L’impact de l’énervement (PV Edwar)

La fillette n’avait posé que cette question que pour alimenter la conversation. Ce n’était pas une fille bien méchante, elle aimait tout monde et voulait que tout monde l’aime. Donc quand elle blessait une personne, ce n’était jamais volontaire. Le jeune garçon prit tout même le temps de lui réponde. Il était poli ou il ne résistait pas à son sourire ? Enfin, elle était trop jeune pour comprendre la porté d’un sourire aussi charmeur XD. Elle apprit qu’il coïnciderait sa meilleure amie comme étant une sœur. C’était très bien. Puis viens la question de son meilleur ami ou sa meilleure amie. En fait, ayant que très peu d’ami, il était difficile pour elle dans avoir un mais c’était un aspect qu’elle ignorait –qu’est que la vraie amitié? En tout innocence et naïveté elle répondit :

- C’est ma grande sœur, Camélia !

C’était assez contradictoire son histoire – c’était sa meilleure amies et se sauvait d’elle, trouvez l’erreur!

- Dit est-ce qu’on fait quelque chose? Un jeu, dessin ou juste parlé?

La fillette avait envie de bougé, de jouer tout en parlant bien sur.

L'histoire de la fillette était un peu contradictoire pour Edwar. Il se demandai pourquoi elle fuiyait sa meilleure amis. Mais après tout cétait sans doute quelque chose qu'il comprendrait plus tard. Il aimait bien cette jeune fille il savait qu'il pouvait devenir bons amis tout les deux et il se dit qu'il n'allait pas raté une chance pareil.
Elle venait de lui demander s'il voulait faire quelque chose. Il pensa que c'était une bonne idée. de plus il avait fini tous ces devoirs alors autant s'amuser un peu non? Il n'y a pas que le travail dans la vie se dit-il. Mais que voulais-il faire il n'en savait rien. Sa mère lui avait parlé de plusieurs jeux magique comme les échecs où les pièces bougeaient toutes seules, ou bien les bave bulle qui était un jeu de bille où quand tu perdait la boule te crachait ou de bavait dessus. Il se souvint que sa mère lui avait glissé un plateau d'échec avec leurs pièces dans sa valise avant de partir pour l'école.

"-Ca te dit une partie d'échec?? Ma mère m'en a donné un avant de paritr à l'école. C'est la version sorcier bien sur."

Comme ça il pourrait continuer à discuter ensemble.

Gabrielle-Ann était parfois illogique dans ses propos. Elle aimait sa sœur plus que tout au monde, juste que sa manie de jouer l’entremetteuse amicale lui jouait souvent sur le système. En fait Camélia n’avait juste pas comprit une chose plus elle forçait la petite a rencontré plus c’était l’inverse. Revenons à nos moutons, le dénommé Edwar lui proposa les échecs. Elle aimait bien se jeu a cause des jolies pièces. Et oui! Gabrielle-Ann les trouvait tout chou. À bien savoir pourquoi d’ailleurs puisque se n’était que des pièces. Bonne ou pas la n’était pas la question tant que c’était un jeu, elle était ravie dit participé.

- OUI! S’exclama t-elle d’un ton très joyeux.

Cependant, elle en avait pas, mais Camélia si! Elle se qu’elle avait apporté de la maison était le jeu risque et Skip-Bo. Que des jeux moldus en fait.

- Je suppose que tu as le jeu puisque tu le propose, moi je ne l’ai pas. Je n’ai qu’apporté que deux jeux moldus, le jeu risque et Skip-Bo.

Gabrielle-Ann se leva pour s’installé à une petite table idéal pour jouer. Pendant qu’Edwar est allé cherché le jeu dans le dortoir.

