Je choisis ou elle me choisit? [PV- Terminé]

Voila deux jours que Gabrielle-Ann tourne en rond dans ma chambre. Camélia, elle est complètement tordue de rire devant la nervosité de la fillette. Elle se moque de ma nervosité en fait. Il y a deux jours, elles ont reçu leurs lettres de Poudlard! La grande joie pour les filles, Gabrielle-Ann va enfin pouvoir allez dans cette école, chouette! Ils vont donc aujourd’hui acheter les fournitures scolaires et sa toute première baguette magique. Mes parents et ma sœur ont tenté de d’expliqué a Gabrielle que c’est la baguette qui choisi son maître et non l’inverse. Pourquoi? C’est sa qu’elle ne comprend pas, mais vraiment pas. Les Armstrong s’était donc rendu au chemin de traverse. Gabrielle-Ann adorait ses vieilles boutiques sorties tout droit d’une autre époque. Gabrielle était complément charmé par tant de magie autour d’elle.

Encore aujourd’hui, elle était complètement charmée par le monde magique. Il y avait encore 5 ans, elle ignorait tout du monde de magique et le fait qu’elle soit sorcière. Quand ses parents l’on adopté, tout lui a semblé s’expliquer. Les tableaux de l’orphelinat coloré, qu’une porte aille disparu et bien d’autre phénomène magique causé par elle avant qu’elle comprend. Se qui l’a marqua encore plus se fut la banque des sorcier, elle en sorti de la presque malade. Donc pour lui redonné des couleurs, la petite famille sont allées manger un glace. Celle de Gabrielle était une véritable explosion de saveur fruitée. Elle vola même une bouché a celle de sa sœur.

Toute la famille avait à présente presque tout acheté sauf la baguette magique de Gabrielle-Ann. Ils parlaient tous d’école dans le but de taquine la fillette qui était de plus en plus stressé par cette rentré scolaire qui allait avoir lieu dans 6 jour. Kate Armstrong, sa mère parlait qu’elle avait du faire comme épreuve pour savoir dans quelle maison elle serait. C’était en soit des mensonges mais ça, la fillette l’ignorait.

-Allez Gabie, calme toi, se n’est que des mensonges tout ça!

Sa mère voulant la fillette perde des couleurs, se résigna à lui expliquer. Gabrielle offusqué de leur taquinerie bouda les bras croisé au bout milieux de la route. Elle finit par avancer avec eux pour ne pas les perdre de vu. Elle en avait quasiment les larmes aux yeux. Par contre elle continua malgré tout a boudé jusqu'à se qu’ils arrivent devant la charmante boutique d’Ollivander. La fillette lit a haute voir l’écriteau comme la première fois qu’elle y était entré. Cette fois là, ce n’était pas pour elle mais pour Camélia. Camélia, sa grande sœur adorée avait eu une très belle baguette. Elle en voulait une aussi belle que celle de sa sœur Cette journée la, Gabrielle avait une autre fille. Aujourd’hui, il n’y avait aucun autre élève. « Zut» pensa t-elle. Sous le regard presque moqueur de sa famille, elle était figée devant la porte. « Non, je veux pas y allez… » Pensa l’enfant. Sa mère tenta de lui donné une légère poussé, mais rien. La fillette refusa de bouger.

- Allez-y sans moi…. Répliqua Gabrielle.

- Gabrielle-Ann, se fâcha sa mère, Ce n’est pas le temps au caprice, rentre maintenant, allez!

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Camélia avançait tranquillement sur le Chemin de Traverse lorsqu’elle remarqua que sa sœur traînait de la patte. Souriante, elle se souvint de sa première rentrée à Poudlard. Elle aussi avait été nerveuse, mais comme ses parents lui avaient bien expliquer le fonctionnement de cette école de magie et qu’elle était de nature extrêmement sociable, tout s’était fait en douceur.

Et il n’y avait rien de plus agréable que de magasiner de nouveaux effets scolaires : des nouveaux chaudrons, des nouveaux manuels, des nouvelles robes de sorciers… Camélia adorait magasiner et souhaitait que tout soit à la mode. Elle avait demandé quelques gallions à sa mère pour s’acheter un cornet de crème glacée. Aux cerises, pour le goût, mais aussi pour la couleur rose qu’elle affectionnait tant. Décidément, les rentrées scolaires étaient toujours un moment de pur plaisir, même si cela signifiait retourner sur les bancs d’école et s’ennuyer à mort. Heureusement que Cam avait un grand cercle d’amis! En voyant l’expression sur le visage de Gabie, elle se dit qu’il fallait qu’elle lui apprenne à être moins gênée. Elle fit un clin d’œil à sa mère, qui s’impatientait devant. « Tout va bien », murmurra-t-elle.

Elle rejoignit sa sœur et lui fit un gentil sourire.

- Tu sais, Olivander est un type gentil. Il ne va pas te mordre! Et puis, si tu ne vas pas magasiner ta baguette, tu ne pourras pas suivre tes cours! C’est obligatoire. Je reste près de toi, si tu veux.

Camélia ne savait pas trop si c’était la magie des baguettes ou le regard des plus vieux qui intimidaient Gabrielle-Ann. Elle savait que sa jeune sœur avait entendu toutes ses histoires au sujet des gens de sang mêlé, mais elle ne voulait pas que ça lui fasse peur. Au pire, elle pourrait trouver deux ou trois garçons pour jouer les gardes du corps une fois passée la porte du château.

Elle poussa la porte et regarda sa sœur. Gabrielle-Ann avait un regard à la fois apeuré et impressionné devant les baguettes qui dansaient toutes seules en attendant qu’on les teste.

