Retrouvaille à l'infirmerie? [PV]

Cela faisait plus de trois ans qu'il n'avait pas parlé à Sibelle. Avec la conversation en début d'année avec Arya, cela lui faisait en sorte qu'il devait reparler avec elle. La dernière fois et la seule fois, il était témoin de sa crise d'hystérique que Sibelle avait faite en sa présence. Longtemps, il s'en est voulu de ne pas l'avoir aidé. Il espérait qu'avec les années, elle allait mieux. Surtout, il voulait comprendre et savoir qu'elle ne lui en voulait pas.

Comment alors chercher cette jeune demoiselle alors qu'il n'était pas dans la même maison qu'elle? De plus, il ne savait pas ce qu'elle faisait en ce moment. Le samedi, était la journée pour faire des trucs que nous voulons faire. Il ne connait pas les goûts et surtout avec qui elle passait du temps. Il a alors eu une idée, il alla à la grande salle ou il ne vit pas Sibelle à la table des Serdaigles. Il s'avança et vit alors son amie et qu'il était amoureux de cette fille : Arya Younblood. Il ne voulait pas l'a déranger, mais il voulait surtout savoir si elle en savait quelque chose sur Sibelle d'ou elle pouvait bien se tenir. Il taponna alors l'épaule de la Préfète et il lui sourit.(quand on est amoureux, on peut avoir de différentes sentiments hein, comme un large sourire superficiel jusqu'à en décrocher la machoire! PAFFF)

Salut Arya! Tu vas bien? Dit, as-tu vu Sibelle?

Salut Eliot! Oui je vais bien... Hum, je l'ai bien vue, elle ne se sentait pas bien qu'elle était tombé sur le plancher. Du coup, je devais l'emmener à l'infirmerie.

Quoi? Mais elle va bien?

Moyen, mais tu peux lui rendre visite, ça va lui faire du bien, elle est déprimée...

Oh! d'accord Merci, on se voit bientôt?

Oui, oui sans faute...

Elle lui offrit son sourire et Eliot en perdait les mots qu'il bredouillait...

d'ac....cord!

Il ne perdit pas de temps, il s'inquiétait pour Sibelle, il monta rapidement les marches et arriva alors à l'infirmerie. Il rencontra alors madame Pomfresh qui lui indiqua le lit qu'elle siégeait. Il ouvrit les portes et vit Sibelle au teint pâle. Il s'approcha lentement et vit qu'elle s'était endormie. Il passa ses yeux qui restèrent fixés aux bandage qui recouvraient son poignet. Que s'est t'il passé pour qu'elle se retrouve ici? Un accident? Une autre crise qui s'est avéré brutal pour elle? Pleins de questions sans réponse... Il s'approcha et lui mumura son nom.

Sibelle? C'est Eliot...

Elle ouvrit les yeux en gémissant, elle croisa alors ses yeux vers celle d'Eliot.

Il n'osait pas l'a toucher puisqu'il ne l'a connaissait pas. Il était encore dans la catégorie ami point. Il se prit alors une chaise qui était à ses côtés puis il s'assoyait dessus.

Tu te souviens de moi j'espère?

Elle ne parlait pas, parce qu'elle était en train de se réveiller doucement. Il s'en voulait de l'avoir réveiller, elle avait l'air blême et mal en point, du coup, il était inquiet de voir cette jeune fille en train de souffrir dans son lit.

[512 mots]

Sibelle avait pourtant tout les moyens nécessaires pour aller mieux. Elle recommençait à sourire, à blaguer et à faire des choses qu'elle n'a jamais osée puisqu'elle était déprimée et sans avoir le goût de vouloir se sortir de sa dépression et de ses tendances suicidaires. Ce qui était ironique, c'était que de savoir que son meilleur ami s'était trouvé une jolie blonde, elle était contente pour lui en clair! Elle croyait vraiment que malgré tout cela elle s'en sortirait...