Edwar se leva du canapé en même temps que Gabrielle-Ann. Lui, il se dirigea vers le dortoir des garçons et elle, elle se dirigea vers les tables. Il monta les escalier qui menait à son dortoir, il n'y avait personne en même temps c'est rare d'avoir du monde dans les dortoir en fin d'après midi se dit-il. Il se dirigea vers sa valise et se pencha pour l'ouvrir. il fouilla dans le bazzar de sa valise. Mais ou est il se demanda-t-il? il est surement au fond de ma valise. Sa main arriva au fond de sa valise et là il toucha une boite en carton. Il la sorti puis l'ouvrit. Il avait au moins retrouver les pirèces de son jeu. Il replongea sa main dans sa valise afin de trouver le plateau de jeu. Et il toucha à ce moment quelque chose de froid.

"-Ah ça y est le voilà!" se dit-il avec un petit sourire.

Il prit les pièces qu'il avait déposé a coté de lui puis il redescendi à moitié en courant. Il chercha Gabrielle-Ann des yeux. Il fit un tour sur soi même avant de se rendre compte que l'interessé était assise en face de lui avec un sourrire. Elle était assise à une petite table dans un coin de la salle commune se qui était un endroit propice pour faire un jeu.

"-C'est bon je l'ai trouvé. Il était caché au fond de ma valise"

Gabrielle-Ann une fois que son nouvel ami quitta le sofa, observait la salle commune avec intérêt. Celle de se trouvé une place de choix pour jouer au échec. La place près du feu était à bannir. Il faisait trop chaud et pour l’heure elle avait chaud. Elle choisit donc la place qui était à l’opposé du dortoir des garçons ou il y avait encore des rayons du soleil qui caressait la table. Elle s’y installa avec joie et déplaça les vieux journaux qui si trouvait. Les élèves de Poufsouffles collectionnaient les vieux journaux? pensa la petite fille. Elle s’installa confortablement et elle avait hâte de voir le jeu en question. Dans sa maison, elle avait eu l’année dernière un jeu d’échec. Par contre c’était une version moldu. C’est parents quoique sorcier, essayait de leur montré que la magie c’est bien mais qu’il ne faut pas en abusé. Une fois, un soir d’orage, la fillette était allez se réfugier sous le lit de ses parents (ils étaient sorti pour une conférence), la fillette avait découvert que ses parents cachait dans une boîte le même jeu version sorcier. Elle avait été étonnée d’apprendre que ses parents en avaient un. Perdu dans ses pensé se n’est que lorsque le garçon parla qu’elle quitta se souvenir de sa mystérieuse découverte qu’elle avait fais se soir là. Avec son aide, elle plaça les pièces. Toujours le sourire sur son visage.

- Je me souviens jamais qui commence, c’est les pièces blanches ou les noirs?

Elle regarda le garçon un peu mal à l’aise. Ce genre de question était souvent tourné au ridicule avec les garçons. Après tout en général, les garçons aimaient bien se moquer de l’ignorance des petites filles. En gros, elle surveillait la réaction d’Edwar.

Enfin assis à la table qu'avait choisi sa nouvelle amie, Edwar commença à installer les pièce les une à coté des autres. Il fut aider par la jeune fille bien sur. Les pièces étaient mises Lui avait les noires et elle les blanches. Et enfin la question auquel Edwar devait s'attendre celle des pièces blanches ou noires qui commencent Mais il pouvait y répondre il espérait au plus profond de lui qu'il ne l'avait pas mise dans un embaras. Effectivement il ne lui avait pas demander si elle savait jouer au échec. Comment avait-il pu oublier de poser cette question elle était importante. C'est pas grave se dit-il si elle n'a rien dit c'est qu'elle savait jouer non?
Il répondit quand même à la question:

"-Ce sont les blancs qui commence"
Bon et voilà la partie était lancé. Par la fenêtre a coté de laquelle il était assis on pouvait observé le soleil se coucher sur le lac de Poudlard La fin de l'après midi arrivait et Edwar se sentit bien avec sa nouvelle amie.

