Réveille douloureux...

Le manoir des Schwarzebene...vertitable pilier de l'une des plus puissante famille de sorcier ayant j'amais foulé le sol de la Germany...jadis une forteresse imprenable, elle avait été érigué par le Duc Siegwald Schwarzebene en personne, l'un des tout premier ministre de la magie...et également un proche amie de l'aîné des Peverell, homme qui fut à l'origine de biens des contes et des rumeurs...des rumeurs qui jamais ne furent fondées. Mais aujourd'hui, les Schwarzebene n'étaient plus qu'une souvenir...vestige d'une ancienne gloire passé.

Il y avait des cris, des larmes, et des appels à la pitié...

Mais rien de tout cela n'avait la moindre importance. Le dernier des vingt perdu...le dernier à s'être détourner de sa famille...le dernier des Schwarzebene était venu.

Hans Schwarzebene, responsable des archives du ministère rampait comme un animal pris au piège dans un magma de bras, de chaires, de jambes et de tête séparés par le sortilège de découpe d'Elseus. Gémissant lorsque l'ombre s'avança vers lui, il leva un bars en un geste de supplication...lorsqu'un jet de lumière verdâtre le frappa en pleine poitrine, faisant voler son corps à travers la pièce...celui-ci s'écrasa contre une sculpture de Salazar Serpentard, tel une vulgaire poupé de chiffons.

Shoeffer Schwarzebene, mangemort et complice d'Elseus leva les yeux, ses mains jointes sur ses genoux, ses joues ridées ruisselantes de larmes.

"Nous...nous étions allié, le seigneur des ténèbre nous a promis une m...m...magnifique récompense...je ne voulais trahir personne."

Elseus : "Je suis votre récompense..."

Rétorqua le beau jeune homme qui lui faisait face. Le ton prononcé d'une belle voix de mâle avait été parfaitement calme, mais ses envoutants yeux de braises scintillaient d'un éclat haineux.

Elseus : "Vous ne me trouvez pas magnifique...?"

"Pitié !"

Grinça l'autre entre deux sanglots.

"Je vous en pris !"

L'ange des ténèbres abaissa sa baguette d'un geste nonchalant...un peu comme s'il avait hate d'écraser un insecte de sa semelle..et l'une des armures représentative des guerrier Teutonique immobiles dans le hall s'anima pour transpercer Shoeffer de sa lame argenté...il y eut un gargouillie écoeurant et le corps inerte glissa de moitier sur le sol. L'armure quand à elle regagna son socle, indifférente au cadavre empallé sur sa lame.
On entendit plus, alors, qu'un bruit de pas précipité dans les couloirs...les autres Schwarzebene n'allaient pas tarder à arriver...

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Dans une pièce lugubre, un jeune homme endormis s'agitait pendant son someille. Il ne voulais pas...il ne voulais plus se rappeller !

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Quand il sorti de la bibliothèque du manoire, Elseus Schwarzebene ne laissait pas un être en vie derrière lui. Négligent sans prendre de précaution, il suivait le couloir, traçant une ligne calciné sur la paroi de fresque sombre avec la pointe de sa baguette, appréciant le crépitement de la pierre brulé et savourant l'odeur de la chaire morte...

La porte massive en bois d'ébène de la salle de conférences était fermé. Une si piètre barrière aurait été une insulte pour sa baguette. Sa main ganté de noir se crispa...et son poing de métal enfonça la porte qui s'abatie avec fraca sur le sol et un beau jeune homme à l'air glaciale, tout juste sorti de l'enfance, s'élança sur un océan de marbre couleur nuit. Calmement le mangemort à la chevelure s'échelonant entre l'or paille et la noirceur d'ébène s'avança vars la femme qui griffait en vain la porte de sortie du manoire vérouillé par le mangemort. Lorsqu'elle se tourna vers la silhouette sombre, se fut pour se recroqueviller d'avantage, levant les bras pour se protèger de ce fantôme tout droit surgit du passé...

"Je vous en prie, je vous donnerai tout ! Tout ce que vous voulez !"

Il y eut un nouvel éclair de lumière et les bras de la jeune femme tombèrent à terre, bientôt suivis de sa tête.

