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 Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]

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Ξ Sujet: Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]   Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] EmptyMar 23 Aoû - 2:44

CHEMIN DE TRAVERSE
FINALLY IT WASN'T A BURDEN !

Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] 288pgk2

Depuis qu’il travaillait à Poudlard, depuis quelques temps déjà, Hadès Burton faisait sans cesse la navette entre Londres et Poudlard, souhaitant garder un minimum de vie privé, n’étant pas obligé de rester sans cesse au château. Oh non, Hadès adorait le château, beaucoup même, mais il ne supportait pas bien longtemps d’être séparé de son jumeau. Il était très proche et avait emménagés ensemble dans un immeuble désaffecté, dans un quartier de Londres peu habité. Tout cela avait pu se produire grâce à l’argent qu’ils reçurent tout deux en héritage de leur défunte mère. L’endroit leur avait beaucoup plu et ils avaient aménagé les lieux minutieusement. Les amis des jumeaux aimaient beaucoup s’y rendre également, car l’appartement, qui occupait tout le premier étage, était en fouillis, agréable et avait une ambiance qu’on pourrait qualifier de « cool ».

D’ailleurs, ce matin là, on n’entendait deux respirations calmes et régulières, provenant des deux chambres du premier et unique étage de la maison. La cour de la bâtisse était restée à l’état sauvage. On accédait à l’intérieur de la maison par un petit chemin qui allait du portail à l’entrée, en terre, apparemment désherbé de la mauvaise végétation. Le rez-de-chaussée contenant d’un côté les bureaux respectifs des jumeaux, deux grandes surfaces de travail éclairées par la lumière du jour, et de l’autre côté, un véritable paradis pour un danseur invétéré. Il y avait une petite estrade pour faire des claquettes, deux énormes miroirs sur l’un des murs, de la place pour se mouvoir, des tas d’instrument de musique et un ghetto baster sur une petite commode remplie d’étagère, à côté de sa jumelle sur laquelle reposait un tourne disque entouré de ses vinyles. Pour se rendre à l’appartement, il fallait emprunter un escalier de métal en colimaçon, qui avait gardé le côté industriel des lieux.

L’étage était nourrit de lumière grâce à un soleil qui tapait sur les carreaux, réveillant bientôt nos deux frères. L’appartement était très personnalisé. Il y avait des affiches de Quidditch dans l’entrée, se mêlant avec des tas de poster de films et groupes Moldus des années 70. La cuisine était ouverte sur le reste, légèrement délimité par un comptoir. Elle aussi avait gardé ce côté métallique, industriel. On pouvait voir un peu partout, des cassettes vidéo et disques. Apparemment, la plupart était des films, faits par les jumeaux : On pouvait voir leurs titres sur la tranche des cassettes au marqueur noir ou bleu. D’ailleurs, une bonne partie des meubles présents dans la maison était remplis de cassettes, qui prenaient apparemment plus de place que les CD. Le salon, assez grand, était meublé d’une télévision qui semblait dater des années 90 sur laquelle reposait un magnétoscope et un lecteur DVD, d’une grande table basse circulaire rouge, en plexi glace, sur laquelle trônait une radio ensorcelée et des tas d’autres cassettes, à côté d’un sofa, qui dominait les nombreuses assises de la pièce, dont plusieurs poufs et fauteuils. À côté de la télévision se trouvait deux gros caméscopes apparemment très perfectionné, posé soigneusement sur une petite tablette. Une des armoires semblait être en fait une vitrine. L’alliage était en métal et ses portes en verre. Les cassettes qui s’y trouvaient était plus soigneusement rangées, et l’une d’entre elle reposait sur un socle. Elle portait le mot « Adolescencia. ».

Pas le temps de s’attarder d’avantage sur le reste. On entendait quelqu’un sortir d’une des chambres toutes deux face à face. Un jeune homme au physique rachitique entra en trombe dans l’autre chambre. Il était vêtu d’un bas de pyjama noir uniquement, ses longs cheveux ondulés, faussement négligé pendant devant son visage, entouré lui-même d’une barbe de quelques jours. Il s’affala sur le lit d’un jeune homme dormi, la tête sous son oreiller. Ce dernier lâcha un grognement pâteux et envoya le coussin dans la tête du jeune homme avant de s’enrouler dans sa couette. Le jeune homme essaya de la lui arracher mais l’autre se redressa soudain avait l’air légèrement énervé : « Hippolyte ! Fuerra ! » Apparemment, il avait des origines à hispaniques à s’exprimer de la sorte. Il avait exactement la même tête que le dénommé Hippolyte. Les mêmes cheveux mi-longs, la même barbe, bref, ils étaient identiques. Le jeune homme fraîchement réveillé était Hadès, le frère de ce dernier. Il rabattît sa couette sur sa figure émacié et poussa un juron. Son frère s’approcha de la masse qui semblait être son visage et parla d’une voix apparemment très amusé : « Il va être midi quand même. On est Lundi et tu as un cours à donner. » Ni une ni deux, Hadès se leva d’un bond de son lit, apparemment affolé en répétant : « Oh non ! Oh non ! » Son geste fut si brutal que son frère était tombé de son lit. Il se releva, les coudes sur le matelas, à genoux sur le sol à moquette en se massant le menton. « Aïeuh… Je plaisantais. On est Dimanche. » Hadès ne sembla pas y croire, et finit par retomber à plat ventre sur son lit, la tête dans le matelas. Lui aussi était habillé d’un bas noir uniquement. On entendit sa voix étouffer « M’en fous tu prépares le petit déjeuner. » Amusé, son frère se releva, ébouriffa les cheveux de son frère et sorti de la chambre.

