Laurell était dans al place (oui elle ressuscite d’entre les morts, que voulez-vous). La jeune femme virait dans els airs, et face à l’acharnement (non pas thérapeutique mais physique) de la sale blondasse *kof kof pardon, quel vocabulaire ?* des lions, elle se promit de le lui faire payer sous peu. Arrivée à la hauteur d’Emeric, la brune eut un sourire mauvais (Tamara on te conseille de te planquer) :
« On va lui faire goutter l’eau des chiottes à cette petit g*rce. »
Trop d’amour, non, vraiment. Décrivant une longue courbe concave, la brune (violente mais efficace) acheva sa course vers la balle rouge qu’elle arracha (littéralement) des mains des lions (fallait pas l’énerver, capiche ?) et elle fila dans le ciel, direction els buts. Plus rien ne comptait (à part exploser la frimousse de Tamara, mais ça, ce sera pour après… La blondinette lui avait tendu la perche plus que le bâton, elle allait se faire battre, si elle insistait pardon, quelles séances du groupe des violents anonymes ??? Il y avait des réunions ?. Laurell fonça vers les buts, et si le gardien était là, il avait plutôt intérêt à avoir mis un bon casque parce qu’elle allait le dégommer !
[Jour, Fuite, Saigner]