Elseus : "Merci..."

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La scène se transforma en brouillard et puis il y eut à nouveau des cris...des pleurs du sang...
L'homme s'éveilla en sursaut.

Elseus : "Aaaah"

Elseus se redressa d'un bond, dans son lit, hoquetant...

La pièce obscure dans laquelle il se trouvait semblait parfaitement calme...sa cape et ses vêtement de couleur nuit était rangé dans un coin et sa baguette n'avait pas bougé de la table de chevet sur laquelle il l'avait posé avant de s'endormir...les doigt métalique d'El s'était refermés sur elle de manière inconsciente. Jetant un regard confus autours de lui le jeune homme éclaira la pièce d'un lumos. Ses draps étaient sans-dessus desous et son corps dénudé était trempé de sueur.

Mi paniqué, mi inquiet, il fit glisser sa main de chaire de long de la rampe de son lit...et il se rappella enfin où il était.

Il n'était plus dans le manoir des Schwarzebene, mais dans son appartement provisoire (car il est sans cesse en fuite ) au 31 avenue King's Cross près de la gare. Il n'était plus en train de massacrer ces magouilles...ces politiciens...cette famille abjecte dont les membres ne pensaient qu'à se trahire entre eux. Cette famille qui était la sienne et dont il avait participé à la destruction. Et puis soudainement d'autre souvenir vinrent embrumer l'esprit du mangemort...Rashvin le portier du manoire portant un enfant au visage souriant sur ses épaules...un enfant répondant au doux nom d'Elseus...Shoeffer qui vocifèrait après les deux galopins qu'étaient El et Orphe alors qu'ils venaient de mettre le feu à sa nouvelle robe d'apparat...et enfin, Hrallein, son père qui lui comptait l'histoire fabuleuse des Schwarzebene.

*NON !*

Pensa soudainement Elseus, tous ces souvenirs étaient morts en même temps qu'Orpherus, et les Schwarzebene méritaient leur sort...il avaient mérité ce qu'il leur était arrivé...mais c'était aussi eux qui l'avaient élevé, qui l'avaient aimé et éduqué durant toute son enfance. Mensonge...ils avaient fait de lui un animale, non...un objet obéisant, rien de plus.

Elseus ne savait pas...il ne savait plus...tout était confus. Lentement, il se détourna, enfouit son visage dans ses mains et se mit à pleurer. Les larmes roulèrent sur ses joues de nacre et coururent le long de ses doigts avant de s'écraser sur le sol glaciale. Dans un silence si parfait qu'il en entendait presque les vibrations maléfique en provenance de son membre argenté, il écarta les drap et se leva.

Lorsqu'Elseus eut enfilé sa cape d'encre noir, il ouvrit la fenêtre d'un revers de sa baguette...et plongea dans la nuit noire. Grâce à un sortilège avancé dont il avait désormais l'habitude, El transforma sa chute en une agréable déscente...son corps tresahit lorsque l'extrémité de ses bottes éffleura le bitume...

Silencieux notre belle ange de mort s'enfonça dans les ténèbre de la ruelle, laissant sa cape virevolter derrière lui. Si les talents d'Elseus égalaient presque ceux d'un mage noir, son esprit quand à lui restait infiniment jeune et d'une certaine manière "naïf"...El avait énormément de mal à s'habituer à sa nouvelle vie et à supporter le poids des taches lourdes de conséquence que Voldemort avaient fait peser sur ses épaules. La tristesse, le passé...la crainte de n'avoir pas fais le bon choix. Toute ces peur le hantaient, et durant les mois qui avaient suivient l'extermination des Schwarzebene, El s'était senti perdu...

La vérité, c'est qu'il ne savait plus trop où il en était. Et notre bel Elseus avait énormément de mal à se faire à sa nouvelle vie. Et le seul remède qu'il trouvait aujourd'hui pour s'échapper un peu de cet étaux d'oppression qu'il s'était lui-même construit était sans doute ses longues escapade nocturne à travers les rues de Londre.

Car oui, Elseus avait besoin de liberté, et le monde des adultes était tellement...étouffant.

[Libreuuuuuuux ^^]