« Tu dois aller à Gringotts chercher des sous, on a plus un rond. » Annonça Hippolyte en se servant une tasse de café, pendant que son frère, toujours de mauvais poil, essayait de se noyer dans son propre bol de lait. Il acquiesça seulement de la tête en attrapant du muesli qu’il versa dans son lait, qu’il mâchonna avec une indifférence proche du coma. « En plus moi je ne peux pas, je dois aller à la poste Moldue poster une lettre à papa. Ça me fait faire un détour c’est de l’autre côté de la ville. » Ajoutât son frère d’un ton d’excuse. « No problemo. » Assura Hadès en hochant la tête.

Les deux ne réapparurent dans le salon après être passé à tour de rôle dans la salle de bain. Prêt chacun à partir de leur côté à Londres, ils constatèrent une fois de plus qu’ils étaient habillés pareil. Le même T-shirt à imprimé underground, le même jean, les mêmes chaussures noires et la même veste cintrée de la même couleur. Hadès eu un sourire et enleva un élastique de son poignet pour s’attacher les cheveux en catogan, comme son frère. Celui-ci lui lança un sourire amical et descendit les escaliers en premier. « À tout à l’heure. » Lança-t-il, partant dans la cour en lui adressant un signe de main. Hadès glissa sa baguette et ses clefs dans sa poche et marche jusqu'au Chaudron Baveur après avoir refermé la porte de métal à double-tours.

Bientôt, il arriva devant les portes de l'auberge des sorciers. Il passa par la porte dérobée à l’arrière de la taverne et tapotât les briques de l’entrée du Chemin de Traverse de sa baguette, par réflexe, avant que celui-ci ne s’ouvre sur son passage. D’un pas lent et démotivé, il traversa le Chemin de Traverse en regardant distraitement autour de lui. Il passa devant un bar ou une jeune femme en sortait. Elle était jolie avec ses cheveux noir de jais, mais Hadès ne la regarda que très brièvement avant de marcher de son pas droit et agréable jusqu’à Gringotts. Ce n’était pas son endroit préféré il fallait le dire. Il se retrouva bientôt devant un gobelin, à qui il donna la clé de la chambre commune que possédait Hippolyte et lui. Il suivit le Gobelin, apparemment jeune jusqu’à son coffre, demanda à prendre une cinquantaine de Gallions, quelques Mornilles et Noises, et parti dans demander son reste, en fourrant la bourse maintenant pleine dans l’autre poche de sa veste de costume.

En retournant sur ses pas, Hadès ralentit en repassant devant le bar. Il se souvint de la jeune femme aux longs cheveux noirs et entra par curiosité. Après tout, il n’avait que petit déjeuné et il commençait à avoir faim. Il prendrait bien une petite Bièraubeurre avant de rentrer à la maison. D’ailleurs, il ne lui en restait plus à la maison. C’était l’occasion d’en acheter de nouvelle. Il pénétrât dans la petite bâtisse qui semblait bien calme. Il s’assit donc au comptoir en attendant que quelqu’un vienne, en regardant le décor environnant. Puis ses yeux croisèrent ceux de la jeune fille de tout à l’heure. Travaillait-elle ici ? Détournant le regard, Hadès plongea sa main dans sa poche et comptât les Mornilles voulut pour une bouteille de Bièraubeurre plus un pack de six. « Excusez-moi. » Glissa-t-il à l’adresse de la jeune femme, en évitant de recroiser son regard, intimidé comme d’habitude. « Vous travaillez ici ? » Il se sentit soudain crétin de demander ça à une inconnue. Si ce n'était pas le cas, il aurait eu l'air d'une quiche de première.


