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 What time is it ? Summer time ! | Pv |

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Ξ Sujet: What time is it ? Summer time ! | Pv |   What time is it ? Summer time ! | Pv | EmptyVen 14 Nov - 18:01

| Aaahh, depuis le temps que je veux le poster ! Hihiii :alien: Enjoy, all ! |


L'été était enfin arrivé. Juliette en était pour le moins excessivement contente. Après avoir vécu une année aussi chargée et mouvementée, la brunette ne pouvait que se réjouir d'avoir enfin du temps pour elle.

Notre petite grecque était revenue depuis trois jours de Poudlard. Trois jours durant lesquels elle avait relaxé tranquillement chez elle, se disant que pour une fois, elle pourrait rester chez elle, sans voyager dans un autre pays, mais sachant précisémment qu'elle partait bientôt pour l'Asie ... Vous ne serez donc pas surpris si je vous dis qu'elle était en maillot de bain deux pièces, assise sur le bord de sa piscine creusée, à lire un livre tout en se faisant bronzer. Eh oui, comme n'importe quelle fille de son âge, pour Juliette, se faire bronzer était important. Avoir un beau teint, c'était toujours un plus non ? M'enfin, son livre à la main, notre petite brune prenait du bon temps. Au dehors, le soleil plombait littéralement sur la banlieue riche de Londres. Les arbres étaient à leur apogée, verdoyant de beauté. Le ciel était bleu, pratiquement sans aucun nuage.

« Juliette, tu pourrais entrer s'il te plaît ? Ton père voudrais te parler. » July venait tout juste de sortir dans la cour, vêtue elle aussi de son maillot de bain. Celle-ci esquissa un franc sourire adressé à notre belle brune et se glissa tout doucement dans l'eau chaude. Juliette, ayant bien sûr pris connaissance des paroles de July, entra donc (laissant son livre ainsi que son bronzage à l'extérieur) à l'intérieur. Dès qu'elle mis les pieds dans la salle à manger, la fillette trouva que l'air de dehors était franchement plus apaisant.
* Espérons que papa n'en aura pas pour longtemps. * Montant les escaliers en bikini, la jeune grecque entra dans le bureau de son père.

« Tu m'as demandé ? » demanda Juliette en prenant place sur l'un des divans disposés dans la pièce. Son père déposa son cellulaire (oui, celui avec lequel il avait fait un appel) pour contempler sa petite fille. Ils restèrent tous deux un long moment en silence, se dévisageant mutuellement. Au bout d'un court moment, le père de famille esquissa un sourire sublime à sa fille avant de prendre la parole. « Ma chérie, j'ai une excellente nouvelle à t'annoncer. » Tadaaam ! Juliette s'y attendait. Depuis près de dix mois, elle attendait. Jour et nuit, elle patientait. Mais aujourd'hui, elle allait enfin savoir. Robert lui avait simplement mentionné qu'elle partait avec Ernie, Billie et Olwen en voyage, sans émettre la destination principale. Il avait simplement rétorqué à sa fille qu'elle partait en Asie. Mais dans quel pays ?! Là était la question. The question.

Se redressant donc soudainement face à l'approche de la nouvelle, Juliette gratifia son père du plus brillant sourire qu'elle aurait pu faire. * Alleeez, qu'il le dise une fois pour toute ... * Songea t-elle en s'impatientant gaiement. « Tu dois savoir de quoi je veux te parler, n'est-ce pas ? » Non, sans blague ? « Alors bon ... Cette année, comme tu le sais, j'ai décidé de mettre le paquet. » Ah ouais ? Juu' pressa son père du regard, toute excitée comme une gamine de trois ans qui reçoit une barbie à Noël. Robert éclata de rire et poursuivit. « Ernie, Billie, Olwen, Anastazya, William, Amanda, Eustache, July, Karelle, toi et moi partons demain matin pour deux semaines pour l'Indonésie, sur l'Île de Bali. » Aussitôt dit, aussitôt fait. Juliette n'en cru pas ses oreilles. Elle se mis à sauter partout comme une jolie petite folle et hurla de joie. Depuis qu'elle était gamine, son rêve était de se rendre en Indonésie. C'était de loin le pays qu'elle appréciait le plus. Avec ses dizaines d'Îles et ses paysages fantastiques ... Notre petite méditerranéenne se sentait revivre. Elle était sur un nuage. S'approchant du bureau de son père, elle pris ce dernier dans ses bras. « Merci papa, t'es un ange. Je t'aime à la folie ! » Lui souffla t-elle dans le creux de l'oreille avant de déposer un baiser sur sa joue. Robert lui fit un beau sourire et la somma gentiment de filer faire ses valises, parce que de un, ils partaient demain, de deux, il avait du travail à faire, et parce que de trois, Ernie arrivait ce soir.

Ce fut donc plus heureuse que jamais que Juliette monta le seul escalier qui la séparait de sa chambre et y entra avec une euphorie grandissante. Elle pris place sur son lit et alluma sa stéréo avec sa télécommande. Une musique envahi aussitôt les lieux et notre petite Serdaigle se mit à chanter joyeusement. Elle sortit quelques instants sur son balcon afin d'observer le paysage qui l'entourait. Le ciel était toujours aussi bleu que tout à l'heure, lorsqu'elle se faisait bronzer. Dehors, les oiseaux chantaient et gazouillaient paisiblement. Fermant les yeux, Juliette remercia Dieu de lui permettre de passer un aussi bel été. * Ma foi, seigneur, je vous dis merci. Merci pour tout. Je vous resterai fidèle à jamais. Amen. * Ouvrant à nouveau les yeux, la brunette regagna rapidement sa chambre et ouvrit son immense garde-robe. Se dirigeant vers les pantalons, la gamine opta plutôt son commencement par les robes. Elle en mis sept dans sa valise. Trois pantalons, huit shorts, trois capris, dix chandails, cinq camisoles, une tonne de dessous et huit paires de chaussures, voilà ce qui remplissait amplement une valise. Un sourire satisfait accroché fièrement à ses lèvres, Juliette déposa donc son sac de voyage pas trop loin de son lit et descendit en bas.

Une fois arrivée dans le salon, la gamine entendit rapidement l'écho des voix de son père et de July. Elle arriva donc dans la cuisine, heureuse comme tout. « Vous parlez de quoi, tous les deux ? » Demanda la brunette en prenant place sur l'îlo où se trouvait le four et le poêle. « On discutait à savoir si on allait passer les deux semaines sur l'île, ou si on allait louer un Catamaran privé pour se promener un peu en mer, » Fit savoir July à sa fille. Juliette ouvrit la bouche, excessivement surprise. Contemplant leur fille tous les deux, Robert et July éclatèrent de rire. « Mais enfin ... Vous rigolez, hein ? » « Absolument pas. Après tout, tu devrais savoir que la famille adore faire du Catamaran, n'est-ce pas ? » Lança Robert en rigolant. Juliette sourit. Un sourire blanc. Blanc immaculé. Blanc, souriant, franc, heureux, euphorique. Elle n'en revenait pas. Tout simplement pas. Comment était-ce possible ? Comment est-ce qu'elle avait pu être si chanceuse ? Fermant les yeux, la brunette réfléchit.

