Rhéan, le nouveau.

Le clochet de Big Ben indiquait 10 heure 00. Rhéan glorieux était devant l'entré du Ministère de la Magie britannique. Il était pile à l'heure, et ce ne fut pas chose facile. Le fait d'arrivé dans un nouveau pays peut parfois être destabilisant... Ou pas. En fait notre nouvel arrivant, une fois arrivé en Angleterre grâce à un portoloin, fis un peu de tourisme à la mode des moldus. Il découvrit un peu les rues de Londre, et surtout les fameux bus rouge à deux étages. Etre un sorcier n'exclue pas le fait de profité des technologie moldus de temps en temps. Cela fait partie de la culture local après tout. C'est comme si on allait à Paris sans visiter la Tour Eiffel, le Collisée de Rome. La liste est bien trop longue, mais vous aurez saisis l'idée. Notre ami canadien pris un peu de temps afin de profité des nouveaux paysage qui s'offrait à lui. Rien n'était extraordinaire en soi, certes, mais il tenait tout de même à en profiter avant de n'avoir à commencer la mission qui lui avait été confié.

Il était actuellement devant l'entrée visiteur du Ministère de la Magie. C'était à première vu un passage obligatoire que de passé par cette cabine téléphonique lorsqu'un ambassadeur arrivé pour la première fois. A moins que ce ne soit un traitement spécial rien que pour lui, allez savoir. Quoi qu'il en soit, il s'executa et entra au ministère par cette entrée peu commune. Son comité d'acceuil était là, comme il était prévu. Il n'eurent pas de mal à reconnaitre Rhéan, il était le seul à être habillé comme s'il partait en expédition au pôle nord. Normal, il était arrivé du Canada il y a même pas une heure, la différence de temperature était faramineuse, et vous n'imaginez pas à quel point retirer un manteau peut être apprécier.

"Laissez nous vous montrer votre nouveau bureau, monsieur Glorieux."

Aussitôt dit, aussitôt fait. On pris ses bagages et on le conduit au niveau 5, niveau où se passe la plupart des relations diplomatiques et commerciales internationales. Les différents niveaux semblaient tous agité, cela n'était pas vraiment la même ambiance qu'au Canada. Qu'à cela ne tienne, ce n'est pas un peu de bruit et de mouvement qui vont empêcher le digne héritier Glorieux de faire son travail. Son travail d'ailleurs n'avait rien de bien compliqué, il allait devoir s'occuper des sorciers canadien de passage ou résidant ici. Des histoire de paperasse surtout, mais la vrai raison de sa venu ici c'est pour établir des bonnes relations diplomatique avec l'état magique anglais. D'après certains haut dirigeant, Rhéan était le mieux placé pour faire avancer les choses comme il faut. Pourquoi ? Mystère et boule de gomme.

"Nous y voici, installez vous comme bon vous semble. Vous êtes ici chez vous maintenant."

Une porte s'ouvrit, laissant place à une pièce... tout ce qu'il y a de plus normal. Un bureau comme tout les autre, avec un bureau (sans dec' Oo), une bibliothèque remplis de différent dossier plus ou moins important, deux fauteil en vrai cuir de vache anglaise, une corbeille à papier, une lampe de bureau... Bref. D'un pas résolu il entra dans son nouveau lieu de travail tandit que son comité d'acceuil refermé la porte derrière lui pour qu'il s'impreigne de la pièce. Il s'installa dans son fauteil et lança :

"Et voilà... Je n'ai plus qu'à espérer que mon passage ici se laisse pas qu'une trace sur un dossier."

Sur cette phrase exprimant plus qu'une simple période qui débutait pour lui, il pris le premier dossier de la pile sur son bureau et commença son travail d'ambassadeur.

"Yancey Beautyface... Hum..."

Observant le dossier, il remarqua que la photo de l'homme ressemblait étrangement à la sienne. Il se frotta les yeux, le voyage avait été long, il devrait peut être un peu se reposé avant de commencer à travaillé...

