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| Quand on n'a plus rien à perdre [PV] | |
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 17:56 | |
| Elle passa la main sur la joue de son petit ami, cherchant son regard et, ayant décidé qu’il disait la vérité, elle déposa un baiser léger comme une plume sur ses lèvres. « D’accord, mais j’aimerais te donner moins de soucis quand même. » Surtout qu’en plus des vrais, Vincent s’en rajoutait beaucoup de faux parce qu’il était un peu protecteur à l’extrême. Elle se souvenait encore parfaitement du scandale qu’il avait fait à Adrien il y a un peu plus d’un an quand elle avait bu chez le Poufsouffle quelques bières et que Vincent s’en était rendu compte. Sachant qu’en plus ce jour là, elle avait fumé… elle n’avait plus recommencé depuis qu’elle était avec Vincent, Fredericke était de celles qui se mettent à déraper uniquement quand elles ne sont pas heureuses… hors, même si le chemin était parcouru d’embûche, elle vivait plutôt bien tout ça. Sauf là, mais c’était bien plus grave que les petites guerres entre serpentards et gryffondors… Elle avait perdu sa mère quoi… Et, étrangement, se dire qu’elle était morte sans jamais accepter Vincent dans la famille pinçait le cœur de Fred’ alors même qu’elle n’avait aucune certitude que cela serait arrivé un jour.
« Je n’ai jamais craqué et je ne craquerais jamais pour un autre que toi. Tu es mon préféré depuis le jour de notre rencontre. » Elle pressa sa main avec un petit soupir d’aise, elle se sentait bien maintenant, triste bien sûr, mais il n’y avait plus cette détresse extrême qu’elle avait connu toute la nuit. Vincent était là, avec elle, il la couvrait de mots doux, des mots d’amour, de ceux qu’une fille aime entendre quand elle ne va pas bien, et il était à ses côtés, elle pouvait sentir sa chaleur et sa tendresse, alors elle se sentait déjà bien mieux. Elle savait aussi dans un coin de sa tête qu’elle arriverait à dormir quand ils en auraient marre de parler, parce qu’il veillerait sur son sommeil, éloignant tous les cauchemars… et aussi que d’une manière plus pragmatique elle était complètement épuisée. « D’ailleurs, moi ce qui m’intéresse dans les tours du monde, c’est de faire des visites. Il faudrait qu’on refasse un voyage cet été… » Elle les voyait déjà sur une plage d’une île paradisiaque, le rêve…
Mais ils n’y étaient pas encore, dommage hein ? « Je t’écrirais une lettre par jour et à chaque fois que tu auras le droit de sortir de l’école, je serais là à t’attendre devant la grille. » Fredericke était typiquement la fille folle de son copain à en être accro, elle était même pire que la moyenne parce que pour elle Vincent représentait à la fois son petit ami mais aussi son meilleur ami, sa famille… il était tout pour elle.
Pas assez cependant pour qu’elle lui cède tous ses caprices ! « Vince’ ! » Dit-elle d’un ton plus ferme mais avec un petit sourire quand même tout en retirant une nouvelle fois la main de son petit ami. « Ce n’est pas que je n’en ai pas envie mais je ne veux pas le faire dans l’école. Je pensais que tu l’avais compris depuis la rentrée… » Pour le consoler ( ?) elle l’embrassa avec tendresse et entrelaça ses doigts aux siens. « Je compenserais quand on sera à la maison… » Chance pour elle (ou pas, mais on compense comme on peut), ils rentraient le lendemain !
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 18:17 | |
| Elle ne lui donnait déjà que peu de soucis, d'une certaine manière, pour ce qu'il en était du reste, c'était lui qui le mettait en place. Sa gêne d'aimer, ça lui provoquait de la jalousie et tout ça, ce genre de chose dont elle se serait déjà volontiers passer mais elle ne le pouvait pas bien sûr, c'était impossible et elle le savait, c'était bien présent en lui et cela, quoi qu'elle puisse ne serait-ce qu'un peu en dire. Elle était là, avec lui, et lui, il paniquait à l'idée qu'un jour, elle puisse décider de choisir d'autres bras. C'était ça, sa hantise, et il en était parfaitement conscient. Vincent ne pouvait rien faire, ni rien dire, puisque c'était sa propre jalousie, il aurait aimé changé, mais il n'était pas toujours possible de se changer soi-même, bien sûr. Et puis bon, l'aurait-il un jour vraiment voulu, c'était une toute autre question quoi. Enfin bref, elle ne lui apportait pas tant de soucis que ça. Okay, il se serait passé de ses amis garçons, mais bon, elle n'y pouvait rien si elle était sociale non ? « La seule chose qui soit réellement énervante et qui se trouve entre toi et moi, c'est la jalousie que je peux porter à l'égard de n'importe qui, mais je n'y peux rien et j'aurais aimé que les choses soient bien différentes. Mais je n'y peux rien, on va dire. Je suis le réel soucis de ce couple »
