Vagabondage sous la neige [PV]

C’était les grandes vacances de noël et la jeune Canadienne restait en Angleterre. C’était son frère et sa sœur qui lui rendait visite. Il va s’en dire qu’Azélie était d’une humeur exécrable depuis son arrivé chez sa mère et sa sœur. Estelle fut la seule des trois enfants DesRêves a être une sorcière et bien que le secret de sa mère brisa la famille, aujourd’hui au moins Estelle pouvait voir son frère et sa sœur et cette année c’était a eux de venir. Bien sur, ils sont arrivés par les moyens de transporte moldus. C’était une demande de leur père. Bref, Azélie et Thomas étaient en Angleterre depuis 4 jours, mais aujourd’hui sa mère l’envoya faire les cours à Pré-Au-Lard avec sa grand-mère. Une fois qu’elle fut chaudement habillée à la mode sorcière, elle prit le bras de sa grand-mère et celle-ci transplanta. Estelle n’ayant pas encore l’âge requis pour transplanté seule devait s’accroché à sa mamie pour le faire. Elle détestait sa au plus au point mais bon, comme sa mère lui avait remis quelques pièces, elle pourrait allez s’acheter des bonbons et peut-être trouvé un petit quelque chose pour son frère et sa sœur. Lorsqu’elles arrivèrent, elles étaient tout près du pub, Les trois balais. Elle aida donc sa grand-mère a marché jusqu’à l’intérieur pour qu’elle puisse s’assoit. « Mon enfant, je vais me reposé un peu ici avec une bonne tisane, va magasiner un peu, tiens mon enfant» Elle tendit sa main ridé a sa petite fille et lui donnait quelques pièces (2 Mornilles et une quinzaine de Noise). Sa grand-mère commanda une tisane et la fillette fut libérée dans le village sorcier. Sa grand-mère lui avait expliqué que sa mère avait a parlé à Azélie et Thomas mais elle en savait pas plus que ça. Sa grand-mère avait refusé de lui en dire plus.

Bref c’était ainsi que sous une neige qui commençait à tomber que la jeune lionne vagabondait dans les rues du village. Elle ne savait pas quoi acheté. Elle marchait tête perdu dans ses pensées qui était censément tourné vers Thomas (il faut dire que son frère occupait une grande place dans son cœur même si aujourd’hui elle avait compris qu’elle ne pouvait être amoureuse de lui, dure vérité.) Estelle c’était rendu jusqu'à la boutique d’Honneydukes. Elle se devait d’acheter des bonbons pour leur faire goûté. Sa au moins c’était spécial pour les non sorciers (ce l’était toujours pour elle d’ailleurs). Elle y entra, c’était un endroit dont tous les enfants devaient avoir rêvé au moins une fois dans leur vie. Elle prit un petit panier à l’entré pour pouvoir y déposer la marchandise qu’elle choisissait. Même pendant les vacances endroit était bourré de monde. Elle prit l’incontournable, Dragées surprises de Bertie Crochue, Fondants du Chaudron, Fizwizbizet, Patacitrouilles bien sur des chocogrenouille. Lorsqu’elle ressorti de la boutique une fois qu’elle fut payer, Estelle bouscula une personne. « Pardonnez-moi Mademoiselle » dit-elle d’une voix polie en voyant que c’était une jeune femme (elle se serait excusé de tout façon) ce n’est que quelques seconde lorsque la jeune fille releva sa tête qu’elle reconnu l’élève en question. C’était nul autre que Billie Ziegler, la préfet de Gryffondor.