Arriver dans un nouveau pays, passer par l'ambassade de l'ancien, une démarche que Yancey aurait voulu éviter, car elle signifiait que toutes les erreurs qu'il a commis par la passé le poursuivrons encore dans sa nouvelle vie. Il abandonné son ancienne vie en même temps que le Canada, mais les lois ne veulent apparemment pas le laisser faire. Enfin bon, ce n'est que quelques papiers à remplir, après ce sera bon. Au moins l'espère-t-il. On lui a donné l'adresse de l'entrée visiteur pour accéder au ministère de la magie. Il s'agit d'une ruelle sinistre si cruellement semblable à celle dans lesquelles il trainait dans son adolescence. Une cabine téléphonique moldue se trouve au milieu de la rue. Beaucoup de personnes ont du passer leur nerf dessus. Le quartier doit grouiller de bande vu l'état des lieux. Rien qui semble inhabituel à notre taulard en tout cas. Un soupir résigné. Il s'avance vers la cabine et entre à l'intérieur décrochant le combiné, il marque un numéro griffonné sur un papier. Une voix mécanique lui parle alors, lui demandant le motif de sa venue ainsi que son nom. Ça commence bien. Lui qui ne supporte pas suivre ce genre de démarche, ces règles qui rendent la vie mécanique, il sens qu'il ne va pas aimer cet endroit. Tandis qu'il accroche un badge à sa veste, la cabine commence a descendre alors doucement, le menant vers ce lieu souterrain où les choses sont si différentes qu'a la surface. Il découvre alors un grand hall de marbre, une immense fontaine domine le lieu. Il s'avance vers un homme qui semble être là pour accueillir les arrivant. Il lève alors très haut les sourcil e lui dit avec une voix étonnée:

-Mais d'où vous revenez? Vus êtes allé.....vous couper les cheveux?-Dit il en le regardant de haut en bas de son air toujours aussi étonné. Il avait l'air de le reconnaitre, et en même temps pas vraiment.-En même temps tout à l'heure on vous aurait cru revenant du pôle nord.-dit-il finalement avec un sourire.-Bon, je n'ai pas besoin de vous remontrer le chemin ou...

Yancey ne comprenait rien à ce que cet homme lui disait. Il aurait juré qu'il le confondait avec quelqu'un d'autre. Mais avec qui pouvait-il le confondre? Tout le monde ici étaient habillé d'une façon plus ou moins correcte, contrairement à Yancey qui ressemblait bel et bien à lui même. Tee-shirt démodé, sweat de sport, jean et baskets, sans parler de ses cheveux éternellement décoiffés. En tout cas son expression ne montrait que peu son étonnement. Finalement il se décida a faire comme si l'homme n'avait rien dit et lui répondis d'une voix calme.

-Je cherche juste l'ambassade canadienne...

L'homme leva les yeux au ciel et se retourna en lui faisant signe de le suivre. Tout en traversant le hall il murmurait des choses à propos de la mauvaise mémoire des gens et sur l'incompétence de certains ambassadeur qui se la coulent douce. Yancey fit comme si il n'entendait rien, réaction apparemment espérée par son guide. Il le fit monter dans un ascenseur, puis il traversèrent un couloir où tout le monde semblait le regarder d'une drôle de façon. Il les ignora du mieux qu'il put jusqu'au moment où il arrivèrent devant une porte qui arborait un écriteau luisant où été gravé “Rhéan Glorieux, Ambassade du Canada”.

-Et voila monsieur Glorieux, j'espère que cette fois-ci vous avez mémorisé le chemin!-dit-il sur un ton de visible mécontentement.