Il sourit, à l'idée de savoir qu'il ait pu être son préféré depuis qu'il s'était rencontré, ça avait quand même un petit quelque chose de drôle après tout, c'était incompréhensible, c'était dur, c'était, trop bizarre quoi. Vraiment. Elle n'était pas capable de comprendre. C'était incompréhensible. Oui, voilà. Parce que pour lui, ça avait été tellement long... Et il ne pourrait jamais s'empêcher de savoir comment est-ce qu'une personne comme elle pouvait bien aimer une personne comme lui, c'était vraiment trop bizarre. Mais bon, on ne pouvait pas toujours expliquer ce que le coeur faisait. On ne pouvait pas toujours comprendre pourquoi les sentiments pouvaient aller dans un sens et pas dans l'autre. « Hm... Et je ne comprendrais probablement jamais ton choix en faite. Parce que je suis loin d'être le meilleur parti ! »
Un voyage aux prochaines vacances ? Bien sûr qu'il était d'accord, et on ne pouvait pas en douter un seul instant, c'était évident quoi ! Après tout, comment pourrait-il ne pas en vouloir ? Les vacances, c'était ce qu'on faisait avec plaisir, on allait dans des endroits pour s'y détendre, pour y être bien tranquille et tout ça. Et surtout, pour ne rien faire de leurs temps libre. « Pourquoi pas après tout, ce n'est certainement pas moi qui vais dire non. Prendre le soleil et ne rien faire de la journée, c'est le pied. »
Bon, par contre, il doutait du fait d'avoir les mots qu'il faudrait tous les soirs et tout ça, c'était trop bizarre, d'une certaine manière. Enfin bon, on ne pouvait pas vraiment dire que ça devait être si dérangeant que ça. Enfin... Dans tous les cas, il devrait bien finir par trouver quoi dire non ? « Faudra encore trouver quoi dire tous les jours ! Parce que mine de rien... A Poudlard, ce n'est pas la folie quoi... »
Il fit mine de bouder quand elle retira une nouvelle fois sa main. Enfin non, il ne fit pas vraiment mine de bouder. Il bouda vraiment, en faite. Mais ça, il ne fallait pas le dire pour autant. Oui, voilà. « T'es vilaine ! ». Il allait encore devoir attendre et heureusement, ça n'allait pas durer bien longtemps parce que sinon, ça allait mal aller ! Bon, pas au point de la violer, il n'était pas fou non plus, il ne fallait pas se mettre à s'imaginer des choses quoi ! « Y a intérêt ! »
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 19:09 | |
| Fredericke hocha la tête tout en finissant de sécher ses larmes avec le revers de sa manche. Comme parler la distrayait, elle ne pleurait plus, jusqu’à ce que ça la reprenne en tout cas. Elle fit une bise sur la joue à Vincent et lui dit « Moi, ta jalousie, je la trouve mignonne. Bon, sauf quand tu tapes les copains au point de finir toi-même à l’infirmerie, mais sinon… Puis au moins, ça veut dire que tu me trouves vraiment belle. » Et comme pendant longtemps elle avait pensé que Vincent ne la trouvait ni belle, ni désirable, elle éprouvait un certain contentement dans tout ça, et ce même si elle avait conscience de l’idiotie de la situation.
« Si on excepte le fait que je sois mignonne, riche et gentille, je ne suis pas forcément un très bon parti non plus, je traîne de sacrés boulets… » Et soyons bien clairs, ce n’était pas de ses amis Poufsouffle qu’elle parlait XD C’était plutôt de ses parents, de sa maladie, de son statut de duchesse ou même de son mauvais caractère qu’elle parlait. Parce qu’elle était quand assez difficile à vivre quand on y pensait… même si la plupart du temps, avec Vincent, elle était douce comme un agneau, n’importe qui pouvait certifier qu’elle était capable de piquer des colères monstrueuses. « Et puis, puisque c’est toi que j’aime, tu es forcément le meilleur des partis… » Bien meilleur que n’importe quel Franz du monde !
« Hum… et bien, tu n’auras qu’à me dire que la journée n’avait rien d’extraordinaire mais que je te manque… Moi je t’enverrais aussi des photos. » Tiens en parlant photo… non, plus tard. « Des photos de moi dans tous les pays que je visiterais et des photos de ce que je verrais, comme ça, se sera comme si tu les voyais aussi ! Et peut-être qu’on pourra aller voir tout les trucs les mieux ensemble quand tu sortiras de Poudlard ! Pour fêter tes Aspics ! » On remarquera que Fredericke n’avait juste aucun doute sur la réussite respective de leurs études, elle pensait même que quand Vincent saurait ce qu’il veut faire, il serait bon dans son métier. Après, le vrai problème, c’est que lui ne savait pas trop ce qu’il voulait faire après Poudlard, alors que elle si. Ceci dit, elle le suivrait n’importe où du moment qu’elle pouvait rentrer en Allemagne de temps en temps.
