*Premier cours 07/07 [Pour troisième année et plus!]*

Parvati étouffa un baillement du bout des doigts, son sac à la main, pendant tristement sur ses dogits repliés. Commencer de bon matin une journée de cours par Soins aux Creatures Magiques c'était quand même... heu quel était le mot déjà? Ah oui.

C'était mortel.

La Gryffondor parcourait le petit chemin qui menait à la cabane de Hagrid d'un pas lent et fatigué. La veille au soir, Lavande et elle avaient eu un grande discussion [si ça ne dérange pas Lavande ] à propos... des garçons. Jusqu'à à peu près 2 deux heures du matin, elles avaient du subir les soupirs énervés et les remarques douteuses de Hermione, alors pensez bien que Parvati soit fatiguée!

Mais bon, les cours avec Hagrid, s'ils étaient dangereux et souvent... oui c'est ça, mortels, avaient au moins pour avantage de ne pas être ennuyeux. Et puis Hagrid - oh, c'est vrai qu'elle ne l'appelait plus professeur, il était tellement gentil - aimait bien les Gryffondor et n'avait pas de préférence envers les élèves. Enfin si... Peut-être à Potter, Granger et Weasley, mais bon, on ne pouvait pas tout avoir.

Rendue enfin devant la cabane de Hagrid, Parvati aperçut le demi-géant (en fait, elle l'avait vu bien avant mais c'est pour l'intérêt de ma phrase) et lui adressa un grand sourire encourageant. Elle savait bien que Hagrid avait tendance à être... nerveux, surtout en présence de Serpentard. Elle salua de la tête Dawn et Hannah, sans penser ni espérer qu'on lui rendrait son geste, puis, optimiste quant à la fin du cours, elle lança:

- " Bonjour, Hagrid!"

C'était certainement le seul moment de chaleur dont serait capable Parvati durant le cours... Il fallait en profiter.

Aelita ne c’était pas réveillée alors que son réveille lui sonnait depuis un bon quart d’heure, elle regarda son réveille et commença à paniquer. C’était un cours de Soins aux Créatures Magique et elle allait arriver en retard si elle ne se dépêchait pas. Elle prit sa douche se lava les cheveux, s’essuya se jeta un sort de séchage instantané à ses cheveux qui frisèrent sous le coup.

*Oh non, j’ai l’air d’un mouton maintenant*, se dit-elle en se regardant dans le miroir.

La jeune Serdaigle regarda ensuite l’heure et vit qu’il était bien plus tard qu’elle ne l’avait imaginé, elle ne se préoccupa plus de ses cheveux et couru dans les escaliers qui menaient du dortoir à la salle commune. Elle glissa sur les dernières marches et fini le reste sur les fesses.

*C’est vraiment pas mon jour aujourd’hui*, pensa-t-elle en se relevant doucement, *aïe ça fait mal*, se dit-elle en regardant dans la pièce si personne n’y était installé.

Heureusement il n’y avait pas un chat, elle continua alors son parcourt et atteins enfin le passage secret de la salle commune des Serdaigle. Elle fit attention que Rusard n’était pas là, n’y Miss Teigne et se mit à courir aussi vite qu’elle pu pour arriver à l’heure au cours du professeur Hagrid. Quand elle arriva enfin dans le parc de Poudlard, elle reprit son souffle en posant les paumes de ses mains sur ses genoux. Elle n’avait même pas prit le temps de passer à la Grande Salle pour manger, elle était vraiment trop pressée d’arriver à l’heure au cours.

*Allez un petit effort, il ne te reste plus…*, se dit-elle en regardant la cabane de Hagrid au loin. *…, grand-chose à faire comme trajet*, se dit-elle d’un ton de parfait découragement. *Allez courage Aelita tu peux le faire et tu vas le faire !*, se dit-elle pour se donner du courage.

