visite les lieux (libre pour 1 peronne)

Il était environ 17h que Tom arriva à Pré au lard. Il venait tout droit de l'école de Beaubâton. Beaubâton est une école de sorcellerie qui va disputer le tournoi des 3 sorciers. Il y aura aussi Dumstrang et Poudlard. Mme Maxime avait voulu arriver quelques jours avant pour pouvoir visiter les villes d'Angleterre proche de Poudlard. C'est pour cela que Tom se promenait sous un soleil de plomb. Le jeune Australien vit de nombreux magasins tels que celui de farces et attrape, Honeyduk et plein d'autre encore. Il s'arrêta dans un bar qui s'appelait « Aux trois balais ». Il regarda la carte des boissons, mais il n'en connaissait aucune.

*Bièreaubeurre ???* lut-il sur la carte

Après de longues minutes de réflexion il se décida enfin à commander. Il prit donc une « Bièreaubeurre ». Pendant ce temps-là, Tom alla s'asseoir à une table vide et attendit sa boisson. Il sortit un livre de son sac sur le tournoi des 3 sorciers. Il voulait tout connaître avant d'être sur de s'engager. La première ligne le perturba un peu.

Citation : Aucun candidat ne peut se retirer après que la coupe de feux a fait son choix

Après avoir été nettement refroidit sa consommation arriva. Il paya la dame et goutta sa boisson. Il fut surprit de voir à quel point cette bièreaubeurre était bonne. Il ne put s'arrêter et termina sa consommation d'un seul trait. Après cela Tom quitta le bar et partit sur sa droite. Après 10 minutes de marche il vit une maison qui était à l'écart de la ville. Cette maison était délabrée. Il s'accouda à la barrière et lut à mi-voie.

« Cabane hurlante, la maison la plus hantée de Grande Bretagne »

Un sourire apparu sur le beau visage du jeune homme et continua de contempler la maison. Il s'attendait à trouver un fantôme, ou un monstre, mais rien de cela ne se montra. Il se retourna et vit un banc qui était en face à la maison. Le jeune homme préférait regarder la maison assit plutôt que de rester accoudé. Il alla donc prendre place sur le banc. Il était peut-être temps de refaire surgir ses talents de dessinateur. Il sortit une feuille ainsi qu'une chemise et commença à dessiner la maison

Comme tout élève de Beauxbâtons agé de 17 ans et susceptible de porter sa candidature au tournoi des trois sorciers, Florentine avait quitté la France avec le reste de la délégation, à la fois enchantée de découvrir l'Angleterre et un peu anxieuse à l'idée qu'elle ne pourrait pas suivre ses cours de la même manière qu'au cours des années passées. Tout ce qu'elle espérait, c'était qu'un tel changement ne lui porterait pas préjudice pour l'optention de son diplôme de fin d'étude.

Elle ne pouvait cependant que se féliciter d'avoir la chance de partir : après tout, ce n'était pas tout les jours qu'on assistait à la renaissance du tournoi des trois sorciers ! Sa soeur, Eugénie, élève en cinquième année, l'avait jalousée pendant des semaines et Florentine avait dû lui jurer sur l'honneur de lui écrire chaque semaine pour lui raconter les événements.
Une tâche à laquelle la brunette s'était employée avec sérieux, même si, pour le moment, les événements en question résidaient plus dans la familiarisation avec la langue et les moeurs des anglais.

Justement, elle venait tout juste de terminer une de ses lettres dans laquelle elle recommandait vivement à Eugénie de ne pas trop regretter sa situation d'adolescente de quinze ans ""Rien de bien folichon pour le moment, chère Eugénie, je passe beaucoup de temps plongée dans ma grammaire anglaise. Pour le reste, nous suivons cahin-caha les cours du programme... Non, vraiment, le confort de Beauxbâtons faut largement celui du carosse !"". En réalité, Florentine n'aurait échangé sa place pour rien au monde, mais elle se gardait bien d'attrister davantage encore sa jeune soeur en se montrant débordante d'enthousiasme.