Comme Vincent boudait, elle déposa plein de bisous dans son cou. « Boude pas mon cœur, non seulement je ne changerais pas d’avis mais ça pourrait te priver de certaines compensations quand on sera chez nous… » C’était peut-être un peu bizarre de dire « chez nous » à seulement seize ans (et quinze pour lui), mais pourtant c’était la réalité, ils vivaient ensemble. Maintenant, ce n’était pas comme s’ils vivaient seuls, il y avait des adultes pour tout gérer à leur place, malgré ce statut particulier, ils restaient juste des ados… amoureux et ensemble, mais des ados quand même. Fredericke ne remercierait jamais assez sa tante pour tout ça. « Tiens, j’vais te donner une vraie raison de bouder ! » Elle attrapa sa veste et sorti un paquet de photo, c’était toutes des photos de Sterne. Elle trouva finalement ce qu’elle cherchait, une photo de Gaël (un serdaigle de sixième) et elle, normalement, il y avait Adrien de l’autre côté mais là on le voyait pas. Sur cette photo, elle portait sa robe de scène, et normalement Gaël devait juste avoir une main sur sa taille et l’autre sur son ventre mais quand on les avait bousculé il avait dérapé (volontairement ou non, ça…) et s’était rattrapé au tissu, dévoilant plus qu’il ne le fallait le décolleté de Fred’. Et bien sûr, Elyna avait appuyé juste à ce moment là sur l’appareil photo.
« Gaël s’attends à ce que tu le massacres, il a l’habitude de toute façon. » Pas de se faire frapper par Vincent, mais de se faire frapper en général. Le pauvre était plutôt petit pour son âge puisqu’il faisait la taille de Fred’ (1m65), il était donc un peu le souffre douleur de tout le monde, il était même le larbin d’une serdaigle plus jeune, c’est pour dire…
Enfin, c’est pas comme si Vincent adorait les mecs de Sterne de toute façon XD Et le pire c’est que c’était Tobias qui avait bousculé Gaël !
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 21:28 | |
| Les larmes semblaient enfin bien décidée à ne plus couler sur ses joues et c'était un plaisir. Fredericke essuya alors ses joues, avec sa manche et il ne put s'empêcher d'être content du gestes. Il pouvait parfaitement se contenter de peu et il n'avait jamais dit le contraire. Et le simple fait de voir qu'elle ne pleurait plus pouvait le combler de bonheur. Ce n'était pas qu'il se contentait de peu, si on pouvait dire ça comme ça, mais disons plutôt qu'au moins, comme ça, il se sentait mieux, oui voilà. Et si elle ne pleurait plus, c'était qu'elle aussi non ? Ca voulait dire qu'il avait été capable de la réconforter à sa manière ça non ?
Sa jalousie ? Mignonne ? Mouais, ce n'était pas l'avis de tout le monde et certainement pas le sien. Comment pouvait-on trouver mignon le fait qu'il ne puisse pas s'empêcher de cogner sur les gens hein ? Ca avait quand même un petit quelque chose d'incompréhensible quoi ! Mais bon, c'était comme ça, voilà tout, mais au moins, ça voulait dire que cela ne la dérangeait pas tant que ça, lui qui avait pourtant trouvé ça tellement stupide et inutile... Non mais c'était vrai quoi, ça avait quand même quelque chose de bien stupide d'être à ce point jaloux non ? C'était le type de jalousie dont on pouvait se passer à tout moment quoi ! Et bien sûr qu'il la trouvait vraiment belle, de ça, il était tout bonnement impossible d'en douter mais alors vraiment quoi ! Elle était la personne la plus belle au monde et non, ce n'était pas seulement parce qu'il l'aimait ! Quoique, cela devait peut être jouer un peu mais pas tant que ça non plus hein ! Et puis merde ! Elle était la plus belle à ses yeux, voilà tout. « Tu es la plus belle Fredericke. »
Par contre, quand elle parla de boulets, dans la tête de Vincent, il s'agissait vraiment des jaunes hein ! Même s'il ne parvenait pas vraiment à comprendre pourquoi d'un seul coup, elle se mettait enfin à les voir comme lui, il les voyait quoi ! Mais bon, pour autant, bah... Voilà quoi ! Enfin bon, il y avait aussi de fortes chances pour ce qu'ils ne parlent pas de la même chose mais il préféra ne pas en parler, oui, voilà ! Quoique... « Tu me fais la morale sur eux et voilà comment tu les qualifie, c'est nul ! Moi aussi je devrais avoir le droit de parler d'eux comme ça ! » Et pour ce qui était du reste, il préféra ne pas relever parce que de toute façon, qu'on soit bien d'accord hein, il n'était pas du tout d'accord ! Et elle le savait ! Il s'en moquait de son argent et de tout le reste, il était avec elle juste pour être avec elle. Point final ! Par contre, pour dire que c'était lui, le meilleur parti, il y avait tout un monde hein ! Il ne fallait pas non plus se mettre à dire n'importe quoi ! Surtout qu'il était loin d'être le meilleur parti ! Okay, elle l'aimait, mais voilà quoi, c'était bien la seule raison ! « Moi ? Le meilleur parti ? J'espère bien que tu rêves, tu as pris le plus mauvais de toute l'école ouais »
Oui enfin pour fêter les aspics, il faudrait déjà qu'il les ai et là, c'était une toute autre histoire, parce qu'il ne fallait pas non plus se mettre à croire qu'il les aurait facilement ! Il avait déjà eu les buses tout juste alors vous imaginez bien hein... « Oui voilà, tu m'enverras les photos, y a intérêt ! Et des photos de toutes les personnes que tu rencontres ! En cas où je doive les tuer » Oui, il ne parla pas des examens, c'était mieux oui, parce que bon, elle savait très bien, de toute manière, qu'il était bien loin d'être un pur génie ! Qu'on soit bien d'accord quoi !
