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| L'art de la simplicité [PV] | |
| Auteur | Message |
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Invité
Ξ Sujet: L'art de la simplicité [PV] Lun 1 Fév - 0:09 | |
| Tel un alcoolique au salon du Beaujolais nouveau, Pandanjila était perdu dans ses réflexions depuis la fin du bal de Noël : il n'avait pas su – pendant très longtemps – quoi faire. Il n'aurait pu rien faire, déjà fin du topic mais ce n'était pas ce qu'il voulait vraiment. Son duo passé avec Prudence Faraday, la préfète rebelle de Poufsouffle au bal de Noël, lui laissait un petit goût d'inachevé. Ils avaient dansé, certes, ils avaient mangé, aussi, et ils avaient même beaucoup bu, mais ils avaient surtout parlé trop, beaucoup trop. Les débuts de soirée avaient été difficiles pour l'un comme pour l'autre : le stress du Sénégalais avait mis plusieurs minutes à se dissiper (l'ouverture du bal des préfets n'aidant pas) et celui de la jeune fille, semble t-il, était resté bien présent jusqu'à la fin du bal. Il s'agissait plus de malaise que de stress, avait noté Pan' : la jeune fille n'avait pas l'air aussi joviale et pétillante qu'avec ses amis oui parce que je t'observe Prudence, sache-le. Mais il pouvait cependant comprendre : Prudence avait été la seule fille courageuse de l'école à accepter de se rendre au bal de Noël avec un étranger – véritablement – que pas grand monde, de surcroit, ne connaissait vraiment. Il avait essayé d'être gentil, à l'écoute – drôle, parfois – mais il avait surtout essayé d'apprendre à connaître l'Irlandaise. Hélas, la jeune fille était loin de s'ouvrir au premier venu et n'avait parlé, pour ainsi dire, que de Poufsouffle et de ses amis mais on peut la comprendre : ses amis sont formidables. Le bal de Noël ne durant pas 8000 ans, Pandanjila avait ramené la préfète à sa salle commune, en la remerciant pour cette excellente soirée. Il s'en voulait. Il aurait aimé qu'elle s'amuse plus, il aurait aimé qu'elle soit plus à l'aise en sa présence.
C'était un problème qu'il comptait bien solutionner au plus vite tu entends ? Tu es un problème Prudence. Perdu dans la foule le tourbillon des cours qui avaient repris juste après la rentrée des vacances de Noël, Pandanjila avait mis un moment à trouver comment se rendre intéressant aux yeux de la sorcière : il avait de surcroit remarqué que la belle blonde ne venait plus d'elle-même vers lui ce qu'elle n'a jamais fait, notons, ce qui lui avait rajouté pléthore d'interrogations. S'était-elle ennuyée au bal de Noël ? L'avait-elle trouvé psychotique inintéressant ? Bête ? Trop original Écoute PandiPanda, les boules de cristal et la lecture des tasses de café, ça va cinq minutes, mais tu pourrais lâcher tes cartes de tarot pendant qu'on danse, s'il te plait ? ? Bref : le cérébral étudiant de Uagadou avait matière à réflexion avec la secrète et prudente Poufsouffle. « Je sais ! » Avait-il un jour crié à son camarade de chambre, un peu trop tôt pour que le Serdaigle – encore dans son lit - n'accueille l'exclamation avec joie « Je vais la prendre dans la salle dont tu m'as parlé, la salle sur demande et je vais recréer à l'identique les extérieurs de Uagadou ! Nous ferons un pique-nique sous les étoiles, je pourrais lui montrer ce que j'ai appris en divination – si ça l'intéresse – et surtout je pourrai me transformer en panthère. En général les filles aiment bien ça.. Ouais, je vais faire ça... » « Ou alors tu l'amènes à Pré-au-Lard. C'est quand même vachement plus simple. »
C'est ainsi que le sorcier, quelques jours plus tard, proposait à la préfète des blaireaux de se rendre à Tombouctou, oui j'ai changé d'avis Pré-au-Lard avec lui : il n'y était jamais allé seul et devait avouer qu'en dehors d'Honeydukes, qu'il avait beaucoup apprécié Potain, mais chez vous, le chocolat ne fond pas, c'est dingue !, il ne connaissait pas grand chose. Peu lui importait : il n'était pas là pour le village sorcier, mais pour la sorcière : elle ferait dans tous les cas office de guide, elle s'y rendait à priori depuis plus longtemps que lui.
Debout dans la cour intérieure de l'école, Pandanjila attendait patiemment l'arrivée de la sorcière : étrangement, il trépignait. Le serein et confiant Sénégalais avait hâte que la Poufsouffle arrive et se surprenait, s'il s'écoutait vraiment et si on en croyait ses cartes de tarot, à appréhender. Oui, tout au fond de lui, une émotion toute nouvelle – une émotion 'Poudlard', dirons-nous – se faisait ressentir. Un mélange de stress et de crainte : une légère angoisse, ni plus ni moins, qu'il connaissait à peine. Il détestait ça. Que Prudence arrive et vite, il ne pouvait plus continuer longtemps à s'imaginer cinquante et un scénarios.