Depuis qu'elle était toute petite, elle n'avait jamais eu beaucoup de chance. Elle avait une mère légèrement étrange. Une mère qui - pour une raison que la petite ignorait - refusait d'admettre ses racines sorcières, détestant donc par la même occasion tout ce qui appartenait au monde de la magie. Une mère qui - ça non plus elle ne le savait pas, donc chut - était de descendance Mangemort. Une mère qui n'avait jamais su comment aimer sa fille de correcte manière. Une mère qui ne l'était pas vraiment. Une drôle de chance avait tournée quand Juliette avait quitté Gatineau pour se rendre à Poudlard, sa mère l'ayant mise à la porte. Depuis ce temps, Juliette était heureuse. Heureuse et aimée. Aimée comme elle avait toujours voulu l'être. Attention, le fait que son père soit riche n'avait vraiment rien à voir avec cela. Le simple fait que Robert soit présent pour sa fille et lui dise très souvent qu'il l'aimait était largement suffisant. Quoi qu'il en fut, Juliette était épanouie.
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Dernière édition par Juliette Horuni le Ven 14 Nov - 18:09, édité 2 fois
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Ξ Sujet: Re: What time is it ? Summer time ! | Pv |   What time is it ? Summer time ! | Pv | EmptyVen 14 Nov - 18:07

« Ma puce ? Tout va bien ? » Relevant la tête et ouvrant les yeux, notre jolie brune esquissa un sourire. « Oui, tout va très bien. » Elle se leva et s'approcha de ses deux parents. « Merci d'être si géniaux. Vous êtes vraiment formidables. » Un bisou sur une joue, deux bisous, trois bisous ... #SBAAF# « Mais vous savez, le fait de louer un catamaran n'est pas obligatoire hein ? C'est facultatif, parce que bon, vous payez déjà le voyage de trois de mes amis, Karelle, vous et moi ! C'est amplement. Et dieu sait à quel point partir à Bali coûte cher ... » Ce qui était parfaitement vrai. Bali était l'Île la plus paradisiaque de l'Indonésie. Avec ses massages, ses paysages à couper le souffle, ses immenses montagnes aussi hautes de les nuages, ses oiseaux tropicaux multicolores, cette île était vraiment coûteuse d'accès. Ce fut pourquoi la méditerranéenne se sentait privilégiée de pouvoir y passer deux agréables semaines en compagnie de son amoureux, ainsi que de ses deux meilleurs amis (Billie et Olwen). Au départ, Olivia devait venir. Mais la Serdaigle n'avait jamais répondu à la lettre que Juliette lui avait envoyé au mois de mai, alors notre petite avait dû laisser tomber. Elle avait été d'humeur morne pendant un bout de temps, mais maintenant, tout allait bien.

« Tu es si raisonnable, ma petite perle ! » S'exclama Robert avec surprise. « Tu l'es un peu trop à mon goût ... » Sur ce, il agrippa sa fille par la taille et se mit à la chatouiller de haut en bas. Et dieu sait que quiconque connaît ne serait-ce que le moindrement Juliette apprend qu'elle est énormémment chatouilleuse. Se tortillant comme un spaghetti atteint de " Parkinson ", Juliette n'entendit pas les pas qui se rapprochaient de plus en plus de la cuisine. Elle se contenta plutôt de continuer de rire comme une petite folle et ne revint qu'à elle lorsque la voix d'une personne familière lui revint en tête. Arrêtant subitement de rire pour essayer de distinguer à qui appartenait cette fameuse voix, la Serdaigle releva la tête et le vit. Lui. Il était là, devait elle, droit dans le milieu de l'ambrasure de la cuisine, un sourire aux lèvres. Laissant son père, Juliette courru sauter dans les bras d'Ernie. Elle était si contente de le voir ! Les trois derniers jours lui avaient semblé une éternité sans sa présence. Déposant un baiser sur ses lèvres, la brunette s'exclama :
« Je suis si contente de te voir ! Tu m'as vraiment manqué ! » Avant de gratifier son petit copain d'un sourire blanc immaculé.

« Bonsoir Ernie, » Lança Robert en s'approchant pour serrer la main du Poufsouffle. July fit de même en lui faisant un joli sourire. « J'espère que tu as fais bonne route ! » Lança t-elle. « Tu peux laisser ta valise au valet, il va se charger de la monter dans votre chambre. » À ses mots, Juliette devint rouge tomate. Elle avait oublié de prévenir Ernie ... Cela faisait maintenant huit mois qu'ils étaient ensemble, alors les deux parents de Juliette avaient pensé à les laisser dormir dans le même lit, chose qui paraissait parfaitement normale pour les adultes, mais était encore nouvelle pour les adolescents. Espérant qu'Ernie comprendrait ce que voulait dire son père, la brunette décrocha un sourire timide en direction de son petit copain. * Erf, il doit être perdu, le pauvre ! Je lui dirai tout à l'heure, quand on sera seuls ... *

Le beau blond laissa donc ses effets au majordome qui disparu aussitôt, sans doute monté porter le tout. Juliette en profita donc pour prendre Ernie à part afin de lui parler un peu. « Je suis navrée de la confusion que mes parents t'ont créé ... Enfin, tu comprends, maintenant que nous sommes ensemble depuis huit mois, ils nous laissent dormir dans la même chambre ... J'espère que tu n'y vois pas d'inconvénient ? » Lança la brune, mal à l'aise. « Mais bon, en attendant que le souper soit prêt, ça te dis une petite trempette ? » Pas une trempette aux légumes, non ! Juliette entendait bien sûr par là d'aller se baigner, juste un peu. Elle s'était changée tout à l'heure, mais cela ne voulait pas dire que la possiblité de remettre son costume de bain était à exclure. Les deux tourtereaux montèrent donc les escaliers doucement et se changèrent avant de redescendre dans la piscine. Dehors, le soleil était un peu plus bas que tout à l'heure, mais il n'en restait pas moins que la chaleur était présente. Se glissant rapidement dans l'eau, les deux amoureux passèrent du bon temps dans la piscine et relaxèrent un peu dans l'herbe verte - au lieu de se bronzer : Changement ! - en rigolant et bavardant, jusqu'à ce que July les appelle pour rentrer.

Avant de se rendre dans la salle à dîner, Juliette entraîna Ernie dans deux salles de bain pour se changer. Ils se vêtirent normalement et arrivèrent mains dans la mains dans la salle à dîner. « Juliette ! » Couina joyeusement Karelle en riant. La Serdaigle déposa un baiser sur la joue de sa soeur qui avait maintenant trois ans. « À table ! » Lança July en prenant elle-même place. Robert arriva quelques secondes plus tard et fit signe aux deux jeunes sorciers de s'asseoir eux aussi. Ernie pris donc place à côté de Juliette et le repas fut servit. Filet mignon sur sauce aux framboises et mûres. Le dîner passa plutôt rapidement. Ernie se fit poser quelques questions - coutume, quand tu nous tiens ... - et vite, il fut venu le temps pour July de coucher Karelle. Juliette se tourna donc vers son amoureux et lui proposa de faire de même. « Après tout, demain est une immense journée ! Nous allons sans doute la passer pratiquement toute dans l'avion, mais la levée est prévue aux aurores ... »

Ils quittèrent donc les adultes sur une note heureuse et montèrent se mettre en pyjama. Lorsqu'elle ressortit de son dressing, Juliette portait un gros chandail et de petits shorts stretch. Elle s'approcha d'Ernie qui était - bien sûr - en boxer, et lui décrocha un sourire. « Ça fait si étrange de se voir hors de l'école, tu ne trouves pas ? » Elle lui pris la main et l'entraîna doucement sur le balcon. Dehors, mille et une étoiles étincelaient le ciel. « Mais tu restes toujours aussi séduisant en caleçon, ne t'inquiètes pas. » Décrochant un sourire et se rapprochant de lui, la brunette lui murmura : « Tu l'es peut-être même plus ... » Avant de l'embrasser romantiquement. Puis, ils rentrèrent dans la chambre et s'endormirent l'un contre l'autre aussi adorablement que s'ils étaient mariés depuis des dizaines d'années.


