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| At Anderson's magic stuff [libre] | |
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Invité
Ξ Sujet: At Anderson's magic stuff [libre] Mar 31 Aoû - 11:04 | |
| - Oh... Mademoiselle Södergren! Je n'en puis croire mes yeux !Quelle stature, quelle beauté, comment avez-vous pu tant changer néanmoins ? J'ai manqué de ne point vous reconnaître.
Le petit homme bossu tournait désagréablement autour de Diabalzane qui ne le regardait même pas. Elle cherchait du regard un endroit propre où s'asseoir. C'était là le mystère des boutiques de l'Allée des embrumes, leurs propriétaires se sentaient obligés de leur donner une apparence hideuse et sale sous prétexte que s'y cachaient des secrets de magie noire. Elle se déplaça sans prêter attention au vieux Anderson et choisit de s'asseoir finalement à la place du maître des lieux.
- Quand ferez-vous le ménage ici, Anderson ?
Le petit homme sourit de toutes ses dents jaunies et branlantes. Il attira à lui une chaise couverte de poussière. Il fit tourner sa baguette magique pour la nettoyer rapidement.
- Pour obliger les gens à regarder, acheter, et partir, mademoiselle, je ne voudrais pas que quiconque s'installe pour prendre mon temps et partir sans rien avoir dépensé.
Diabalzane leva un sourcil malgré le fait qu'elle ait conscience que l'attaque n'était pas dirigée contre elle. Lorsqu'elle avait pris plus de temps, avant, lorsqu'elle n'avait que quinze ou seize ans, il l'avait souvent invitée à s'asseoir et à goûter de délicieux thé accompagné de pâtisseries alléchantes. Le petit homme ne se sentit menacé d'aucune manière et lui sourit à nouveau.
- Vous avez survécu aux rafles mon petit Anderson ? Comment avez-vous fais ? Je suis curieuse de savoir comment un petit bossu malingre s'est sorti d'une situation à laquelle les plus grands sorciers n'ont pas échappé...
Le petit bossu fit une mou compatissante.
- J'ai appris pour votre mère et votre pauvre grand-père... Votre famille s'est fortement réduite à ce qu'on entend.
Un éclair de haine passa dans les yeux de Diabalzane au souvenir de ces Aurors brisant les sortilèges qui entouraient son manoir pour s'y introduire, interroger les serviteurs, voler les objets de valeur, attaquer sa mère, son grand-père bloqué dans un fauteuil roulant, et ne pas regarder une seule fois la jeune femme qui leur hurlait dessus.
- Savez-vous ce qui est amusant dans tout cela ?
Anderson la fixait intensément.
- C'est que je sois toujours là, moi, et non à Azkaban, non morte, non surveillée. Dumbledore a vraiment laissé derrière lui une belle bande d'aveugles qui ont hérité de sa sensibilité et de son espoir infâme. TOUS les enfants doivent aller à Poudlard, d'où qu'ils viennent, quelque soit leur rang, leur sang, ils doivent être répartis, triés, sauvés... C'était l'oeuvre de Dumbledore lors de mon passage là bas, nous sauver, nous pauvres sang-purs qui étions si mal partis avec notre famille très méchante qui nous avait pourri avec de très mauvaises idées. Et, lorsqu'il a enfin compris qu'il fallait d'abord nous surveiller avant de nous sauver... lorsqu'il a compris ça il est mort. Ce sont ses protégés, ses enfants qui ont fait entrer dans Poudlard le Seigneur. Et personne n'a compris la leçon, pour les Aurors, nous n'étions que des enfants... Mais je me suis battue Anderson, et il reste du chemin à faire...
Elle marqua une pause, ferma les yeux un instant.
- Mademoiselle, vous savez qu'ils vous cherchent, n'est-ce pas...
Diabalzane rouvrit les yeux.
- Et je sais que vous êtes l'un d'entre eux, Anderson...