Dernière édition par Hadès Burton le Mer 24 Aoû - 19:27, édité 1 fois
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Ξ Sujet: Re: Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]   Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] EmptyMer 24 Aoû - 18:52

Lula n'avait pas la vie la plus simple du monde. Certes, bien sûr, lorsqu'elle se trouvait à Poudlard, la situation n'avait pas été si catastrophique et tout s'était très bien passé. Elle s'y était fait des amis, des ennemis et au final, oui, elle n'avait pas de doute à avoir quant au fait de se dire que tout n'allait pas trop mal. Elle avait eu 7 années heureuses et à la fin, elle avait été contrainte de grandir et évidemment, c'était souvent à cet endroit que la situation venait à changer, quoi que l'on puisse bien en dire. Mais même si ses amis étaient toujours là, la jeune femme ne pouvait malgré tout pas nier que sa vie avait changé et que sur certains points, tout semblaient encore plus compliquées. Il avait été question de grandir, d'avancer et de tenter de se relever, à chaque épreuve, dans la solitude la plus totale.

Oh bien sûr, tout aurait pu être bien plus simple et beaucoup moins compliqué, il n'y avait pas le moindre doute à avoir à ce sujet. Mais pour autant, ce n'était jamais simple. Et c'était pour cette raison que tout était, sans doute, devenu si difficile pour Lula. Elle avait perdu ses parents, dans un accident de voiture, il y avait un an tout juste et du fait qu'elle soit majeure, elle avait pu rester seule bien sûr, mais les implications que cela avait causé n'étaient pas simples, pas simples du tout. Elle faisait tout son possible pour paraître suffisamment adulte mais à vingt ans, on ne l'est pas forcément, évidemment. Mais lorsque l'on se retrouve à devoir prendre des décisions, on le fait et on ne pose pas de questions. Et c'était, sans aucun doute, ce qu'il y avait de mieux à faire, en plus de ça. Même si c'était loin d'être faciles.

Malgré l'héritage que ses parents avaient pu lui laisser, cela n'était absolument pas suffisant et pour cette raison, elle fut évidemment contrainte de vendre la maison familiale. Une décision difficile, et effrayante, douloureuse également. Abandonné ainsi l'endroit qui nous avait le plus était utile, mais cela ne serait jamais suffisant et il n'y avait absolument aucun doute à avoir à ce sujet, oui, c'était justement pour cette raison que tout était chiant. Elle s'était achetée un petit appartement, bien assez pour une personne mais tout de même légèrement grand pour avoir un certain confort et elle s'était installée, elle et ses maigres affaires, évidemment. Elle avait trouvé un emploi aussi, dans un bar, sur le Chemin de Traverse, et sa nouvelle vie avait commencé.

Oh bien sûr, au départ, ça avait été loin d'être aussi simple et c'était bien pour ça qu'elle avait mis du temps à s'y faire. Mais aujourd'hui, tout allait mieux, elle s'y était faite, ou en tout cas, ça allait bien mieux. Elle était toujours elle-même bien sûr. Peut être un peu moins superficielle qu'avant ? Mais elle profitait de la vie. Elle n'en avait qu'une seule après tout, même si elle aurait réellement adoré être un petit chat. Mais puisque ce n'était pas le cas, elle n'avait, évidemment, pas le choix, c'était aussi simple que ça oui, voilà. M'enfin...

Pour l'heure, ressasser le passé n'était évidemment pas vraiment utile, même si elle ne pouvait pas toujours s'en empêcher. De ce fait, elle se contenta d'inspirer un grand coup et se reconcentra sur la table qu'elle était en train de nettoyer, ce qui ne promettait pas vraiment d'être si évident que ça. Une fois la table propre, elle put enfin prendre sa pause. Elle en profita pour aller acheter un bouquin, pour ses moments de trop grandes solitudes, la nuit, puis, elle retourna bosser ( il y avait foule, de ce fait, elle n'eut pas le temps de faire plus ! ).

Lorsqu'on l'appela, ou en tout cas, lorsqu'on lui adressa la parole, elle se tourna docilement vers le client, prête à prendre sa commande. Tiens, il était passé devant le bar tout à l'heure, son visage, elle n'était pas dan la possibilité de l'oublier, l avait vraiment un beau visage... Mais bien sûr, ce n'était absolument pas le genre de propos qu'elle pouvait utiliser à son intention.  « Oui oui, je travaille ici. Puis-je prendre votre commande ? ». Elle glissa le chiffon sur son épaule, et sortit un calepin de sa poche ainsi qu'un stylo. Elle n'avait absolument pas une bonne mémoire, alors elle était évidemment contrainte de tout noter, si elle voulait satisfaire le client. Bien sûr, elle portait l'uniforme de la maison, mai il n'était pas non plus si évident que ça. Il ne s'agissait que d'une simple chemise blanche et d'une jupe plissée noire. Rien de bien voyant. De toute façon, il ne l'avait probablement pas appeler pour lui faire la causette, mais plutôt pour qu'elle puisse prendre sa commande, à n'en pas douter !
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Ξ Sujet: Re: Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]   Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] EmptyMer 24 Aoû - 22:07

CHEMIN DE TRAVERSE
FINALLY IT WASN'T A BURDEN !