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Billie avait décidé de rester à Poudlard jusqu'au bal. Et elle rentrerait à son appartement la semaine suivante. Idée qui pouvait paraître stupide pour beaucoup de monde oui, elle n'avait pas le moindre doute à avoir, du fait qu'elle n'avait pas de cavalier pour le bal, c'était aussi simple que ça, oui voilà. Un soupir s'échappa de ses lèvres alors qu'elle en venait à se dire qu'il ne devait pas y avoir de personnes qui voudraient l'accompagner au bal, tout simplement. C'était peut être un point de vu stupide oui, peut être que les choses trouvaient ça stupide, allez donc savoir. Il s'agissait malgré tout de la dernière chose qu'elle voulait, il n'y avait absolument rien de plus à en dire, oui voilà. Enfin bref, elle avait voulu rester, histoire de faire ses devoirs, ses cours, ses devoirs de préfète et tout ça. C'était aussi simple que ça, d'une certaine manière en tout cas. Il n'y avait rien de bien étonnant dans tout ça. Enfin bref, dans tous les cas, de toute manière, ça allait aussi lui permettre de passer un peu de temps avec ses amis, ce n'était pas vraiment étonnant non ? Elle était tout à fait en droit de passer du temps avec ses amis. Elle avait réellement trouvé que les choses avaient mal tournés, que les choses étaient compliquées et qu'elle avait du mal à les voir, c'était ainsi et bien que les choses ne soient pas toujours si dures, elle s'éloignait d'eux, c'était réellement la sensation qu'elle avait.

Ses devoirs n'avançaient pas. Cela faisait déjà une bonne heure qu'elle se trouvait dans la bibliothèque à essayer continuellement de trouver la réponse à son exercice mais rien ne semblait se décider à venir alors elle finit par se prendre la tête, parmi tout ça, tout aussi simple que ça. Elle soupira, se frappant presque le front sur la table et fermant les yeux. Elle en avait marre. Et évidemment, il fallait que ce cours ne soit en aucun cas en rapport avec ceux de Seth ! Au moins, il lui serait venu en aide ! Bon bah elle pourrait toujours voir avec Fredericke, peut être qu'elle avait trouvé la réponse à cette question, il n'y avait rien de bien étonnant au milieu de tout ça. Enfin bon, pour l'heure, elle en avait réellement marre alors elle préférait sortir, aller prendre l'air.

Pour la peine, elle eut même l'intention de quitter Poudlard, histoire d'aller traîner du côté de Pré Au Lard, c'était sympa ça, comme idée non ? Bref. Elle finit par se lever, par sortir de la bibliothèque et elle fila vers son dortoir pour se changer. Les jours étaient froids et les rues enneigées, ce n'était donc pas le moment de s'y aventurer en uniforme, d'après elle en tout cas. Enfin bref, elle enfila un jean, un pull et une veste, histoire d'être bien au chaud dehors. Et il n'y avait pas de doute à avoir, il fallait sincèrement qu'elle soit bien au chaud hein, parce qu'on ne pouvait pas vraiment dire qu'elle ait envie d'attraper une quelconque maladie dehors, c'était hors de question !

Elle se rendit ensuite à Pré Au Lard. L'air était glacial, les rues blanches, tout était parfait. Non pas que la jeune Billie adore avoir froid bien sûr, mais elle devait bien avouer qu'elle était bien au milieu de tout ça, il n'y avait pas de doute à avoir même. Enfin bon, pour autant, il ne fallait pas non plus se prendre la tête hein, passer son temps à chipoter à cause de la température de l'extérieur était une parfaite idiotie, il n'y avait pas le moindre doute à avoir. Alors qu'elle marchait tranquillement mais super longuement, une personne la bouscula. Une fille, plus petite qu'elle. Elle s'excusa d'ailleurs aussitôt.  « Il n'y a pas de mal ne t'en fais pas ». Il s'agissait d'une Gryffondor, plus jeune qu'elle et bien qu'elle soit incapable de se rappeler son nom, elle la savait en troisième année.  « Fais tout de même attention, il y a des personnes assez chiantes tout à fait capables de s'en prendre à toi, même si tu n'as pas fait exprès »