Avec une vitesse surprenante elle sortit sa baguette et la pointa sur l'homme. Elle rassembla toute la haine qu'elle ressentait envers les traîtres de son espèce, ces hommes à qui elle avait fait tant fait confiance, ces visages qu'elle avait vu aux receptions des grandes familles puis qui s'étaient invités chez elle pour tout voler.
- Comment avez-vous...
- Les nouveautés que vous affichez en vitrine, elle sont à moi. Votre mort ne va pas être joyeuse Anderson. La baguette sauta de la poche de ce dernier et vola à travers la pièce. C'est Drago Malefoy qui m'a donné cette idée un jour... Après qu'il l'ait fait à Potter, j'ai trouvé ça très sombre, et génial. Je vous explique : je vais vous pétrifier ( l'homme devint raide, seule sa tête pouvait se mouvoir), je vais vous faire boire cette potion d'invisibilité ( elle s'approcha de l'homme, lui pinça le nez et l'obligea à boire la potion qu'elle avait prise dans sa poche), puis je vous pétrifierais complètement pour arrêter la course de la potion. Vous allez mourir invisible mon ami.
Diabalzane parlait à présent au vide. Elle le prit par les cheveux et le traina dans le fond du magasin. Finalement, elle commença à chercher les objets qui lui appartenaient tout en parlant au petit homme :
- La vérité c'est que vous êtes un mauvais sorcier, c'est pour cela que vous êtes commerçant, quant à moi, je suis sortie avec les meilleures notes dans toutes les matières. Même la DCFM, parce que, contrairement à vous, je suis une bonne menteuse... |
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Ξ Sujet: Re: At Anderson's magic stuff [libre] Mar 31 Aoû - 12:17 | |
| Victoria traînait. Ce n’était pas qu’elle n’ait rien à faire, comme elle travaillait au ministère, elle avait réellement tout un tas de choses sur le feu, elle avait aussi ses plans pour les Sombrarcanes, sa vengeance… bref, la belle Vickie ne manquait pas de sujets d’occupations, bien au contraire, néanmoins il fallait admettre qu’elle n’avait pas non plus très envie de s’y atteler. Ses pas l’avait conduit dans les quartiers sorciers les plus mal famés de Londres, et quand elle croisa une silhouette blonde au travers d’un carreau, elle dû bien avouer que ce fût sans grande surprise. Dans leur organisation, chacun avait ses propres motivations, ses propres désirs… pour certain c’était l’argent, pour d’autres c’était le besoin de sang, pour d’autres encore c’était le désir de revenir à l’aire glorieuse du Seigneur des Ténèbres. Soyons clairs, en ce qui concernait Victoria, ce n’était aucun des trois cas, elle agissait uniquement par désir de vengeance et machiavélisme naturel. Elle était née comme ça, dénuée du moindre scrupule, mais contrairement à d’autres, elle n’adhérait pas aux idéologies mangemorts. De ce qu’elle en savait (et, soyons francs, elle s’en foutait), Diabalzane était de la graine de mangemort, fille de personnes encore moins recommandables que Claire Montgomery qui, pour être légère, n’en avait pas moins de l’éthique. Maintenant, est-ce que ça concernait Vickie ? Certainement pas. Elle s’en moquait complètement, elle laissait ses compagnons agir à leur guise, c’était le deal. Chez eux, chacun agissait comme ils l’entendaient… mais ils étaient couverts par les autres en cas de problèmes, donnant au ministère des fausses pistes que Vickie était elle-même chargée de distillée au vu de son poste dans la place.