Ah bah si en plus, elle le menaçait comme ça, il était clair qu'il pouvait parfaitement bouder encore un peu plus ! Mais non, bien sûr que non, il n'était pas fou à ce point non plus. Pas du tout même, et il ne comptait pas s'y risquer de toute manière. Enfin bon, c'était pas juste pour autant hein ! « C'est pas juste ! Ce genre de menace est illégale et est obligé de marcher, t'as pas le droit de me faire un coup comme ça hein ! »
Par contre, pour le coup des photos, ils auraient pu s'en passer hein. Qu'on soit bien d'accord, c'était le genre de chose qu'il ne fallait surtout mais alors surtout pas lui montrer quoi ! Ce n'était pas juste et en plus de ça, c'était le genre de truc qui pouvait parfaitement le mettre en colère ! Et puis quoi tiens, il était censé être content de voir ce genre de photo ? Et ce Gael il croyait qu'il n'allait faire QUE de le massacrer ? Il se trompait fortement, c'était une évidence bien sûr ! Et il ne pourrait jamais se passer ce genre de chose, bien sûr ! Il en était hors de question bordel ! « Non mais attends, c'est quoi le délire ?! En même temps, c'est quoi cette robe hein ? T'avais pas plus grand comme décolleté ? Sérieux, c'est n'importe quoi ! » Oui, il ne s'en prenait pas forcément à la bonne personne mais qu'on soit bien d'accord, Gael, il allait bouffer son poing.
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 22:10 | |
| Bon, elle était la plus belle, tant mieux ! Que ça continue surtout parce que si Vincent était jaloux, elle l’était presque autant… elle n’avait pas manqué de le prouver une ou deux fois. Elle ne supportait pas qu’une autre fille tourne autour de Vincent, après, elle n’était peut-être pas aussi extrême que lui, elle acceptait parfaitement bien le fait qu’il ait majoritairement des amiEs, elle trouvait même ça assez logique dans la mesure où bah… comme il ne les frappait pas parce qu’elles étaient des filles, il partait avec moins de PH (points de haine) que les garçons, punching ball potentiels de monsieur Fayr.
« Tu es le plus beau de tous aussi. » Même si après Vincent il y avait d’autres garçons dans son top 3 mais ça, elle ne le disait pas, elle n’était pas folle, surtout que les autres garçons qu’elle trouvait mignon dans l’école c’étaient un peu beaucoup ses potes, elle tenait à leur vie quand même !
« Mon amour, je ne parlais pas de mes amis hein comme boulets, je parlais de ma famille. » Ceci dit, c’est vrai que dans la vision des choses de Vincent, c’était surtout ses potes les boulets parce qu’ils la collaient trop et qu’en plus ils lui prenaient plein de temps. Mais ça, c’était valable depuis qu’ils se connaissaient, le serpentard n’avait jamais pu encadrer les amis de sa belle, à une époque il avait été jusqu’à s’inscrire à Sterne pour les surveiller ! Pour le coup, Fredericke regrettait qu’il n’ait pas persisté, elle avait beau savoir que Vincent n’avait pas d’affinité avec la danse, elle aurait pu le voir plus souvent et un peu plus partager sa passion avec lui.
« Tu sais mon cœur, quelque part, c’est fou comme tu parles comme Tobias parfois. Et je ne me vois pas te faire tout l’inventaire des raisons pour lesquels je t’aime comme je le fais pour lui, histoire qu’il me fiche la paix. » Même si Fredericke aimait bien le blondinet du dortoir de Vincent, c’était clair que l’un des sujets de conversation qui revenait souvent c’était celui-ci. Pour Tobias, l’amour que Fred’ éprouvait pour son pire ennemi dépassait l’entendement… et pourtant, il avait fait des efforts pour essayer de comprendre.
Quant aux photos, comme Fredericke comptait en faire son métier, elle ne pût qu’être enthousiaste. « Oh oui ! Je suis sûre que les gens se laisseront photographier ! » Elle songea quand même qu’elle éviterait de prendre les guides s’ils étaient trop jeunes et/ou trop mignons, Vincent se faisait parfois des idées en dormant dans le même château qu’elle, alors avec des kilomètres par centaine, on ne sait jamais. Elle ne voulait pas qu’il se tracasse pour rien (parce que oui, c’est juste pour Vincent qu’elle s’inquiète !). Elle était contente d’avoir pu parler de tout ça avec lui parce qu’elle se sentait au moins plus légère à ce niveau malgré la peine persistante qu’elle chassait tant bien que mal pour ne pas se remettre à pleurer.