Yancey regarda cet étrange individu s'éloigner avant de se tourner enfin vers la porte. Il frappa trois fois, puis entra d'un pas résolu. Les regards que lui lançaient les employé du ministère le mettaient définitivement mal à l'aise. Il n'eut même pas le temps de se demander pourquoi on l'avait pris pour l'ambassadeur que la réponse s'offrait déjà à lui. Assis de l'autre côté du bureau, un homme en tout semblable à lui lui rendait le même regard étonné que lui même devait avoir. Passé le premier moment de stupeur il lui demanda d'une voix où l'agacement se faisait néanmoins timide.

-C'est une blague? Sérieusement je ne suis pas d'humeur...

La vie est faite de petit tracas quotidien. C'est bien connu. Un matin vous vous réveillez en retard, vous tombez en plein dans les embouteillage au moment de partir en vacance ou votre télévision tombe en panne lors de la final de football. Ce sont des accidents bêtes qui peuvent arrivé à chaque instant. Cela n'a pas une grande importance sur votre vie. Cela ne fait que descendre un peu votre moral, rien de plus. Cependant, aujourd'hui Rhéan devra faire face à un événement imprévu de plus grande envergure. Le genre qui vous renverse de votre chaise en vous laissant une expression de surprise inégalable. Cette expression d'étonnement, elle se retrouvait ici et maintenant. Mais pas sur le visage de Rhéan. Yancey Beautyface, en plus d'avoir un nom totalement ridicule, était en pleine stupeur en ouvrant la porte de l'ambassade canadienne. Le comportement des employés du ministère de la magie trouvait un sens maintenant. Ils faisaient tous confusion entre l'ambassadeur canadien et un simple sorcier canadien voulant refaire sa vie loin de son pays d'origine. Le monde est vraiment conçu bizarrement. C'est en traversant les océans qu'il découvrit une partie de ses origines.

"C'est une blague ? Sérieusement je ne suis pas d'humeur..."

Bien que la situation pouvait sembler amusante d'un point de vue extérieur, là Rhéan ne semblait pas vraiment rire. Il prenait la chose calmement, après tout le dossier qu'il avait juste sous les yeux lui indiquait que ce n'était pas une farce mais bel et bien un immigré canadien. Aucun doute possible, sa première journée de travail sera à tout jamais la plus longue et éprouvante qu'il puisse connaitre.

"Vous me voyez navré monsieur Beautyface, mais cela n'a rien d'une plaisanterie. Ceci dit, elle aurait été de très mauvais goût." Répondit Rhéan, ce qui ne devait pas rassurer beaucoup son frère jumeau.

Il allait falloir trouver une solution à ce problème qui se posait face à eux. Rhéan spéculait déjà pour trouver une explication rationnel à leur ressemblance frappante.

"Fermez la porte avant de vous assoir s'il vous plait, je crois que nous avons plusieurs point à éclaircir."

Quel façon optimiste de dire qu'ils aillaient devoir s'expliquer sur le fait qu'ils soient deux clones identiques sur le plan physique. Les possibilités étaient multiple, car le monde magique est plein de surprise en tout genre, un elixir de polynectar, ou le simple fait d'être capable de changer son apparence à volonté son deux explication probable. Loufoque certes, mais probable tout de même. Surtout qu'il faudrait avoir des raisons pour prendre l'apparence de l'un ou l'autre. Là, il n'y en avait aucune. Quoi que, en cherchant bien, tout est possible. Même l'impossible.

Cet homme qui lui ressemblait en tout point prenait a situation avec beaucoup de calme et parut avoir bien des hypothèse, voir même des conclusions. En ce qui concernait Yancey sont cerveau était pour l'instant inopérationnel. Suivant le conseil de Rhéan il ferma la porte et s'avança vers la chaise devant le bureau. Il ne pouvait détacher son regard du visage de l'autre. C'était comme e regarder dans une glace, ou presque. Rhéan avait les cheveux plus longs que lui et portait un costume. En gros, mieux coiffé et zapé que lui, mais ils ne provenaient sans doute pas du même milieu. Tout en s'asseyant il sortit un paquet de cigarette de sa poche et en sortit une qu'il ne tarda pas à allumer. Il se sentit plus calme une fois que l'odeur habituelle de la fumée se fut propagée autour de lui. Curieusement, il se sentait rassuré par une chose qui étaient sans doute en train de le tuer. Mais jamais personne n'avait réussit à le persuader d'arrêter. Après quelques instants de silence où il détailla minutieusement sa réplique version bourge, il se décida enfin à parler.