Lorsqu’elle avait entré dans la boutique, elle n’avait pas pensé une seconde d’avoir autant de chose à acheter. Presque tout son argent de poche y passa. Enfin, il y restait le ¼ pour trouvez un petit quelque chose pour son frère adoré. Thomas était son premier amour, enfin c’était se qu’elle croyait car encore aujourd’hui, elle ne faisait pas la différence entre l’amour donné à un membre de sa famille et l’amour qu’on ressent vis-à vis un amoureux. Une seule chose qui la troublait toujours était se qu’elle avait ressentis lorsque Camille Moreau lui avait demandé si il pouvait l’embrassé. Bref c’était un étrange sentiment qu’elle ne comprenait pas encore malgré ses quatorze ans tout frais. C’était différent mais lequel était du a quoi c’était encore un parfait mystère pour la jeune Canadienne. Estelle venait de trouvé tout sort de belle chose pour faire gouté à son frère et sa sœur (quoique sa sœur vu leur relation tendu se serait assez pénible). La petite lionne se demandait quant est-ce qu’elle allait récupérer sa grande sœur qui avait toujours été là pour elle. Sans incident du bois, sans le divorce elles seraient encore amies. C’était se que croyait la jeune fille. Une fois que s’est achat fut payer, elle sorti de la boutique et comme a son habitue, elle était dans la lune, tout ses pensées était vers sa sœur qui la détestait parce que selon elle, Estelle avait brisé la famille avec leur mère pour ensuite leur donner en désert une belle-mère qu’Azélie détestait pardessus tout.

Bref, le résulta d’être dans la lune fut qu’elle bouscula une jeune fille. Elle s’excusa rapidement d’être l’impact. Par chance, elle n’échappa pas son sac de provision de bonbon. Sa victime était nul autre que Billie Ziegler une des préfètes de sa maison. Il était évident que son aînée ne connaissait pas son nom. Pour Estelle, se n’était pas l’important. De toute façon, elle n’était pas bien mieux avec les noms. Et Billie avait une bonne raison. Elle était en dernière année à l’école de sorcellerie de Poudlard et de plus elle avait tant de nouvel élève que de se souvenir du nom d’une troisième année qui était aussi sage que son image était quasi de l’impossible. (Sage comme une image? Impossible, elle avait eu juste la chance de ne pas se faire prendre différence.) La jeune femme ne lui en voulait pas. Remarque, c’était évident que c’était involontaire. Juste à regardé l’expression et le ton des gens lorsqu’il s’excuse. Mais c’est l’autre commentaire de la jeune femme qui perturba la jeune fille.

« Se serais ridicules mais tellement plausible, il est assez faciles de savoir lorsque c’était un accident comparé à un geste volontaire. Vous avez des courses à faire Mlle Ziegler? » demanda t-elle. Estelle était consciente que sa ne la regardait pas mais c’était une façon très malhabile de faire la conversation avec quelqu’un de sa maison. Et puis, la jeune fille se sentait seule aujourd’hui alors de croiser par hasard quelqu’un qu’elle connaissait de vu, c’était bien et moins plate qu’elle seule

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Ridicule ? Totalement. Les gens d'aujourd'hui avaient réellement la fâcheuse tendance à s'énerver pour pas grand chose, le truc bien ridicule puisque d'une certaine manière, on ne pouvait pas vraiment dire que l'on pouvait toujours expliquer le pourquoi du comment de chacun de nos actes, c'était pathétique, totalement pathétique même, mais c'était un détail auquel il ne fallait pas vraiment s'intéresser. Bien qu'il soit difficile de ne pas s'y intéresser en réalité, mais le mieux était de ne pas se prendre la tête avec tout ça, c'était aussi simple que ça. Lorsque les gens avaient tendance à nous prendre la tête sans que l'on ne soit vraiment capable de savoir pourquoi, le mieux était vraiment de les laisser parler dans leurs coins et de les laisser tranquille, il n'y avait rien de plus à en dire. Enfin bon, Billie disait ça, mais elle n'était pas vraiment du genre à laisser faire. Du tout même. Enfin bon, elle avait un caractère bien particulier aussi et ce n'était pas un point bien négligeable, cela allait de soit. Non mais c'était vrai quoi, que l'on soit bien d'accord, elle avait toujours eu la fâcheuse tendance à chercher les ennuis pour tout dire. Même si la chose s'était plutôt calmée lorsqu'elle avait perdu son frère et qu'elle n'était plus que l'ombre d'elle même... Mais ça, c'était un bien malencontreux détail auquel il ne fallait pas porter trop d'attention.