Heureusement, les réactions suivantes de son amoureux la firent sourire. D’abord le chantage où elle déposa un baiser sur sa joue. « Et si je te dis que pour combler tous tes désirs on rentrera aussi souvent que possible à la maison, ça te semble moins fourbe ? » Dire que c’était lui le serpentard ! Mais il faut dire qu’avec les années, Fredericke avait appris à le prendre aussi son petit Vincent, elle savait parfaitement comment l’amadouer… et l’été qui s’était écoulé n’avait fait qu’ajouter des cordes à son arc.
Quant à sa petite crise, ça la fit carrément rire, mais un rire qui sonnait étrangement rauque à cause des larmes qui avaient précédés… d’ailleurs, ses yeux, sensibles avec la nuit de veille et de larmes, laissèrent couler quelques gouttes salées supplémentaires qu’elle essuya bien vite. « Allez, calme toi va. » Elle défi les boutons de sa chemise et se trouva en soutien gorge. « Tu sais bien que ce n’est qu’à toi. Maintenant, je sais pas ce qui s’est passé pour cette photo, mais quand le tissu n’est pas tiré je t’assure que le décolleté est tout à fait correct. » Elle se colla à Vincent et lui sourit. « Mais tu n’as qu’à venir plus souvent aux répétitions pour me voir, comme ça tu pourras surveiller… » Comment ça c’était pas ça le problème ? Non mais elle, là, tout ce qu’elle voulait c’était qu’après leur retour d’Allemagne Vincent soit avec elle le plus possible, et autant dire qu’elle ferait toutes les fibres de son amant pour ça.
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 22:35 | |
| S'il y avait bien un point sur lequel il fallait se mettre d'accord, c'était que Vincent n'avait jamais été aimé. A cause de ça, il n'en avait jamais vraiment été capable. C'était d'ailleurs probablement pour cette raison qu'il avait été si long pour comprendre qu'il était amoureux de Fredericke. Et aussi pour ça qu'il lui avait probablement balancé ses sentiments comme si ce n'était rien. En tout cas, il l'aimait, et bien que l'on puisse être capable de penser qu'il n'aimait pas Fredericke et que ce n'était juste qu'une légère illusion. Lui il le savait. Et pour cette raison, il estimait n'avoir aucune preuve à donner aux gens. Mais alors vraiment aucune preuve. Il n'avait pas à se justifier, de rien d'ailleurs. Mais une chose était sûr, c'était qu'il était amoureux de Fredericke et que c'était une chose qui ne pourrait jamais changer. Voilà tout. Et puis quand elle disait qu'il était le plus beau de tous, il ne pouvait tout simplement pas s'empêcher de ne pas y croire. Il était marqué par une enfance difficile, c'était tellement dur donc... « Le plus beau... Tu es juste incapable de vraiment juger, voilà tout. ». Ou alors, il ne s'agissait que d'une vulgaire impression de sa part. Bien sûr qu'il se trouvait beau. Mais peut être que son taux de narcissisme avait baissé. C'était possible après tout. Non ?
Bon pour ce qu'il en était de la famille, il n'aurait jamais pu dire le contraire parce qu'il était vraiment qu'elle en tenait une couche. On parlait souvent de celle de Vincent pour définir une famille bien chiante et incompréhensible mais ça ne voulait pas dire que la sienne était plus normal quoi ! Mais bon, il avait accepter Fredericke comme elle était et ce n'était certainement pas lui qui allait la laisser s'en aller comme ça. Loin de là. Et puis c'était avec elle qu'il sortait. Et qu'on soit bien d'accord, Roze était plutôt sympa dans son genre ! Un peu bizarre par contre, de ce côté là, il ne pouvait pas dire le contraire, mais alors pas du tout de chez pas du tout ! « Hum... Ouais, bon, en même temps, t'as vu ma famille à moi ? Hm... Bah non, c'est pas trop possible, mais bon, t'as compris quoi ! »
Lui ? Parler comme Tobias ? Parfois, Vincent avait vraiment du mal à comprendre Fredericke. Comment elle pouvait trouvé qu'il parlait comme ce crétin tiens ? C'était ridicule et en plus de ça, bah il n'était vraiment mais alors vraiment pas une référence ce crétin ! Alors elle n'avait carrément pas le droit de les comparer, c'était un affront et en plus, ce n'était pas le genre compliment qui pouvait plaire à un petit ami quoi ! « Je ne vois pas pourquoi tu me compares à lui. Et tiens, expliques moi donc pourquoi tu lui fais un inventaire de pourquoi tu l'aimes ? Je ne suis pas ton seul et unique ? Fallait me le dire qu'on avait le droit à plusieurs personnes tiens ! »
