra dans la salle de bain s’aspergea juste le visage et se brossa les dents, car il se dit qu’avec ce qu’il allait faire ce n’était pas la peine de se doucher tout de suite et que surtout il allait perdre un temps fou à faire cela. Une fois que son visage et ses dents furent propres, il se dirigea vers son dortoir toujours en pyjama. Alister était fort pudique aussi prit il ses affaires dans son armoire et dans ses tiroirs en faisant le moins de bruit possible afin de se changer dans les vestiaires du terrain de Quidditch. Il prit un sac de sport que son père lui avait offert, pour mettre ses affaires, sous sa robe de sorcier personne ne verrait qu’il portait, son pyjama en satin bleu pâle cette fois. Iil portait des baskets blanches et descendit discrètement les escaliers de la tour des Poufsouffle. Une fois dans les vestiaires de Quidditch, Alister entrepris de se déshabiller, il était entièrement nu sous son pyjama comme d’habitude. Il enfila, un boxer noir puis un jogging noir avec une fine bande blanche d’une marque moldue très connue. Il mit un T-shirt noir avec la même panthère bondissante que sur son T-Skirt blanc, sauf que celle-ci était blanche et en relief, sous la veste de son jogging. Il remit ses baskets, mais avant il avait enfilé des chaussettes tout aussi blanches, Alister s’échauffa un peu avant de s’élancer dans le parc.

Il faisait toujours aussi frais mais le vent était un peu plus fort que d’habitude selon Alister, il prit le sentier qui faisait le tour du château, comme à son habitude, il longea la forêt interdite. Une fois, il avait aperçu une licorne, mais en cette période cela l’aurait grandement étonné d’en voir une et puis elle avait peur des hommes, donc Alister ne prit même pas le temps d’observer et continua à courir comme ci de rien était. Le vent soufflait de plus en plus l’empêchant presque de voir où il se dirigeait heureusement, il connaissait son tour par cœur et savait à quel moment le chemin dévier. Alors qu’Alister continuait sa course, il reçu un pétale en plein sur la joue, il le prit dans sa paume tout en continua à courir.

*Les rosiers perdent déjà leurs pétales*, se demanda-t-il en passant prés d’eux et en ne voyant rien d’anormal. *Etran…*, mais il n’eut pas le temps de se poser d’avantage de question qu’il percuta de plein fouet quelqu’un.

Le choc fut si fort qu’Alister se retrouva sur son derrière, éberlué ne n’avoir rien vu venir, il vit alors une chevelure blanche et se sentit tout de suite coupable, étant sur qu’il avait foncé dans une personne âgée.

Monsieur pardonnez moi je ne vous avez pas vu, dit-il en se relevant, puis-je vous aider à fin de me faire pardonner ?, lui demanda-t-il en se rapprochant de sa victime.

[551 mots^^]

Julien continuait de marcher à son rythme, laissant sa joie apparaître sur son visage, laissant un sourire envahir son visage, le rendant plus jovial, plus gaie et surtout plus accueillant. Il continuer d'arracher un à un les pétales de sa fleur avec une infinie douceur ainsi qu'une lenteur infini tel un escargot en train de manger une feuille. Ne regardant pas devant lui, fixant la couleur de sa fleur qui était envoûtante pour lui, il se repérait au bruit de ses pas, le bruit que ses pas faisait à chaque contact sur le gravier qui était assez épais. Il sentait le vent puissant souffler sur sa peau, faisant virevolter toujours autant sa chevelure de couleur blanche pendant que ses vêtements essayer de s’envolé de son corps, dans un bruit de vêtement claquant sur la peau.

Julien était dans son élément, un lieu qu’il aimait plus que tout, car il se sentait libre, loin de tout, loin de tout le monde, seul avec lui-même, avec pour seul compagnie lui et la nature qui l’entoure. Il continuait de marcher tranquillement quand soudain il sentit quelque chose le percuter brutalement par derrière, avec le bruit du vent il ne l’avait pas entendu venir et cela lui fit perdre l’équilibre, le faisant carrément tomber vers l’avant.

Il réussir à ne pas trop se faire mal en plaçant ses mains, mais la chute fut quand même douloureuse, de sentir tout ses gravillons sur son corps, il lâcha un petit grognement de douleur à la sensation de cette douleur qui ne durerait pas, mais qui était pourtant bien présente en ce moment même. Il tenant fortement dans sa main se qui resté de sa fleur, la tenant même un peu trop fort, les couleurs des pétales c’était enlever pour se poser sur la peau de Julien.

