Cette nuit là, Valérian n'avait pas dormit. Il était resté dehors, la lune l'avait éclairé durant toute sa longue promenade. Le fait qu'il était inscrit à Poudlard l'avait désorienté et il ne passait presque plus de temps avec ses parents, qu'il avait délaissé pour être tranquille. Il partait plusieurs jour en pleine montagne pour réfléchir de tout et de rien. Il était presque 3 heures du matin quand il rentra chez lui. Evidemment, ses parents étaient couché depuis bien longtemps mais ils ne s'était pas inquiétés parce que Valérian n'était pas rentré, ils avaient l'habitude. Mais Valérian n'avait pas envie d'aller se coucher, il n'avait pas sommeil. Il monta dans sa chambre et regarda sa grosse valise qui n'était encore fermé. Quelque jours auparavant, accompagné de ses parents, ils étaient allé acheter ses affaire de cours. Là, il était assis sur son lit en train de regarder le magnifique étui dans lequel se trouvait sa baguette magique. Une baguette en bois d'acacias de 36cm avec une plume de phénix. Que se passerait-il si il n’était pas à la hauteur, il voyait son père se servir tous les jour de la magie et il voulait savoir autant de chose que lui mais il avait des doutes sur ses capacités.
Le matin, après le levé du jour, il était partit, en compagnie de son père, sa mère devant aller faire des courses, à la gare de King’s Cross, là ou se trouvait le train qui devait l’emmener à Poudlard. Ils n’eurent pas de problème à trouver la voie 9 ¾ vu que son père connaissait bien se chemin après l’avoir fait sept ans d’affilé.
En arrivant sur le quai, il vit la magnifique locomotive rouge marqué du signe de Poudlard, un lyon, un serpent, un blaireau, un aigle, qui représentaient chacun un des quatre fondateurs. Il s’avança et entra dans le train, par chance, il trouva un compartiment libre où put installer sa valise. Une fois fait, il redescendit pour dire au revoir à son père.
"Mon fils je veux que tu sache que je suis très content que tu aille à Poudlard. Au revoir."
Il serra Valérian dans ses bras et à peine le lâcha que le train allait partir. Valérian monta en vitesse et se mit dans le compartiment où se trouvait sa valise, il sortit la tête dehors pour voir une dernière fois son père qui le regardait partir sur le quai. Le train prit de la vitesse et bientôt le premier virage arriva, tout le monde disparut alors.
* Voilà qui est fait. Une nouvelle année commence, mais cette fois, elle sera différente des autres.*