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 - A vos armes... Prêtes ? - PV

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Ξ Sujet: - A vos armes... Prêtes ? - PV   - A vos armes... Prêtes ? - PV EmptyMar 10 Avr - 16:31

Il s’en passait des choses dans la vie de Laurell cette année ! La vipère avait rencontré le préfet de Poufsouffle, Felix avec lequel elle était devenue très vite amie, grâce aux cours de potions où ils avaient formés un quadrinôme qui se défendait pas trop mal (on va dire ça comme ça hein). Elle avait eu son premier baiser de la part d’un Nicolas Jones totalement saoul et son premier petit ami, quelques semaines plus tard : Caleb McQueen. Une histoire qui avait duré trois mois et s’était achevée comme elle avait commencé : les deux jeunes gens étaient toujours amis, bien qu’il eut à présent une certaine gène d’installée entre eux.

Il y avait eu la saison de Quidditch, bien sûr ! Le premier match de l’année où Serpentard avait joué et où Laurell avait été assez bonne (pas trop m’enfin, bon, elle s’était bien défendue). Match pendant lequel elle avait fait l’étalage de son caractère de mauvaise joueuse (qui, soit dit en passant, pouvait faire vraiment peur, lorsque l’on n’y était pas préparé…). Et les cours, les cours et pour changer, les cours… Les BUSES arrivaient, et il fallait être vraiment très à la ramasse pour ne pas avoir capté le message, parce que tous les profs le leur répété sans cesse… Et ce depuis le début de l’année (voire même depuis la fin de l’année dernière, tout bien réfléchi…). Qui disait BUSES disait examens, bien sûr, et qui disaient examens, disait : devoirs…

Et parce que l’univers serait bien terne s’il n’était pas teinté d’une pointe d’injustice, le tout arrosé d’une onctueuse sauce de disputes, il avait fallu que la jeune Vipère se voit imposée un binôme insupportable, pour le prochain exposé de Botanique. Evidemment sinon c’est pas drôle, faut bien comprendre ça…, c’est ainsi donc qu’Hell se trouva avec Annagovia (alias AGV –aussi connue sous le nom d’Anna-Grosse-Vache). Bizarrement (ou pas) depuis le début, ç’avait été le clash entre ces deux charmantes demoiselles. La rousse et la brune se livraient une guerre sans merci, enchaînant les batailles, savourant les victoires, et ruminant méchamment chaque défaite.

Hell ne pouvait donc pas rêver pire binôme qu’AGV, hélas, merlin étant contre elle (à moins que ce soit Godric qui lui fasse une farce débile ?) la brune se trouva avec l’AGV en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ‘avada kedavra’ ce qui était bien dommage du point de vue de la Vipère qui se serait fait un plaisir de casser la gueule à la blairelle avant que la toiture de la serre ne leur tombe sur la tête… mais soit…. Ainsi, Laurell Heap était-elle forcée (oui oui, on l’obligeait, sous peine d’avoir un zéro pointé qui serait synonyme de fin du monde dans son petit univers égocentrique) d’aller ceuillir des fleurs (oui oui on a bien compris ceuillir des fleurs avec cette pimbêche d’AGV ! Non mais franchement, ce n’était pas juste… N’importe quoi ?

Toute occupée qu’elle était à tempéter auprès de Caroline (sa meilleure amie), Hell ne cessait de jeter des regards pleins de haine à certains de ses camarades de son âge :

« Non mais sérieux, comme si on était OBLIGEES d’être ensemble ! Genre on n’est que toutes les deux en Botanique, quoi !!! Oh que ça me saoule, oh que ça me saoule ! Si elle me regarde de travers je la tue ! je te jure que je la tue ! Je vais la déchiqueter en lambeaux, je vais la hâcher menu et donner sa chaire aux bestioles de cette p*tain de forêt interdite ! »

Caro tenta bien de calmer un peu sa copine (ce qui ne marcha pas vraiment…) et finalement, laissa cette dernière la quitter, tout en se demandant combien d’élèves il y avait à l’école, aujourd’hui, à cette heure-ci, et combien ils seraient le lendemain matin… Simple curiosité, bien sûr… Laurell traversa d’un pas rapide et peu engageant les couloirs qui menaient au hall d’entrée et y trouva AGV. Cette dernière sortait de la Grande Salle, parfait, au moins, elle n’aurait pas à attendre l’autre gourde ! S’avançant vers elle d’un pas plus qu’assuré, elle lui lança un regard noir le match peut commencer, zéro partout, souaffle au centre !. Pour leur exposé, elles devaient donc cueillir des plantes (ensembles dans la joie et la bonne humeur) et ensuite les présenter à leurs charmants petits camarades de serre… Décidément, tout cela s’annonçait des plus enchanteurs !
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Ξ Sujet: Re: - A vos armes... Prêtes ? - PV   - A vos armes... Prêtes ? - PV EmptyMer 25 Avr - 20:16

