[ Terminé ] Rencontre avec un Serpy [pv : Lucas]

Ce matin là, il y avait un grand soleil dans le ciel et les oiseaux chantaient. Le décor parfait pour une sortie dans le parc entre amies ou en amoureux, me ddirez vous. Seulement le problème était que la demoiselle avait bien sur quelques amies, mais pas encore des amies proches. Elle ne voulait pas s'imposer à elles et préférait sortir seule. Et bien sur, il y avait les coules. Oui, c'était plutôt tentant d'avoir un petit ami. Faillait-il encore le trouver, cet individu qui ferait que ses balades seraient vraiment ensoilléées.

La jeune fille en était là dans ses pensées quand elle arriva à la porte principale de l'établissement. Elle sortit et respira l'air frai sur son beau visage. Le soleil lui chauffait la peau avec douceur. Ell avança et se dirigea vers le parc.

Comme elle l'avait prévut, il y avait des groupes d'amis de partout, et des couples par centaines. Elle se demanda comment il pouvait y avoir tant de couples dans un seul même endroit. Elle se demanda aussi si les autres personnes présentes dans le parc n'étaient génées, jalouses ou agaccées de voir tous ses amoureux se bécoter devant eux.

La jeune fille se dirigea vers les bords du lac. Elle avait un sac à la main et portait son uniforme. Ces cheveux volaient dans la brise légère, et elle marchait d'un pas plutot rapide. Cette jeune fille se nommait Rosie. Rosie Edams. Elle était en première année à Gryffondor.

Elle s'assit près d'un grand arbre étonnement libre et sortit un livre de son sac. Celui ci se nommait "Conte des chats perses". Il racontait les histoires de quatre chats perses à qui il arrivaient d'étonnantes aventures morales. Elle aimait bien se livre. Au dela du fait que l'auteur, Marion Espirs, une sorcière hors norme, avait écrit se livre comme un livre moldu, sans magie et artifices, Rosie appréciait se livres car les méchants étaient toujours punis. A en croire cela, on pourrait penser que ses contes étaient destinés à un public des plus jeunes, mais ce n'était pas le cas. Il y avait marqué sur la couverture : à partir de 12 ans, car la manière d'écrire de l'auteur était trop recherchée pour les plus jeunes.

Rosie lisait donc la troisième histoire ("Jolie promenade au Japon") quand quelque chose lui cacha le soleil. Son livre à présent à l'ombre, elle ne put lire la suite de sa phrase. Elle leva donc les yeux pour voir qui était là et elle vit un jeune garçon. Elle le connaissait de vue. Il était à Serpentard.

Lalalalaaaa, qu'est-ce qu'il faisait beau aujourd'hui, c'était le temps idéal pour aller dégourdir un peu les gambettes en courant dans le parc. Bah oui, cet immense parc verdoyant -enfin on était encore en hiver, donc les belles feuilles bien vertes n'étaient plus, ou pas encore d'actualité-, ce parc éclatant sous ce soleil si radieux, était fait pour être utiliser, donc autant qu'il serve!

Traversant à toute vitesse tous les couloirs qui le séparait encore du parc, Lucas gardait fermement tenu dans sa main son jouet qu'il s'était décider à emmener. C'était un superbe petit vif en or massif que ses parents lui avait offert comme cadeau d'entrée à Poudlard. Lucas était même tellement gâté que ses parents lui avait par la même occasion offert un superbe balai dernier cris, ce qui en soit coûtait déjà une petite fortune. Ahh, le grand parc s'étalait enfin devant ses yeux. Certes dans certain coin encore ombragé, on voyait l'herbe encore gelée, mais le Soleil suffisait amplement au petit Serpentard pour lui égayer largement la journée.

Toujours perché sur le haut du perron, Lucas porta sa main à hauteur de ses yeux, puis l'ouvris délicatement laissant le vif d'or briller dans toute sa splendeur. C'était un merveilleux objet et qui plus est, vraiment très beau.... Mais, quand on connaissait le petit rouquin, on doutait de la superbe de cet objet sur longue duré. Non, le Serpentard n'était pas très soigneux mais comme sa chère maman le disait, cela était dû à son hyperactivité. Oui, sa mère était vraiment naïve parfois, mais il ne lui en voulait pas au contraire, vous imaginez bien ! Tout doucement, Lucas vint à actionner le mécanisme magique de la petit boule d'or. Aussitôt deux grandes ailes longues et effilés s'étendirent de chaque côté de la petite balle. Il afficha un large sourire en la voyant comme s'éveiller, étant un grand passionné de Quidditch, le rouquin s'émerveillait toujours autant devant le tel prodige que pouvait être le vif d'or.

