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| Les rois de la jungle [PV] | |
| Auteur | Message |
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Invité
Ξ Sujet: Les rois de la jungle [PV] Mar 1 Mai - 0:17 | |
| Pour ceux qui n'étaient pas dans la cour de Poudlard le soir du bal de Noël dernier, Martin Davidson avait montré toute l'étendue de ses talents en montrant à Tosca Levine ce qu'embrasser voulait dire (pas qu'elle ne sache pas, mais lui il savait il avait vu beaucoup de film américain quand il était à Salem. Depuis la jeune fille en redemandait tous les jours on pouvait dire (enfin, 'on' pas vous hein, ça ne regarde que les deux concernés après tout) que Martin et Tosca sortaient ensemble.
La fin de l'année approchait et alors que tout le monde s'acharnait à réviser les examens, Martin lui, qui passaient ses ASPICs dans quelques jours, trainait dans Poudlard comme bon lui semblait. Les études, tout le monde le savait, ce n'était clairement pas son fort. Il allait y aller comme d'habitude au culot, les mains dans les poches en ayant cependant pris la peine de relire ses notes la veille au soir. Il ne voulait pas non plus passer pour un touriste et il lui fallait un minimum d'arguments pour convaincre ses interlocuteurs « Comment ça vous avez dit un perroquet ? Que je sache le pigeon et le perroquet sont tous les deux des oiseaux, je ne vous ai pas transformé cette assiette en rhinocéros, que je sache ? ».
Décidant de rejoindre Tosca qui devait à présent avoir terminé son repas du midi, Martin descendant quatre à quatre les marches des escaliers mouvants du château pour arriver d'un bon félin n'est pas un lion qui veut au rez-de-chaussée.
Habillé de sa tenue du week-end, soit un jean, une chemise blanche avec la cravate rouge et or à moitié défaite autour de cou et sa cape de sorcier largement ouverte, le jeune homme se rendit dans un premier temps dans la grande salle. Tosca n'y était pas, le Gryffondor se rendit donc en toute logique dans la cour de l'école, où ça petite amie devait surement être.
Coupant au passage une fleur rose dans un vaste par terre fleuri, Martin aperçut sa douce de l'autre côté de la cour, assise sur un banc et la rejoignit aussitôt.
Lui couvrant les yeux de sa main gauche, le jeune homme lui lança d'une voix douce :
« Devine qui c'est... »
Et tout en lui libérant les yeux (parce que la demoiselle n'était pas complètement débile, il ne devait pas y avoir 50 personnes à lui faire ce genre de plaisanterie, surtout que le lion avait parlé), le jeune homme lui plaqua une bise sur la joue et avança la rose devant la jeune fille, un sourire illuminant son visage.
Le rouge et or fit le tour du banc, puis finit par s'asseoir à côté de Tosca, tout en ne la lâchant pas du regard pour voir sa réaction. |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: Les rois de la jungle [PV] Mar 1 Mai - 20:58 | |
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Martin et Tosca sortaient ensemble depuis le bal de Noël. Certes oui, par moment, elle avait cette impression de ne pas passer autant de temps qu'elle n'aurait bien pu le vouloir avec lui. Pas faute d'essayer et de le vouloir hein, il ne fallait pas non plus se mettre à croire que sortir avec lui la dérangeait. Impossible d'ailleurs, puisque la jeune préfète était amoureuse de lui. C'était indéniable et si des gens n'étaient pas en mesure de le comprendre, elle ne savait pas vraiment ce qu'elle pouvait bien faire par rapport à ça. Elle était heureuse avec lui et à ses yeux, c'était la seule et unique chose qui était vraiment importante. Pour le reste, elle se moquait absolument de ce que l'on pourrait bien penser à son sujet. Elle détestait faire autrement et elle espérait que les gens étaient vraiment en mesure de le comprendre. Elle refusait de trop se prendre la tête avec ça, de toute manière. A quoi bon, en plus de ça, il lui était absolument impossible de trop se tracasser avec de telles stupidités. C'était vraiment parfaitement impossible et de toute manière, il en était tout bonnement impossible, hors de question aussi. La jeune fille refusait simplement de se casser la tête avec les gens. S'ils n'aimaient pas sa façon d'agir, et bien soit, tant pis pour eux. Pour ce qu'il en était de Tosca, elle ne s'intéressait qu'aux gens qui avaient vraiment une importance, qui avait un avis important à ses yeux parce qu'il s'agissait de proches. Mais sinon, pour ce qu'il en était des autres, aucune importance. En tout cas, elle était bien, Martin était une personne formidable et oui, certes, elle avait mis du temps pour se mettre en couple avec lui, mais il fallait savoir être patient, pour ce qu'il en était des relations. Il était son premier petit ami après tout, il était donc normal pour elle de faire attention, ne serait-ce qu'un peu. Et il n'y avait pas si longtemps que ça, elle s'était mise à croire qu'elle ne serait pas en mesure de sortir avec lui, qu'elle ne le supporterait pas. Ce genre de chose quoi.