- Complot évident… Inadmissible… Sabotage… Absolument scandalisée… Vais lui faire bouffer sa truelle à cette grognasse…
Ainsi pestait Zarathoustrannagovia, dans un ronron à peine audible, tandis qu’elle découpait à grands gestes rageurs ses œufs brouillés, en répandant, du même coup, une quantité non négligeable sur la nappe blanche et même – oups – sur le pantalon de Marius, installé à côté d’elle.
- Hé ! Protesta le jeune homme en s’écartant sensiblement, fais gaffe ! Tu me prends pour quoi ? Un toast géant ? Arrête tout de suite ou mon porridge finit sur ta jupe ! Menaça-t-il, d’un ton mi-moqueur, mi-sérieux.
- D’solée, marmonna Anna d’un air vaguement contrit, avant de tendre une serviette au Poufsouffle, qui s’en saisit, et, avec un grand soupir, s’efforça d’enlever les morceaux d’œuf éparpillés sur son pantalon mais où était Zane quand on avait besoin de lui ? Franchement, la domesticité, de nos jours….
- Ecoute Anna, reprit Marius en fronçant les sourcils, tout le monde a compris que ça te gonflait de devoir faire cet exposé avec une Serpentard, mais ça ne mérite certainement pas que mon pantalon soit sacrifié. Après tout, vous allez œuvrer dans le même sens, ça ne peut pas être si terrible : elle n’aura aucun intérêt à te saboter si elle veut décrocher une bonne no… Le jeune Poufsouffle interrompit brusquement son petit laïus quand il remarqua le regard noir que lui lançait Annagovia, visiblement toute prête à dégainer sa baguette pour le faire taire. Enfournant son porridge à toute vitesse, il ajouta précipitamment : Ok, il faut vraiment que j’y aille maintenant, on se voit plus tard salut ! Et de filer sans demander son reste, réaction qui semblait la plus sage et que beaucoup de Poufsouffles avaient adoptée dernièrement quand Annagovia se trouvait dans les parages.


De fait, depuis qu’elle avait appris que Laurell serait son binôme pour l’exposé de botanique, la jeune fille était une humeur de chien et rares étaient ses camarades qui n’en avaient pas encore fait les frais. A défaut de pouvoir casser les rotules de son professeur en signe de protestation, la rouquine s’était montrée d’une amabilité repoussante à l’égard de ses comparses de dortoir (qui, bizarrement, semblaient désormais l’éviter avec soin) et était même parvenue à faire pleurer à chaudes larmes une petite de première année à force de la houspiller (« Rhâ, mais enfin, arrête de gratter aussi fort avec ta plume sur ton parchemin, je ne m’entends même plus penser ! Comment ça tu as une dissertation à rendre demain ? Et alors ? Tu crois que c’est le moment de s’y mettre ! Tu ne sais pas t’organiser ou quoi ? Tu comptes aussi réviser tes examens la veille pour le lendemain ? Et le Choixpeau t’a répartie à Poufsouffle ? Humph ! »). Ce n’était que lorsque Félix et Samara lui avaient foncé dessus pour lui demander expressément de se calmer si elle ne voulait pas finir dans le bureau de leur directeur de maison qu’Annagovia avait – de mauvais cœur – consentit à laisser les premières années en paix et était partie bouder dans la volière, en compagnie d’Ernestine, l’humeur de la chouette et celle de sa jeune maîtresse étant, pour une fois, en parfaite adéquation.