La jeune fille se remit alors à courir aussi vite que ses jambes puissent la porter, quand elle dépassa la clôture, elle s’arrêta et souffla de nouveau, elle regarda alors qui était présent. Sa mâchoire faillit se décrocher en voyant qu’elle n’était pas la première certes mais pas la dernière non plus. Avec elle, ils n’étaient que quatre élèves et chacun était d’une maison différente, son regard se dirigea vers le professeur Hagrid auquel elle fit un sourire.

- Bonjour professeur, lui dit-elle tout en essayant de remettre sa respiration et son cœur en bon état de fonctionnement.

Aelita faisait partie des élèves qui appréciaient le semi géant pour ses cours, elle les trouvait très instructifs et aussi très amusant. Il était quelque fois un peu rude mais il restait souvent gentil envers les élèves même ceux qui ne le méritait pas vraiment. La jeune Serdaigle avait hâte que le cours commence pour savoir si elle n’avait pas perdu toutes ses connaissances aux cours de ses vacances. La jeune fille eut alors un petit sourire en coin en voyant que comme chaque année le professeur Hagrid avait un peu le trac, elle essaya de le rassurer à l’aide de son sourire, mais elle ne savait pas vraiment si ça allait suffire au professeur Hagrid.

***

528 mots
Ok

Une matinée on ne peut plus normale semblait s’être mise en route en ce mardi matin de fin d’automne. La froideur de l’hiver semblait avoir commencé à avancer et ne pas vouloir migrer vers d’autres horizons, débarquant ainsi au-dessus de l’Europe et de ce petit îlot que l’on nomme Angleterre. Bien au chaud sous ses couvertures, une paire de tiffes emmêlés châtains sortit alors sans pour autant décidé à passer plus que le bout du nez au dehors de la chaleur des draps. Tournant de droite à gauche, un léger grognement finit par se faire entendre par la suite alors que le drap se soulever au niveau des pieds de façon frénétique. Un instant de démence ? Non. Un mauvais réveil ? Plutôt. Une tentative de meurtre ? Absolument. En effet, ce que vous n’avez pas remarqué était la présence d’un petit chat installé sur la couette de la demoiselle mais qui, apparemment, n’avait aucune envie de roupiller. Au contraire de sa locataire. Ainsi, la boule de poil tentait de passer le temps comme bon lui semblait… à savoir et essayant d’attraper les formes de la couette. C’est ainsi que la jeune fille fut réveillée par de légers coups sur ses pieds qui finir par s’intensifiait, au fur et à mesure que le chaton prenne goût à son petit jeu matinal. De légers coups de pieds finirent alors par arriver mais rien ne semblait perturbait le félin. Bien au contraire, on pouvait croire qu’il y prenait goût. Sadique. Tordu. Il fallait dire aussi que s’il recevait un peu plus d’éducation, il obéirait un peu mieux. Le démon du dortoir des filles de troisièmes années de Serdaigle, vous connaissez ? Nous vous le présentons en exclusivité ce matin. Chaussette, jeune chat d’un an passé de robe grise et blanche, légèrement indomptable et invivable aussi mais qui sait vous attendrir avec son petit regard de chien de fayence. Pourquoi Mamy Grigri avait-elle pris CE chat-là pour l’offrir à sa petite fille ? Et surtout, pourquoi n’allait-il pas embêter les pieds de quelqu’un d’autre ? Andréanne avait beau faire n’importe quoi, le félin arrivait toujours à se glisser entre le parquet et le rideau afin de grimper sur son lit, prenant la moitié de la place durant la nuit et la réveillant aux aurores ou lorsque ce dernier finissait de dormir et étant décidé à embêter son monde. Ayez un chat tiens. Ayez une grand mère qui vous achète un chat pour votre anniversaire. Bien entendu, la Serdaigle ne pouvait que reconnaitre que Mimi Grigri avait voulu bien faire. Mais bon, le félin était un tantinet trop espiègle en matinée. Et encore, le petit matin n’était même pas là. Sa matinée bien au chaud avant les cours étant terminée avant même de commencer, Lauren rejeta son drap le plus loin possible d’elle. Mauvaise idée. Pour deux raisons. La première : Elle se les caillait maintenant avec son simple pantalon et débardeur. Deuxième raison : Les draps étaient tombés sur le chat qui commençait à s’affoler et sautant dans tous les sens, n’arrivant pas à s’en défaire. Bonne matinée. Une bonne matinée s’annonçait…