‘’Monsieur pardonnez moi je ne vous avez pas vu, puis-je vous aider à fin de me faire pardonner ?’’ Dit une personne, la personne qui l’avait renverser, volontairement ou pas, il n’en savait rien mais à l’entente de la phrase du jeune homme il sus directement que c’était involontairement. Il ne répondit rien à ce jeune homme, prenant appuis sur ses main avant de se redresser tout en tournant le dos au jeune homme. Il enleva la fine couche de blanc qui c’était posé sur ses vêtements à cause des gravillons avant de se tourner vers son agresseur qui n’en était même pas un.

Lui dévoilant par la même occasion qui il était, Julien avait beau avoir les cheveux blanc de naissance, il n’appréciait pas trop qu’on le prenne pour une personne âgée, mais bon il faisait avec depuis bien longtemps.

‘’Vous n’avez pas à vous excusez’’ Dit Julien d’une voix neutre, son visage avait malheureusement reprit un air neutre, de marbre, presque froid, il refit demi-tour après avoir détaillé le garçon qui était nettement plus grand que lui, et qui surtout était habillé à la façon moldu. Il ouvrit alors sa main et découvrit la pauvre fleur qui avait souffert et qui était désormais plus qu’un tas de miette plutôt qu’une fleur…il soupira avant de laisser tomber se qui en rester avant de reprendre sa route, les mains dans les poches, la tête fixant le sol.

|HJ 537 mots]

Alister était dans tous ses états, il venait de bousculer quelqu’un et il se sentait assez mal, d’avoir fait cela, il couru pour rattraper le jeune homme, car il s’agissait d’un jeune homme. Le postérieur et les jambes d’Alister en avaient pris un coup, mais il fit comme si il ne ressentait absolument rien et continua à courir pour arriver à la hauteur du jeune homme.

Attendez, dit-il en se mettant devant le jeune homme pour que celui-ci s’arrête, je ne voulais pas vous offenser, c’est juste que la couleur de vos cheveux soit peu habituelle, mais elle vous va très bien tout compte fait… Heu…, je voulais pas dire ça, dit-il en rougissant encore plus.

Alister se sentait mal à l’aise et désemparé face au jeune homme, qui avait un visage hors du commun, sous les aspects rudes que montrait le jeune homme, on pouvait y lire une certaine douceur. Sans doute que le jeune homme aimait cacher ce qu’il ressentait au point de se cacher derrière des mèches de cheveux.
Je ne me suis pas présenté, je me nomme Alister Summerby, je sais que cela ne doit pas vous dire grand-chose, mais je vous en prie, dites-moi si vous êtes sur d’aller bien… Je sais que mes états d’âme vous importe certainement peu, mais je me sens redevable vis-à-vis de vous alors si je peu faire quoi que se soit pour vous ?

Alister n’aurait sûrement pas dit cela si, il avait vu au par avant le jeune homme jeter la rose qu’il avait cueillie. Alister était un fervent défenseur de la nature et ne supportait pas qu’on puisse jouer ainsi avec elle. Pourtant cette fois, il n’avait rien vu, il avait presque piétiné la fleur, il voulait connaître le jeune homme et se défaire aussi de sa dette, qu’il c’était lui-même imposée. Alister agissait toujours ainsi, se sentant redevable de la moindre petite chose, lorsqu’il faisait du tord à quelqu’un.

*Je parle peut-être un peu trop, je l’ennuie et il ne pense sans doute qu’à une chose quitter le parc et je ne lui en laisse pas l’occasion*, pensa-t-il en baissant les yeux et en se retirant de la trajectoire du jeune homme.

Si vous me jurez que vous n’avez rien, je vous laisserais tranquille, lui dit-il en osant pas le regarder, j’irais me rechanger, le repas risque de ne pas tarder dans la Grande Salle et comme je préfère être à l’avance…, lui dit-il regrettant une fois de plus d’avoir prononcé ses mots.

Alister était vite mal à l’aise et n’aimait pas quand sa bouche prenait les devant au lieu de relater ses pensées. Alister se dit alors que c’était peine perdue que le jeune homme devait le prendre pour un imbécile, il s’excusa donc pour la deuxième fois et s’en alla vers le terrain de Quidditch où étaient ses affaires.

*De toutes façon à quoi bon essayer de se faire des amis… Surtout si on les a bousculé avant*, pensa-t-il en marchant doucement la tête toujours baissée

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