-Bon, je pense que notre ressemblance n'est pas du à la magie. Et on ne se ressemble pas qu'un peu, et même nos voix... donc...enfin, ça semble évident, même si c'est dur à assumer...

Ils semblaient si différents mis à part leur ressemblance physique. Même dans ce domaine là il y avait tellement de chose qui les séparaient. Yancey avait un air bien miteux comparé à lui. Il n'y avait qu'a voir leur façon de se parler! Yancey était surpris de ces manières et avaient un léger sentiment de rejet face à lui. Quand on vie dans la rue et qu'on fait de la prison, ce sont des préjugés que l'on finit par prendre. Il laissait cependant ces pensés de côtés. Il fallait essayer de comprendre ce qu'il se passait.

-On m'a abandonné alors devant un orphelinat moldu alors que je n'avait que quelques mois. J'ai grandi là bas sans savoir ce que j'étais, sans connaitre la cause des choses étranges que je provoquait. On n'a retrouvé sur moi ni lettre, ni aucun indice sur l'identité de mes parents. En tout cas, il marqua une pause avant de continuer, je n'ai jamais eu de famille et je ne m'attendait pas à en avoir...

La cigarette diminuait à vue d'œil, seul signe du stress dont il était victime. Il avait appris à ne pas montrer ce genre de faiblesse et avait ses méthodes pour évacuer discrètement. Celle-ci en étaient une.

-Tu croit qu'on est frères? Et si c'est le cas est-tu adopté aussi ou est-ce que...-il avait du mal à poser cette question, celle qui l'a tourmenté pendant tant d'années-Ou est-ce que...nos parents...

*...t'on gardé et pas moi...*

Deux enfants c'était peut être trop, ou peut être avaient-il eut une intuition de ce qu'il allait devenir. Rhéan paraissait être le fils parfait, tandis que lui... Sans même le connaitre il ressentit une pointe de jalousie. En réalité, sans le connaitre vraiment il pouvait dire qu'il le connaissait. C'était comme si soudain il avait retrouvé quelque chose qu'il lui manquait depuis toujours. Comme si enfin l'élément indispensable à son équilibre lui était parvenu. Toutes ces idées se bousculaient dans son esprit sans que rien de clair n'en ressorte.

Jusqu'ici Yancey n'avait fait qu'admettre l'évident. Il fit cela tout en arborant une cigarette allumé à la main, ce qui ne plut guère à Rhéan. D'un mouvement de l'oeil il chercha un cendrier. il allait bien falloir que le nicotinomane mette sa cendre quelque part ! Heureusement, un magnifique cendrier circulaire fait de marbre flambant neuf et vierge de toute souillure était dissimulé derrière une pile de dossier. Il le poussa en soupirant vers son reflet. Ce n'était pas le moment pour faire un discours sur les dangers de la nicotine et les méfaits d'une telle addiction, il y avait bien plus urgent à faire. Car bien que Yancey était d'accord sur le fait que leur ressemblance n'est pas factice, ni une simple coïncidence mais une œuvre tout ce qu'il y a de plus naturel. Après un petit exposé sur la triste enfance de l'orphelin, de sa vie au monde des moldus, dépourvu de contact avec ce qu'il était vraiment, sans aucun élément pouvant le rapprocher à sa vrai famille.

Pendant un instant, Rhéan essaya d'imaginer ce qu'avait du ressentir son jumeau en vivant privé de ce que tout les autres ont, de ce que lui avait eu : une famille. C'était impossible pour lui, il savait pertinamment qu'il était à des années lumières de la souffrance généré par cette absence, toutes ces questions qui resteront à jamais sans réponse. C'était une douleur qui grandissait jour après jour, une blessure gravait à jamais dans son cœur. Oui, de tout cela Rhéan ne connaissait rien, et cette ignorance ne devait pas être un mal. La question fatidique arriva :

"Tu crois qu'on est frères ?"