Finalement, la jeune fille avait réussi à calmer le chaton avant qu’il ne réveille tout le dortoir. Déambulant dans les couloirs de bonne heure, Andréanne souriait face à cette situation ironique. Ordinairement, c’était elle que l’on devait tirer du lit le matin. Pour une fois, ses camarades auraient affaires à un lit vide, fait, avec l’absence du petit monstre. Une pomme en main, la Serdaigle s’était arrêtée devant la bibliothèque en attendant l’heure d’ouverture. Celle-ci ne tarda pas d’ailleurs à arriver. Surprise de voir quelqu’un attendre l’heure d’ouverture, la bibliothécaire n’en démoda cependant pas un mot et laissa entrer Andréanne à sa suite. Comme à son habitude, la jeune fille se rendit du côté « Actualité/Archives ». Une habitude dont on n’en démord pas. Empruntant le livre dont elle avait besoin sur l’instant, elle ressortit en direction de la Grande Salle. Mais trop de monde s’y trouvait. Notamment depuis l’arrivée des nouveaux étudiants. Le choc des cultures étant passé (référence soir du banquet), Andréanne avait évité de se retrouver entourée par cette foule grandissante et piaillant. Bah, disons que le son avait monté d’un grand, ce qui semblait normal vu le nombre de personnes se réunissant autour des tables. Lorgnant discrétement sur sa montre, la jeune fille remarqua que son cours n’allait pas tarder à commencer. Quinze minutes pour se rendre dans le parc, cela devait être largement suffisant, non ?
Enfin, disons que cela avait été juste juste. Elle n’était pas en retard mais lorsqu’elle dépassa les taillis et aperçut la silhouette du semi-géant devant elle, la cloche s’était mise à tinter. Premier ralliement ou second marquant le début des cours ? Bah, elle était arrivée. Remarquant le peu d’éléves, elle s’approcha néanmoins normalement en se plaçant aux côtés d’Aelita.

|Dréa| « Bonjour professeur. »

Se tournant vers ses camarades, elle hocha la tête en signe de salutation envers ceux qui la regardaient puis termina par Aelita. La jeune fille avait les joues en feu et le souffle court. Avait-elle couru ?

|Dréa| « Tu as l’air exténuée ? Footing matinale ? »

Sourire amusée. Non, elle ne pensait pas que la jeune fille venait de faire une course par plaisir mais plus contre la montre. Une façon comme une autre de la saluer. Oui, Andréanne saluait toujours ses amis d’une drôle de façon. Or pour une fois, elle décida de ne pas sauter sur le dos de la personne comme en deuxième année. Elle en avait renversée Clara parterre en tombant à sa suite. Aujourd’hui, elle s’en souvenait en souriant et en s’amusant mais avant, elle faisait plutôt tête basse.

[ 951 words]
Ok

Hagrid était heureux de voir les élèves qui commencèrent à arriver un par un. Ce fut la Serpentard, Dawn, qui se présenta la première. Hagrid devenait toujours un peu nerveu en présence de Serpentard, ces derniers s'amusants beaucoup à l'insulter... par contre, Hagrid savait qu'il y avait toujours des exceptions, et Dawn ne semblait pas démontrer un signe de haine envers lui. Elle lui fit même le plaisir de lui dire ''bonjour''. Puis, petit à petit, le groupe commença à ressembler à une classe. Hagrid était reconnaissant envers les élèves qui lui souriaient, en sachant parfaitement que ces derniers tentaient de détendre l'atmosphère pour Hagrid, qui commençait à sentir son coeur débattre à présent.