Après avoir déniché la poste et envoyé un hibou, la jeune fille, toute fière se s'être fait comprendre du premier coup par l'employé de la poste ("Aïe would laïke tou sande zis laitter, Pliiize"), elle avait décidé de s'offrir un petit tour dans le village : les élèves disposaient d'encore un peu de temps libre avant que la directrice ne sonne le rappel et Florentine ne se sentait pas d'humeur à rentrer immédiatement au bercail.

Enchantée de pouvoir se dégourdir les jambes, elle avait crapahuté à droite et à gauche durant plusieurs minutes avant de se retrouver tout près de la cabane hurlante.
Intriguée, elle s'en était rapprochée : qu'est-ce qu'une vieille bâtisse abandonnée pouvait bien avoir à cacher ? Voilà un mystère bien excitant ! Probablement rien de plus impressionnant que deux ou trois fantômes mal lunés, mais en terre étrangère, tout est prétexte à aventure.

Alors qu'elle s'apprêtait à chercher une quelconque entrée à la clôture qui entourait le terrain de la demeure (bien mal en point), elle aperçut Tom, qui paraissait très affairé.
Florentine hésita un instant : elle connaissait un peu Tom, "Bonjour, au revoir", essentiellement. Il s'était toujours montré très correct et gentil. Elle savait, en outre, que c'était un garçon travailleur qui paraissait parfois ambitieux. Autant de qualités qui faisaient que Florentine appréciait d'emblée sans vraiment lui avoir parlé. Pourtant, en six années de cours communs...

Finalement, jugeant qu'il était très impoli de snober le jeune homme, Flo toussota pour signaler sa présence avant de lâcher un très conventionnel :

- Salut.

Voilà, comme ça, au moins, elle ne le poussait pas à la conversation : s'il n'avait pas envie de bavasser, il n'aurait pas à le faire et, chacun s'étant acquitté de son devoir d'individu civilisé pourrait retourner à ses occupations.

Tom laissa un silence après le « salut » prononcé par la jeune fille qui était à Beauxbâton avec lui. Il était occupé à fignoler le dessin qu’il était en train de réaliser. Puis au bout d’un long moment il releva la tête pour voir qui lui avait adressé la parole. Il vit avec étonnement que c’était Florentine, une petite bourgeoise de Corrèze. Il ne la connaissait pas tant que ça, quand il la croisait dans les couloirs et il lui souriait et lui adresser un simple bonjours. Mais Tom aurait bien aimé la connaître plus que sa. Peut-être que ce tournoi des 3 sorciers allait les rapprocher, peut-être que Tom serait le champion de Beauxbâton… Tom rangea son dessin dans son sac et se leva pour rejoindre Florentine. Quant il fut arrivé à quelques mètres il lui sourit et lui dit.

"Salut Florentine" lui dit-il avec un grand sourire.

Il arriva donc à côté d’elle et il s’accouda aux barrières comme il l’avait fait quelques heures auparavant. Vu qu’il ne connaissait pas bien Florentine, il espérait profiter de ce moment pour faire plus ample connaissance. Pourtant en 6 ou 7 ans, ils avaient très rarement eu le temps de se parler. Florentine rester entouré de ses copines et Tom de ses copains. En cour ils ne sont jamais à côté, mais ils avaient eu l’occasion de travailler ensemble lors d’un cours de botanique où le professeur n’avait pas voulu que les élèves fassent eux même les équipes. Malgré qu’ils aient été associés pendant 1h, ils ne s’étaient pas échanger un seul mot.

Le soleil était à son apogée et Tom se retourna et vit une table de pique-nique à l’ombre alors avant qu’elle ne lance un sujet, Tom lui proposa d’aller s’asseoir à cette table. Elle accepta (désolé de ne pas te demander ton avis…^^) et ils se rendirent à cette table. Quant ils furent assis face à face Tom engagea un sujet de conversation sur le tournoi des 3 sorciers.