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Ξ Sujet: Re: What time is it ? Summer time ! | Pv |   What time is it ? Summer time ! | Pv | EmptyVen 14 Nov - 18:18

Ce fut les lèvres du plus beau blond de la planète qui réveillèrent Juliette. S'étirant doucement dans son lit, la gamine ouvrit lentement les yeux et sourit. Elle était si bien ... « Alors, bien dormi ? » Demanda t-elle à Ernie - qui était à peine réveillé aussi, étendu dans le lit. Juliette se leva et Ernie fit de même. Ils descendirent tous deux dans la cuisine. Aussitôt, on pu comprendre qu'ils étaient les derniers debouts.
« NOOOOOOOOON ! » Hurla Karelle. Hélas, vous ne rêvez pas. En effet, la petite soeur de Juliette était bel et bien dans sa phase du « non » intensif. Chaque chose émise par quiconque provoquait la même réaction à chaque fois chez la petite fille : Non. Ainsi donc, quelle ne fut pas la surprise de Juliette lorsqu'elle entendit Karelle crier
« OOOOUIIII ! » En la pointant du doigt. * Gné ? * Aussitôt, la Serdaigle éclata de rire. Sa petite soeur était trop mignonne. « N'essaie pas de comprendre, moi-même je n'y arrive pas ... » Lança July en sortant sa tête d'une des armoires de la cuisine. « Depuis ce matin, elle ne cesse de hurler " NON " à chaque trente seconde et voilà que tu débarques et qu'elle dit " OUI " ! Si ça prenait que ça ... » Tous les deux amusés par l'évènements, les deux amoureux prirent place sur l'îlo au milieu de la cuisine - parce que la coutume l'exigeait ! Les petits déjeuners de la famille Horuni étaient toujours pris sur l'îlo central de l'immense cuisine ... - et se servirent dans les crêpes, gauffres, fruis frais, oeufs, bacon, saucisses et fêves au lard qu'il y avait de disposés sur la table. Le tout fut succulent. Une fois un bon petit déjeuner d'avalé, notre jolie sorcière remonta dans sa chambre avec Ernie pour se vêtir correctement le jour de son départ pour Bali. Elle décida de mettre une jolie robe blanche à pois bleus. Elle mis des souliers style ballerine et sortit de son dressing en souriant.

« Juliette ! Ernie ! Descendez s'il vous plaît ! » Haha, la journée commençait enfin. Agrippant rapidement la main du blond, Juliette descendit l'escaliers, toute excitée à l'idée de savoir ce qu'il y avait. Elle retrouva Robert et July assis dans la cuisine, les attendant joyeusement. « Mais où est Karelle ? » Demanda Juliette en s'assoyant. « Elle sera gardée par quelqu'un de compétant durant notre absence. » Surprise. « Sans blague ? Ce sera long pour vous, tout de même ... Deux semaines ! » « Oui, nous l'admettons. Mais je serais tout sauf responsable si j'ammenais Karelle avec moi en voyage alors qu'elle n'a que trois ans. Elle ne se souviendra même pas de cet évènement, de toute façon. » Ce qui était vrai, en soit. « Mais bon, nous avons une toute autre nouvelle à vous annoncer. » Les yeux de Juliette devinrent aussi gros que des boules de quilles. « Mais quoi donc ? Pas encore une surprise, par pitié ! » Enfin, dans ce cas-ci, le « pitié » n'était pas utilisé au sens propre. C'était simplement le résultat d'une trop grosse attente. « En fait ... Si. » Annonça Robert en se levant. « Nous ne partons pas en avion, mais bien en Jet Privé. » Cette nouvelle eut fait de frustrer un peu Juliette, tout en la rendant heureuse. Elle ne savait pas comment réagir. D'une part, elle trouvait que son père en faisait trop, mais alors vraiment trop, mais d'une autre part, elle était heureuse à l'idée de pouvoir partir en Jet privé. Disons que pour résumer, les deux parts adultes et adolescentes se battaient ouvertement dans son esprit.

« Je ... » Commença t-elle, ne sachant trop quoi dire. « J'apprécie beaucoup, mais alors beaucoup. » Elle déposa un baiser sur la joue de son père et de July. « Toutefois, je ne veux plus que tu me fasses ce coup, dad's ! » Répondit-elle à son père. « C'est trop, mais alors beaucoup trop. Une partie de moi, si elle n'était pas contrôlée, te sonnerais de décommander le Jet pour prendre un avion, tout simplement. Mais je sais qu'il est trop tard et que les vols pour Bali la journée même en classe affaire coûteraient - si on met les sept vols ensemble - plus que le Jet lui-même. Mais ce n'est pas à refaire, compris ? » Demanda la brunette avec un regard qui semblait très sérieux. Robert esquissa un sourire. « Compris, mon capitaine ! » Il déposa un baiser sur le front de sa petite perle. « Mais bon, le temps nous est compté, alors si vous le voulez bien, nous devrions nous diriger vers l'entrée, car une surprise nous y attends. » Intriguée par - encore une fois ! - une nouvelle surprise, Juliette fit signe à Ernie et ils s'y rendirent ensemble. Une fois arrivé dans le Hall d'Entrée, quelle ne fut pas la surprise de notre jolie Serdaigle de voir tous leurs bagages prêts et entassés sur le bord de la porte. Avant même de n'avoir pu dire quoi que ce fut, la sonnette de la maison retentit et la bleue et bronze alla ouvrir. Olwen, Billie, Anastazya, William, Eustache et Amanda, se tenaient sur le seuil de la porte, leur valises à la main. Hurlant de joie, Juliette serra sa cousine dans ses bras ainsi que tout le reste de gens, avant de s'apercevoir qu'il manquait Rosaly, sa cousine. « Mais où est Ro' ? » Demanda la sorcière, intriguée. « Elle est partie dans un échange étudiant sorcier, à Paris. Histoire d'apprendre le français. » Répondit Amanda en entrant dans le Hall. « ... Et de mater des français, oui ! » Murmurèrent en même temps Anastazya et Juliette. Elle pouffèrent de rire et entrèrent dans le salon à leur tour.