Par désoeuvrement, Vickie entra cependant dans la boutique. « Södergren, qu’est-ce que tu fous là dis moi ? » Ce n’était pas la manière la plus aimable ni la plus polie d’aborder quelqu’un, encore moins une lady, mais si vous pensez que Victoria Montgomery en avait quoi que ce soit à faire, vous vous fourriez le doigt dans l’œil et bien profond. Vickie était la fille d’une femme qu’on avait traînée dans la boue, pourtant Claire était aux yeux de sa fille aînée une femme parfaite. Sa vertu n’était pas de celles qu’on donne en exemple, elle le savait puisqu’elle faisait comme sa mère, mais elle était douce, gentille, aimante avec ses enfants… Mais elle n’avait jamais correspondu aux idéaux de la grande famille Montgomery alors ses amis d’autrefois l’avait rejeté quand elle avait été déshérité. Victoria ne pardonnait pas ça à ses grands parents, comme elle ne pardonnait à aucune des personnes ayant tellement tourmenté cette pauvre Claire qu’elle avait fini par en mourir. Parce que pour Victoria, si sa mère autrefois si joyeuse avait fini par s’éteindre à petit feu, c’était uniquement la faute de tout ceux qui ne voyaient en elle que le superficielle et qui lui reprochait tout, y compris que ses enfants soient de pères différents.
« Faire peur au petit peuple n’a rien de très reluisant tu sais. » Certes, elle ne voyait plus le vendeur, mais elle avait entraperçu la scène par la vitrine et si elle n’avait pas vu où Diabalzane l’avait planqué, elle savait qu’il était là quelque part. Non pas que cela chagrine Victoria, elle ne tuait personnellement qu’en cas d’extrême nécessité mais si c’était le trip de la blonde après tout hein… Observant sa cadette récupérer différentes affaires, Victoria se lassa rapidement de ce spectacle. Il en faudrait plus pour l’émouvoir apparemment.
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Ξ Sujet: Re: At Anderson's magic stuff [libre] Mar 31 Aoû - 14:26 | |
| Diabalzane suspendit son geste. Une voix féminine lui avait parlé avec une impolitesse qui aurait déclenché un incident diplomatique si la famille de la jeune russe avait encore eu un tantinet de pouvoir. Mais voilà, c'était typique de ces vermines du ministère de la magie, elles profitaient de l'écrasement des familles Mangemort du monde. Voilà ce qui différenciait Diabalzane, la haute noblesse de Sang-Pur, et ces pauvres esclaves de la magie de bien : la dignité. Si la jeune femme avait tout perdu, elle se vengeait en silence, échafaudant tous les plans avec patience dans un manoir en ruine dépourvu de toute magie puisque le ministère avait pris des dispositions draconiennes pour que les anciens repères deviennent inutiles. Si la jeune femme se retrouvait seule, elle n'en perdait pas moins le goût, la classe et la beauté particulière qui avaient toujours fait sa "marque de fabrique". Face à elle se tenait une pauvre folle remplie de convictions contraires à tout ce en quoi Diabalzane avait toujours cru. Une folle pleine de morgue et d'arrogance, de force et de beauté aussi, mais qui offrait ses talents à la plus mauvaise des causes...
- Je récupère ce qui est à moi, que le ministère a volé et qu'il a préféré mettre dans ses boutiques pour se faire de l'argent sale plutôt que de l'enfermer dans ses sous-sols. Quel moralité dites-moi !
Voilà quelle était la pensée froide de Diabalzane : si les mangemorts et les sombracanes étaient à éliminer, les membres du ministère ne valaient pas mieux. Diabalzane jeta un coup d'oeil à tous les objets qui lui appartenaient et qu'elle avait posé sur le bureau de Anderson. Il y en avait bien d'autres, cachés dans la datcha que son père avait fait construire pour les jours de chasse. La datcha... Diabalzane avait complètement oublié cet endroit toujours soumis a une puissante magie protectrice noire. Personne ne savait où elle se trouvait, pas même sa mère, juste son père, son frère, et elle. Elle ignorait si elle saurait encore comment y aller, l'hiver avait ravagé, maintenant que toute la magie avait disparue, le beau jardin vert qui lui offrait tous ses repères. Si elle voulait faire partie des Sombrarcanes ces objets lui serait sans doute très utiles et seraient un argument de poids dans ce monde où tous les biens noirs de valeur avait été confisqués. Un sourire se dessina sur ses lèvres, elle qui pensait une seconde auparavant avoir tout perdu retrouvait espoir. Tout perdu ? Pas vraiment, elle jeta un coup d'œil à son poignet. Elle n'avait jamais cessé de porter un bracelet offert autrefois, lorsqu'elle avait 12 ans, par une de ses camarades de Serpentard, Myrielle Symphonie. Elle avait découvert peu de temps auparavant son pouvoir : lorsqu'elle lançait son patronus, un loup argenté aux yeux turquoises, ce dernier avait la possibilité de mordre l'ennemi et de drainer sa puissance magique pour la restituer au propriétaire du patronus. Un bien beau présent pour une petite fille, mais elle avait grandi maintenant, et il devenait l'un des biens les plus précieux qu'elle possédait.