C'était alors qu'elle était dans le dortoir quand elle décida de se rendre à la salle de bain pour se prendre une douche. Mais ce qu'elle ne savait pas c'est qu'en embarquant, elle avait manqué d'équilibre, de plus, ses jambes n'étaient aucunement fiables pour cette situation qu'elle finissait par tomber sur le plancher. En tombant, elle atterrie sur ses paumes de ses mains ce qui fissura sa cicatrice puisqu'elle n'a jamais consulté l'infirmière pour se faire recoudre pour ainsi empêcher le sang de se rependre dans la pièce... Mais hélas, le sang ruisselait partout sur le carrelage de la salle de bain. Déjà qu'en tombant elle était sonné, elle ne sentait même pas sa blessure ou le sang coulait le long de son bras. Elle se sentait étourdie ce qui l'empêcha de se relever. Soudain, elle se rendit compte qu'elle était nue, puisqu'elle avait enlevé ses vêtements pour prendre la douche. Elle se mit à ramper péniblement pour pouvoir se prendre la serviette et se mettre sur elle. Comme elle n'était pas en état de bouger quoi que ce soit, elle se mit à appeler de l'aide...

Aidez moi!

Cela n'a pas pris de temps qu'un des élèves de Serdaigle accoura à son appel et l'aida à l'a soulever. La jeune fille appela alors la préfète pour lui demander de l'aide. Aidé de deux demoiselles, elle se fit conduire jusqu'à l'infirmerie d’où elle était là depuis que trois jours.

Elle était en train de dormir quand quelqu'un arrivait dans sa chambre. Depuis trois jours, elle n'avait vue personne, elle s'emmerdait royalement. Elle était du coup déprimé. Ses tendances suicidaires étaient encore présentes ce qui ne l'aidait pas vraiment en soi. C'était une journée comme tant d'autres à l'infirmerie ou Sibelle était endormie en raison de sa médication forte. Sa paume de sa main lui faisait souffrir, parfois, elle pouvait gémir. Elle remarqua alors que son lit bougeait. Elle se demandait ce qui se passait. Elle ouvrir alors doucement ses yeux et remarqua alors un ami qu'elle n'avait pas croisé depuis longtemps. En voulant bouger son bras qui était engourdi du à son inactivité, elle gémissait encore une fois. Comme elle avait enlevé ses appareils auditifs, elle entendit vaguement ce qu'il lui disait.

Hum?

Elle étira de son bras gauche valide pour se chercher ses appareils auditifs et le mit dans chaque oreilles. Elle pouvait à présent entendre la voix de son ami...

Si, je me souviens de toi... Hum... Qu'est-ce que tu fais ici?

Elle ne voulait pas le faire fuir, ce n'était clairement pas son intention. Elle se demandait si ça chute avait été porté par certains Serdaigle qui l'avaient vu descendre pour se rendre à l'infirmerie.

Elle voulait s'asseoir et demanda à Eliot de lever un peu le lit pour qu'elle puisse s'asseoir convenablement. Pendant qu'Eliot lui montait le lit, elle se replaça pour que son bras aie moins de pression face à sa blessure..

Ouff, ça fait tellement mal...

La douleur sur une échelle de un à dix, on pouvait le mettre à dix facilement. Elle souffrait et la morphine diminuait de plus en plus.

Mais je suis contente de voir quelqu'un. Je n'ai pas vu personne. C'est étrange.

Elle était étonné que Nicolas Jones, ne lui avait pas rendu visite. C'était quand même son meilleur ami. C'était l'amour qui le rendait aveugle. Elle le savait bien qu'a la révélation quelques jours plus tôt, il allait passer du temps avec cette fille. Mais quand même, si elle était morte, est-ce qu'il serait dans le mode de je m'en contrefiche? Bon oublions ce moment là, le plus important, c'est de converser avec un Poufsouffle qui lui avait rendu visite. Au moins, il appréciait sa présence.

En se retournant vers son ami, elle vit qu'il avait bien vieilli. En trois ans, on change tous, puisqu'ils sont dans l'âge de la puberté. Elle le trouvait mignon avec ses yeux bruns.

Je vois que tu as changé, tu n'es plus la personne que je t'ai connue auparavant...

Elle émit un sourire timide. Visiblement, elle était sensible à sa beauté. Il y avait bien quelque chose qui lui éveillait ses émotions, mais ce n'était clairement pas aussi fort que celle de Nick qui elle ressentait VRAIMENT quelques chose qu'elle ne pouvait s'expliquer... Voilà...