Allant retrouver Ernie, Juliette lui sourit et le présenta au reste de la famille, soit à son bel oncle et sa belle tante. « Oh, mais quel charmant jeune homme ! Aussi adorable que William, Anastazya ! » La Gryffondor rougit jusqu'aux oreilles. Elle avait présenté récemment son beau Poufsouffle à ses parents, qui l'avaient tous deux beaucoup aimé. Apparemment, la rencontre de leur beau fieul semblait avoir eut le même impact sur eux. « Allez, on discutera de tout ça dans la limousine ! Maintenant, c'est le temps de partir. Joseph, allez porter les bagages dans la voiture, s'il vous plaît. » « Oui Monsieur. » Le valet s'exécuta, aidé par les autres majordomes. Bientôt, toutes les valises furent placées dans la valise de l'immense véhicule. En ordre, Billie, Anastazya, Juliette, William, Ernie, Olwen, Eustache, Amanda, July et Robert entrèrent dans le véhicule. Direction l'Aéroport, où le voyage allait vraiment commencer.

| 1 133 Mots Ü |


| Priorité Ernie, puis vous pouvez tous poster ! =) |



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Ξ Sujet: Re: What time is it ? Summer time ! | Pv |   What time is it ? Summer time ! | Pv | EmptyDim 14 Déc - 17:18

L'été. L'été, l'été, l'été. La deuxième plus belle saison du monde aux yeux d'Anastazya Horuni.
Depuis maintenant trois jours, l'école était terminée et les vacances étaient débutées (Non, sans blague ?). Et pour tout vous dire, Ana' se sentait revivre.

À sa sortie du Poudlard Express, qui l'avait - comme à chaque année - reconduit à Londres, notre jolie Gryffondor avait eu toute une surprise en voyant ses parents lui envoyer la main à la gare King's Cross. Dans les dernières lettres qu'ils s'étaient échangés, les parents d'Anastazya avaient tous deux dit à leur fille qu'ils arriveraient par avion une journée après son retour de Poudlard. La blondinette n'en revenait tout simplement pas. Ils avaient été là, à la saluer tout bonnement et à lui demander comment s'était déroulé le trajet. C'était donc avec une joie innatendue que toute sa jolie petite famille s'était rendue à l'Hôtel dans lequel ils logeraient pour les trois prochains jours, jusqu'au départ en Asie.

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Anastazya venait tout juste de revenir de son massage suédois et entrait dans sa chambre, lorsqu'elle entendit un toussotement. Elle était encore vêtue d'une simple serviette blanche, le massage s'étant déroulé dans la salle à côté de sa suite. Quelle ne fut pas sa surprise de voir William, un sourire franc sur le bout des lèvres, assis sur son lit, ses valises à la main. Elle fit le saut et trois millièmes de secondes plus tard, sauta dans les bras de son amoureux et l'embrassa langoureusement. Les trois derniers jours lui avaient parru comme une éternité sans lui ! Un sourire d'une blancheur immaculée, notre jolie blondinette serra son beau Poufsouffle dans ses bras. « Ooooh, je suis si contente de te voir ! » Et croyez-moi, c'était sincère. « Mais avant de profiter pleinement de notre journée, laisses-moi quelques minutes, juste le temps que je me vêtisse et que je m'arrange un peu, tu veux bien ? » Aussitôt dit, aussitôt fait. Miss Horuni disparu dans la salle de bain pour une dizaine de minutes, et ressortit aussitôt, vêtue d'une robe blanche à pois rouges, avec de jolis souliers blancs. « Alors, tu aimes ? » Elle tourna sur elle même en rigolant. Puis, elle s'approcha gaiement de William et lui déposa à nouveau un baiser sur les lèvres. Elle sursauta lorsque Amanda (sa mère) entra tout bonnement dans la pièce, apparemment aussi à l'aise que si c'était chez elle (Ce ne l'était pas, notez-le bien ! Ana' avait sa suite privée, ses parents la leur !).
« Maman, on cogne avait d'entrer ! » Laissa couiner la rouge et or, apparemment surprise et amusée de l'intrusion surprise de sa mère. Cette dernière fut prise d'une surprise immense en voyant William. « Mais ... Oooh ! » Puis, ce fut (Je crois) le déclic (Tour de contrôle à cerveau de maman d'Anastazya : Je répète, tour de contrôle à cerveau de maman d'Anastazya ...).

« Pardon ma chérie, » S'empressa de répondre Amanda. « Je ne m'attendais pas à voir William ici, pour tout te dire ! » « Moi si. » Eustache venait tout juste d'entrer dans la suite de sa fille, un sourire sur les lèvres. Il sortait de la douche, apparemment, car ses cheveux étaient mouillés. « J'ai envoyé une limousine le prendre. Je me suis dis qu'il pouvait bien passer un peu de temps avec sa dulcinée avant de partir, non ? » Les deux femmes de la pièce s'exclamèrent en même temps : « Oui ! » Avant d'éclater de rire. Puis, Anastazya se tourna vers ses parents. « J'avais dans l'idée de l'ammener magasiner, cet après-midi. Je peux ? » « Oh, mais bien sûr ma chérie ! Je vais appeler la limo dès que nous aurons terminé de manger. Allez, venez, mon ventre cri famine. » Ce fut donc avec un entrain très difficilement dissimulable que notre belle blonde pris la main de son Poufsouffle en souriant. « Allez, viens, on va manger. Après, je t'emmène faire un tour de ville et magasiner ! » Lui annonça t-elle joyeusement. Puis, tout le monde descendit dans la salle à dîner. L'Hôtel était chic, très chic, alors personne ne fut surpris (À part peut-être William, je ne peux vous le dire, je ne sais pas ...) de voir que la salle à dîner était sublime. Un piano sur un pied d'estale, des tables tout autour et une terrasse. « On mange à l'intérieur, je veux entendre les chansons de Rose. » Rose était la pianiste de l'endroit, tout en étant une superbe amie d'Anastazya. Les parents de cette dernière acceptèrent, et la famille pris place à la table la plus proche du piano. La nourriture était exquise. Tout était parfait.

Rose fit son entrée lorsque tout le monde mangeait le repas principal. Elle salua tout le monde, comme à son habitude, et passa ses mains sur les notes du piano. La jeune fille joua pendant un bout de temps, jusqu'à ce qu'elle se lève et prenne le micro. « Je voudrais inviter deux personnes spéciales à l'avant, afin de chanter. Deux personnes qui représentent pour moi l'amour à l'état pur, celui qui est magique. Ana', William, vous voulez bien monter ? » Gloup. Anastazya venait d'avaler de travers son bout de boeuf, et releva la tête, pour être bien sûr d'avoir compris. Elle n'était pas folle, non, Rose venait bel et bien de l'inviter à chanter devant tous les gens de l'Hôtel, en compagnie de William. Croyant qu'elle rêvait, la Gryffondor agrippa la main du Poufsouffle, décidée à vivre son « rêve » à fond. Ils montèrent tous deux sur la scène. « Mais à quoi tu joues, Rose ? » « Chantez. » Huum ... Sans connaître les paroles ? Ana' n'avait même pas eu le temps de se poser la question que le piano débuta la chanson. Ouf ! Elle connaissait la mélodie. William, aussi apparemment. « You are the music in me » était une chanson que notre jolie blonde adorait. Elle commença donc à chanter, et William embarqua lui aussi. Bientôt, ils chantèrent en coeur, pensant chacunes des paroles. La musique était si belle ... Les paroles aussi ! « ... It's like I knew you before we met, can't explain it, there's no name for it ... » Ana' agrippa la main du beau Poufsouffle et poursuivit la chanson, heureuse comme jamais. Elle se sentait si bien ... Qui aurait pu penser qu'une surprise comme celle-ci aurait pu créer un bonheur aussi immense ?
| Étant donné que le temps passe vite et qu'aucune réponse n'a été postée, j'ai envoyé un MP à Ernie et je me suis permise de poster =) Enjoy I love you ! |
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Ξ Sujet: Re: What time is it ? Summer time ! | Pv |   What time is it ? Summer time ! | Pv | EmptyDim 14 Déc - 17:25