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C’est vrai qu’elle était jolie dans sa jupe droite. Elle paraissait très simple au premier abord. Hadès redressa la tête sur le menu. Ah ils proposaient aussi à manger ? Une légère concurrence au Chaudron Baveur ? Elle s’approcha de lui et lui demanda ce qu’il voudrait prendre. À la base, il ne devait que prendre une petite Bièraubeurre et un pack à emporter à la maison, mais cette idée lui sortit de l’esprit. « Je déjeunerais bien. » Répondit-il en enlevant sa veste qu’il posa sur le dossier de sa chaise. Il prit la carte et la lui tendit. « Je penserais prendre une assiette de haricot blanc à la sauce tomate. Avec des saucisses. Et une Bièraubeurre. Merci. » Dit-il très poliment en agrémentant sa phrase d’un sourire. Le secret d’un sourire by le jumeau Burton ? Des dents droites, alignés, blanches, et des canines légèrement aiguisés.

Notons quand même qu’il parlait d’une voix plutôt normale, sans la moindre tâche de timidité dans l’air. Pourquoi ? Peut être que depuis quelques temps, depuis la fin de Poudlard, le jeune homme avait simplement comprit que parler ne risquait pas de le tuer, que le simple fait d’exister ne faisait pas de lui un hors la loi. Il était en droit, comme tout être humain, de s’exprimer librement. La danse avait un petit côté libérateur, d’autant plus que les jumeaux s’étaient aperçus que même après avoir quitté l’école, leur seul lieu de sociabilisassions, un bon nombre de leurs amis étaient restés en contact avec eux, ce qui ne pouvait que leur faire davantage plaisir.

Avoir quitté la maison paternelle avait été une libération en soit. Effectivement, dès leurs dix-sept ans et la fin de leurs études, les jumeaux avaient touchés l’héritage de leur mère. Elle avait un compte garni à Gringotts ainsi qu’à la banque Moldues, qui avait eu le temps de faire des petits pendant dix-sept longues années. Cette maison, qu’Hadès possédait avec son frère, était un véritable petit bijou. Ils vivaient très bien ainsi en parfaite colocation. Après tout, tout partager était naturel chez eux. Les instants comme ceux là, durant lesquels Hadès étaient seuls étaient rares. D’ailleurs, hormis une poignée d’amis, peut de gens comprenait ceci. Pour essayer de percevoir l’importance de cette entente fusionnelle, il fallait les voir danser par exemple. Les voir côtes à côtes n’était pas une preuve suffisante, pas pour le commun des mortels ça non.

Enfin bref. Le temps que son assiette arrive, Hadès observait le décor qui l’entourait. Tout était très simple. Il serait prêt à parier pensait-il, que si cette taverne serait à Pré-Au-Lard, elle ferait une dure concurrence à Mrs Rosemerta. On sentait le café au comptoir, peut être ce qu’ils servaient le plus. Il n’y avait pas foule. Deux bonnes femmes faisaient le compte de leurs emplettes et trois sorciers encapuchonnés parlaient à voix basse en sirotant une bouteille qu’ils passaient régulièrement sous leur cape. Leurs apparences étaient singulières et brusquement, Hadès se sentit le plus commun des sorciers de cette planète. Il tendit le cou pour espérer apercevoir la jeune serveuse.

Une fois son assiette devant le nez, Hadès adressa un sourire discret à la jeune femme et un « Merci bien. », avant de prendre sa fourchette et de commencer à manger. Il était plutôt agréablement à voir qu’un personnage aussi rachitique, au corps de danseur, comme Hadès, avait bon appétit. Après tout ce qu’on pourrait dire sur son père, ce dernier avait toujours été un homme d’âge mur très classe, qui appréciait les bons vins et mets divers. Nôtre professeur d’astronomie avait apprit les arts de la table avec toute la dureté d’éducation que son père employait habituellement. Pourtant, durant leur petite enfance, leur père n’avait pas toujours été aussi dur avec les jumeaux. Simplement un peu sec, mais il lui arrivait d’être gentil. C’est seulement vers l’âge de sept ans qu’il commença à exiger d’eux une logique et une maturité qui les firent très vite dépasser le stade de l’enfance.