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Eliot en arrivant à l'infirmerie avait remarqué que son amie n'allait pas bien. Elle gémissait et il sentait qu'elle était déprimée. Prenant en pitié son ami, il remarquait depuis le début qu'elle avait un énorme bandage. Il avait trop de questions et madame Pomfresh ne voulait même pas répondre. Comme si c'était à Sibelle de prendre la décision de lui dire ou non. Pour ce jeune homme, il y avait une anguille sous la roche. Comprenant que la confidentalité est primordiale surtout dans la santé, mais Eliot sentait qu'il y avait quelque chose de plus grave et ça il voulait le découvrir...

Tout en se penchant pour interpeler Sibelle, il remarqua qu'elle s'était réveillée difficilement. Elle étira alors son bras de gauche pour se chercher ses appareils auditifs... Bon voilà qui est mieux. Elle ne pouvait pas entendre clairement puisqu'elle était coupé de son. Maintenant qu'elle pouvait entendre il se représenta.

Sibelle, c'est moi Eliot...

Il souri à la réponse positive de la jeune fille qui lui parlait en murmurant. Elle n'était pas du tout dans une grande forme. L'important pour lui, c'est qu'elle aille bien et qu'elle se fasse traiter adéquatement. Le reste, il s'en balance. Puis, elle lui demanda la raison de sa présence. Il voulait voir Sibelle, voir de ce qu'elle était devenue. C'était très important pour lui, puisqu'à leur premier rencontre, la jeune fille n'en menait pas large et voulait se rassurer qu'elle allait bien voilà...

bein, humm, je voulais juste prendre tes nouvelles et puis Arya m'avait annoncé que tu étais ici. Quand j'ai su que tu étais à l'infirmerie, j'ai commencé à craindre le pire... Bon, comme tu vas bien, je suis rassuré... C'est ça l'important je pense...

Puis, elle lui avait demander de lever la tête du lit. Il alla alors en avant du lit et tourna le mécanisme de façon à ce que Sibelle puisse s'asseoir dans le lit. Voyant que la douleur s'élançait sur le bras ou ailleurs. Il ne savait pas ce qu'elle avait, il s'approcha et lui mit un oreiller pour l'a soulever et qu'elle aie moins mal. C'est ce qu'il espérait bien sur...

Ça va aller Sibelle, mais qu'est-ce qui s'est passé pour que tu te retrouves ici hein?

Il caressa ses cheveux pour l'a rassurer. Elle était encore blême et il s'en inquiéta d'avantage.

Tu es blanches comme un drap, nom de dieu!

Il appela madame Pomfresh qui arriva et lui donna un médicament. Elle prit alors une serviette qu'elle le trempa dans l'eau froide. Elle demanda à Eliot de lui mettre sur le front de la jeune fille pour qu'elle puisse retrouver les couleurs...

D'accord merci!

Puis la dame disparue et Eliot lui mit la serviette froide sur le front de la jeune fille qui était chaude. Il devina qu'elle faisait de la fièvre.

Attention, c'est froid...

Aussitôt dit, elle réagit en se marmonnant. Elle trouvait le contact très froide... Puis, elle réussit tout de même à lui dire qu'elle était contente d'avoir quelqu'un qui lui rendait visite...

C'était mon coup de chance, je ne savais pas que tu étais hospitalisée et puis je voulait par l’occasion prendre des nouvelles de ce que tu devenais. Parce que je ne sais pas si tu t'en souviens, mais tu m'a fais une peur bleue quand on s'est rencontrée pour la première fois. Du coup, je m'en suis voulu de n'avoir pu t'aider à aller mieux. J'espère que tu vas maintenant mieux non?

Il espérait de tout cœur que son cœur allait mieux, qu'elle puisse vivre une vie normale. Tout en attendant la réponse, elle annonça qu'elle trouvait qu'il avait changé. Eliot ne savait pas quoi répondre, de plus, ses joues devenaient rouges à force de rougir.

Euh, merci! Je suis encore dans la puberté. Je pourrais devenir aussi beau que les mannequins!