"Alors tu pense soumettre ta candidature pour le tournoi des 3 sorciers ??"

Tom regarda Florentine et attendit qu’elle réponde avec impatience. Il voulait savoir qui allait se présenter pour voir s’il avait une chance d’être sélectionné.

Quoiqu'un peu déstabilisée par l'apparent manque de réaction de son camarade, Florentine n'en avait pas moins attendu sagement une réponse, plantée contre sa barrière. Après tout, peut-être était-ce elle qui n'avait pas parlé assez fort ?
Pile au moment où elle s'apprêtait à renouveller son salut, Tom redressa la tête et, en gentil garçon bien élevé, lui répondit. De toute évidence, il n'était pas en colère contre Florentine du fait de son interruption et semblait même assez content de la voir. La jeune fille lui adressa donc un sourire furtif à son tour avant de redevenir aussi sérieuse qu'elle savait l'air. Florentine n'était pas d'un nature très expansive, facialement parlant (jolie formule !).

La jeune fille resta un moment silencieuse, appuyée contre la clôture, les yeux fixés sur la cabane hurlante, jusqu'à ce que Tom lui propose de s'asseoir.
Elle ne se le fit pas dire deux fois : depuis l'arrivée de la délégation en Angleterre, Madame Maxime les faisait bien baguenauder dans tout le pays, à tel point que la plupart des élèves avaient les jambes en compote à la fin d'une journée. Florentine elle-même, pourtant habituée à la randonnée de par ses vacances dans le Jura, devait bien avouer que piétiner dans les villes anglaises pouvait être très exténuant. Le pire avait été Londres : les gens se marchaient littéralement dessus !

Elle s'installa donc confortablement en face de Tom et, posant les coudes sur la table, croisa les doigts avant d'y caller son menton, scrutant son interlocuteur d'un oeil perçant qui n'avait rien de malveillant.
A sa question, elle hocha lentement la tête avant de répondre avec calme et douceur :

- Bien entendu, nous sommes là pour ça, non ? Quoique je t'avoue que pour moi, il s'agit plus d'une formalité qu'autre chose. Je suis venue surtout pour découvrir l'Angleterre. Je ne pense pas avoir l'étoffe d'une championne.

Elle laissa passer quelques secondes de silence avant de reprendre sur le même ton :

- En fait, je suis assez curieuse de savoir qui représentera l'école. Penses-tu qu'Helena pourrait-être selectionnée ? rajouta-t-elle, l'air détaché.

Florentine avait quelques griefs contre Helena et aurait amérement regretté qu'elle soit choisie pour défendre les couleurs de l'école. Ignorant néanmoins l'opinion de Tom sur leur camarade, elle avait posée une question neutre, qui paraissait toute innocente. Une candeur que vint appuyer le regard angélique qu'elle adressa à Tom en parlant. Qui pouvait bien soupçonner la tolérante Florentine Floriot de médisance ?

Tout en regardant la cabane hantée, Tom réfléchissait à la question de Florentine. Es ce qu’Helena pouvait représenter l’école de Beauxbâton. Helena était une fille gâtée, aisée, la vie lui avait souri depuis sa naissance, ce qui ne l’empêchait pas de lui parler bien sur. Mais il parlait autant à Florentine qu’a Helena, même s’il préférait la compagnie de Florentine. Tom était un garçon qui penser que traîner avec des filles signifiait les draguer obligatoirement. Ainsi Tom n’avait eut que des amis garçons. Non pour lui Helena ne serait pas sélectionné et il ne perdit pas de temps de faire part de son opinion à Florentine.

"Non je ne pense pas qu’Helena puisse être sélectionné par la coupe de feux. Non pas qu’elle manque de courage, loin de là, mais non je ne pense pas. Je ne saurais pas te dire pourquoi mais voilà. Pourquoi, toi tu pense que oui ??"

