♦ Ce que la vie nous réserve... [ PV ]

Tout s’annonçait pour être une journée parmi tant d’autre. Le soleil printanier réchauffait la terre encore gelé et faisait fonde le peu de neige qu’il y restait. Le lac de Poudlard n’avait pas encore calé mais c’était une question de jours voir même d’heure. Car les contours du lac était dégelé mais pas son centre. Le calmar géant devait avoir hâte de se réchauffé sous le soleil printanier. Anne n’avait jamais été témoin d’un tel phénomène. Il était encore tôt, vers les neuf heures que la jeune fille était déjà dehors. Pourquoi ne pas profité un peu du soleil avant retournée à l’intérieur pour étudier ses cours en vue de se préparé pour ses buses. Son programme de la journée : Jogging matinal, douce, déjeuné puis étude acharné. Voila se qu’elle avait prévue pour son samedi. Elle s’était vêtue d’un jogging bleu pâle et d’un pull bleu plus foncée. Elle avait chaussé ses souliers de sport, et avait mis autour de son cou une échappe légère. Elle quitta la tour des aigles pour finalement sortir du château. Un nuage sorti de sa bouche. Il faisait froid malgré tout. Mais la jeune fille savait que le soleil allait rapidement réchauffer l’air de Poudlard. Rapidement pour se tenir au chaud, elle commença sa course matinale. Rapidement, son corps se réchauffa. Les minutes s’écoula rapidement alors que son esprit vagabondait d’une pensée à l’autre. Elle aimait bouger, le mouvement constant, le sport, l’empêchait de s’apitoyer sur son sort.

Le bas de son pantalon commençait à être mouillé par l’eau de la fonte de la neige ainsi que ses chaussettes qui lui indiquaient de ses souliers étaient détrempé. Alors qu’elle prit la route vers le château car elle était près du lac, quelque chose lui tomba sur la tête. Sous la collision de la chose, elle frappa quelque chose d’autre car elle essayait de voir qu’est qui lui avait frappé la tête. Résulta, elle trébucha. A présent, elle avait les mains et le pantalon couvert de bout par endroit. Elle vit devant elle, un tout petit hibou au plume couleur fauve puis près d’elle, une jeune fille qui avait également tombé à cause d’elle bien sur! L’animal était sur le dos et ne bougeait pas. La boue lui arrivait presqu’au ventre, mais son nez était bien a l’extérieur de la boue, ce qui lui permettait de respiré, si bien sur il était toujours vivant. Elle se releva et tendis sa main vers la jeune fille qu’elle reconnu tout suite : Avril Younblood. Sa promettait de se compliqué. Anne connaissait le légendaire caractère de la jeune Younblood. La Gryffondor avait un sale caractère. Des accidents sa arrivait a tout monde même au meilleur.

«J’suis désolé Younblood, ce n’était pas voulu.» dit-elle sincèrement. C’était la pure vérité l’incident était arrivé a cause de se minuscule hibou. Tout était de sa faute. La main tendu, elle espérait qu’Avril allait la prendre pour qu’elle puisse l’aidé a se relevé. C’était la moindre des choses car elle avait bousculé. Anne espérait que la jeune fille accepte son aide.

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Alors que la jeune bleu et argent lui tendait la main en s’excusant, la Gryffondor refusa son aide. Alors que la vie lui tendait une main de gentillesse, la rouge et or préférait prendre le citron. Bien sur tout ceci n’était qu’une métaphore mais la jeune Anne ne comprenait pas se besoin – si c’était vraiment un besoin – de tout prendre mal, ou du moins de se besoin de prouvez qu’elle était assez grande pour se débrouillé seule. Sur le visage de l’asiatique on y lisait le découragement. La jeune Wild ne le cacha pas le moindre du monde. Pourquoi le faire? Le regard perçant de la brune eu à bout de sa gentillesse dont elle allait faire preuve envers la jeune fille qu’elle avait bousculée –par accident bien sur- quelques minutes plus tôt. Elle répliqua sur un ton semblable que la lionne lui avait répondu :

«Alors débrouille-toi!» dit-elle avait un soupire bruyant. Anne avait un certain caractère mais ne battait pas ceux des légendaires lions de la maison des Gryffondors. Elle préfère être douce et gentille mais parfois c’était plus fort qu’elle. Anne trouvait son attitude dommage pour la simple et bonne raison qu’une vie sans ami, m’était pas une vie. Mais la lionne était assez grande pour savoir se qu’elle voulait et ne voulait pas. Bref, Anne se détourna de la jeune Gryffondor pour se retourné vers la cause de l’incident. Elle s’approcha du minuscule hibou. Il était petit mais très mignon avec son plumage faune. Enfin, il le serait probablement s’il n’était pas couvert de boue. De sa main droite, elle le toucha du bout des doigts. L’animal volant lâcha un petit cri strident qui confirma un désespoir de vouloir vivre.