La suite n'était pas vraiment prévisible de Rhéna. Qui aurait put imaginer que notre bad boy canadien puisse avoir de telles idées en tête ? Surtout des idées si noir. Avait-il une si basse opinion de lui qui puisse le persuadé qu'on aurait put l'abandonner à la naissance pour élever son frère. Qui serait capable de faire une chose aussi horrible ? Même pour une famille en difficulté, cela serait impossible.

"Ne commencez pas à faire des suppositions ainsi. Notre lien de parenté ne semble faire aucun doute. Cependant j'ai vécu dans une famille, j'ai été élevé par mes deux parents. Ils m'ont toujours dit que j'étais leur fils... La possibilité qu'il vous ai abandonnez et moi pas est d'ors et déjà à écarter. J'ai sans doute eu de la chance que tout petit il m'ai choisis dans cette orphelinat. Je n'ai qu'à leur demandé. Ils n'ont aucunes raisons de mentir à ce sujet, et la situation exige des explications je pense."

Il lui suffisait d'envoyer un courrier en recommandé chez lui, au Canada, et le tour sera joué. Cet acte semblait si simple mais il avait tant de conséquence... Etait-il vraiment prêt à faire cela ? Qu'il le soit ou pas, il n'avait guère le choix. La situation exigeait des réponses. Et réponse il aura.

Yancey restât quelque instant silencieux sans savoir quoi dire. La fumé qui s'envolait de sa cigarette montait sinueusement vers le plafond de la pièce sans qu'il pense à la porter à sa bouche. Son regard s'était égaré vers le fond de la pièce tandis qu'il réfléchissait aux paroles de son prétendu frère. Une seule chose le chiffonnait. Lui semblait ne pas savoir qu'il était adopté. Avait-il été élevé par leur véritables parents? Il ne semblait pas le savoir, voir même en douter. Mais la crainte que ce soit le cas perturbait tout de même Yancey. Son enfance n'avait pas été simple et il avait longtemps éprouvé une terrible colère pour ses parents qui l'avaient laissé seul. Cette vieille rancœur renaissait faiblement dans son cœur rongé par le doute. Il ne voulait pas penser ces choses, mais en même temps il n'y pouvait rien. Ces pensés, ces craintes empoisonnaient son cœur. Il sortit de ses pensées et écrasa sa cigarette dans le cendrier avant de s'adresser une nouvelle fois à Rhéan. Il paraissait nerveux, préoccupé. Un voile sombre s'était installé sur son regard.

-J'ai passé mon enfance à haïr ceux qui m'ont engendré pour leur abandon.-Son regard se posa alors sur Rhéan, montrant une sincérité qui jusqu'alors n'avait été donnée à personne.-Je voudrais savoir la raison de tout ce que j'ai vécu. Je veut juste savoir.

Il se leva alors et sans un mot enfila à nouveau son manteau. Il ne supportait plus d'être ainsi enfermé. Il avait besoin de partir pour réfléchir. Se retrouver seul avec soit même pour faire le point sur ce qu'il venait peut-être de découvrir. C'était apprendre trop de choses en trop peu de temps.

-Écoute je... je préfère qu'on en reparle à un autre moment. Retrouve moi demain au chaudron baveur vers 16 heures, on reparlera à ce moment là.

Et sans une parole de plus il résolu de sortir du bureau sans même dire au revoir. Trop occupé par un flot de question envahissant ses pensées, il ne s'en était même pas rendu compte. Il ne se rendit pas compte non plus en repartant de tous les visages qui se tournaient à nouveau vers lui. Cela n'avait plus aucune importance. Tout ce qui comptait à présent était de connaitre la vérité.

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