Bien sûr que les gens allaient se laisser photographier, surtout si c'était une fille comme Fredericke qui demandait ! C'était ridicule ! Et pourtant et bien, il ne pouvait tout simplement pas s'empêcher de la trouver juste magnifique, un peu trop naïve par moment, mais magnifique. Donc bref, tout ça pour dire que oui, personne ne pourrait résister à son sourire quoi ! « Ah parce que tu penses que les gens pourraient résister à une fille aussi belle que toi ? Tu rêves ma pauvre ! »
Elle abusait un peu là, elle essayait de le faire craquer mais ça n'allait servir qu'à le rendre plus pressé et ce n'était pas vraiment ce qu'il fallait mais alors vraiment pas ! Il n'avait déjà qu'une envie, la déshabiller, alors si en plus, elle continuait sur ce sujet, il n'était pas prêt de la lâcher ! « Continue comme ça mais ne viens pas me demander de me calmer après ma petite dame ! »
Et voilà qu'elle se mettait à mettre ses atouts sous son nez ! C'était vraiment n'importe quoi bordel ! Mais alors vraiment n'importe quoi ! Et après, il n'était pas censé craquer hein ! Il lui sauta dessus, se serrant contre son corps, un sourire aux lèvres, posant son visage entre ses seins ( y a le soutif, on sais ! XD ) « Tu ne veux pas que je te saute dessus mais tu te fous à poil, t'es dingue ! »
Et non, il ne comptait pas venir plus souvent aux répétitions, il en était hors de question et vous savez pourquoi ? C'était plutôt simple, la présence d'Adrien. Il ne pourrait jamais supporter de le voir, mais alors vraiment ! Alors le mieux, pour tout le monde, c'était justement qu'il ne vienne pas, oui voilà. « Le mieux, je pense, serait que je ne pointe même pas une fesse tu vois ? Sinon, y aurait plus de troupe, si tu vois où je veux en venir. »
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Jeu 19 Aoû - 23:18 | |
| « On s’en fiche de la valeur de mon jugement non ? Du moment que moi je le pense. » Une fois, elle en avait discuté avec sa tante (enfin, discuté de Vincent en général plutôt), et elle avait largement admis qu’il présentait bien, physiquement, il était pas mal pour son âge (bien qu’un peu foncé de cheveux vu par madame Maiden), elle avait donc accordé à Fred’ qu’à ce niveau là du moins elle avait bon goût. Après, pour le reste, bah… sa tante avait préféré ne rien dire, elle ne pensait pas que Vincent soit le parti idéale pour une héritière à l’évidence, mais elle ne voulait pas non plus que ça tourne au vinaigre donc elle avait fini par l’accepter comme tel. C’était aussi bien pour tout le monde.
« C’est vrai qu’on est pas gâté tous les deux, mais au moins la tienne est pas encombrante, elle est pas là. Moi la mienne… » Elle sentit sa gorge se serrer et les larmes remonter dans sa gorge, elle se serra contre son petit ami pour ne plus y penser et serra fort les paupières pour retenir les larmes. Elle n’en revenait pas encore que sa mère soit morte et qu’elle soit donnée elle-même cette mort en plus !
Préférant ne pas trop y penser, elle ravala ses larmes et répondit à propos de Tobias avec un rire aigre. « Ne sois pas bête, je lui fais un inventaire de pourquoi je t’aime toi. Il a encore du mal à l’accepter, enfin, il progresse, mais ce n’est pas encore ça. Et essaie seulement d’être polygame et je t’étouffe dans ton sommeil mon chéri. » Fred’, pas partageuse ? Où est-ce que vous avez été chercher ça voyons ! Bon, non, c’est vrai, elle ne l’est pas du tout et ne le sera probablement jamais, l’idée même de partager son copain lui hérissait les poils comme un chaton en colère, mais bon, elle savait quand même que ce n’était pas vraiment le genre de Vincent, ne serait-ce que parce qu’elle ne se gênerait pas pour lui rendre la pareille, ce qu’il ne supporterait pas à coup sûr : il était pire qu’elle.
Si preuve il fallait, le fait qu’il pense très sincèrement qu’elle saurait obtenir n’importe quoi (bon, une photo c’était pas la fin du monde non plus faut dire) de n’importe qui en était une flagrante. « Tu m’as bien résisté pendant un bon moment toi, c’est que ce doit être possible. » Elle lui demandait plus qu’une photo, mais quand même, c’est que sa magnificence pouvait quand même demander un peu réflexion !