- Je ne lui ai pas trop laissé le temps d'avoir peur... Et je pense qu'il en est sûrement déjà au stade où il se résigne à mourir. Pourquoi le ministère s'inquièterait-il d'un vendeur de magie noire ? Perdre cette chose serait une aubaine, non ?
Son sourire s'étendit.
- Suis-je en état d'arrestation ? |
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Ξ Sujet: Re: At Anderson's magic stuff [libre] Mar 31 Aoû - 15:17 | |
| Vickie attrapa un sous main qui, disait l’étiquette, était censé apporté de la chance et de la force à n’importe quel contrat signé à ses côtés. Elle le retourna un moment, cherchant l’astuce, le sortilège, et ce n’est qu’une fois son examen terminé qu’elle répondit à sa collègue non sans une certaine ironie. « Il faut bien payer mes services à la fin de chaque mois ma chère… même si je suis un agent double, mais ils ne sont pas supposés le savoir. » Bien sûr, le ministère payait beaucoup d’autres personnes, mais dans son cas à elle c’était assez ironique puisque 1) elle n’avait pas spécialement besoin d’argent, la famille Montgomery était relativement riche même si c’était de l’argent acquis d’une manière pas très morale, 2) elle travaillait pour les Sombrarcanes, donnant au ministère de fausses informations. Elle n’était pas la seule d’ailleurs, ils étaient plusieurs à bosser pour le ministère comme couverture chez les arcanes.
« Oh je m’en fiche, il ne faudrait juste pas qu’on te retrouve derrière cet acte. Nous ne sommes pas vraiment sensé nous en prendre aux anciens alliés des mangemorts… Je te rappelle que nous devons faire semblant d’en être, même si dans ton cas je suppose que c’est plus que faire semblant. » Victoria avait changé de ton, elle semblait maintenant légèrement méfiante sous ses airs superficiels. Vickie faisait partie du premier rassemblement des Sombrarcanes et elle votait les admissions, elle n’avait cependant pas décidée si elle faisait confiance à cette blondasse qui se prenait encore pour une noble à une époque où il valait mieux faire profil bas. Elle qui devait bosser tous les jours sauf le dimanche dans un bureau sombre savait de quoi elle parlait… même si pour être honnête, si elle se serait volontiers achetée un nouveau mobilier, en revanche elle aimait bien son boulot.
« Je travaille pour la coopération internationale Södergren, je ne suis pas auror. Mais évite de croiser le Soleil si tu ne veux pas finir le crâne ouvert sur le pavé… » Victoria se leva et passa les doigts dans la poussière, en apparence complètement ailleurs, mais en réalité elle était sur ses gardes. Elles n’étaient pas supposés se taper dessus entre complices mais quelqu’un qui va faire une razzia ouvertement ne pouvait pas inspirer confiance à la discrète Victoria. Quant à la référence au Soleil, Louis Sanders, elle était un avertissement tout à fait raisonné et amical. Vickie connaissait peu Louis qui, bien que charmant physiquement, était un psychopate, la brunette n’avait aucun doute sur le fait qu’il tuerait n’importe qui risquant de les compromettre, même si c’était une arcane majeur comme Diabalzane ou elle. « Autre conseil de ton aîné petite vipère, si tu ne veux pas te faire prendre pense à voler des objets qui n’appartiennent pas à ta famille. » Il serait regrettable que Diabalzane se fasse attraper, en partie parce qu’ils seraient sûrement obligés de la tuer pour éviter qu’elle parle.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: At Anderson's magic stuff [libre] Mar 31 Aoû - 19:14 | |
| Oh, ces agents doubles ! Diabalzane en avait assez de se faire sans cesse avoir. Elle se sentait assez grande pour se débrouiller toute seule, si elle voulait voler, si elle voulait tuer, qu'est-ce qui l'en empêchait ? Elle avait entendu parler de Victoria, de son pouvoir et son charisme. Peut-être Diabalzane, après avoir erré 2 ans dans les ruines de son manoir glacé, avait besoin d'aide finalement.