Elle pris la parole la première, voulant présenter sa petite sœur au monde entier (bah, au moins aux sorciers!)

- Olivander! Cette fille est ma sœur, Gabrielle-Ann Armstrong. Trouvez-lui la meilleure baguette au monde! Si possible hein, tout le monde sait que la meilleure c’est la mienne!, fit-elle en riant.

Gabrielle était soulagé que sa grande sœur essai de l’encouragé mais cette boutique lui faisait toujours peur. Elle prit donc la main de sa sœur et la suivit à l’intérieur. Elle sourit sous le commentaire de sa sœur face à sa baguette comme ça elle à la meilleur? Pff ce n’est pas vrai pense la fillette. Après tout, elle se devait d’être aussi forte que sa sœur!

- Non c’est moi qui vais l’avoir!

Elle lui fit une grimace. Puis Mr. Olivander sourit en sortant dernière une étagère. Il lui demanda si elle était droitière ou gauchère. Elle lui répondit en levant sa main droite. Dison qu’elle était un peu sans voix pour le moment puis que l’homme l’intimida encore. Puis plusieurs ruban à mesuré pris quelque mesure se son bras, de la grandeur puis après un ordre sec du commerçant, les rubans tomba au sol. Puis il lui arriva avec une petite baguette. Mais lui retira sur le champ. Puis elle demanda timidement :

- Pourquoi se n’est pas moi qui choisit?

Le vieil homme se pencha vers la petite fille. Comment expliquer ce genre de choses à une enfant sans trop l'effrayer? Heureusement, il avait de l'expérience.

- Tu vois, dans la vie, il y a une baguette pour chaque personne. La baguette te choisit selon ta personnalité.

Camélia, qui était encore aux côtés de sa soeur, ajouta :

- Comme le Choixpeau magique de Poudlard qui lit dans nos pensées pour nous assigner une maison!

Le vieil homme sourit à la plus grande des deux et poursuivit :

- Exactement! Et si tu en prends une au hasard comme ça, tu risques de te faire mal...

À cet instant, une baguette s'éleva magiquement dans les airs pour atterir dans les mains de la petite fille.

- Hum, celle-là, je crois que tu peux l'essayer, dit Ollivander. Essaie donc de faire de tous petits cercles avec, pour voir?

Camélia regardait la scène, à la fois émerveillée et apeurée. S'il arrivait malheur à sa petite soeur, elle s'en voudrait à mort!

La fillette de 10 ans écouta attentivement Mr. Olivander et sa grande sœur. Ainsi donc, c’était comme sa que nous désignait notre future maison à Poudlard. Puis une baguette vola jusqu’à elle pour se déposé dans ses mains. Elle ne savait que faire. Puis le vendeur lui dit qu’elle devait l’agité un peu. Aucun phénomène magique ne se produit au moment de l’agitation de l’enfant. Peut-être n’était pas prête pour allez dans la grande école de sorcellerie de Poudlard. Le vendeur lui enleva tout suite cette baguette. Puis il lui en donnant une autre, a peine arrivée dans ses mains qui lui retirait d’aussitôt. Puis l’homme arriva avec une autre baguette. Quelle était magnifique celle là! Pensa l’enfant.

-Bois de saule, 25.6 cm, souple et rapide, excellant pour les enchantements Mlles Armstrong

- Quelle est belle! S’exclama l’enfant!

Elle regarda sa sœur, puis se retourna vers le vendeur. Il lui tendit la baguette délicatement. Une fois dans sa main, elle ressenti une nouvelle émotion. Une nouvelle amitié venait de naître. C’était tout simplement majestueux comme sensation.

Camélia regarda sa soeur agiter les baguettes avec intérêt. Pour une fille qui n'avait pas d'expérience, elle s'en tirait plutôt bien! Après quelques essais, la jeune fille vit que sa petite soeur changeait d'attitude. Elle semblait plus à l'aise avec cette baguette en bois de saule. L'ainée sourit : c'était sûrement la bonne!

M. Ollivander approuva d'un signe de tête et Cam s'approcha pour voir la baguette de plus près.

- C'est vrai qu'elle est super!, dit-elle. Avec ça, tu seras la meilleure en cours de Sortilèges, c'est certain!

Camélia était fière de sa soeur. Pendant que M. Ollivander et les parents des deux filles papotaient, Cam la regarda faire des figures de style avec sa nouvelle acquisition, puis ils s'en allèrent acheter les robes de sorciers.

Mr. Olivander s’approcha de l’enfant pour lui dire « Tu vois, c’est la bonne ». La fillette était au ange. Finalement, s’était pas si épeurant acheter une baguette magique. L’enfant regarda sa baguette attentivement et refusa même de la donné à ses parents, se qui fit rire sa grande sœur et ses parents. Puis ses parents payèrent la baguette de leur plus jeune fille. « C'est vrai qu'elle est super!, dit-elle. Avec ça, tu seras la meilleure en cours de Sortilèges, c'est certain! » Avait-elle dit son adorable grande sœur. Ainsi donc, elle serait la meilleur dans se cours. Puis la fillette pensa que la journée de son anniversaire, c’était aussi la rentré scolaire.

- Papa, Maman comme mon anniversaire est la journée de la rentrés, est-ce que je vais pouvoir tout même manger un gâteau?

Ses parents éclatèrent de rire sous son commentaire. Effectivement, Gabrielle-Ann adorait particulièrement les gâteaux d’anniversaire. Il la rassurèrent puis quitta la boutique de Mr. Ollivander.