Le regard pétillant, le sourire malicieux, d'un geste bref et rapide, Lucas lança haut dans les airs sa petite merveille qui aussitôt s'envola en tourbillonnant dans tout les sens dans les airs. Le Serpentard avait fait en sorte que la balle ne puisse s'envoler trop haut dans les airs pour qu'il parvienne à la garder de vue et la rattraper. Et hop, la course était lancé, Lucas se mit a courir, le nez en l'air, après la boule d'or.... Mais cela ne dura pas plus de cinq bonnes minutes en fait. Rapidement, et a son grand étonnement, le Serpentard perdit de vu son vif d'or. C'était pas possible... Peut-être que quelqu'un l'avait vu partir dans un direction quelconque. Tiens, une élève était assise non loin de lui, il s'avança donc en sa direction, de plaçant juste devant elle.

Cette derrière sentit visiblement sa présence car elle leva aussitôt les yeux en sa direction pour distinguer le perturbateur de sa lecture. Oh, mais c'était une tête connu, une élève de Gryffondor, première année.... Rose... Rosie Edams, voilà! Affichant un sourire embêter et dégouté, Lucas en vint directement au but.

« -J'ai perdue mon vif d'or.... Tu ne l'aurais pas vu par hasard, Edams? »

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Souaffle

Le jeune garçon qui se trouvait à présent en face de Rosie s'apellait Lucas. Lucas Stricker. Elle l'avait déjà vut en cour mais ne s'en était jamais vraiment interressée. Il était tout bonnement stupide, prétencieux et perturbait toujours les cours. Rosie savait que c'était un vrai serpentard, et cela était une raison suffisante pour ne lui avoir jamais parler.

Pourtant, ce garçon qui semblait haïr chaque gryffondor du plus profond de lui même, et si ce n'était pas le cas c'était l'image qu'il donnait, était planté devant elle. Elle se demanda pourquoi il venait lui parler, après tout, la logique des choses voulaient qu'ils soient ennemis, et leur différence de caractère devrait les éloigner un peu plus encore.

Mais voila. Le garçon était là.

Celui ci fit la grimace en regardant Rosie, comme si il voyait la plus horrible des bêtes que le cours de soin aux créatures magiques aurait put lui montrer. Elle comprit que ces intentions n'étaient pas à la sympatie. Elle lança un regard plein de haine à se petit fils de riche qui venait gacher son après midi.

Alors, Lucas parla. Il alla droit au but, demandant ce qui l'interressait seulement. Rosie le regarda sans savoir comment elle devait réagir. Elle attendit pendant quelques secondes, puis déclara, d'un ton hautain :

Bonjour Stricker.

Elle attendit qu'il la salue pendant une bonne minute mais celui ci la regardait, sur qu'il ne cèderait pas.

Au bout d'un petit moment de silence, elle finit par dire :

Et si je l'avait vu ?

Elle le jaugea du regard, se demandant comment il allait réagir. Elle qui pensait il y a une heure à peine, aux amoureux et tout ce que cela rapporte d'être en couple ... Le cour de ses pensées était maintenant bien différent.

Tout d'un coup, elle vit une lueur dorée passer non loin de l'arbre auquel Lucas tournait le dos. Elle ouvrit des yeux ronds de suprise, puis se força à adopter à nouveaux un regard normal et à ne pas bouger, espérant ne pas s'être trahit. Elle se força alors à fixer le garçon.

Cet idiot était mignon, en plus. Il avait tout pour lui, l'argent, la beauté les amis, un caractère apprécié des serpentard, seulement ce qui comptait pour lui. Pas mal de filles devaient l'aimer ou l'apprécier. Il avait tout ou presque. Il n'avait pas le respect des gryffondor, et il n'avait et n'aurait pas celui de Rosie. Enfin c'est ce qu'elle pensait à ce moment là mais qui sait après tout ?