« Je calme tes ardeurs en les focalisant sur autre chose. Avoue que ça marche. » Fredericke sourit pour elle-même quand il lui sauta dessus, mais elle ne le repoussa pas. Il avait le droit à ça, c’était plus sur ce qui suivait dans son esprit qu’il devait faire une croix. Elle passa la main dans les cheveux de son petit ami, regardant le plafond d’un air absent. « C’est plus confortable aussi, si j’étais sûre que tu saurais te contrôler, j’aurais carrément tout enlevé… » Elle retint un bâillement. « Je me sens si fatiguée… » Murmura-t-elle tout en sachant qu’après une nuit entière à pleurer dans les froids couloirs menant à Serpentard ce n’était pas très étonnant. « C’est dommage, je pense que ce ne sera pas facile quand on reviendra. » Et là, elle ne parlait pas que de Sterne mais de son moral à elle en général. En plus de ça, elle craignait vraiment qu’à un moment la maladie refasse surface. A part quelques minis crises au printemps dernier, ça allait plutôt bien, mais là, elle sentait que ça finirait par lui tomber dessus.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Ven 20 Aoû - 1:41 | |
| Oui, le plus important restait qu'elle, elle le pense, c'était bien sûr la chose la plus importante qui soit. Il se moquait de l'avis des autres, et même de son avis propre, et personnel. Si Fredericke le pensait alors le reste ne comptait tout simplement pas, même si bien sûr, il ne pouvait pas toujours être en accord avec elle. On ne pouvait pas être en accord avec tout le monde de toute manière, c'était aussi simple que ça. Et elle le savait tout autant qu'elle. Mais bon, elle devrait bien un jour finir par se dire que ce n'était pas bon peut être. Non mais c'était vrai quoi, elle pouvait très bien changer d'avis d'ici quelques années. Et que pourrait-il faire, mis à part accepter son choix ? « C'est ce que tu dis aujourd'hui. »
Ah oui, pour ne pas être encombrante, sa famille ne l'était vraiment pas hein ! Ca restait énervant et prise de tête, mais c'était comme ça et il avait un jour finit par s'y faire. Mais bon, ce n'était pas toujours évident d'être refuser par les personnes qui étaient toujours censées être là pour soi. Non mais c'était vrai quoi, ils devaient être là pour lui, le soutenir, lui montrer de l'amour et tout ça, mais non, ils n'étaient pas là parce qu'ils ne le voulait pas, parce qu'ils n'en avaient pas envie, parce qu'ils ne l'aimaient pas, et non, il ne mentait pas, mais alors pas du tout, il ne fallait pas se mettre à croire n'importe quoi hein ! Loin de là, ce n'était pas son genre du tout ! « Hm... Oui... Ma situation est clairement plus facile... » Et il la prit à nouveau dans ses bras, sentant que les choses n'allaient plus aussi bien et qu'elle replongeait.
Ah oui d'accord, dis comme ça, il préférait carrément ! Pendant un instant, il s'était un peu mis à avoir peur quant à la nature du lien entre ce pauvre type et Fred. Il aurait carrément fait une syncope, qu'on soit bien clair hein ! Parce qu'il était le type qu'il détestait le plus au monde ! Mais il n'avait pas pour envie de devenir polygame par contre, il en était hors de question et il ne tenait pas à se coucher une nuit, pour risquer de ne jamais se réveiller, en plus de ça ! « Tu dis n'importe quoi ! Je n'ai aucune intention de l'être, c'est toi qui formule mal tes phrases en plus ! »
Lui, s'il avait résisté, c'était avant tout parce qu'il avait été drôlement bien stupide, il n'y pouvait rien, il était comme ça, voilà tout. Après, il n'était pas toujours facile de se comporter comme on le voulait, et il le savait. Au jour d'aujourd'hui, il aurait vraiment aimé pouvoir se dire que comme elle, il l'avait aimé dès le premier regard, mais l'amour, c'était une chose tellement flou qu'il avait mis plus de temps que beaucoup de monde pour s'y mettre. Il n'y pouvait rien, c'était ainsi, voilà tout. Et ça lui faisait mal d'ailleurs mais on ne pouvait rien faire contre ça. En faite. « Je n'y peux rien moi, disons juste que c'est comme ça, oui voilà. J'aurais aimé être tien bien avant. Mais mon enfance m'empêchait de connaître l'amour avant »
Pourquoi les choses ne seraient pas faciles quand ils reviendraient ? Ou ça ? « Revenir ou ça ? Au château ou à Poudlard ? Tu n'as pas été très clair là ». Il en avait sorti la tête de ses seins, posant son menton sur l'un d'eux, essayant de l'écouter. « Qu'est-ce que tu veux dire ? »
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Ven 20 Aoû - 7:26 | |
| Les parents de Fredericke s’étaient aimés puis déchirés, elle ne croyait pas à l’amour éternel… mais elle voulait y croire, elle voulait vraiment se dire que Vincent et elle c’était différent de ses parents, que ça tiendrait… parce que eux ils s’aimaient beaucoup plus fort et qu’ils avaient traversés énormément de choses ensemble. Alors, même si au fond, elle était plutôt pessimiste, elle ne pouvait pas laisser Vincent dire des choses pareils. « Non, je le dirais pour toujours parce que c’est toi ma rencontre unique… et personne d’autre Kaiser. » Cela faisait un petit moment qu’elle ne l’avait plus appeler Kaiser, Empereur, le nom de la carte de tarot qui l’avait représenté le jour de sa rencontre avec lui. Si Fredericke avait beaucoup de mal à croire à l’amour, elle croyait au destin… Elle n’avait pas rencontré Vincent par hasard, il y avait un lien très fort entre eux, un lien qui, elle l’espérait sincèrement, ne se briserait jamais.
Elle ne répondit rien pour la suite à propos de leurs parents, elle ne pouvait tout bonnement pas, occupée qu’elle était à s’empêcher de pleurer. Elle resta un petit moment contre lui sans rien dire pour reprendre son calme avant de vraiment être capable de reprendre la conversation là où ils l’avaient laissés.
« Tant mieux. Et pour le reste… je suis juste un peu fatiguée. » Fredericke n’avait jamais été très douée pour s’exprimer à l’oral de toute façon, encore moins en anglais. On ne s’en rendait plus vraiment compte maintenant parce que c’était devenu une habitude de l’entendre parler avec son accent allemand dans le château mais il y avait quelques années de ça, elle ne faisait que bafouiller son anglais d’écolière. Elle s’était clairement améliorée mais ce n’était pas sa langue, ça ne le serait jamais vraiment, et là même si ça allait un peu mieux depuis qu’elle s’était calmée, elle n’était clairement pas au mieux de sa forme.