Et puis en plus de ça, il y en avait beaucoup qui faisait exprès de bousculer les autres. Les personnes les plus chiantes d'ailleurs. Bien que bien sûr, on ne pouvait pas vraiment dire que ce soit vraiment fréquent. Et puis, il fallait risquer le retour, lorsque l'on poussait quelqu'un quoi. Quoi de plus normal ? On ne pouvait pas volontairement les gens sans craindre de se prendre un truc en retour quoi ! C'était même carrément le genre de comportement dégueulasse et insupportable. Enfin bon, pour autant, elle n'allait pas non plus se prendre la tête, il en était absolument hors de question. Et puis pour l'heure, ce n'était pas vraiment nécessaire puisqu'il s'agissait juste d'en parler et non pas d'en faire un scandale... Enfin bref, tout ça pour dire que les gens étaient vraiment cons, parfois plus cons les uns que les autres. Mais il était stupide de mettre tout le monde dans le même sac.

Billie voulut donc commenter mais la jeune élève poursuivit en lui demandant si elle avait des courses à faire. Puisque la jeune préfète n'en avait pas vraiment, elle n'avait pas de lieux où aller ou ce genre de chose. Comme ça, si la fillette avait un endroit où se rendre, elle pouvait aisément l'accompagner quoi ! Enfin bien sûr, seulement si elle voulait bien de sa compagnie, ce qui pouvait s'avérer un peu plus compliqué ! Déjà, le premier point compliqué, c'était que son prénom lui échappait, même s'il allait paraître stupide de lui demander son prénom alors qu'elle aurait probablement dû le connaître ?  « Tu sais, tu n'as vraiment pas à me vouvoyer hein, je ne suis pas un professeur, je suis une élève, tout comme toi... Par contre, j'en suis désolée mais ton nom m'échappe... ». Autant le demander carrément, il aurait été ridicule de continuer ainsi sans connaître son prénom après tout. En plus, si elles devaient passer l'après-midi ensemble, ce n'était pas pour rien, c'était aussi simple que ça, il n'y avait rien de plus à en dire, voilà.  « Je n'ai pas le moindre achat à faire, mais peut être que toi oui? Je n'ai rien à faire, donc je peux très bien t'accompagner, si ma compagnie ne te dérange pas bien sûr »

Effectivement c’était pour elle totalement ridicule de se fâché pour une bousculade innocente. Par contre, elle savait les gens stressé et qu’une bousculade pourrait facilement viré au cauchemar. Sur se point Billie n’avait pas tord. Pour le point du vouvoiement, elle était ainsi. Tout personne qu’elle ne connaissait pas vraiment, par politesse, la canadienne utilisait un vous. C’était ainsi et c’était pour la jeune fille très dure de changer ça. «Très bien, je vais assez de pas trop utilisée le vous, mais bien souvent sa sort tout seule.» Enfin, elle n’avait pas vraiment envie de changer cet aspect de sa personnalité.

D’ailleurs, elle ignorait son nom. Certain élève se serait offusqué de se manquement. Mais il faut dire que la jeune Estelle bien qu’elle soit à Gryffondor n’était pas la plus voyante des lionnes. « Je m’appelle Estelle DesRêves. » répondit-elle à Billie heureuse qu’elle lui ait demandé. Après, la troisième année n’était pas la plus rebelle des Gryffondor, enfin elle avait eu juste plus de chance que certain. Lorsqu’elle répondit a sa question sur les courses, Estelle regarda l’heure sur sa monte. Il lui restait une bonne heure avant de retournée chez elle avec sa grand-mère.

« Bien sur que non! Plus on est, plus on est fou. Quelque chose du genre.» répondit la canadienne. Les deux lionnes s’étaient remis à marché qu’Estelle reprenait la conversation. « Il me reste une grosse heure avant que moi et ma grand-mère retournions à la maison nous pourrions tranquillement nous rendre aux Trois Balais, ou ma grand-mère m’attend. Je cherchais un petit truc, autre que des bonbons et sans danger que je pourrais offrir a mon frère et ma sœur. Ils sont moldus. Il me reste plus grand-chose car j’ai acheté plusieurs bonbons qui peuvent goûter. » Rare était ceux qui savait que la Canadienne avait une sœur et un frère plus grand qu’elle. Elle parlait peu d’eux sauf à Nina, May et Logan qui étaient très proche d’elle. Mais tranquillement, la jeune lionne s’ouvrait aux autres.