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 Résumé du second cours (pour les première années)

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Rubeuu H
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Ξ Sujet: Résumé du second cours (pour les première années)   Résumé du second cours (pour les première années) EmptyJeu 11 Mai - 22:16

2ème cours


Une brève histoire de la perception des animaux fantastiques par les Moldus


Si étonnant que cela puisse paraître aux yeux de nombreux sorciers, les Moldus n’ont pas toujours été ignorants des créatures magiques et monstrueuses que nous nous sommes si longtemps efforcés de leur cacher. Un coup d’œil à l’art et à la littérature moldus du Moyen Age indique que de nombreuses créatures qu’ils croient aujourd’hui imaginaires étaient connues alors pour être bien réelles.

Le dragon, le griffon, la licorne, le phénix, le centaure et bien d’autres encore, sont représentés dans les œuvres moldues de cette période, bien que, le plus souvent, avec inexactitude presque comique.
Pourtant, un examen attentif des bestiaires moldus de l’époque montre que la plus part des animaux fantastiques ont complètement échappé à l’attention des Moldus ou bien ont été pris pour quelque chose d’autre. Etudions par exemple ce fragment d’un manuscrit par un certain frère Benedict, moine franciscain du Worcestershire :

Ce jour d’hui, alors que je m’occupais du jardin d’herbes, il advint qu’en écartant des feuilles de basilic je découvris au-dessous un furet d’une taille monstrueuse. Icelui ne courut ni ne se cacha ainsi que le furet ont coutume d’agir mais sauta sur moy et me jeta au sol tandis qu’il s’écriait avec une fureur bien peu naturelle : « Escampe-toy d’ici, crâne d’œuf ! » Il mordit alors mon nez avec tant de cruauté que le sans en coula pendant plusieurs heures. Le frère capucin ne voulut pas croire le récit de ma rencontre avec un furet doué de la parole et s’inquiéta de savoir si le frère Boniface m’avait donné à boire de son vin de navet. Mais comme il voyait que le sang coulait encore de mon nez boursouflé, il me donna licence de ne point paraître aux vêpres.

De toute évidence, ce n’était pas un furet que notre ami moldu avait découvert mais un Jarvey qui était sans doute à la poursuite de gnomes, sa proie favorite.
Une compréhension imparfaite est parfois plus dangereuse encore que l’ignorance, et la peur que les Moldus éprouveraient à l’égard de la magie était sans nul doute aggravée par la terreur de ce qui pouvait se cacher parmi les herbes de leurs jardins. Les persécutions que les Moldus faisaient subir aux sorciers atteignaient en ce temps-là une intensité jamais connue jusqu’alors et la vue d’animaux tels que les dragons et les hippogriffes ne pouvait que contribuer à l’hystérie moldue.
La confédération internationale des sorciers débattit de ce sujet lors de la célèbre rencontre au sommet de 1692. Pas moins de sept semaines de discutions parfois acerbes entre des sorciers de toutes nationalités furent consacrées à l’épineuse question des créatures magiques. Combien d’espèces pourrions-nous cacher à la vue des Moldus et lesquelles ? Où et quand devrions-nous les dissimuler ? Le débat fit rage, certaines créatures se montrant oublieuses du fait que c’était leur destin qui était en jeu, d’autres contribuant aux échanges de vues. Finalement un accord fut conclu. Vingt-sept espèces, qui allaient par ordre de taille des dragons aux Bundimuns, devraient désormais être cachées aux yeux des Moldus pour créer l’illusion qu’elles n’avaient jamais existé que dans leur imagination. Ce nombre fut augmenté dans les siècles qui suivent à mesure que les méthodes de dissimulation des sorciers se perfectionnaient.

En 1750 fut introduit dans le Code international du secret magique l’article 73 auquel se conforment aujourd’hui tous les ministères de la Magie du monde : Chaque administration ayant autorité sur les sorciers de son pays devra exercer sa responsabilité en matière de dissimulation, de soins et de contrôle de tous les animaux, êtres et esprits magiques résident sur son territoire. Dans le cas où l’une des ses créatures porterait atteinte à un Moldu ou attirerait son attention, l’administration du pays où aurait eu lieu l’incident serait exposée à des sanctions disciplinaires décidées par la Confédération internationale des sorciers.
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