La jolie blonde termina la chanson en passant ses bras dans le cou de William, ses yeux plongés dans les siens. Aussitôt, les gens déferlèrent leur applaudissements sur les deux adolescents, qui devinrent gênés. Ana' ferma les yeux et embrassa romantiquement son beau Poufsouffle. « Je t'aime. » Elle le pensait. Plus que jamais. Depuis qu'elle était toute petite, la jolie blonde avait toujours avoué ses sentiments par l'intermédiaire de sa voix, que ce soit en chantant ou en parlant. Mais s'il avait bien une voix qu'elle aimait, c'était la première. Elle adorait chanter, d'autant plus quand son petit ami était de la partie. Il avait drôlement bien chanté, d'ailleurs ! La Gryffondor venait de découvrir une nouvelle parcelle de lui, en fait. Ce qu'elle adorait. Les deux tourteraux regagnèrent leur place en souriant, deux airs heureux s'affichant sur leur beaux visages. « William, ce que tu chantes bien ! » S'exclama Amanda en avalant une nouvelle bouchée de son repas. « Elle a raison, » enchaîna Eustache en appuyant le commentaire de sa femme. « Je ne savais pas que tu chantais si bien ! » Lança Ana', tout aussi surprise que ses parents.

Le repas se termina quelques instants plus tard. Les parents de la sorcière les quittèrent, William et elle. Eustache s'était empressé d'appelé Jules, leur chauffeur de limousine, afin qu'il passe prendre les deux amoureux pour se rendre au Centre de Londres. Anastazya monta rapidement à sa chambre pour prendre sa sacoche et une veste (Au cas où il ferait un peu plus frisquet en soirée) avant de se rendre à l'entrée de l'Hôtel. La limousine arriva presqu'au même moment. La belle blonde entra dans la voiture, accompagnée par son merveilleux petit copain. « Au centre des plus belles boutiques de la ville, Jules. Je veux m'acheter un petit quelque chose, et payer un vêtement à William. » « Oui mademoiselle. » Aussitôt dit, aussitôt fait. La limousine se mettait en marche, direction le centre ville. Le long du trajet, les deux jeunes gens parlèrent de tout et de rien, et en moins de temps que prévu, Anastazya pu s'exclamer joyeusement : « Nous y voilà ! » Avant de prendre la main de William et de l'emmener dans le premier magasin venu.

Ils magasinèrent pendant tout l'après midi, s'arrêtant une fois au petit café du coin pour prendre un moka. Ce fut dans le dernier magasin qu'Ana' acheta les plus beau souliers du monde, ainsi qu'une robe rouge décolletée moulante sublime. Les souliers étaient noir et possédaient des talons hauts (Pas si haut que ça, en fait !). Un peu plus tôt dans l'après midi, La Gryffondor avait acheté un chandail de marque « Lacoste » à Will' : Quand ce dernier l'avait vu, il était resté bouche bée. La rouge et or en avait donc déduit qu'il lui plaisait, et elle l'avait acheté, peu importe le prix. Le tout était transféré sur sa carte de crédit, que son père réglait chaque mois. William s'était bien évidemment montré reconnaissant en remerciant sa petite amie, mais franchement, cela faisait plaisir à Anastazya ! Elle était heureuse de passer une journée complète seule avec son petit Poufsouffle, tout simplement.
Sortant tout deux du magasin, la Gryffondor s'arrêta dans la rue, s'étant rendu compte que son cellulaire sonnait. Elle décrocha, heureuse et curieuse à l'idée de savoir qui l'appelait.

« Allô ? »
« Coucou soeurette, tu vas bien ? »
Anastazya sourit en entendant la voix de sa soeur.
« Oui, super bien. Je suis avec William ! Il est venu me retrouver à l'Hôtel, il est adorable non ? »
« Oooh oui ! Mais pas plus que le mec que j'ai rencontré ... »
« Ro', je te signale que t'es à Paris seulement pour un mois, alors tâche de ne pas briser trop de coeur ! »
« Je sais, mais il est tellement sweet ! »
« Son nom, son âge ? Il ressemble à quoi ? »
« Thomas, seize ans. Grand brun, yeux bleu océan. »
« Humph ... Nous avons décidément les mêmes goûts. »
« Y'a pas à dire ! »
« Bon, écoute sweetheart, je voulais savoir ... Tu sais où on part demain ? »
« Oui, mais je ne dirai rien. Papa m'a fait promettre de ne rien vous dire, à Juliette et toi ... »
« Argghh ! Je voulais savoir ... Allez, ma soeur adorée chérie de mon coeur ... »
« Dans tes rêves ! Allez, je dois filer, Thomas me fais des beaux yeux et me souris ... J'sais pas si je vais réssister ... »
« Essaie, au moins ! Allez, je t'embrasse. À plus. »
« À plus. »

Ana' raccrocha en riant. Rosaly ne changerait jamais ... Même si elle était partie à Paris pour un mois afin de faire un échange étudiant, elle restait toujours la même. * Échante étudiant, tu parles ... Elle veut simplement rencontrer de nouveaux garçons super sexy ! * Songea la rouge et or en riant. Elle se tourna vers William. « C'était Rosaly, ma soeur. Elle est à Paris pour quatre semaines. Un échange étudiant ... De mecs, si tu veux mon avis ! » Souffla t-elle tout bas pour que le moins de gens possible puissent entendre. « Mais bon, je l'aime quand même ! » Lança notre jolie blondinette en souriant. « Elle a simplement pas encore trouvé chaussure à son pied. » Agrippant à nouveau le bras de son petit ami, les deux tourtereaux continuèrent à marcher. « Tu vois, quand elle l'aura trouvé, elle sera la plus comblé du monde. » La Gryffondor sourit, sincère. « Moi, comme tu peux le voir, j'ai trouvé le meilleur soulier du monde. Il est accordé parfaitement à mon pied ! Il est parfait, si tu veux mon avis. Il est beau, grand, adorable ... Eum, non, en fait, un soulier ne peut pas vraiment être adorable ... Mais mon petit ami si ! » Elle enlaça son beau Poufsouffle avant de l'embrasser tout doucement. Elle était vraiment amoureuse. Amoureuse comme elle ne l'avait jamais été.