On comprenait mieux pourquoi Hadès et Hippolyte avaient été si enthousiasmer à aider pour les travaux de leur maison. Ces travaux, pourtant difficiles à réaliser même à l’aide de la magie, était conséquent, mais avait un goût de liberté. C’était le symbole de leur indépendance en quelque sorte.

En mangeant, distraitement, il jetait un coup d’œil à la jeune femme qui était de l’autre côté du comptoir en face d’elle. Certes Hadès appréciait son physique, mais il n’était pas le genre d’homme à faire attention à de tels détails. Lorsqu’elle se retourna, il remarqua cependant un livre. Il reconnu la couverture. En avalant sa bouchée d’haricot, Hadès s’essuya le coin des lèvres avec sa serviette et interpella la jeune femme. « Eh ! Je connais ce livre, je l’ai déjà lu. C’est L’affaire des Plumes en Sucres. Excellent polar ! » Il s’interrompit en prenant conscience de s’adresser véritablement à elle, d’une voix tout aussi à l’aise que précédemment. Il fut prit de court et pour ne pas se décontenancer, il attrapa sa Bièraubeurre et débouchonna la bouteille distraitement, avant d’en boire une gorgée.
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Ξ Sujet: Re: Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]   Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] EmptyJeu 25 Aoû - 14:08

Lula fit donc ce que son travail lui demandait de faire, elle prit la commande du garçon, et ne s'attarda pas une seule seconde. De toute façon, il n'avait pas montré un seul instant qu'il avait envie de lui parler plus longtemps ou même qu'il avait envie de lui faire la causette, ce genre de chose. Alors bon, elle se voyait mal rester avec lui, lui parler et se retrouver contrainte de passer pour une grosse débile, c'était la pire des choses et c'était bien affreux. Depuis qu'elle avait pris ce boulot, elle en venait à avoir l'impression que tout ceci était devenu compliqué. Elle n'avait plus vraiment le temps de faire connaissance avec des gens. Bien sûr, de temps à autre, elle se mettait à bavarder avec les clients, à les découvrir et tout ça, mais évidemment, ça ne voulait absolument rien dire. Bien sûr, tout cela pouvait devenir bien bizarre, après tout, ce n'était pas non plus un emploi dans un bureau où elle se retrouvait coincée seule. Mais bien souvent, les gens qui venaient ici n'étaient là que pour boire et se remplir comme des barriques. Avoir des conversations potables avec eux devenait même parfois bien difficile. M'enfin, de toute façon, elle ne travaillait pas pour être heureuse, ou pour avoir une belle vie ou ce genre de stupidité. Si elle avait cette appartement, c'était uniquement dans le but d'être tranquille et de ne pas avoir à se prendre la tête. Oui, c'était sans aucun doute bien mieux comme ça, à n'en pas douter.

Et puis si elle avait choisi de travailler la journée, en commençant à une heure plutôt décente ( chaque jour à 10h, elle n'avait donc pas tant à se plaindre que ça. ), c'était pour pouvoir continuer à mener une vie plus ou moins normal le soir. Au moins, elle pouvait se faire plaisir, s'amuser comme elle voulait lorsque cela en venait à être utile et intéressant. A n'en pas douter. Enfin bref, il n'était pas nécessaire de parler maintenant de ses activités de la nuit en faite, ça n'aurait pas servi à grand chose, en plus de ça, et il n'était pas très sérieux de songer à tout ça. Enfin bon, tout ça pour finalement dire que la jeune fille n'avait pas pour mission de se prendre la tête avec de sordides pensées et idées. Ce n'était, en plus de ça, absolument pas son genre et c'était ça le plus important oui, c'était bel et bien ça qui se trouvait être le gros du problème, par moment. M'enfin... Il était hors de question pour elle de faire sa petite mijorée vexée. Surtout pas au travail où elle avait la fabuleuse tendance à se montrer plus sérieuse que n'importe qui.

En attendant que la commande du garçon soit enfin terminée, elle se concentra sur les autres clients qui, bien qu'ils ne soient pas bien nombreux, avaient eux aussi besoin d'un peu d'attention. Il n'y avait que deux serveuses dans ce bar, sans compter les cuisiniers ( trois ) et la personne qui ne quittait jamais le bar pour servir les plus alcooliques ou ceux qui ne se passaient jamais d'une bonne tasse de café. Enfin bon, une fois tout le monde servi, la sonnette de la cuisine annonçant que le plat était prêt se fit retentir et elle fila donc. L'absence de la magie faisait qu'il fallait attendre un peu plus de temps, pour que les plats puissent être prêts. Et certains clients avaient déjà fait remarquer que c'était moins bons. Mais bon.. Ils faisaient ce qu'ils pouvaient, c'était la crise pour tout le monde, sans la magie. Donc... Elle alla chercher la commande et l'apporta donc à sa table.