Une fois toutes les pièces installées, la petite blonde lui avait timidement demandé quel couleur qui commençait. Même si la petite l’avait posé sans gêne, se fut après qu’elle réalisa sa question qu’elle était gêné. Par contre, elle fut soulagée lorsque qu’il lui répondit tout simplement. Enfin elle avait rencontré un garçon qui gardait ses méchantes moqueries pour lui, enfin s’il en avait. C’était une preuve irréfutable pour la fillette que les garçons n’étaient pas tous dans le même panier. Fort heureusement d’ailleurs. Alors toute heureusement d’être contente elle répondit avec joie.

- Heureusement que tu le sais! Moi je ne me souviens jamais! Et dieu seul sait combien de fois Camélia me la dit!

Par gentillesse lui laissai les blancs. Elle avait le sourire bien accroché au visage se qui devait mettre à l’aise le petit timide. Gabrielle-Ann habitué à la version moldu avait tendance à prendre les pièces dans sa main pour les déplacés. Chaque fois qu’elle arrivait pour prendre une pièce sur le jeu – celle-ci se révoltait ce qui créa plusieurs situations coquettes et hilarantes. À plusieurs reprises les deux enfants éclataient de rire. La XIème fois qu’elle prit un pion celui-ci lui piqua le bout du doigt.

- Aie!

Plus la partie avança plus ses propres pièces argumentaient ses pièces. Le résulta de cette partie était évidente pour un observateur extérieur. Après tout la fillette n’avait aucune autorité sur ses pièces et se n’était pas qu’elle n’avait pas de stratégie. Son roi était à présent en échec par le fou et la reine d’Edwar. Rien de se qu’elle faisait ne pourrait sauver son roi. Elle se passa la main dans ses cheveux blonds. Bon c’était sa fin – la fin de la partie en fait ♥. La lumière qui pénétrait la fenêtre déversait une lumière dans les tons d’oranger. Se qui indiquait la fin de l’après midi

- Je crois que mon roi est mort…

Ca y est la partie était engagé. Edwar remarqua que la fillette à chaque fois qu'elle lui prenait une pièce essaya de la retirer du jeu. Et un fois la plièce lui a fait mal. Edwar se demanda si elle allait bien en lui jetant un regard inquiet, mais apparement ça allait. La partie était vraimentbien partie pour Edwar un peu moins pour Gabrielle-Ann. Les pièces se révoltant faisait éclater de rire Edwar qui Dieu qu'il avait bien besoin de rire en ce début d'année qui s'annonçait mieux depuis qu'il avait rencontré la fillette. Il se demanda comment il aurait fait s'il ne l'avait rencontrer. Peut être serait-il rester seule tout au long de l'année. Edwar faisait avancer ses pièces avec stratégie. La fillette avait un petit soucis car ses pièce ne l'écoutait pas se qui l'a conduisait à sa perte. Avant dernier coup Edwar avança son fou et mis le roi noir en échec. Puis le dernier coup il plaça sa reine. Et déclara

"-échec et mat"

Dommage pour Gabrielle-Ann. Il se dit qu'il aurait pu la faire gagner par galanterie mais il n'était pas sur qu'elle aurait apprécier. Le soleil se couchait ses derniers rayon oranger frappait la table où ils étaient installé . La fin de l'après midi était là. Bientôt les élèves descendrons prendre leur dinner avant d'aller se coucher. Après avoir terminé de ranger le je Edwar monta dans son dortoir pour placer le jeu d'échec de sa mère dans sa valise, mais à porter de main pour le retrouver rapidement. Il resta quelque minute pour contemplé le couché de soleil à travers la fenêtre du dortoir. Puis remercia secrètement sa mère de lui avoir mis ce jeu d'échec dans sa valise avant de partir. D'ailleur il devrait lui écrire pour lui annoncer la nouvelle. Il s'était enfin fait une amie. Il redescendi dans la salle commune le coeur léger et vit Gabrielle-Ann penché sur un cahier et n'alla pas la dérangé. il s'assit sur le canapé et sorti la plume et le parchemin qu'il venait de descendre du dortoir pour commencer la lettre à sa maman.

» Edwar McGuffin à ses parents