Après leur long baiser, il ne fallu que quelques pas au joli couple pour apercevoir leur limousine. Ils y entrèrent, leurs sacs sous les bras. Jules les conduisit assez rapidement à l'Hôtel. Lorsqu'il ouvrit la porte, Anastazya le remercia en lui laisser un pourboire assez raisonnable, de sa part et de la part de sa famille. Il avait beau travailler pour la famille Horuni, Ana' ne trouvait pas que c'était une raison pour ne pas lui laisser du tip de temps en temps. Entrant dans le hall - une nouvelle fois -, notre jolie blondinette se rendit dans sa suite en compagnie de William et ouvrit la lumière. Ce fut à ce moment qu'Anastazya aperçu quelque chose sur son lit. Elle s'approcha et constata avec la plus grosse surprise possible qu'une robe s - u - b - l - i - m - e était étendue sur son édredon. Un petit mot était gribouillé et broché au plastique qui gardait la robe au propre.
« J'ai commandé cette robe juste pour toi, ma chérie. C'est une Chanel, elle vaut très cher, alors fais-y attention. Enfile les souliers qui sont au pied de ton lit, ils sont assortis aux motifs de la robe. Viens nous retrouver à la salle à dîner avec William. D'ailleurs, dis-lui de regarder dans le garde-robe. Je t'aime, maman. »

« Wil', regarde dans le garde-robe, maman me dit que ... Ooooh ! » S'exclama la blondinette en souriant. William tenait dans ses mains un tuxedo excessivement beau. Il était neuf apparemment, et valait une petite fortune, à voir qu'il était de signature Louis Vuitton. « Maman ne s'est apparemment pas gênée, dis donc ! » Lança Ana', surprise comme jamais. Voyant que son petit ami ne savait pas vraiment comment réagir, elle lui pris la main. « Ne te sens pas mal à l'aise. Ma mère est comme ça ... Quand elle apprécie des gens, elle leur fait des cadeaux. » Plongeant ses yeux dans ceux du beau Pousfouffle, elle poursuivit. « Au moins, tu peux être fier d'avoir passé le test de la famille haut la main ! » Répondit-elle en riant. Puis, elle déposa un baiser sur la joue de son petit ami et fonça aux toilettes, histoire de s'arranger. Elle en ressortit une vingtaine de minutes plus tard, souriante comme jamais. Elle portait la robe rouge à motifs signée Chanel, ainsi que les talons aiguilles noirs qui avaient le même motif que sur la robe. Elle était maquillée superbement, et ses cheveux blonds tombaient doucement sur ses épaules, frisotant doucement. Lorsqu'elle vit William dans son tuxedo, Anastazya s'approcha de lui et l'embrassa doucement. Il était si beau, comment résister ? « Allons-y. » Lui souffla t-elle à l'oreille par la suite.

Les deux amoureux descendirent dans le Hall et entrèrent dans la salle à dîner. Tout autour d'eux, les gens étaient habillés luxueusement, ce qui ne dépaysa pas trop la Gryffondor, mais pris légèrement au dépourvu William. Ana' s'empressa de le rassurer en lui tenant la main gentiment, espérant qu'il ne sentait pas trop mal à l'aise dans cet « autre monde », si on voulait (Il fallait avouer que la communauté dans laquelle vivait Anastazya était différente de celle des sorciers. Le luxe, l'or, l'argent ... De quoi tomber rapidement dans le vice, si on ne prenait pas garde ...). Ils prirent place tous les deux à table. Le souper se passa excessivement bien et rapidement, l'heure se fit tardive. Amanda et Eustache prirent congé et montèrent dans leur suite. Les deux étudiants restèrent un peu pour parler seuls à seuls, prendre un verre et montèrent eux aussi. Ils se changèrent rapidement et s'endormirent environ une heure plus tard ...

__________________________________________________________________________

Le soleil réveilla les deux amoureux qu'étaient Anastazya Horuni et William Harris. Ana' se leva en premier, sans brusquer son amour, pour filer dans la douchet et se préparer. Parce que oui, aujourd'hui, c'était le grand départ. Ana' eut simplement le temps d'enfiler une robe rose pâle et des petits souliers blancs tout mignons avant que sa mère vienne cogner à la porte de leur suite. Déjà habillée, la Gryffondor ouvrit. « Oui ? Oh, coucou, entres. » Amanda entra en souriant, elle aussi habillée. « Vous avez déjà fait votre lit ? Waouh, vous êtes rapides ! » « En fait, j'étais dans la douche. Will' doit s'en être occupé ... Je ne manquerai pas de le remercier. » Répondit Ana' en souriant. « Alors, prête pour le départ ? » Demanda Amanda en prenant place sur un des divans du salon de la suite. La jolie blonde ne put s'empêcher de s'exclamer un : « Ouiiiiiiii ! » Excité, car oui, elle l'était. « À ce sujet, j'ai une nouvelle à t'annoncer ... Ah, eh bien, à vous annoncer. » William venait tout juste de sortir de la douche à son tour, super bien habillé. « Nous ne partons pas en avion de ligne. Nous nous rendons en Indonésie en Jet Privé. » La surprise générale eut l'effet désiré, puisque les yeux de notre grecque devinrent aussi immense que des boules de billards. Elle n'en revenait. Jamais auparavant, elle n'avait pris d'avion privé. « Oooooooooooh ! » S'exclama t-elle en serrant sa mère dans ses bras. « Gracieuseté de Robert, le père de Juliette. »

Ce fut dans un élan d'euphorie que toute la famille quitta l'Hôtel en limousine, direction : Le Manoir Horuni, Londres (Oui, parce qu'il y avait un Manoir Horuni, Santorin). Le trajet ne fut pas très long. Ayant auparavant déjeuné, Eustache, Amanda, William et Anastazya se firent servir des mimosas (boissons contenant du champagne et du jus d'orange). Ils parlèrent de tout et de rien. « Ana' chérie, je dois t'annoncer que tu as une immense surprise qui t'attends à Bali. » Anastazya devint rouge comme une tomate. Ce qu'elle espérait qui n'arrive pas était malhereusement arrivé. Son anniversaire approchait à grand pas, et apparemment, sa mère lui avait préparé une surprise. La question était la suivante : De quelle envergure était-elle ? « Maman, tu n'aurais pas dû , sérieusement ... » « Stop. Je t'arrête. Le quatre Juillet est une date spéciale depuis ta naissance, et elle ne cessera jamais de l'être. Tu mérites ce qui t'attends là-bas, crois-moi. Tu es quelqu'un de formidable ma chérie, tu es fantastique. Je suis heureuse d'être ta mère. » Quoi de mieux pour gêner ? Rien, sérieusement. Devenant encore plus rouge, Ana' ne sut que répondre. Elle marmonna : « Euu ... Je ... Non, mais ... Ghphmhh ... » Avant de se taire et de rire. Elle était pathétique. Elle savait ce qu'elle avait à faire. « Je t'aime, maman. » Elle déposa un baiser sur sa joue et lui sourit doucement. Elle avait de la chance ... Juliette elle, n'en avait pas eu sur ce côté. Pas de vraie mère ... Ce devait être dur ... Aïe ... Juste à y penser, Ana' avait une boule au creux de la gorge. La mère biologique de sa cousine était ... Comment dire ... Étrange. Elle refusait toute précense de nature sorcière et avait chassé sa fille de sa maison alors que cette dernière avait seulement onze ans. Si c'est ce que l'ont peut appeler une mère ... Mais bon, aujourd'hui, Juliette avait July. Une femme équilibrée, gentille, adorable et intelligente. C'était parfait.