Une fois qu'il fut servi, elle se rendit compte que tous les clients étaient satisfaits. Elle alla donc s'installer au bar, s'installant sur un des tabourets et une fois confortablement assise, elle prit un bouquin et se mit donc à le lire, plongeant dans son univers. Elle sursauta, néanmoins, lorsque le client qu'elle venait tout juste de servir se mit à lui dire qu'il connaissait le livre qu'elle était en train de lire. Elle le ferma, d'un coup mais non pas trop brusquement, se leva et alla à sa rencontre. Non pas que son intervention lui déplaisait. Mais le patron qui se trouvait dans la cuisine n'aimait pas trop que ses employés fassent autre chose ( même lorsqu'ils n'avaient rien d'autre à faire ). Alors autant qu'elle aille converser avec lui. Ca, c'était par contre, le genre de chose qui plaisait à son patron, qu'elle parle avec les clients, qu'elle se rapproche d'eux pour les pousser à revenir. Stupide ? A n'en pas douter mais il était un certain phénomène.  « Je dois vous avouer l'avoir choisi pour la couverture. Puisque ce roman ne possède pas de résumé à l'arrière.. Chose que j'ai quand même beaucoup de mal à comprendre. Mais je suis heureuse de savoir qu'il est bien, au final. Si ce n'est pas le cas, je saurais à qui en vouloir ! ». Elle lui fit doucement un clin d'oeil, refusant de se montrer désagréable avec lui et tentant donc de se montrer sympa et agréable. Chose pour laquelle elle ne se trouvait pas toujours si douée que ça. Ce qui pouvait être drôlement chiant, parfois. Parce que souvent, Lula n'avait pas les mots qu'il fallait et les choses se passaient vraiment mal.. " Oh, désolée de m'incruster à votre table. C'est probablement la dernière chose que vous voulez. Je retourne de ce pas au comptoir. N'hésitez pas, si vous avez besoin de quelque chose"
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Ξ Sujet: Re: Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]   Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] EmptyJeu 25 Aoû - 22:48

CHEMIN DE TRAVERSE
FINALLY IT WASN'T A BURDEN !

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Hadès avait lu ce livre que son frère avait acheté la dernière fois, juste parce qu’il n’avait pas de quatrième de couverture. Justement, il s’était avéré être un très bon livre. Une histoire plutôt sympathique dont Hadès se souvenait vaguement de l’intrigue et de la résolution de l’enquête. Un petit style Agatha Christie très apprécié des lecteurs Moldus et sorciers. C’était le genre de petit plaisir d’Hippolyte que finissait entre les mains d’Hadès, comme le reste était tout aussi possible. Le seul hic, c’est qu’aucun n’autorisait à l’autre de donner le fin mot de l’histoire, sous peine de se recevoir une pichenette dans la minute qui suit.

Le genre de chamaillerie qui s’imposait entre les deux jeunes hommes, qui restaient avant tout deux frères. Hippolyte gardait une certaine fierté à être l’aîné, de quelques minutes cependant. Ces treize minutes qui avaient pourtant fait la différence n’était rien. L’aîné semblait tout aussi chamailleur que son frère, voir d’avantage. De vrais gamins. Ils avaient déjà fait de petits concours entre eux en pleine nuit, de danse, qui les obligeait à se déchaîner jusqu’à ce que l’un d’eux déclare forfait. Autant dire que le lendemain, lorsqu’Hadès s’était rendu au travail, à Poudlard, il avait affiché de grandes cernes bleuâtres et une démarche un peu boiteuse, suite à un muscle légèrement froissé par l’épuisement.

Enfin bref, pour en revenir à nos hippogriffes, la jeune fille que nôtre Burton avait interpellée se tourna vers lui, en fermant machinalement son livre. Elle devrait de nouveau chercher la bonne page, pensa-t-il en souriant à sous tour. Il regardait successivement le livre et le visage de la jeune femme, comme pour éviter d’avoir à plonger son regard dans le sien, qui était soit-dit en passant, plutôt pénétrant. Lorsqu’elle lui adressa ce clin d’œil apparemment complice, Hadès ne put s’empêcher de la fixer, prit de court par tant de culot. Les gens n’avaient pas tendance à être aussi… Directe, avec lui. Peut être y avait-il Corann, mais avec elle, il avait l’habitude, et leur relation n’était que purement amicale et platonique.

Hadès lâcha néanmoins un sourire à la serveuse et but une nouvelle gorgée de Bièraubeurre. Elle s’excusa presque aussitôt pour lui dire qu’elle n’aurait sûrement pas dû s’inviter ainsi à sa rencontre. Mais après tout, c’est lui qui lui avait parlé le premier, bien malgré lui cependant. Engagé la conversation n’avait rien de plus facile lorsque son frère était dans le coin. Il lui arrivait de finir ses phrases. Mais là, il devrait se contenter de les laisser filer machinalement sans prompteur humain. Tant pis.

