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| PV l Il y a comme de l'eau dans le gaz | |
| Auteur | Message |
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Invité
Ξ Sujet: PV l Il y a comme de l'eau dans le gaz Mer 5 Sep - 23:52 | |
| Joseph De Liechtenstein Ah les vacances de Noël ! Nicolas les adorait, parce qu’elles signifiaient qu’il allait avoir des tonnes de cadeaux de la part de ses parents ainsi que de la part de tous les habitants -ou presque- de la capitale du Liechtenstein, Vaduz. De plus, il avait bien besoin de refaire sa garde robe, puisque depuis qu’il était devenu un homme, un vrai, quittant son corps de gamins de treize ans durant l’été dernier, Nicolas était un peu court niveau choix des vêtements. De ce fait, tous les gallions qu’il allait recevoir pour cette fête de fin d’année allaient servir à remplir son dressing, qu’il avait vidé lors des vacances d’octobre, n’y ayant pas pensé pendant l’été. Le voyage dans le Poudlard Express, deux jours avant Noël, le vingt-trois décembre, s’était passé plus que correctement. De nombreux élèves étaient rentrés pour les fêtes, même si un bon nombre d’élèves étaient tout de même restés à l’école. Nicolas, une fois arrivé sur le quai de la voie 9 3/4 de la gare de King’s Cross à Londres, fut réceptionné par deux gardes du corps qui le suivaient généralement comme son ombre lorsqu’il se déplaçait dans les villes moldues -ou sorcières. Enfin bref. Le voyage avait duré autant de temps que d’habitude, mais à chaque vacances, les élèves partaient plus tôt, et non pas à onze heures, comme à la rentrée, d’autant plus qu’il s’agissait du jour de Noël, de nombreuses soirées étaient prévues pour le soir même.
Arrivé à Vaduz, dans son château immense et en pleine ébullition pour la fête des soirs à venir, Nicolas se dirigea vers sa chambre. Son anniversaire était passé, puisqu’il se situait au début du mois, le six décembre plus précisément, et Nicolas avait d’ores et déjà des paquets à déballer. Le confiseur officiel du château lui avait fait des chocolats spéciaux, qui attendaient bien sagement sur son lit, le tailleur de la cour avait confectionné pour Nicolas un nouveau costume, qu’il porterait sans doute ce soir, et son professeur particulier de danse lui avait offert un nouveau lot de bracelets-éponges, d’un violet foncé, couleur préférée du jeune homme. Enfin bref, tout cela pour dire qu’il avait d’ores et déjà eut des cadeaux et que ceux là, il avait le droit de les déballer à l’avance. Une fois le tout déballé et rangé, Nicolas quitta sa chambre. Il cherchait George, dit Constantin, son frère qui devait être rentré de Beauxbâton. Cependant, ce ne fut pas sur ce dernier qu’il tomba en premier, mais sur Joseph, l’aîné de la fratrie.
«Tiens, tu es là toi... Je croyais que tu avais des examens à passer, à ta fac de droits... Ton appartement n’est pas assez bien pour tes révisions ?»
On l’aura compris, Nicolas n’aimait pas tellement son frère. Joseph était le prince héritier, et c’était en grande partie pour cela que le dernier de la famille ne l’appréciait pas, en plus du fait que les deux enfants ne s’étaient jamais vraiment bien entendu, depuis que Nicolas était né et qu’il avait été plus gâté que son frère et sa soeur aînés. Si Constantin n’avait pas mal pris les choses, Joseph et Marie eux, semblaient en vouloir à Nicolas. Et forcément, grandissant dans une atmosphère électrique, Nicolas avait nourrit envers les deux aînés de la famille une haine particulière, un dégoût certain et une animosité certaine. Quand bien même il voulait devenir roi, que cela était son voeu le plus cher, Nicolas n’irait tout de même pas jusqu’à tuer sa propre famille. Il était peut-être avide de pouvoir, mais pas au point de devenir un criminel !