Elle passa une main dans ses cheveux pour leurs redonner un peu d'ordre alors qu'elle venait de finir son repas ( bien sûr, elle s'était levée les mains aussi hein, que l'on ne s'enflamme pas non plus ). Enfin bref, elle n'avait plus trop de raison de rester là. Du coup, elle se leva, salua Charisma qui venait de s'installer à la table de Serdaigle et elle finit par se lever. Elle portait sa tenue du weekend d'ailleurs. Son badge était accroché sur un débardeur blanc, et elle avait gardé la jupe de son uniforme mais à côté de ça, elle avait, aux pieds, de petites ballerines et elle s'était même maquillée, dans l'espoir de tomber sur Martin tiens, donc autant se donner une bonne tête, tant qu'à faire. Même si, à côté de ça, elle espérait que le jeune Gryffondor ne serait pas trop méchant avec elle quoi. Elle n'était pas trop mal habillée, elle était bien en tout cas, bien dans ses habits et elle n'avait pas la moindre raison de se changer, d'ailleurs. Elle était très bien ainsi. Voilà tout. Un soupir s'échappa doucement de ses lèvres sans qu'elle ne puisse s'en empêcher une seule seconde. Elle avait vraiment cette impression de ne pas avoir l'occasion de le voir aussi souvent qu'elle le voulait et elle trouvait ça dommage. Ca lui tapait sur les nerfs, oui voilà, d'une certaine manière du moins.
Pour l'heure, en tout cas, la jeune fille s'était posée sur un banc, dans la cour de l'école et elle se sentait bien. Les beaux jours avaient enfin fini par revenir et c'était vraiment un pur bonheur, en tout cas, ce n'était pas elle qui allait s'en plaindre. Elle aimait la chaleur, le beau temps.. Et tout ça. Elle se sentait bien en tout cas, et elle n'avait absolument pas la moindre raison de ne pas se sentir bien. Elle n'avait pas vraiment envie de s'éloigner, là tout de suite, elle laissait de côté les devoirs, elle laissait de côté les révisions aussi. Elle n'avait absolument pas envie de s'en soucier en tout cas, et c'était mieux comme ça. Ce n'était pas elle qui allait s'en plaindre en tout cas. Impossible d'ailleurs. Les phases où elle allait vraiment bien ne se faisaient pas aussi fréquentes qu'on semblait bien le croire, mais oui, depuis qu'il y avait Martin, elle allait bien. Voilà tout. Hors de question pour elle de mentir sur ça. C'était ainsi, point final, il n'y avait rien de plus à en dire, absolument rien. Et il fallait réellement que les gens se concentrent sur la question.
Deux mains se posèrent alors sur ses yeux, chose à laquelle elle ne s'était pas attendu une seule seconde. Martin bien sûr, elle aurait reconnu cette voix n'importe où. Donc bah ouais, voilà. Elle le laissa donc s'asseoir à côté d'elle, et accepta le baiser qu'il déposa sur sa joue, avec un grand sourire. Un baiser qu'elle lui rendit aussitôt, d'ailleurs, parce qu'elle ne pouvait juste pas s'en empêcher, en faite. « Comme si je n'avais pas deviné qui tu étais tiens ! ». Elle prit la fleur qu'il lui tendait du bout des doigts et la glissa dans ses cheveux. « Tu vas bien ? ». Et bah oui tiens, tant qu'à faire, autant lui demander directement comment il pouvait bien se sentir. Bah quoi, on n'allait quand même pas se mettre à se plaindre quant à savoir comment il pouvait bien se sentir ou ce genre de chose hein ! On n'allait quand même pas lui en vouloir non ? Ce n'était qu'une toute petite question et donc, il n'était pas vraiment utile de vraiment se casser la tête avec ça. Ce n'était qu'un malheureux petit détail, il était donc absolument hors de question de ne pas lui poser la question. Elle l'aimait non ? Il était donc normal qu'elle puisse vouloir que les choses aillent bien !
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