«Bon bah... puisque tout le monde semble être là, on va commencer!..Alors euh... suivez-moi tous!»

Hagrid entraîna la bande d'élèves derrière sa cabane, tout près de la forêt interdite. Là, se trouvait un petit enclos, construit par Hagrid lui-même, avec à l'intérieur une tonne de petite créatures toutes semblables qui se promenaient de gauche à droite.

Une fois bien à la vu de tous, Hagrid se retourna, le visage rayonnant, en regardant les élèves.

«Ça s'appel des Scroutts à pétard. C'est un croisement de Manticore et de Crabe de feu... quand j'ai vu la portée que ça m'as donné, j'me suis dit qu'il serait intéressant de vous les montrez...»

Hagrid arrêta de parler, pour voir la réaction des élèves... il avait peur que ceux-ci désaprouvent où pire, qu'il y ait une émeute.

*Hagrid resaisis-toi!*

Pendant que les élèves se regardèrent entre eux, Hagris sortit une pile de parchemins:

«Ceci est pour les intéressés qui désirent augmenter les points de leurs maisons... ce sera noter comme TP. Je vous demande de prendre sous votre aile un bébé Scroutt à Pétard, et de me faire un rapport détaillé sur lui...»

Voyant les visages se retourner vers lui, il continua sa phrase:

«Donc, si vous êtes intéressés, je vous invite à prendre un parchemin à la fin du cours... remettez-le moi lorsque nous en aurons fini avec les Scroutts à Pétard...»

Puis, il déposa les parchemins sur l'enclos des Scroutts à pétard, et continua le cours:

«Donc! Première question de l'année, Qui peut me dire la différence entre le Scroutt à pétard mâle, et le Scroutt à pétard femelle? »

[ HJ: Selon Hagrid... et n'oubliez pas de lever la main! ]

Une fois la question posée, Hagrid regarda ses élèves, cette fois-ci, il parraissait plus sur de lui, et l'on pouvait voir des étincelles de fiertées dans ses yeux.

[ HJ: dès qu'une personne lèvera la main, je continuerai le cours... donc, à vos ordis! ]






*Concernant le TP... pour les intéressés*

Le fonctionnement: C'est très simple, envoyez-moi un MP d'ici le 10 août [donc, un peu plus d'une semaine].

Voici ce qu'il y a sur les parchemins d'Hagrid [les consignes du TP]

Hagrid regarda la classe, et vit les regards et les visages... comment dire... maussade?... Déçus?... Dégoûtés serait le mot juste... à moins qu'exaspérés... bref, il se sentit un peu mal à l'aise face à l'attitude de la classe. Certes, il voyait bien que certains d'entre eux essayait tout de même de garder un visage ''poli'', mais d'autres, ne se gênaient pas pour laisser parraître leur regarde de désespoir devant ses créatures. Lorsque miss Kostovak fit sa remarque, Hagrid sentit ses joues devenir écarlates.

*Décidément, tous les Serpentards ne semblent pas m'aimer du tout...*

Hagrid poussa un soupir de déception et de gêne, puis, une fois sa question posée, cette même miss Kostoval leva sa main en premier... Hagrid essaya de tourner les yeux vers d'autres élèves, de peur que Dawn ne lui reproche quelque chose d'autre. Voyant qu'aucun autre élèves n'avaient levé la main, il se retourna vers ses deux billes bleues étincellantes qu'étaient les yeux de Dawn, et ajouta:

«Bon eh bien, on vous écoute miss Kostovak»

Il espérait de toutes ses forces qu'il s'agissait d'une réponse et pas d'une autre reproche...

*Calme-toi mon vieux, après tout, c'est toi le prof! Ne te laisse pas marcher sur les pieds...*

[HJ: Dawn, à toi la parole ma chère! ]