« Mais tu es en vie petit hibou! » s’exclama la jeune fille à Avril sans vraiment attendre de sa la part une conversation qui pourrait se dérouler dans la joie et la bonne humeur. (Elle vient juste de calmer sa bonne humeur). « Viens voir Yournblood, c’est sa? C’est un hibou, un très jeune hibou» dit-elle simplement à la Gryffondor. Elle ne savait pas trop pourquoi elle lui parlait mais bon, la vie nous réserve tellement des choses qu’on ne peut tout prévoir – sauf pour les voyants. Doucement Anne voulu libéré le hibou de la boue mais celui-ci s’agita a lâcha des cris strident lorsqu’elle s’approchait de lui avec ses mains. Se qui la fit sursauté. Anne qui était a groupie près du hibou, se retrouva une fois de plus les fesses dans la boue lorsque l’animal lui fit faire un saut. Elle éclata de rire sous l’incident numéro deux. Il ne restait qu’à voir comment Avril prit tout sa? Car, Anne l’avait ignoré après son refus d’aide. Anne était quelque peu insultée qu’elle aille refuser son aide.

Lorsqu’Anne s’était détourné d’Avril, la rouge et or parla. Anne retourna la tête et lui dit sans la moindre méchanceté « Si tu dit ». S’était une réponse spontanée dénuée de toute méchanceté. Anne avait à présent détourné son attention sur le minuscule hibou. Sous le geste brusque du hibou, elle retomba dans la boue. La jeune fille avait éclaté de rire. Une fois terminer son rire, avril s’adressa de nouveau à elle. Se qui était étonnant. Remarque, elle lui avait tout même adressé la parole là première. Anne était maladroite dans bien des domaines et surtout nerveuse de nature. D’où le saut face au hurlement de la petite créature. Puis, la lionne parla. Elle détourna le regard vers la lionne. Anne n’avait toujours pas répondu mais au moment ou elle allait répondre, Avril ajouta quelque chose. Elle l’écouta mais ne comprit pas ou elle voulait en venir. Mais, elle répondit à sa question. Elle passa sa main dernière sa tête quelque peu gêné.

« Oui…. Enfin, il ma surprit. C’est bête, je sais! » dit-elle naturellement comme si la jeune lionne était une amie tout en se levant. Anne était consciente qu’Avril n’était pas son amie. Mais, Anne voulait simplement être gentille avait. L’aigle était charismatique de nature et c’était cette habilité qui jouait en se moment. « Dommage que la magie nous fait défaut, je l’ai aurais nettoyé en trente seconde. » Anne s’arrêta soudainement venant de réalisé se qu’elle venait de dire. Avant que la lionne aille le temps de répliqué Anne était une fille super sociale pour une fille de Serdaigle et pourtant, la jeune fille n’avait pas vraiment d’ami. À bien savoir pourquoi, elle qui était sociale, impliqué dans plusieurs activité. Mais aucune de ses relations n’était un véritable ami. La main de nouveau derrière la tête. « Arff, non je voulais pas dire que tu n’es pas en mesure de le faire… enfin, heee… Arff, j’arrête je me cale! Désolé!» Anne regardait Avril. Le hibou poussa un hurlement qui fit sursauter - encore une fois- la jeune fille. Elle se retourna vers le hibou qui venait faire acte de présence.

Anne connaissait les rumeurs et sa première rencontre l’année dernière les avait confirmés. Elle trouvait dommage que les rumeurs soit vrais sur le légendaire caractère de la Gryffondor. Car selon la bleu et argent, la vie ne pouvait pas être plaisant sans une ou deux amitié sincères car sans sa, il manque quelques chose à la vie. C’était la philosophie de la jeune fille. Lorsque la jeune rouge et or éclata de rire devant la maladresse de ses paroles, Anne sourit ravis de voir un nouveau côté de la jeune fille devant elle. En fait, les rumeurs ne parlaient que de son sale caractère mais pas de son rire. Après un rire commun, car Anne ne pus s’empêché de rire elle aussi – c’est contagieux les rires – Avril parla. Elle lui disait de ne pas s’en faire avec sa et elle lui décrocha un sourire. Anne dis simplement « Ok » à son commentaire avant de se levé. Elle regarda le ciel un moment puis regarda le hibou qui lançait des cris bruyant comme pour faire un acte de présente.

« Frauderait peut-être l’emmener voir le professeur de soin aux créatures magiques, elle saura le soigné, si il était malade ou blessé. Quand penses –tu? » demanda t-elle l’avis de la jeune sorcier de la maison de Godric Gryffondor. L’idée de l’emmené au professeur de soin aux créatures magiques était l’idée la plus logique selon elle. Anne était sensible de nature et elle le démontra avec le minuscule hibou. Alors que venait de parlé, elle tendit les mains pour prendre l’animal blessé sans attendre une réponse de la brune. Le premier réflexe de l’animal fut de lui pincé le doigt.« Aïe !» lâcha la jeune fille en se mettant le doigt dans la bouche pour contrôlé le léger saignent. Une fois le l’élancement de la blessure calmé, elle couvrit ses mains avec les manches de son pull et arriva à prendre l’animal dans ses bras. Le minuscule hibou commença à se débattre comme un fou et Anne arriva de peine et misaire à le retenir tout en prenants grand soin de ne pas lui faire mal en le retenant. Se qui devait donner un spectacle amusant pour ceux qui était témoin de loin ou de proche de la scène.