- Ce n'est pas un ancien allié des Mangemorts. Il a dénoncé ma famille. Il faisait partie du ministère, comment crois-tu qu'il ait survécu jusque là ?
Tout en prononçant ces mots Diabalzane réfléchissait à sa propre survie. Seule, elle n'était plus qu'une louve qui avait pour seule défense une attitude effrayante et un bon coup de dent, mais face aux autorités, que pouvait-elle faire ? Son statut ne valait plus rien, cela faisait trois ans qu'elle évitait de mettre en avant son titre obsolète qui lui aurait valu plus d'ennuis que de passe-droits. Elle décida de ne pas y aller par quatre chemin.
- Puisque tu as l'air prompt à me donner ainsi des conseils, donne m'en d'autres. Que puis-je faire pour vous et que peux-tu faire pour moi ?
Elle regarda son interlocutrice intensément. |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: At Anderson's magic stuff [libre] Ven 17 Sep - 20:06 | |
| « Et alors ? Ne sert-il plus à rien pour autant ? » Victoria n’avait réellement rien contre les meurtres ou les mauvais traitements du moment qu’ils obéissaient à une certaine logique. Une bonne vengeance est une vengeance bien ficelée, qui plus est, il vaut mieux prendre son temps pour se sentir un peu plus en sécurité. Agir dans l’ombre était encore ce que Victoria faisait de mieux, elle aimait bien ça il faut dire… La tromperie et les apparences c’était son truc, elle savait en jouer autant dans son métier officiel que dans sa deuxième vie, celle de la Lune des Tarot.
« Oh moi… je peux faire beaucoup pour toi. Je peux te rendre un statut, une maison, te donner un travail honorable au sein de ma propre petite entreprise ou ailleurs… En revanche, ce que toi tu peux pour moi, voilà ce qui reste à définir. » Victoria s’approcha à pas de loup de son ancienne camarade et planta son regard émeraude dans celui de Diabalzane. Si en temps normal Victoria se faisait passer pour la fille légère de service, il ne fallait pas trop se fier aux apparences, elle était bien plus calculatrice qu’elle ne le laissait paraître…
« J’aime les gens qui savent ce qu’ils veulent mais jusqu’où es tu prête à aller pour réussir ? » En d’autres termes, était-elle prête à se mettre au service de la vengeance de Victoria pour assouvir la sienne propre. Vickie était très influente dans le monde magique, ce qui n’était plus le cas de la jeune fille blonde en face d’elle, sa famille était riche et comme elle n’avait jamais trempé dans la magie noire – ni même maintenant d’ailleurs – elle n’avait pas été touché par les grands changements du monde magique. S’il y avait plus puissant que les Montgomery, il restait qu’ils faisaient parti des grands de ce monde, rien que leur nombre ne pouvait qu’en imposer au monde magique anglais puisqu’ils étaient partout… Maintenant, la fierté des anciens nobles était terrible, il était donc temps pour Diabalzane de faire un choix : servir et entrer dans la lumière ou rester seule dans l’ombre sans certitude de récupérer ce qu’elle avait perdu… c’était tout ce que Vickie avait à proposer.
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Ξ Sujet: Re: At Anderson's magic stuff [libre] | |
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