Non, sérieusement il était rare que Lucas perde du temps avec des mots inutiles, non... Donc naturellement, il s'était passer de saluer cette Bouffondor, et c'était bien pour une bonne raison bien sûr, il ne l'aimait pas! Que Edams veuille un bonjour et insiste même pour qu'il le lui rende, non mais elle pouvait toujours courir franchement... Le rouquin resta planter devant la petite Gryffondor, les mains dans les poches. En plus d'être hyperactif, il était très peu patient, alors devoir attendre une réponse de sa chère camarade de classe lui parut être une éternité.... Rhaaa, les filles vraiment!

Non, il le lui dirait certainement pas le bonjour. Quand il constata donc qu'elle insistait, une lui rendit seulement une large grimace entre le sourire sarcastique et l'air dégouté... Il en faisait de drôle de tête parfois, c'était vrai...! Puis, en voyant qu'il ne répondrait elle reprit sur un air de défis: « -Et si je l'avait vu ? ». Naturellement, le rouquin laissa éclater un rire narquois en la regardant. Naïve ces Bouffondors, sérieux, c'était grave! Après avoir reprit son souffle, il reposa son regard sur elle avait de lui répondre:

« -C'est évident Edams, si tu l'a vu, c'est très simple, tu me le dis sous peine de... »

La fillette d'un coup fit de gros yeux en regardant derrière le Serpentard. Étonné, Lucas ne termina pas sa phrase mais il tourna aussitôt la tête. A son grand regret, il ne vit rien de spécial... Légèrement agacer, il reposa alors son regard sur sa camarade de classe qu'il fusilla aussitôt du regard. Elle devait avoir vu quelque chose, mais quoi donc? Son vif d'or? Peut être, qui sait, de toute façon elle finirait pas elle même se trahir, ils se trahissaient toujours ces idiots de rouge et or... Ils étaient loin d'être aussi malin que le pouvait être les vipères... Et y'a pas photo!

A peine quelque minutes s'était écoulé depuis sa demande, que déjà Lucas perdait entièrement patience. Tapant rapidement du pied, il reprit aussitôt la parole:

« -Ça va être simple Edams, tu me dis si oui ou non tu l'as vu. C'est totalement idiot de perdre une fois de plus du temps pour ça.... Vous les idiots de Gryffondor, vous êtes de vrai tête de mule hein! Aller dit moi !! », ajouta-il sur un ton autoritaire.

C'était presque s'il sautait sur place trop agacer. Non, c'était trèèèès mauvais de jouer avec les nerfs du petit Lucas, et bon nombres d'élève le savaient maintenant. Enfin, il fallait tout de même croire que d'autre encore l'ignorait, comme cette petite Gryffondor par exemple. Et puis, comme le lui avait expliquer le grand Nathanael, un élève de cinquième année qui jouait en quelque sorte son guide sur Poudlard et les choses qu'il avait tout intérêt à connaître le consernant, les « lions » -il était vraiment difficile d'admettre que certain puisse être comparer à ces bêtes fauves, ils était plus proche des émeus qu'autre chose- étaient idiots, paresseux, entêter et se surestimaient en permanence... bande de crétins! M'enfin, il fallait être patient. Inspirant donc un graaaande fois, Lucas fusillait a nouveau la blondinette qui le défiait elle aussi.

« -Alors?? »

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Ce garçon était vraiment exaspérant. Un jeune insolant, qui se croyait nettement supérieur aux autres. De plus, il pensait qu'il pouvait menacer n'importe qui, et que chaqu'un se plirait à ses quatres volontés sans broncher, sous prétexte qu'il était un petit dur. Rosie le regarda exsapérée, sans même jetter un oiel sur le vil d'or. Il la menaça.

Stricker, je crois que tu m'aime autant que je t'aime, c'est à dire pas du tout. Tu sais que je te dirais rien tant que tu m'auras pas demandé ça comme il faut. Quand tu me parle, on voit clairement pour quoi tu me prend, et de même pour les autres gryffondors. On ne vous considère pas mieux, vous les serpentard. Cela ne m'empêche pas de te dire bonjour. Fais des efforts ou rien. Et ne crois pas que je vais céder à ton chantage ! Je sais qui tu es et ce que tu vaux. Peu importe ta force, je ne me laisserais pas faire. Un s'il te plait feras l'affaire Stricker

Elle lacha son dernier mot avec une grande haine. Elle ne bougea pas d'un cil quand elle vut le vif se promener deriière les épaules de Lucas, puis 'envoler plus loin vous le saule cogneur.