« Non… non, ne vous en faites pas, un peu de compagnie n’est pas négligeable. » Réussit-il à articuler avec l’un de ses sourires charismatiques dont il avait le secret. Il piqua même négligemment sa fourchette dans un morceau de saucisse baigné de sauce tomate et le glissa ni vue, ni connu en bouche, avant de mâcher tout aussi discrètement. Il n’était pas l’un des ces hommes méchamment fiers d’être armés de dents et de mâcher comme des porcs. Non. Hadès était un homme majoritairement classe, et ce de nature. Il n’était pas du genre à attirer l’attention sur lui, sauf peut être si on le remarquait à sa juste valeur.

Lui qui avait longtemps affiché un physique rachitique et maladif, avait quelque peu évolué. Au rythme des goûts des jumeaux, leurs cheveux avaient poussés, les habits de rigueur pour la ville Moldue et sorcière, une barbe entretenue, tantôt rasée, tantôt faussement rebelle enfin bref, les jumeaux avaient adoptés des styles sans trop le vouloir. Seule leur influence artistique les motivait. En aucun cas, en tout cas consciemment, Hadès ne s’habillait de la sorte pour plaire spécifiquement à la gente féminine. Mais si cela était le cas, on en remercierait le coup de pouce vestimentaire une prochaine fois.

« Mmh, d’ailleurs, je connais un écrivain Moldu qui en fait de très bon de comme ça. » Articula Hadès en pointant de sa fourchette la couverture du livre de la jeune femme. « C’est le genre de bouquin que mon frère achète et qui finit dans ma table de nuit. » Glissa-t-il avec humour. Il repiqua une nouvelle saucisse et la mangea dans un petit moment de silence. Au fond, un des hommes encapuchonné se retourna à l’adresse du mot « Moldu » et mouftât dans sa barbe. Hadès se retourna avec un sourire et murmura entre les dents, à sa propre adresse. « Dommage que je n’ai pas ma caméra sur moi, ça aurait fait un super effet. » Puis il se redressa sur sa chaise et but une troisième gorgée de Bièraubeurre. « Excusez-moi, j’ai horreur d’être impoli, Hadès Burton, Miss. » Dit-il avec un nouveau sourire à l’adresse de la jeune serveuse.

Peut être que la plupart des hommes se contentaient de la « regarder », notamment à un endroit légèrement plus bas que ses yeux, soit dit-en passant magnifique, mais Hadès lui, observait, interpellait les gens du regard avec le plus grand respect, notamment les femmes. Son sens de l’observation en tant que réalisateur lui avait également apprit à regarder les gens sous un autre angle, dans les moindre détails, et d’un avis beaucoup plus objectif que ce qu’on appelle : Les qualificatifs de beauté chez l’Homme.

Rien qu’en regardant autour de lui, Hadès était le genre d’homme qui remarquait des tas de choses, des choses qui passaient tels des éclairs dans sa tête, si bien qu’à force, il n’y faisait même plus attention. La jeune serveuse avait de très belle boucle, mais une de ses mèches, à gauche, rebiquait un peu. Le reste de sa coiffure devait-être ainsi le matin, ce qui devait être partiellement adorable. Elle avait de très belles articulations et des phalanges magnifiques.

C’était une femme qui savait prendre soin d’elle. Ses deux manches de sa petite chemise blanche étaient exactement symétriques, et chacun de ses yeux étaient munie d’un léger reflet qui lui donnait un regard pétillant, le dit reflet ne provenant pourtant que d’une des petites fenêtres de l’auberge. Hadès ne pensa même pas à ce genre de détail et se contenta de prendre une légère teinte rose à peine perceptible. Il termina la dernière saucisse de son assiette et glissa quelques haricots qui glissèrent comme du beurre dans sa gorge.
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Ξ Sujet: Re: Finally it wasn't a burden! [PV : LULA]   Finally it wasn't a burden! [PV : LULA] EmptyLun 19 Sep - 17:33