Quand elle était finalement redescendue dans la salle commune, bien après l’heure du couvre-feu (* Et de toute façon, si je croise Miss Teigne, je lui rase la moustache ! Et si je croise Rusard, je lui dis d’aller se faire voir chez les cracmols ! Et si je croise un préfet, je lui jette un sort ! Et si je croise MacGonagall, je lui… Euh… Bon… Si je croise MacGonagall, je fais semblant d’aller à l’infirmerie., hein ! *), elle avait été contrainte d’écouter un long et fastidieux plaidoyer de Félix en faveur de la tolérance, de l’esprit de camaraderie entre les maisons et de la réunion autour d’un projet commun, le tout agrémenté de remarques sur les diverses qualités de Laurell et la nécessité de ne pas se laisser aveugler par son écusson, parce que vraiment, c’était une chic fille. « Franchement, Annagovia, ce n’est pas la fin du monde ! Je te jure que tu dramatises la situation… » Avait conclu le jeune homme, avec un enthousiasme quasi-suicidaire au vu du regard assassin dont la rouquine l’avait gratifié tout au long de son discours. Si cette volonté conciliatrice (voire, dans le cas des deux filles, réconciliatrice) partait d’un bon sentiment, elle avait porté l’irritation d’Annagovia à son comble et le pauvre Félix avait été vertement prié de se mêler de ses oignons. « De toute façon, je crois que je comprends mieux l’esprit de camaraderie entre maisons que toi, avait-elle-même rajouté d’un ton belliqueux, je te signale que je ne suis pas fraîchement débarquée à Poudlard, moi, au moins ! ». Cette réflexion était particulièrement injuste et faisait fi, tant de la rapide intégration de Félix au sein de l’école (preuve en était son élévation au rang de préfet) que de sa capacité à se lier d’amitié avec à peu près tout le monde dans le château, mais Annagovia, quoiqu’elle eût regretté presque aussitôt ses propos, avait planté son ami au beau milieu de la salle commune et était allée se coucher sans lui laisser le temps de riposter.

Elle s’était réveillée le matin même (après avoir rêvé toute la nuit qu’elle profitait de la cueillette de plantes pour noyer/précipiter du haut d’une falaise/égarer dans la forêt interdite Laurell) en sentant confusément qu’elle devait des excuses au jeune homme, mais, butée comme elle savait l’être, elle n’avait eu aucune envie d’aller les présenter et, lorsque le préfet lui avait adressé un signe de la main à la table du petit déjeuner, lui fournissant ainsi l’occasion rêvée de retirer ce qu’elle avait dit, elle l’avait délibérément ignoré. A présent, voilà qu’elle faisait même fuir le sémillant Marius. Décidément, cet exposé de botanique allait signer la fin de son existence sociale. L’espace d’un instant, elle s’imagina, repoussante de saleté, les cheveux en bataille, marmonnant et claudiquant dans les couloirs de Poudlard, effrayant les élèves par ses regards farouches et ses grognements inhumains, surgissant des recoins les plus sombres de l’école pour terrifier les plus jeunes… La sauvageonne de Poudlard, voilà ce qu’elle allait devenir ! Un chapitre entier de l’Histoire de Poudlard lui serait peut-être même consacré, un jour. Elle avait presque l’introduction de l’article en tête : « Il semble que le Professeur Harris n’avait aucune idée du monstre qu’il s’apprêtait à engendrer, le jour où il réunit Miss Laurell Heap et Miss Annagovia Quirm, désormais plus connue sous le sobriquet « la sauvageonne de Poudlard ». Ce qui ne devait à l’origine être qu'un innocent exposé de botanique se transforma bien vite en véritable roman noir, dont le scénario ne devait trouver son issue qu’avec la traque et la mise à mort de la répugnante créature qu’était devenue Miss Quirm… ».

A bien y réfléchir, Annagovia aurait peut-être dû tenter le coup de l’intimidation anonyme pour changer de groupe. En kidnappant le bonsaï fétiche de son professeur, par exemple, pour lui en envoyer ensuite une photo sur laquelle une main gantée s’apprêtait à le découper en rondelles ou à le noyer sous des litres d’eau. Un message du type « Si vous ne changez pas les groupes de botanique, vous pouvez dire adieu à Kiki… » accompagnerait la photographie… Avec un peu de chance, Harris tenait suffisamment à « Kiki » pour ne pas courir le risque de le voir effeuillé à la pince à épiler. Hélas ! Il n’était plus temps de songer à organiser le rapt de Kiki (ni même de s’informer sur l’existence d’un potentiel Kiki, soit dit en passant) : abandonnant ses œufs à leur triste sort, la rouquine attrapa son sac et quitta la Grande Salle d’un pas maussade pour aller retrouver la harpie loqueteuse qui lui servait de binôme.