Après une telle attaque, Lucas ne s'attendait pas vraiment a une réaction en particulier surtout venant d'une petite Gryffondor sans caractère. Pensait-elle vraiment qu'avec ce genre de réponse, Lucas finirait par se calmer? Comme quoi, elle le connait vraiment pas. Il était clair que le petit Serpentard était un vrai casse pied, et ça tout le monde le savait parfaitement, il aimait embêter les gens... De toute façon, il était à Serpentard, la maison des meilleurs élèves! Après la longue tirade de la blondinette de Edams, le petit Stricker explosa littéralement de rire:

« -Ouais, ouais c'est ça Edams! Épargne moi tes longs discours sans consistance... et qui par dessus le marché, sont totalement ridicules. Puisque tu ne te montres pas très coopérative, je ne vois pas vraiment l'utilité de supporter encore plus longtemps ta « charmante » compagnie. ». Ton sec, dur mais qui avait le don d'être clair.

Le petit rouquin dévisagea longuement sa camarade de classe. Non, ça ne servait donc à rien de s'attarder plus longtemps ici, de toute façon, elle ne lui dirait rien de plus car « Mademoiselle » avait décrété qu'elle ferait sa loi et qu'elle ne dirait rien sans qu'on lui demande poliment. Il fallait vraiment croire qu'elle n'y connaissait encore rien au Serpentard.... Mignonne, retourne coucouche! Aussitôt dit, aussitôt fait. Lucas après un dernier fusillement du regard, tourna les talons et s'en alla à la recherche de nouveau de sa petite merveille.

Lucas ne semblait pas avoir compris ce que Rosie attendit. Elle, elle s'en moquait. C'était lui qui avait perdu son vif d'or, et lui qui était venu lui parler. Il lui dit donc qu'il partait. Elle lança d'un ton ironique :

Bonne journée Stricker !
J'espère que tu retrouveras vite ton précieux vif d'or !

Et elle baissa la tête vers son livre. Mais, là, elle vit voleter le vif d'or en question près de la couverture. Elle ouvrit de grands yeux, regarda en direction de Lucas qui cherchait le vif d'or des yeux et fixa à nouveau le petit objet volant. Elle le saisit d'un geste rapide. Satisfaite, elle regarda Lucas qui c'était tourné vers elle d'un air méfiant. Elle lui sourrit, et comprit son erreur. Elle n'aurait jamais sourrit à un Serpentard si il n'y avait pas quelque chose. Elle fourra sa main dans sa poche, la petite boule brillante avec.

Les talons tout juste tournés, Lucas sentait parfaitement bien le regard que sa chère « amie » poser sur lui. Mais c'était bien déterminer à retrouver son petit vif d'or, que Lucas traçait son chemin, bien décidé à se la jouer Serpentard attitude jusqu'au bout parce que quoi.... il le valait trop bien, quoi! Le sourire débordant de malice, il avançait tout doucement le nez en l'air à la regarde de la boule qui brillerait logiquement de mille feu avec un soleil pareil. Oui, normalement, Lucas n'aurait aucune difficulté à la retrouver mais.... mais non, rien en vue. Il fit la grimace, ça faisait deux petites minutes qui venait de quitter la Gryffondor, donc deux petites minutes qu'il cherchait mais rien, et il commençait de nouveau à perdre patience.

Curieux, il osa tout de même jeter un regard derrière lui.... et fût vraiment étonné de voir la blondinette lui sourire trop largement pour que ce soit naturelle. C'était suspect, de toute façon quand on voit un Lion sourire à un Serpent.... C'était douteux, sauf en cas d'exception, mais là, c'était net, ils ne s'aimaient donc....

« -Edams !!! REND MOI MON VIF D'OR! », sans trop avoir besoin de réfléchir plus longtemps, Lucas s'était aussitôt douter de la supercherie. Elle le prenait vraiment pour un demeuré? Le vert et argent accouru rapidement vers elle et la menaçait, dans un premier temps de ses yeux et son regard foudroyant. C'était inévitable, Lucas le sentait d'avance, elle résisterait voulant se la jouer « j'ai peur de rien et encore moins d'un Serpentard », elle refuserait.... Autant y aller direct. Il sortit discrètement sa baguette de sa poche et la pointa vers la petite. Le grand McGowan lui avait appris la veille quelques petits tours marrant, simple mais très ennuyeux pour ceux qui le subissait et puis aujourd'hui se présentait à lui un opportunité en or pour passer à la pratique....