[ 599 ] CARTES |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: PV l Il y a comme de l'eau dans le gaz Dim 9 Sep - 22:07 | |
| Si vous n’êtes point au courant des querelles familiales dans la famille des De Liechtenstein, c’est qu’il y a dut avoir une sorte de trouble assez important dans votre mémoire. Cependant, la querelle perdure dans n’importe quelle famille royale qui aurait plusieurs enfants. Et pourtant, les choses pourraient être tellement plus simples. Mais depuis que Nicolas De Liechtenstein est venu au monde, la vie de Joseph ne ressemble plus à ce jardin si paisible dans lequel il vivait avec sa sœur Marie. En effet, le cinquième année projette de prendre la place d’héritier légitime de son frère. On espère qu’aucun meurtre n’aura lieu, ce qui serait fort triste, et quelle perte ! Oui enfin bon, c’est que Nicolas ne semble pas vraiment connaître les intentions de son frère, et puis surtout, qui dit héritage dit mort du roi, hors ne vaut-il pas mieux oublier ce –sûrement proche- événement ? Cela apaiserait bien des tensions. Le but étant que chacun de leur côté, les deux jeunes garçons règlent leur problème. Joseph pourrait aisément régler l’affaire en disant tout simplement à son frère que son but dans la vie n’est pas de régner sur une contrée que plus personne ne semble vraiment connaître, mais bien de défendre les grandes entreprises mondiales. D’où ces études en droit et sa désertion du pays. Et pourtant, il préférait mener en bateau son frère, enfin, tout ceci se trouvait dans son caractère. Il voulait être fier, paraître le plus fort, être l’ainé dans tous les sens du terme.
Les vacances de Noël se déroulaient depuis maintenant plus de vingt ans de la même façon. Tous les enfants rentraient au château décoré pendant plusieurs heures, minutieusement et surtout avec toujours un peu plus de nouvelles technologies. En rentrant par la porte principale, Joseph avait eu droit à une pluie d’étoiles hologramméisée, enfin vous voyez le genre. Tout à fait inutile à son propre avis, mais disons qu’il n’en fit aucune remarque. Il respectait beaucoup le personnel de la demeure, les voyant se donner tant bien que mal tous les moyens possibles pour rendre leur vie agréable. Entre vous et moi, il était surtout heureux de pouvoir revoir sa chère Marie. Il avait passé sa journée à ranger ses vieux objets dans sa chambre, trier, enfin le nettoyage printanier en plein hiver quoi. Ses parents se portaient plutôt bien, et l’encourageaient fortement à réussir ses études, mais aussi à penser à son futur. Ce qui, dans leur bouche, voulait dire « pense à ton futur royaume ». Ce qui comme dit plus haut n’intéressait aucunement notre jeune Joseph.
Nicolas et George étaient déjà là. Chacun s’était occupé dans son coin, mais alors que Joseph cherchait à rejoindre le salon, il croisa son frère Nicolas qui était à la maison depuis un peu plus longtemps que lui, du fait du début des vacances de Poudlard. George lui, à Beauxbâtons n’étaient arrivé qu’il y a quelques heures. Et comme à son habitude, le vert fit part de toute sa joie de retrouver son tant admiré grand frère. Qui par ailleurs lui fit penser à ses malheureux examens qu’il avait passés la veille. Il ne connaissait absolument pas les résultats, normal d’ailleurs. Et voyez d’autant plus tout l’intérêt que l’un porte à l’autre !"Ouais, c’était hier. Et toi, tu ne restais pas travailler tes BUTEs, ou BISEs, enfin ce pourquoi tu dois te remuer ?"Bien envoyé. Encore une occasion de montrer qui est le plus grand ici. Et Josphe n’avait jamais vraiment porté d’intérêt à Poudlard, sauf lorsque Marie y était, mais il n’ pas gardé en mémoire tout ce qu’il peut s’y passer. Et pourtant, dans son école à lui, il n’y avait pas de grandes différences, mais disons que le tout était un peu plus dégradant. "Et merci, mon appartement me suffit largement tant que je peux être tranquile." Surtout que son appartement se trouvait en plein centre de Londres, et qu’il n’était pas question de prendre un tout petit logement, car, malgré la simplicité du jeune garçon, son confort passe avant bien des choses.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: PV l Il y a comme de l'eau dans le gaz Lun 1 Oct - 14:41 | |
| Nicolas n’aimait pas des masses Joseph et ce dernier le lui rendait bien. Oh, ils n’en n’étaient pas au point de se lancer des sortilèges en pleine figure ni à vouloir s’entretuer, du moins, Nicolas espérait qu’ils n’en n’étaient pas à ce point, mais ils ne se supportaient et parfois, ça clashait. Joseph aimait particulièrement faire preuve d’une indifférence totale face à Nicolas, et montrer qu’il se fichait pas mal de ce qu’il faisait. Mais Nicolas n’étant pas né de la dernière pluie, il savait également répondre à ce genre piques… Surtout que là, Joseph lui tendait une perche assez grosse !