En moins de temps qu'il en fut à Anastazya pour se remettre de ses pensées et de ses sentiments envers tout ce qui venait de se passer, la limousine s'arrêta devant le Manoir de Juliette. Ana' en sortit, accompagnée de William et de ses parents, avant de voir Billie et Olwen qui arrivaient de leur côté, leurs valises à la main. « Billiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ! » Hurla Ana' en lui sautant dans les bras. Aaaaaah !, ce qu'elle lui avait manquée, celle-là ! Vivement Bali, afin de jouer au soccer sur le bord de l'océan ! « Alors, tu as fais bonne route ? » Puis, elle se tourna vers Olwen et le pris aussi dans ses bras. « Élie' va bien ? Elle va s'ennuyer, deux semaines sans toi ! » Plaisanta la rouge et or. C'était vrai, sans doute. Puis, elle réalisa : Le petit copain d'Élie allait passer deux semaines complète avec le frère de cette dernière. Hahaa ! C'était marrant comme situation. Laissant les deux garçons seuls, Ana' alla retrouver sa mère. Il était temps pour tout le monde d'entrer dans le Manoir. Faisant signe à tout le monde de les suivre, Eustache, Amanda et Anastazya entrèrent dans la maison. Juliette sauta au cou de sa cousine et lui sourit. Lorsque Juu' demanda où était Rosaly, la blondinette s'appréta à répondre, mais sa mère fut plus rapide. Apparemment, les deux cousines avaient la même opinion de l'échange Parisien de Ro' ... Amusant ? Oui !

Juliette présenta Ernie à Amanda et Eustache et la mère d'Ana eut la même réaction qu'avec William : Parfait ! Alors les rencontre étaient toutes faites. Maintenant, le temps était venu de partir. La Gryffondor, suivit du reste des gens, entra dans la Limousine. Maintenant, direction l'Aéroport privé, histoire de enfin se la couler douce !

| Vouéla =) Alors enjoy ! Smile |
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Ernie MacMillan
Ernie MacMillan
Ministère

Parchemins : 683
Âge : 37 jets de cheveux (7 Octobre 1979)
Actuellement : Adulte [Département de la coopération magique internationale]
Points : 0


Informations supplémentaires
SIGNE PARTICULIER:
RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 3
FACECLAIM:


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Ξ Sujet: Re: What time is it ? Summer time ! | Pv |   What time is it ? Summer time ! | Pv | EmptyJeu 18 Déc - 0:02

Les vacances avaient débuté depuis trois jours et pourtant, Ernie s'en était à peine aperçu. Depuis l'enterrement de Dumbledore, il avait le sentiment d'avancer comme un somnambule. Que Dumbledore - l'image même du vieux sage invulnérable - puisse mourir, ait pu mourir, lui semblait tout bonnement inconcevable, presque risible et surtout, surtout, affreusement angoissant. Car Dumbledore mort, qui serait en mesure de faire face à la menace, désormais reconnue de tous, de Vous-Savez-Qui et de ses disciples ? Potter ? Peut-être. Mais à supposer que Potter soit bel et bien l'élu dont tout le monde parlait, il n'avait que dix-sept ans et restait, par conséquent, un grand novice en matière de magie, comparée à Celui-Dont-Blablabla-Le-Nom.
Toutefois, Ernie devait bien reconnaître que le monde sorcier n'avait pas d'autre espoir qu'Harry. Alors, faute de grives, il placerait toute sa confiance en Potter. Car dans sa conception assez chevaleresque du monde (pour ne pas dire parfaitement Gryffondor), Ernie préférait mourir en combattant les forces des ténèbres plutôt que de s'y soumettre. C'est beau, c'est grand, c'est noble.

Mais l'heure n'était plus (ou plutôt pas encore ?) aux doléances et condoléances. Les vacances débutaient et pour Ernie, elles commençaient sur les chapeaux de roue. A peine rentré, le voilà qui devait refaire ses bagages pour s'envoler avec les Horuni. Certes, la perspective de laisser Ophélia seule avec les vieux en ces temps troublés ne lui plaisait guère (bon Dieu ! Et si elle se faisait sauvagement attaquée pendant que leurs parents étaient au travail, hein ? Une fillette de sa trempe ne pouvait qu'intéresser les mangemorts !), cependant, quelques jours en compagnie de Juliette, dans un endroit paradisiaque (de toute façon, l'endroit quel qu'il soit ne pouvait qu'être paradisiaque tant que Juliette était là. Ernie grand romantique) étaient une perspective plus qu'enthousiasmante.
Le jeune garçon esquissa un sourire tout en pliant soigneusement une dernière chemise qu'il déposa soigneusement dans son sac avant de vérifier une dernière fois sa liste de choses à prendre. Bon. Il avait tout. Tout sauf... Ah oui ! D'un geste vif et plein de classe il attrapa une petite fiole, posée sur sa table de nuit, et la glissa dans la poche de son veston. De la drogue ? Ernie ? O_ô Voilà. Maintenant, il était prêt.

- Tu me ramèneras un cadeau ? souffla une a-do-ra-ble voix flûtée, derrière lui.

Ernie se retourna et adressa un sourire ultra-bright à sa soeur qui était entrée sans frapper faire de bruit dans sa chambre. Le Poufsouffle se passa la main dans les cheveux tandis qu'Ophy effectuait simultanément un magnifique jet de cheveux miroitant, arme suprême pour aveugler les Mangemorts.

- Hum, je ne sais pas si tu as été assez sage pour ça... Tu me laisseras 80% des bénéfices de la MMC ?, répondit-il avec un sourire en coin qui en disait long sur ce qu'il pensait de la sagesse d'Ophelia. Mieux valait-il éviter de se fier à ses airs candides. Mais en ce qui le concernait, Ernie n'aurait échangé sa soeur pour rien au monde ! C'est beau, cette déclaration, quand même.

Le blondinet lança, avec une désinvolture top-sexy, son sac de voyage par dessus son épaule et déposa un baiser sur le sommet du crâne de la naine d'Ophy :

- Il faut que j'y aille, sinon je risque d'être en retard, glissa-t-il en souriant d'un air joyeux, avant de reprendre, plus sérieux, Tu feras bien attention à toi, n'est-ce pas ?

Et d'adresser un regard étonnamment perçant quand on connaissait son tout petit cerveau à sa soeur, un regard de grand frère extrêmement anxieux à l'idée de laisser sa cadette seule alors que de sombres menaces régnaient.
Il pinça légérement les lèvres en un rictus étrange, mi-gêné et mi-coincé, comme s'il avait une furieuse envie de refiler l'accolade de la fraternité à Ophélia tout en craignant que ce soit inapproprié (car furieusement peu anglais).
Finalement, il se contenta de lui pousser doucement le front du plat de la main avant de quitter la pièce dans un dernier jet de cheveux fleurant bon la pomme verte. On l'aura compris, Ernie, tout futur ministre fusse-t-il (Laura, si tu me lis... Razz) restait un incroyable dadais quand l'heure était aux adieux. Un peu plus et il en serait rendu à écraser une larmichette, tiens ! Une chance que les parents MacMillan travaillaient tous deux, ce jour-là, sans quoi il y aurait probablement eut des effusions émus au salon... Or, le blondinet n'avait pas besoin d'une débauche de sentiments avant de retrouver Juliette : il ne pouvait tout de même pas arriver chez elle totalement décoiffé tout ému parce qu'il venait de quitter sa famille, ce ne serait pas très viril !