« Je sais mon cœur, et ça n’est pas grave, ce qui compte c’est qu’on soit ensemble maintenant. » Même s’il lui arrivait de repenser avec une certaine amertume à certaines parties de leur histoire, comme nous venons de le dire, elle croyait sincèrement au destin alors pour elle c’était juste des choses totalement normales qui devaient arriver pour qu’ils soient heureux ensemble maintenant. Quand Fredericke avait compris qu’elle était amoureuse, ils étaient de toute façon trop jeunes, c’était mieux qu’ils aient attendus, leur amour semblait plus distinct de leur ancienne relation d’amitié grâce aux flirts et autres contacts divers que s’ils avaient eu dans les 13 ans. Elle supposait que finalement, tout était au mieux.
« Je suis fatiguée, j’en perds mon anglais. » Dit-elle avec un petit sourire triste tout en lissant les cheveux de son petit ami dans un geste machinal. Elle aurait aimé qu’ils changent de position mais Vincent semblait tellement bien comme ça qu’elle n’en fit rien, elle n’était même pas sûre d’avoir vraiment le courage de bouger. « Je parlais quand on reviendrait à Poudlard après l’enterrement. Tu sais bien comment je suis… qui sait dans quel état je vais être physiquement parlant. » Avec sa maladie et tout ça… enfin, elle se doutait que Vincent ne serait pas totalement contre qu’elle lui fasse une crise du genre de celle où ses hormones lui jouent des tours, mais le reste par contre, c’était angoissant pour tout le monde.
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] Ven 20 Aoû - 11:13 | |
| Sa rencontre unique... Ce n'était pas toujours la première chose à laquelle on pouvait penser en faite, à bien y réfléchir. Non mais c'était vrai quoi, on ne pouvait pas vraiment dire que c'était si bizarre qu'il puisse penser de la sorte. Il ne voulait tout simplement pas avoir à réfléchir, vraiment pas. Parce qu'il n'était qu'un garçon banale, il n'avait pas d'argent, il n'avait pas vraiment de chance de pouvoir promettre quoi que se soit aussi. Donc en clair, on ne pouvait pas vraiment dire que les choses puissent vraiment être simples. Elle avait tout, et il n'avait rien. Alors oui, il ne pouvait pas s'empêcher de songer que bah... Elle pourrait très bien vouloir se trouver avec quelqu'un qui pourrait vraiment lui apporter tout ce qu'elle voulait. Normal quoi... Enfin bon, il ne pourrait pas la retenir dans tous les cas, et franchement, il n'était même pas sûr de le pouvoir, ne serait-ce qu'un peu. Enfin... « Ta rencontre unique... T'es folle ma pauvre ! Il y aura de bien plus belles rencontres tu le sais bien »
Si elle était fatiguée, Vincent estimait qu'il n'était plus vraiment le temps à la parole, bien sûr, il avait fait tout ce qu'il pouvait pour lui parler, pour lui faire la conversation et tout ce genre de chose, pour la réconforter quoi. Alors si elle souhait dormir, il serait encore là, c'était évident. Et puis elle dormirait au creux de ses bras pour qu'il puisse lui montrer que même dans le sommeil, il serait là. C'était évident. « Si tu es fatiguée, reposes toi, je serais là lorsque tu te réveilleras, tu le sais bien »
Et oui, ils seraient ensemble, et rien ne pourra changer contre ça, absolument rien, il serait toujours là pour elle, c'était évident. Pour la vie, pour toujours, il ne pourrait jamais disparaître, il serait toujours là et on ne pourrait jamais rien faire contre ça, tout simplement parce qu'il ne pourrait jamais l'oublier, il ne pourrait jamais cesser de l'aimer et il se moquait que cela puisse paraître trop fort, que cela puisse sembler impossible, parce que ça n'y changerait rien. C'était comme ça. « Toujours ensemble chérie, je te le promets »
Et oui, il était possible qu'en revenant de l'enterrement, Fredericke en soit vraiment touchée. Après tout, on ne revenait pas bien souvent indemne de ce genre de chose, c'était évident. Et puis elle était malade et cela non plus il ne pouvait pas se permettre de l'oublier, jamais non plus. Ce n'était pas facile, et puis, elle avait des effets bien différents les uns des autres. Mais il savait aussi que malgré tout et bien oui, il devait faire face à tout ça, il ne devait pas avoir peur et il devait l'aider du mieux qu'il pouvait. « Hum... Ouais, on verra bien à cet instant Fredericke. Mais sache que je serais là ». Et toujours même. Il bougea légèrement, histoire de pouvoir se mettre un peu plus à l'aise, et il la tira pour qu'elle mette sa tête sur son épaule. « Et maintenant dors mon ange. Je pense que tu as vraiment besoin d'un peu de sommeil... »
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Ξ Sujet: Re: Quand on n'a plus rien à perdre [PV] | |
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