« Tu n’es pas si intelligent que cela, si tu ne sais même pas quels diplômes l’autre idiote a passé… Je croyais pourtant qu’elle était ta sœur préférée… J’ai du me tromper… En même temps, je me demande qui peut bien aimer une pimbêche pareille… »
La preuve, même Tobias était partie au final ! En même temps, Nicolas avait toujours trouvé bizarre que sa sœur puisse rester aussi longtemps avec une même personne. Pas que la personne en question craignait non, mais c’était Marie qui craignait… Enfin bref, Nicolas ne voyait pas ce qu’on pouvait bien lui trouver et pensait qu’elle était nettement mieux toute seule plutôt que de casser les pieds à un garçon, peu importe qui cela pouvait être. Cependant, Nicolas n’aimait pas trop qu’on dénigre sa scolarité. Il était un bon élève, et il était dans la même école que Marie, comme quoi, il n’était pas le seul à défrayer les chroniques ! Et il n’allait sûrement pas se laisser faire par un abruti qui avait une tête de plus que lui !
« Et pour ta gouverne, on dit des BUSEs et je me débrouille très bien en cours, je n’ai pas besoin de passer trois heures sur un chapitre pour le connaître. »
Nicolas était loin d’être un parfait idiot. S’il n’était pas le premier de sa classe (il laissait cette place à Emeric), il n’était pas le dernier non plus, et était même bien placé. Il avait toujours eut des notes très satisfaisantes, auquel cas sa mère l’avait prévenu, il retournait directement dans l’établissement dans lequel il aurait du faire sa scolarité, c’est-à-dire Beauxbâtons. Et Nicolas se refusait à aller dans l’école française, quand bien même il parlait parfaitement le français. Il était à Poudlard depuis le début, et même si maintenant, tout était plus compliqué pour lui, puisque Caroline avait rompu et qu’il ne parlait plus à Emeric, sauf quand il y était obligé avec les entrainements et les matchs de Quidditch, il ne comptait pas tout lâcher pour autant. Poudlard était sa seconde maison, voilà tout.
« Tu aurais du y rester alors, car là, c’est moi qui n’ait plus la paix… Ta simple présence au repas de ce soir aurait suffit à Mère. »
Oui, Nicolas ne disait pas « Maman » ou « Papa ». Mais en même temps, il était un enfant royal, il n’avait pas n’importe qui comme parent et ne pouvait donc pas dire n’importe quoi. Quand il parlait à ses amis, parfois, cela lui échappait, bien évidement, il n’était pas infaillible, mais au château, jamais il n’appelait ses parents. Enfin bref. Nicolas n’était pas ravi de voir son frère ainé, on l’avait bien compris, et comme c’était réciproque, il ne fallait pas s’attendre à une explosion de joie. La seule personne dans ce château, qui serait ravie de voir Joseph, serait Marie et, Dieu merci, Nicolas n’était pas encore tombé sur cette idiote. Elle devait pourtant être arrivée comme Joseph, ou presque… Ne partageaient-ils pas le même appartement ? Nicolas s’en rappelait plus vraiment, mais il savait que les deux aînés de la famille, qui avaient déjà quitté les écoles de Sorcellerie de Beauxbâtons et de Poudlard vivaient à Londres. Ensemble ou pas, Nicolas s’en fichait un peu –beaucoup- en soit.