D'un pas déterminé, Ernie remonta la rue, les yeux rivés au sol et la mèche rebelle volant dans la brise estivale (effet du coiffé-décoiffé soigneusement étudié, n'en doutons pas !). Arrivé à l'angle de Badger Street (aha), le jeune garçon lança un coup d'oeil aux alentours, ferma les yeux et... Transplana.
Car oui ! Ernie, à présent âgé de dix-sept ans, avait pu passer l'examen de transplanage dès le mois d'avril et il l'avait obtenu avec brio. Néanmoins, c'était la toute première fois qu'il transplanait seul (comprendre en dehors de tout cours) aussi avait-il pris soin de repasser la théorie toute la matinée. Pas question de se désartibuler devant chez Juliette !
Fort heureusement pour sa réputation, le Poufsouffle accomplit un "parcours" sans faute et atterrit en souplesse devant chez les Horuni. Oh yeah, ça, c'est la classe ! *jet de cheveux en muchos dents étincelantes*

Pas peu fier de lui pour changer et très pressé de revoir Juliette (Comment ? Il ne l'avait quittée que trois jours auparavant ? Vous en êtes sûrs ?), Ernie donna un vigoureux coup de sonnette et ne fut pas long à être introduit auprès de la famille...
... En pleine partie de rigolade dans la cuisine. A la vue de Juliette, riant aux éclats en se tortillant, Ernie se sentit libéré d'un grand poids. Dieu merci, elle allait bien ! Attendri, il sourit largement en fixant la Serdaigle d'un oeil franchement amoureux avant de s'éclaircir discrètement la gorge (Ombrage, si tu nous entends...) :

- Bonjour Juliette... Monsieur Horuni... Madame Horuni... salua-t-il avec un grand professionnalisme tout en serrant la main que le père de Juliette lui tendait, je suis vraiment très heureux de tous vous revoir, rajouta-t-il avec sincérité.

* Valise... Valet... Votre chambre... Marrant tous ces "v"... Dommage que le chambre vienne tout... Attends, ttends, ttends... "votre" chambre ?* réalisa-t-il subitement tandis que le valet en question prenait son sac de voyage. Diantre, voilà qui était bougrement gênant ! S'agissait-il d'une erreur ? Etait-ce un "vous" de politesse qu'il avait mal intérpréter ? Et auquel cas, devait-il en déduire qu'il était un sale pervers ?

Ernie résista à l'envie de lancer un coup d'oeil interrogateur à Juliette et se contenta d'adresser un sourire ultra-bright catégorie huit ("Je noie le poisson !") à Robert Horuni. Il serait fixé tôt ou tard, de toute façon. Inutile de passer pour un petit imbécile dès maintenant !
Il se contenta donc de serrer un peu plus la main de sa petite amie... Qui - louée soit-elle - ne fut pas longue à lui révéler le fin mot de l'histoire. Ouf, il n'était pas un sale pervers !
Soulagé (et plutôt content, ne nous leurrons pas. Quel garçon normalement constitué refuserait dans dormir dans la même pièce que Juliette, franchement ?), Ernie se passa la main dans les cheveux et adressa un sourire en coin à Juliette en la gratifiant d'un coup d'oeil pétillant :

- Je comprends parfaitement... Et je ne peux pas dire que j'en sois ennuyé, bien au contraire !

Son sourire s'élargit franchement et il se pencha pour embrasser doucement Juliette avant de susurrer :

- Plus je passe de temps avec toi et mieux je me porte.

Sortez les violons. Il embrassa de nouveau la Serdaigle, plus langoureusement cette fois, avant de reprendre d'un air intrigué :

- Trempette ? Mais je vais être tout décoiffé ! Héhé, j'avoue que je ne serais pas contre l'idée de te voir en maillot de bain une petite baignade !

Les heures suffisantes filèrent comme des flèches de Cupidon le Dodu aux yeux d'Ernie qui, tout à sa joie de retrouver sa Juliette en avait presque oublié Ophélia frère ingrat, va !.
Sans trop savoir comment, il se retrouva subitement catapulté dans la chambre de Juliette (qui se trouvait également être la sienne, du coup. Même s'il avait encore un peu de mal à se faire à cette idée, tout étourdi qu'il était par la rapidité avec laquelle s'enchaînaient les événements), en boxer "de nuit", à contempler les étoiles sur le balcon. Soooo Roméo et Juliette ! Et Merlin seul savait à quel point Roméo et Juliette étaient liés à Ernie et Juliette (justement !).
Le Poufsouffle passa un bras autour des épaules de la Serdaigle et l'embrassa sur la tempe en murmurant :

- Je suis content de te voir. Tu m'as manqué... Et tu es vraiment très belle, conclut-il en fixant la jeune fille d'un oeil rêveur.

*La journée en avion ? Qu'est-ce que c'est, un avion, déjà ?* songea-t-il en plissant le front. Il se souvenait clairement avoir lu ce mot en aidant Hannah à réviser ses cours d'étude des moldus, pour les Buses... *Euh, ce n'est pas un moyen de transport moldu, un truc du genre ? Mon Dieu ! J'espère que je ne vais pas être malade !*

Et en parlant de malade... La petite fiole glissée dans la poche de son veston, quelques heures plus tôt, lui revint subitement en mémoire...

- Attends, j'ai quelque chose pour toi... dit-il à Juliette en lui pressant légèrement la main.

Il entra de nouveau dans la chambre, avisa sa veste et, fouillant la poche droite, en tira la fiole.

- Tiens, décréta-t-il en revenant sur le balcon, c'est le Felix Felicis que j'ai gagné l'an dernier, en potions. Il n'y a qu'une dose. J'ai longtemps réfléchi à ce que je pouvais en faire mais je me suis aperçu que je préférais que ce soit toi qui l'ais... Comme ça, si jamais un jour il y a une... Bataille... Ou quelque chose dans ce goût là, tu pourras la prendre et tout ira bien... expliqua-t-il avec un sourire bravache qui était de pure façade, en tendant la fiole à Juliette.

Bizarrement, il n'avait pas un seul instant songé à la donner à Ophy. Probablement parce que, dans son esprit, il avait toujours été là pour protéger sa petite soeur et qu'il le serait toujours. Ophy n'avait pas besoin de Felix Felicis, elle était sa soeur ! Il ne pouvait rien lui arriver de très grave tant qu'il serait dans les parages. Il y avait toujours veillé. D'ailleurs, Ophélia était suffisamment bavarde pour mettre un mangemort hors d'état de nuire rien qu'en lui racontant sa dernière idée géniale...

(Paf, fin de la première partie, j'en fais une seconde d'ici samedi, réponse qui devrait prendre en compte les trois messages suivants Wink ).
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