« -rend moi mon vif d'or », répéta-t-il sur un ton glacial et beaucoup plus calme.

Satisfaite, elle regarda Lucas qui c'était tourné vers elle d'un air méfiant. Elle lui sourrit, et comprit son erreur. Elle n'aurait jamais sourrit à un Serpentard si il n'y avait pas quelque chose. Elle fourra sa main dans sa poche, la petite boule brillante avec.

Lucas la regarda puis courrut à nouveau vers elle lui hurlant de lui rendre le vif d'or. Rosie savait qu'il ne servait à rien de nier. Elle ne savait pas contre pas comment réagir. Elle allait parler quand Lucas tira sa baguette et lui redonna un ordre, la voix beaucoup plus calme. Rosie le fixa, jaugeant ses capacités. Il était plutot doué, et connaissait surement des sorts de magie noire. Il n'hésiterais à attaquer, même une fille, même plus petite de taille.

Pourtant, elle ne devait, elle ne pouvait pas le lui rendre aussi facilement, sans lui renvoyer une réplique cinglante à la figure. Cela lui laisserais croire qu'il pourrait faire ce qu'il voudrait avec les gryffondors, et avec elle. Cela serait presque une trahison envers les lions, envers Harry Potter en personne.

Elle le regarda, la rage inscrite dans ses yeux.

Tu te doute que je ne te laisserais pas le prendre aussi facilement. C'est dailleur pour ça que tu as sortit ta baguette. Tiens toi en à tes doutes. Comme tu le sais, je ne me laisserais pas faire. Quel sort vas-tu utiliser ?

Autant pour le forcer à attaquer le premier, en cas de problèmes administratifs, que pour lui montrer que se qu'il s'apprétait à faire contre une fille était faible, elle lança :

Pauvre lache de vipère !

Le sourire devenu sadique maintenant, Lucas regardait Rosie dans les yeux. Il voyait bien qu'elle ne semblait pas si forte qu'elle voulait le montrer, elle avait peur mais parvenait à la surmonter. Au fond, elle craignait le sort qu'elle pourrait recevoir.... C'était ce genre de situation que Lucas aimait, il l'a contrôler entièrement, et cette Gryffondor aurait beau l'insulté, vouloir se la jouer brave et fier.... on savait bien que ça n'en changera rien. Quel sort utilisera-t-il? Qui avait parler de sort? Sortir sa baguette n'avait rien de bien méchant... c'était... tout à fait bénin....

« -Pourquoi as-tu soudain si peur Edams? Tu ne veux pas montrer que tu es faible? Tu te cache derrière cette stupide bravoure, hein... ce truc idiot avec lequel joue ce Potter. C'est un sorcier de pacotille en réalité, si on y songe bien, il ne maitrise aucun sort... sorcier de pacotille oui, c'est le hasard qui le rend si spécial, coup sur coup il a de la chance... Tu sais, ça aurait pu être toi à sa place, ou même moi... Mais n'est crainte Edams, je ne te ferais aucun mal...... ». Le sourire malicieux, il la fixa encore longtemps, la baguette toujours pointé en sa direction. « -Pauvre lâche de vipère ! »... cette remarque arracha un nouveau sourire à Lucas. Elle le sentait mal visiblement, imaginais comme le pire mais pourtant... Après un haussant des sourcils l'air évident, le rouquin reprit la parole:

« -Accio Vif d'or », chuchota-t-il son visage était maintenant très près de celui de la blondinette... Il cherchait à la mettre mal à l'aise, et c'était gagné visiblement. Aussitôt dit, aussitôt fait, le petit vif d'or quitta la main de la fillette et s'éleva dans les airs. D'un geste vif, Lucas le saisit et le tenait maintenant fermement dans la main. Le sourire fier, il se rapprocha de la Gryffondor...

« -Merci Edams.... », ajouta-il, ceci dit, il n'y avait évident aucune goutte de sincérité là dedans, c'était lui qu'avait tout fait... rha, c'est flemmard de Bouffondor. Le Serpentard se redressa, adressa un dernier sourire malin à sa camarade et tourna les talons une bonne fois pour toute.

[Fin de topic pour Lucas]