Si la rouquine eût prié pour que Laurell fût terrassée par une gangrène purulente ou que ses entrailles se putréfiassent au fond d’un lit de l’infirmerie, elle eût été profondément déçue. Fort heureusement, l’expérience lui avait appris que les Serpentards étaient comme des sangsues : difficile de s’en débarrasser une fois qu’on les avait collés aux basques. Or, Laurell se trouvait précisément collée aux siennes. De toute façon, elle ne perdait jamais une occasion d’enquiquiner le monde, celle-là ! Peu impressionnée par le regard noir de la jeune fille, Annagovia passa devant elle sans ralentir le pas et lança d’un ton sec, tandis qu’elle se dirigeait vers le parc :

-Allez, bouge, on n’a pas toute la nuit et je suppose que tu n’as pas plus envie que moi de voir ce charmant tête-à-tête s’éterniser.

Ce fut la fin d’Annagovia, qui mourut grillée sur place par la force du regard haineux de Laurell.
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Ξ Sujet: Re: - A vos armes... Prêtes ? - PV   - A vos armes... Prêtes ? - PV EmptyMar 29 Mai - 19:32

Si seulement AGV avait parlé du projet Kiki à Laurell… Pour cette extraordinaire bonne cause (comprendre : expulsée cette sale rouquine de son champ de vision ad vitam eternam (le tout à coup de bronzai) –rien que ça oui oui, elle voit pas trop grand, non, non !) la Vipère aurait sans aucun doute accepté de collaborer (sans même penser à râler une seule fraction de seconde, attention) avec son ennemie de toujours (oui déjà à la maternité, l’histoire avait commencé… même si elles ne sont pas du tout nées au même endroit et en même temps, on va pas chipoter quand même !). Sauf que voilà, puisque mademoiselle se croit toujours meilleure que tout le monde (on parle d’AGV là évidemment), la vipère était sur le banc de touche (et c’est vraiment pas rigolo du tout) et ne pouvait pas aider son ennemie de toujours à mettre au point ce diabolique plan pour se débarrasser de cette vilaine collaboration botanique). D’ailleurs, c’était à ce demander si AGV était réellement une Poufsouffle… parce que du point de vue de la Vert et Argent, elle était plutôt digne des plus vils Serpentard. Mais bon cet avis n’engage que la brunette, évidemment !

Pendant que Felix se faisaient lamentablement explosé la face par AGV, encore elle remettre à sa place, Hell ruminait encore et encore. Il n’y avait vraiment pas à dire : la Botanique ça remuait plein de choses en vous (on n’a jamais précisé que c’était du positif après tout !). Lorsque AGV croisa la route d’Hell, le ciel s’assombrit et l’orage se leva –ha non ça c’est dans leur tête-. La brune fusilla du regard (à défaut de mitraillettes) la rouquine qui décidément avait vraiment décidé de la faire grave ch*er là. Et elle soupira bruyamment :

« Tu ne me donnes pas d’ordre grosse emm*rdeuse de mes deux sinon jte pète ta g*ele !!! Capiche ???. On n’a pas élevé les dragons ensemble ! Ok ??? Puis de toute façon t’es pas ma copine ! »

Pardon ? De la tension ? Où ça ???? Elle aurait aussi pu dire un truc du genre : puis en plus il fait pas nuit, idiote. Mais une petite voix (suraigue et sérieusement très désagréable) lui souffla de se la fermer parce que cette réplique était pas très finode (non sans blague ?). Bref, Hell rongea son frein (il va finir par être inexistant à force) et suivit de mauvaise grâce son ennemie jurée dans le parc. Remarquez, ça pouvait être sympa un parc pour tuer quelqu’un… Ni vu ni connu je te planque dans la forêt interdite et les bestioles te bouffent la nuit !

Ne pouvant contenir plus longtemps son agacement (comment ça elle ne ‘la jamais vraiment contenu ???), la brune lâcha :

« Tu sais quoi. Non bien sûr tu ne sais pas, et je vais te dire pourquoi ! Parce que tu ne sais rien, tu es bête, tu pues et en plus tu ne sers à rien. A part me faire ch*er, pour ça, tu brilles vraiment, mais alors pour le reste… On n’a qu’à se séparer. Comme ça on sera plus rapide, et je n’aurais pas besoin de te supporter trop longtemps. »

Ce n’était pas du pur plan de géni ça ??? Hein, sérieusement ??? C’est qui la meilleure ???? C’est qui ???? C’est Laurellll !!! Brave petite, aller hop, un susucre !
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