[ 648 ] Lavande |
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Ξ Sujet: Re: PV l Il y a comme de l'eau dans le gaz Sam 3 Nov - 16:36 | |
| Les deux jeunes garçons avaient beau prendre de l’âge, rien ne changerait dans l’envie de se mesurer l’un à l’autre. Il n’y avait que le moyen et la parole qui changeait. Les actions aussi, ici, il ne s’agissait plus de construire le plus haut château de sable. Mais à force, Joseph trouvait ce genre de conversations un peu trop vides. C’est-à-dire que, au bout, il n’y avait aucun but. Si ce n’est avoir le dernier mot, mais, à leur âge, il y a bien d’autre moyen d’obtenir une quelconque fierté. Mais le problème restait la différence d’âge. Joseph était le plus grand, le plus vieux. Il n’était pas du genre à vouloir montrer l’exemple. Mais ici, il savait que si lui ne changeait pas de comportement, ce n’était sûrement pas son jeun frère qui allait le faire. Mais ce n’était pas encore le bon moment ( oui enfin bon, disons que pour son amour propre, il ne voulait pas se laisser faire sur ce coup, après, on verra…). « Et bien, si je te dérange tant, pourquoi est-ce que tu m’as adressé la parole ? Et je prierai de ne pas traiter Marie d’idiote, je ne suis pas sûr qu’un jour tu atteignes son niveau. Je te le souhaite, mais pour le moment, tu n’as rien à redire là-dessus. » Joseph n’était pas là pour défendre sa sœur, ce n’était pas une petite ingénue sans défense. Mais il ne supportait pas ce genre de remarque, surtout quand celle-ci n’était pas là. Oui d’ailleurs, il ne l’avait pas encore vue. Mais ça ne saurait tarder.
Il n’avait pas envie de relever la prétention de Nicolas, bien qu’elle lui soit assez désagréable. Et c’était d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles il hésitait à lui parler de ce dont il voulait lui parler. C’était un sujet assez important, et il jugeait ce comportement encore trop enfantin pour lui en parler. Si Joseph passait si peu de temps au Liechtenstein, s’il n’avait pas du tout la carrure d’un roi, s’il se concentrait autant sur ses études, c’est que ce n’était pas à lui d’assurer le rôle de son père. Mais ça, Nicolas ne le comprenait pas, enfin, ne le savait pas, donc lui en voulait. C’était logique. Mais s’il venait à l’apprendre maintenant, imaginez un peu sa réaction. Il ne tiendrait pas assis deux secondes. Il serait encore plus prétentieux, enfin, autant dire que c’était aller droit dans le mur. Joseph savait cependant qu’il pouvait compter sur son père. Il s’agirait sûrement de lui qui annoncerait la chose, en temps voulu. Et puis, au fond de lui, Joseph se reconnaissait un peu dans Nicolas. En espérant que ce dernier s’assagisse un minimum, il n’y avait pas trop à craindre pour le royaume de Liechtenstein. C’était au final, un garçon pas si bête que ça. « Et d’ailleurs, comment ça se passe au Quidditch ? ». Joseph aimait le sport, et il savait que s’il regrettait quelque chose à ne pas avoir étudié à Poudlard, c’était le terrain de Quidditch. De plus, c’était le seul sujet qui intéressait les deux jeunes garçons. C’était donc un sujet bien choisi. Enfin, espérant que l’équipe soit en forme, et que les victoires soient là.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: PV l Il y a comme de l'eau dans le gaz Mar 6 Nov - 11:28 | |
| Malgré le fait qu’il prenne de l’âge, et qu’avec le temps, Nicolas commençait à ressembler à son frère aîné, le blondinet n’avait pas vraiment envie de se montrer aimable avec lui. Il n’était pas assez sensible pour pardonner facilement, et pour oublier tout ce qu’il avait pu endurer plus jeune. Malheureusement, ce n’était pas facile tous les jours d’être aussi insupportable. Parfois, il aurait bien envie de passer l’éponge, d’essayer d’avoir une vraie relation fraternelle avec ses aînés, surtout Joseph, puisqu’en soit, ils avaient sans doute plus de points en communs tous les deux que Nicolas avec Marie, mais voilà, il y avait ce passé qui revenait toujours au galop quand il tentait d’oublier. Autant dire que ce n’était pas facile, quand le naturel revenait plus vite qu’on ne pouvait l’oublier. Surtout avec la rupture qu’il venait de vivre. Il ne l’avait toujours pas avalée, digérée et oubliée. Non, il ne pouvait pas. Il aimait sincèrement Caroline, bien plus qu’il n’avait pu aimer Ena, et ça lui faisait mal, vraiment. D’ailleurs, ça l’était que Joseph ne fasse pas illusion à la brune. Il l’avait pourtant déjà vue plus d’une fois... Enfin, il n’allait pas s’en plaindre, c’était mieux comme ça, au final.