Lula avait souvent la fâcheuse tendance de se mêler de ce qui ne la regardait pas et surtout, de se mêler aux clients sans même qu'ils ne lui aient rien demandé. Elle n'avait jamais été viré pour son comportement mais bien souvent, elle n'avait pas pu s'empêcher de se demander pourquoi. Après tout, on ne pouvait pas vraiment dire qu'elle était libre d'agir comme elle le voulait. En tant qu'employée, elle avait surtout un comportement en particulier à avoir et elle n'avait pas à faire selon sa propre envie. Mais c'était malgré tout plus fort qu'elle et à cause de ça, elle avait toutes les difficultés du monde à agir comme elle le voulait vraiment. Ce n'était jamais évident, surtout lorsque l'on avait un caractère aussi fort que le sien. Non, rien n'était facile. Mais bon, on ne pouvait pas vraiment dire que c'était si simple pour autant, quoi qu'elle ne puisse bien dire, ou même faire, elle se devait de garder une certaine contenance et ce, quoi qu'il se pase. Et c'était là que justement, tout devenait à ce point difficile. M'enfin.. De toute manière, elle n'était pas maître du monde et son comportement devait dépendre des gens. Le client était roi après tout, pas elle. Elle, à côté d'eux, elle n'en restait pas moins une moins que rien.  « Vous êtes sûr ? Je ne voudrais pas vous déranger pendant votre repas. ». Surtout que la plupart du temps, les gens aimaient à être tranquille lorsqu'ils mangeaient. Ce qui n'était pas si bizarre que ça en plus. Il avait bien le droit d'agir comme il le voulait. Mais en tout cas, certains n'aimaient pas parler en mangeant et ça finissait par les insupporter. Mais bon..

Ainsi donc il avait un frère et ils aimaient tous les deux lire. C'était fou le nombre de personnes qui ne trouvaient pas le moindre intérêt à la lecture. D'ailleurs, de ce côté là, elle était bien incapable de comprendre. Après tout, elle avait beau aimé faire la fière, plaire et sortir en soirée, elle n'en oubliat pas pour autant les petits plaisirs de la vie et lire en faisait partie. Elle ne perdait jamais une seule occasion de se plonger dans un agréable bouquin pour n'en sortir la tête que lorsqu'elle finissait par le finir et ce n'était jamais évident oui, et c'était bien pour cette raison que ce n'était pas évident. M'enfin.. Que l'on ne se mette pas à croire pour autant qu'elle détestait les gens qui ne lisaient pas. Chacun était libre, après tout, d'aimer ce qui pouvait bien lui plaire et elle n'avait absolument rien à en dire. C'était ça qui comptait le plus, quoi qu'elle en dise. M'enfin.. Pour le reste, c'était une toute autre histoire et c'était bien là que pouvait se trouver le problème, justement.  « Et quel est cet auteur moldu ? ». Après tout, si elle pouvait, par la même occasion, découvrir de nouveaux ouvrages à lire, elle n'allait pas perdre une seconde hein ! En tout cas, elle trouvait que cet homme était assez intéressant. Même s'il était loin du genre qu'elle avait pour habitude de fréquenter. C'était plus des « m'as-tu vu » ce genre de chose quoi ! M'enfin.. Bon !

Il n'était pas non plus si impoli que ça de ne pas donner son nom à une inconnue. Certes, ça facilitait la conversation mais ce n'était pas obligatoire et d'ailleurs, il arrivait bien souvent à Lula de bavarder avec des gens et de réaliser bien trop tard quel était son nom. Ce qui n'était pas facile. Non, loin de là. M'enfin.. Bon, on ne pouvait pas vraiment dire que cela soit si étonnant que ça, loin de là même. M'enfin.. Que pouvait-on vraiment dire à ce propos.  « Enchanté. Je suis Lula Crawford. ».

Et voilà, ils venaient de se présenter et maintenant que les politesses avaient été faite, ils pouvaient continuer leur conversation ou bien vaquer à leurs occupation. Rester alors à savoir ce qu'il voulait bien faire lui même. Le regard légèrement ailleurs, un silence s'installa doucement alors qu'il terminait doucement son assiette.  « C'était à votre convenance ? ». Lula attrapait déjà l'assiette du jeune homme, prête à la ramener en cuisine pour la donner au plongeur désigné afin qu'il lave tout ça. Un sourire poli sur les lèvres, elle attendit, malgré tout, qu'il lui donne le feu vert. Parce que peut être voulait-il continuer à bavarder avec elle et dans ce cas, il aurait été plutôt impoli de sa part de prendre la fuite avec l'assiette au creux de ses mains et c'était bien la toute dernière chose qu'elle voulait et c'était ça le plus important, à n'en pas douter. M'enfin bon, peut être qu'il ne voulait pas qu'elle reste là, peut être que justement, il en avait assez et c'était bien la toute dernière chose qu'elle voulait en faite. Mais.. Bon, elle verrait bien de toute manière, et c'était sans doute bien mieux ainsi, d'ailleurs. Elle se retint, d'ailleurs, de lui demander s'il voulait qu'elle dispose, trouvant cela peut être un peu trop ? Et c'était bien la toute dernière chose qu'elle voulait, c'était aussi simple que ça.
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