L’ennui contre un jus de citrouille SVP. [PV Lorenzo]

C’était une superbe journée pour le mois de mars. Gabrielle observait par la fenêtre cette journée qui pour elle allait être perdu. Elle devait accompagner ses parents au Trois balai à Pré au Lard. Il y avait une rencontre avec une certaine personne. Qui? Gabrielle n’avait pas réussit à le savoir. Il y avait une chose à savoir sur les Armstrong, c’était qu’il était secret lorsqu’il était en phase écriture pour un nouveau livre. Ses parents étaient des écrivains reconnus pour la cuisine magique. Étant trop jeune (selon ses parents) pour restez à la maison, elle devait les accompagner à Pré au Lard.

La petite fille n’avait pas trop envie d’y aller. Elle prit dont un peu plus de temps pour s’habiller et se coiffé. Elle avait mis un pantalon bleu foncé avec une jupe quadrillé bleu pale. Sa chemise à manche longue était beige avec un chat dans le dos. En plus elle avait mis sa cape pardessus. Il va se dire que l’enfant avec des drôles de goût vestimentaire. Finalement, elle n’avait pas pu garder sa jupe. (Ses parents n’avaient pas voulu, la jupe était de trop.)

Le trio arriva à Pré au Lard. Il avait pris la poudre de cheminé pour si rendre. Mrs Armstrong était contre le fait de transplanté avec une enfant aussi jeunes. Elle les suivait donc dans la mesure du possible à travers se lieu inconnu. Il y avait temps de monde. À sa grande surprise il y avait même des élèves de Poudlard. Peut-être que sa sœur y sera. Un espoir venait d’allumé dans son petit cœur triste (triste de perdre une journée à attendre).

Arrivé au Trois Balais, ses parents lui trouva une place seule pour qu’elle ne puisse pas les dérangé pendant leur rencontre et lui commanda un jus de citrouille. Ils lui avaient même laissé un jeu de carte, la gazette et un petit livre. La fillette c’était accoté la tête contre sa main. L’ennui se lisait déjà sur son visage. Combien de temps cette rencontre allait-elle dure? Pourquoi devait-elle les suivre comme si elle était un petit chien de poche? Elle laissa échappé un soupire de découragement.

Il aimait bien ses quelques rares amis, mais il faut dire que le seul qui avait un véritable intérêt, c'était bien Camille. Lorenzo s'était allongé sur l'un des bancs qui longé l'une des rues de pré-au-lard, les paupières closes, l'esprit ailleurs. Mais il n'était pas en train de dormir, avec tous ces bruits, impossible de s'endormir. À cette heure-ci, Pré-Au-Lard était plus actif que jamais. Puis, alors qu'il voyageait en toute liberté dans son esprit, à la recherche de périples intéressants qu'il avait vécu à Poudlard. Il sentit quelque chose lui toucher la jambe. Puis, une petite voix tremblante qui l'interpellait. « S'il vous plaît... Jeune homme... S'il... vous plaît. » Pourquoi cette vieille dame venait le déranger. Mais c'est avec un large sourire que notre jeune Poufsouffle se redressa d'un bond. Il avait d'ores et déjà deviner que la dame voulait s'installer ici parce que ses pauvres jambes avaient besoin de repos. Mais il préférait l'entendre de sa bouche : « Quelqu'un... est partis avec votre blouson. » Et voilà que notre jeune homme saute du banc et se met à courir dans une direction complètement au hasard. Super ! Super ! Super ! Il avait la moitié de son argent dans son blouson et il venait de tout perdre. À force de courir et de faire toutes les rues, il avait pris une heure de son temps. Malheureusement, il aurait peut être dû demander avant à la vielle dame dans quelle direction était partis le voleur. Ce n'était pas la peine de chercher trop loin, il avait paumé son blouson et ne le reverrait certainement pas de sitôt. « Mince... » Il allait pas faire long feu avec quelques pièces dans la poche, il avait juste assez pour rentrer chez lui. Mais là... Il était vraiment congelé. En plein mois de Mars, on ne pouvait pas dire qu'il faisait chaud, surtout en Angleterre. Les trois balais étaient sa prochaine destination. Mais ; il était obligé de boire une consommation ! π_π Sinon dehors hein... Lorenzo gardait le sourire, comme si tout allait à merveille alors qu'il venait de perdre ce qui lui tenait chaud, et l'argent qui lui permettait de passer un excellente après-midi. Il allait devoir... juste se débrouiller. Allez, il était doué. Il savait très bien amadouer un chauffeur de taxi, ce n'était pas la première fois qu'il se retrouvait dans une m*rde pareille.
Une table. Il lui fallait une table. Il venait de commander un chocolat chaud. « Je le veux bouillant ce chocolat chaud ! » Avait-il dit avec un large sourire, alors que le barman le regardait avec de grands yeux. Le jeune garçon était honnête en disant ça, parce qu'il était congelé et qu'il avait toujours tendance à parler plus vite qu'il ne pensait. Très peu de table était libre, évidemment. Il pouvait très bien se mettre près de la fenêtre, il y avait un rebord. Mais pas sur que le gérant soit d'accord. Ils sont jamais content ceux là... « Dis ! Je peux m'asseoir là ? Non parce que t'es toute seule et qu'il n'y a plus une seule place de libre. Je n'ai pas trop envi de m'installer au bar, et encore moins par terre. J'aurais bien opté pour le rebord de la fenêtre, la vue est pas mal. Mais bon... » Lorenzo a toujours été très doué pour ennuyer ses interlocuteurs en deux secondes à peine, mais son énergie pouvait parfois contaminer son entourage.

La fillette perdue dans ses pensées n’avait pas remarqué le jeune garçon rentré aux Trois balais. Elle sursauta légèrement quand le garçon lui adressa la parole. «Dis ! Je peux m'asseoir là ? Non parce que t'es toute seule et qu'il n'y a plus une seule place de libre.» avait-il dit. Elle sorti soudainement de son ennuie d’attendre, si elle pouvait dire sa. Elle jetait un coup d’œil autour d’elle. Effectivement, il y avait bien du monde. Lorenzo bien qu’elle ignorait encore qui il était, continua dans son bavardage. C’était un fait, la chaise en face d’elle n’était occupé jusqu’à se qu’il arrive. Et puis, le sol et le rebord de fenêtre ne devait surement pas équivaloir au confort d’une chaise.

- Je ne vois pas pourquoi je te dirais non puisse que la chaise est libre. Et puis c’est plus confortable qu’un rebord de fenêtre! Sa doit faire mal au fesse ça!

Gabrielle-Ann prit une autre gorgé de son jus de citrouille. Il y avait une bonne température dans l’endroit mais par contre dehors se devait être autre chose. Elle trouvait le garçon légèrement vêtue pour le mois mars. Peut-être était-il trop pauvre pour avoir un manteau? Qui sait! Elle était chanceuse, ses nouveaux parents étaient très riches, peut-être même trop riche. Depuis qu’elle avait été adopté jamais elle n’avait manqué de quoi.

-Dis tu dois avoir froid dehors sans manteau? Pourquoi tu en a pas? Au fait, je m’appelle Gabrielle-Ann Armstrong.

Ce n’était pas qu’elle était impolie mais elle avait oublié ses bonnes manières en oubliant de dire son nom. Habituellement, sa n’arrivait pas mais là c’était différent. Il n’avait pas de manteau et en plus il voulait s’asseoir sur le bord de la fenêtre! Un tel comportement fait oublier ses bonnes manières surtout quand on fait le saut.

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