Il espérait qu’elle ne soit pas trop amie avec Helena parce qu’avec ce que Tom venait de dire, elles pourraient créer un club « ABAS SMITH ». En tout cas lui, il aimerait vraiment être sélectionné. Déjà ce serrait un honneur pour lui de représenter Beauxbâton mais il voulait aussi remercier sa mère en gagnant ce tournoi. Il lui tardait aussi de rencontrer la délégation de Dumstrang où, parait-il, le célèbre attrapeur Bulgare Victor Krum ferrait ses études et se présenterait au tournoi. Peut être que les 3 champions seraient : Harry Potter de Poudlard, Tom Smith de Beauxbâton et Victor Krum de Dumstrang. Mais Tom savait que Harry Potter n’avait pas l’âge pour participer à ce tournoi. Tom sortit de ses pensées et attendit que Florentine réponde.


HJ: désolé pas très inspiré sur ce coup là...

Pfiou ! Visiblement, Tom était de son avis : une découverte dont se félicita mentalement Florentine, elle n'aurait ainsi pas à vexer le jeune homme en lui laissant entendre qu'elle n'était pas d'accord avec lui (ce qui aurait probablement mis un terme à leur embryon de conversation).
Elle hocha la tête en signe d'assentiment avant de répondre :

- Honnêtement je n'en sais trop rien, mais je ne suis pas certaine qu'elle ait la carrure d'une championne... Je veux dire, d'une manière générale, elle est habituée à tout avoir tout de suite sans avoir besoin de s'accrocher. Tant mieux pour elle, mais je ne suis tout simplement pas sûre que ce soit ce que la coupe attende... D'ailleurs, comment diantre fait-elle pour sélectionner, cette coupe ? rajouta-t-elle.

La question l'intriguait réellement : après tout, il s'agissait d'un objet, magique, certes, mais d'un objet : comment pouvait-il déterminer quel élève était le mieux placé pour représenter une école alors qu'il n'avait, pour les différencier qu'un nom écrit sur un bout de papier ? Et si tout cela n'était dû qu'au hasard ? A moins que les champions aient été choisis au préalable par les directeurs et que cette histoire de coupe ne soit qu'une mise en scène.
Florentine, elle, pariait sur Maximilien, ou peut-être Fleur. Quant à elle, elle se savait trop portée sur des matières purement théoriques telle l'histoire de la magie pour être retenue. Elle ne se faisait aucune illusion sur la question. De toute façon, elle doutait d'avoir les épaules assez larges pour assumer une telle charge :

- En tout cas, l'élève choisit aura intérêt a savoir gérer la pression ! Tu imagines, la gloire de toute une école qui repousse sur tes épaules. Personnellement, je ne crois pas en être capable. Etre sous les feux de la rampe, tout ça... Non, merci, vraiment.

Il devenait de plus en plus évident que Flo n'était pas là pour participer au tournoi : la position de spectatrice lui semblait la plus enviable de toutes.

Aïe ! La question qui tue ! Florentine misait beaucoup sur Fleur et sur Maximilien, pour le poste de champion de l'école. Nettement moins sur Tom. Le problème, c'était que le lui dire directement manquait cruellement de tact et de délicatesse. D'autant plus que Tom, visiblement, avait très envie d'être champion. Dure position que celle de Florentine en cet instant précis !
Pour se donner le temps de répondre, elle commença par éluder la question en repartant sur le thème de la coupe elle-même :

- Tu as probablement raison, dit-elle pensivement, mais tout de même, c'est très bizarre : savoir qui est le mieux placé uniquement avec un nom écrit sur un morceau de parchemin... Tu ne me retireras pas de l'esprit qu'il y a une certaine part de hasard dans tout ça !

Elle secoua la tête d'un air perplexe : fille de moldue, Florentine restait très réticente sur certains artefacts magiques qui lui paraissaient aberrants comparés à la logique dans laquelle elle avait été élevée durant onze ans. C'était, d'une certaine manière, les réminiscences de sa vie "sans magie" qui s'exprimaient dans ces moments de doute. Eugénie avait le même problème.
Et assez bizarrement, c'était Adelphe et Léopoldine, les deux enfants non-sorciers de la famille qui avaient le moins de mal à absorber certaines réalités sorcières.