Un rire lui sortait de sa bouche. Il aimait bien plaisanter, il espérait que Sibelle à la même idée que lui. Il voulait que son amie sente bien et s'il fallait le faire rire. Qu'il en soit ainsi! Il le ferait jusqu'à temps qu'elle lui montre son vraie sourire. C'était importe pour Eliot. Il aimait aussi les filles sourient. Comme Arya par exemple. Juste à y penser, il souriait. Il aimait voir le sourire de cette jeune dame. Elle était belle, belle comme euh... Une sirène? Il ne fallait surtout pas exagérer. Mais c'était important pour lui, que les filles se sentent bien en sa présence. Sinon ça serait quoi une vie sans sourire?

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À peine qu’elle ait mit ses appareils auditifs, elle le reconnaissait enfin. Il était enfin le temps, si on veut… Eliot lui offrit un de ses sourires chaleureux puisqu’il était content de revoir Sibelle. Cela faisait un sacré bout de temps qu’il ne l’avait pas vu. Curieusement, il n’avait jamais croisé, même dans la grande salle. Donc, du coup, Sibelle était difficile à le joindre. Elle passait le plus claire de son temps à partager entre Nicolas et Arya. Bref, il a fallu une circonstance spéciale qu’elle soit à l’infirmerie pour qu’elle soit rejoignable… Voilà bon…

Il l’aida pour que Sibelle puisse s’asseoir confortablement pour continuer la conversation. Il prit un oreiller pour soulever son bras. Il remarqua que le bandage est énorme. Elle devait avoir eu tout un accident pour qu’elle soit blessée et si souffrante. Il lui avait alors demandé ce qu’il s’était passé pour qu’elle se retrouve dans ce lit là. Elle expliqua alors qu’elle avait perdue l’équilibre et qu’elle était tombé et atterri sur son bras. Ça doit faire un sacré chute!

Oh! Tu n’es pas y allé de main morte, t’a l’air de souffrir le martyr!

Il voulait l’a soulagé, mais il ne savait pas comment, il n’était pas médecin ou infirmier. Non, il était juste un simple élève qui essayait de changer les idées pour qu’elle puisse oublier sa douleur. Il s’en inquiéta quand il vit que son amie marmonnait et qu’elle se mit à gémir. Après avoir eu la visite de madame Pomfresh, il mit la serviette froide sur le front brulante de la jeune fille. Il espérait qu’elle aille mieux qu’il attendit un moment avant de voir. Il vit alors que son amie souriait.

Ah… Ça me fait plaisir de te voir sourire comme ça… Tu vas un peu mieux la?

Il surprit d’entendre le rire au éclat qu’émettait la jeune fille à la suite de la blague qu’il avait sortit…

Bon, c’est bien! Tu souries!

Elle lui demandait par la suite qu’est-ce qu’il devenait. Euh… Pas grand-chose, à moins qu’il lui parle d’Arya dont il est amoureux? Oui, serait bien non?

Hum vraiment en tant qu’elle, j’ai rencontré une fille. On se parle, on a du plaisir. Je crois que je suis littéralement amoureux d’elle…

Il esquissa d’un sourire qui disait tout. Il était heureux d’avoir croisé la jeune fille. Mais il ne savait pas quand non plus lui demander de sortir avec lui. Il avait beaucoup de respect pour la gente féminine! Du coup, il attendrait le bon moment voilà!

Hum, j’aimerais sortir avec elle, mais je ne sais pas quand est la meilleure solution.

C’est bien ça le souci qu’il avait. QUAND? Il savait qu’il voulait vraiment sortir avec elle. Juste à y penser, il en bavait. Il avait justement hâte de l’a retrouvé dans la grande salle. Elle était facile à voir au loin. Avec sa chevelure et ses yeux bleus. Il savait que c’était elle, que c’était Arya. Il ne pouvait le nier. Les sentiments étant devenus trop forte. Il devait se trouver le courage de lui annoncer. Attendre, c’est une pure punition pour lui. Il avait envi de l’a touché. Il était attiré par elle, point barre!

C’est Arya, votre préfète. Je crois que je lui plais aussi.

Il sourit timidement, il avait envie de partager ça avec Sibelle, peut-être qu’elle trouvera des solutions, qui sait?