«Tu me barres le chemin, ne crois pas que je te parle par envie... Et sache que je parle d’elle comme je le souhaite. Elle ne se gêne sûrement pas elle, je ne vois pas pourquoi moi, je ferais un effort.»
N’avait-il pas raison ? Et puis, il fallait dire ce qui était ! Marie était une sombre idiote ! Elle n’était plus avec Tobias, qui avait pourtant tout d’un gentilhomme... Pour quoi ? Nicolas n’en savait rien, mais il espérait bien que ça ne soit pas pour Jones. Il n’y avait pas plus bête que ce gars là, et il avait du mal à se dire qu’on pouvait aimer ceux qu’on avait parle passé autant détester -y’a qu’à avoir avec lui, Marie le détestait, et elle n’était sûrement pas prête de l’aimer ! Mais qu’elle se rassure, l’inverse était vrai aussi !- Alors que Joseph lui parla de Quidditch, Nicolas le regarda surpris. Pas longtemps, à peine un quart de seconde. Il ne s’y attendait pas en fait, que Joseph lui porte un peu d’attention. Mais rapidement, son masque de prince suffisant reprit sa place.
« Qu’est-ce que cela peux bien te faire ? Tu n’as pas besoin de faire semblant de t’intéresser à moi, je ne le fais pas, à ce que je sache.»
Franchement, c’était un peu stupide non ? Joseph tentait-il une approche pour ce soir ? Si tel était le cas, il pouvait s’épargner de la salive ! Nicolas serait présent et ne ferait pas de remarques désobligeantes. Il n’était pas fou non plus, devant ses parents, il ne haussait jamais la voix, ne disait pas clairement le fond de ses pensées, même si parfois, ça le démangeait. Mais il avait bien trop de respect envers son père et sa mère. Surtout que cette dernière mettait Noël et toute la fête autour de cette date au dessus de tout. Il n’allait pas la contrarier, il n’était pas idiot. Cependant, parler de Quidditch à Nicolas, alors qu’il était capitaine et que pour l’instant, son équipe se débrouillait bien, c’était un peu gagné d’avance. Bien évidement, il ne pouvait pas rester sans rien dire, quand bien même il le voulait, sa fierté le poussant à parler.
« Mais ça se passe bien. Nous avons déjà gagné un match, Serdaigle en a perdu deux, donc nous sommes toujours dans la course.»
Pas la peine de dire qu’il ne parlait plus à Emeric, qu’ils s’étaient pris la tête comme jamais auparavant, et que depuis, ils ne s’adressaient la parole que sur le terrain, lorsque Nicolas exposait ses stratégies et qu’il demandait si tout le monde avait compris ce qu’il avait à faire. Encore que, généralement, Emeric n’était pas concerné puisqu’en tant qu’attrapeur, son seul soucis était d’attraper le Vif. Ce qu’il se passait sur le terrain, Emeric s’en fichait royalement. Nicolas demandait cependant à ses batteurs de faire attention aux batteurs adverses. Ces joueurs là pouvaient tout à fait lancer des cognards sur l’attrapeur adverse pour le mettre hors d’état de nuire, du coup, il fallait que ses batteurs à lui le protège, si c’était nécessaire, et renvoient les cognards. Bien sûr, cela marchait aussi pour les autres membres de l’équipe, mais sans attrapeur, c’était donner la victoire à l’équipe adverse !
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