Finalement, elle reprit d'un ton prudent :

- Hé bien... Fleur est très forte. Mais Maximilien se défend également plutôt bien, surtout en sortilège, je crois. Mais d'une manière générale, nous pouvons tous prétendre au titre, non ?

Afin de faire passer sa réponse en entraînant l'esprit de Tom sur d'autres voies, elle s'empressa de rajouter :

- Et à ton avis, quel genre d'épreuve les champions risquent d'avoir ?

Tom écoutait Florentine avec attention. Lui n'aimait pas tellement le hasard et c'est vrai que c'est étrange d'être choisi par quelque chose où on ne voit pas le cerveau, mais Tom avait confiance en cette coupe de feu, il était sur qu'elle ne pourrait pas se tromper. Il ne fut pas tellement surprit qu'elle ne soit pas de son côté. Après tout il voulait vraiment être champion, mais ce qu'il souhaite par-dessus tout, c'est d'être professeur. Florentine voyait plus Maximilien ou Fleur comme champion. Après tout ce n'était que son avis et pas celui de la coupe de feu.. C'est vrai que Tom aimerait bien être champion, mais s'il devait choisir par mi ces camarades il dirait Maximilien sans hésiter. C'était son meilleur ami, mais il était très doué en sortilège. Heureusement que les champions ne sont pas désignés par vote parce que Tom n'aurait aucune chance.

"Nous pouvons tous en effet prétendre au titre" Dit-il d'une voie neutre.

Puis il se demanda quelle épreuves ils pourraient subir. Il en n'avait aucune idée. Il y a des milliers d'épreuves possible alors il ne savait pas dû tout quelle sortes d'épreuves les champions pourraient se mesurer.

"Alors, là aucune idée, mais il y a tellement d'épreuve... Ta une idée toi ??"

Demanda-t-il avec curiosité.

Ouf ! Visiblement, Tom n'était pas trop susceptible. Ou en tout cas, il se gardait bien de le montrer. Il feignait bien l'indifférence. Car Florentine ne pouvait pas envisager une seule seconde que le meilleur ami de Maximilien - c'était du point l'idée qu'elle se faisait des relations entre les deux garçons - puisse ne pas vouloir, lui aussi, être champion de l'école.
Mais si elle y réfléchissait bien, elle devait être la seule des élèves de Beauxbâtons qui n'avait pas envie d'être sacrée championne de l'école. Si Florentine était venue en Angleterre, c'était bien plus pour le côté dépaysant de l'aventure que pour descendre dans l'arène, acclamée par la foule. Ce genre de rêve la laissait froide et elle se contenterait très bien d'une petite place parmi les spectateurs, merci pour elle !

Du coup, toute persuadée qu'elle était de rester au milieu de la foule en délire, elle ne s'était pas trop inquiétée des épreuves qui attendaient les champions. Aussi demeura-t-elle pensive une minute avant de répondre en haussant les épaules avec désinvolture :

- Hé bien, pour que le tournoi ne soit ouvert qu'aux élèves majeurs, je suppose que les épreuves risquent d'être dangereuses... Et qu'elles vont monter en puissance. Lors du dernier tournoi, les candidats ont dû affronter une chimère... Peut-être que cette année aussi, il y aura une créature magique à combattre. En tout cas, ce qui est certain, c'est que les juges vont chercher à tester les capacités des candidats dans tous les domaines de la magie. Ils ont intérêt à être calés, conclut-elle.

Elle se tut et demeura à nouveau pensive un court instant avant de reprendre :

- En tout cas, quel que soit le champion de Poudlard, j'espère que tout le monde l'acceptera et le soutiendra ! Ce sera bien assez difficile pour lui d'avoir toute cette pression sur les épaules sans, en plus, devoir se préoccuper des inimités et des frustrations personnelles...