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| | | | Prudence Faraday
Parchemins : 1152 Âge : 16 ans (27/07/2000) Actuellement : 7ème année Points : 0
Ξ Sujet: Re: L'art de la simplicité [PV] Mer 3 Fév - 22:24 | |
| - Enfin bref, le gars, je ne le vois plus pendant des semaines, limite je me demande s’il n’est pas reparti à pétaouchnok, et là, subitement, il vient me demander si je veux aller à Pré-au-Lard avec lui. C’est pas hyper bizarre, sérieux ? - Mais t’as dit oui quand même ? Agacée, Prudence gonfla les joues et gratifia Louise d’un regard noir. Evidemment, qu’elle avait dit oui, elle ne serait pas en train de lui tenir le crachoir depuis vingt bonnes minutes, si ce n’était pas le cas. Louise l’avait-elle seulement écoutée, tandis qu’elle lui déroulait par le menu les derniers rebondissements de « l’affaire Panda » ? Certes, la pauvre Louise n’avait rien demandé à personne, et Prudence, qui avait besoin de s’épancher avant d’exploser, lui avait littéralement bondi dessus, quand elle l’avait trouvée dans la salle commune ( « Ah, Louise, parfait ! Pile la personne que je cherchais ! Comment ça, qui je suis ? Ben Louisou, ça fait cinq ans qu’on partage le même dortoir… »), mais elle aurait au moins pu faire semblant de s’intéresser à ses problèmes, non ? - J’ai été prise de court, marmonna-t-elle d’un air coupable, il m’est tombé dessus sans prévenir. J’ai paniqué. Mais tu vois, là, j’hésite à y aller. J’veux dire, pourquoi est-ce qu’il réapparaît d’un coup ? Soit je vire grave parano non, ne réponds pas, surtout, soit ça sent l’entourloupe. T’en penses quoi ? Je fais semblant d’être malade et je le plante ? Demanda-t-elle, l’œil brillant d’un espoir qui fut presque immédiatement réduit à néant par le soupir désabusé de sa camarade. - Prue, je ne veux pas te faire de la peine, mais si j’ai bien compris, ton rendez-vous est dans trente minutes : ça ne se fait pas du tout, d’annuler au dernier moment.
Le ton sentencieux de Louise acheva de hérisser la Poufsouffle, qui avait déjà les nerfs en pelote : elle trouvait la jeune fille gonflée, de lui donner une leçon de savoir-vivre, quand elle-même avait manqué de bâiller d’ennui durant son récit. Mais pour être franche, ce n’était pas tant l’attitude de Louise, qui mettait Prudence en colère, que le fait que sa camarade avait raison. Elle aurait tellement aimé l’entendre abonder dans son sens : « Je suis parfaitement d’accord, Prue-Prue, ce Serdaigle n’est pas net, et je vais aller le trouver pour lui annoncer que tu es clouée au lit. Ne t’en fais, j’assure tes arrières ! ». Elle aurait ainsi pu s’épargner une virée à Pré-au-Lard qui, elle le pressentait, risquait de se révéler extrêmement embarrassante. Seulement, l’honnêteté très Poufsouffléenne de Louise lui interdisait de se montrer accommodante avec la vérité « Et c’est exactement pour ça que tu n’as pas d’amis, Louise. ». Pire ! Elle finit d’enfoncer le clou en précisant, avec une naïveté désarmante : - Et puis on ne sait jamais : peut-être que tu t’amuseras ! Après tout, tu as passé une bonne soirée, au bal, non ?
De nouveau, Prudence grommela une réponse évasive, et prit la fuite. Elle soupçonnait Louise de s’échauffer avant de lui exposer, en un long et implacable argumentaire, toutes les raisons pour lesquelles elle ne devait pas refuser la proposition de Panda ( « Regarde la réalité en face, Prudence : tu n’es plus toute jeune, et probablement la dernière de notre année à n’être sortie avec personne surtout si on prendre Vane comme point de repère, c’est peut-être ta dernière chance de rentrer dans le jeu et de rattraper ton retard… »). A croire qu’elle avait été payée par le jeune homme pour vanter ses mérites ( « Un garçon très courageux qui est prêt à passer outre tes nombreux défauts… »). Résignée, l’Irlandaise traîna son malaise jusqu’à la salle de bain, où elle prit le temps de se brosser-les-dents : on ne sait jamais coiffer et d’enfiler un pull propre, celui qu’elle portait jusqu’alors étant couvert de poils de chat (apparemment, Rosette, le félin le plus stupide de l’Univers, l’avait confondu avec son panier personnel).
Les dernières paroles de Louise ne cessaient de tourner dans son esprit, tandis qu’elle se dirigeait d’un pas lent vers le pont suspendu. Resserrant machinalement son écharpe autour de son cou – l’hiver n’avait pas encore totalement relâché son étreinte, sur l’Ecosse – l’Irlandaise s’efforça d’y voir clair dans ses sentiments. Elle n’avait pas, à proprement parler, passé une mauvaise soirée, au bal. Le souci était qu’elle n’était pas persuadée non plus d’en avoir passé une bonne. Tout lui avait paru très étrange – depuis la danse d’ouverture, qu’elle avait toujours évité jusqu’à présent, jusqu’à l’absence de Quino à ses côtés, pour critiquer les tenues des uns et des autres, et jaser sur l’incongruité des couples formés pour l’occasion – et elle n’avait cessé de se surveiller, de peur de laisser échapper un mot de trop ( « wesh », par exemple), ou de se montrer sous un jour négatif. Elle avait quitté la Grande Salle déstabilisée, épuisée et, pour tout dire, plutôt soulagée que les réjouissances fussent arrivées à leur terme. Pour autant, elle avait apprécié la compagnie de Panda comment ça, ce n’est pas son vrai prénom ?, et avait été d’autant plus perturbée de ne plus avoir de ses nouvelles ensuite, qu’il ne lui avait pas semblé avoir commis un abominable impair.
Sérieusement, c’était qui, ce gars, qui n’hésitait pas à l’arrêter au bout milieu d’une cour verglacée pour lui demander d’être sa cavalière, puis disparaissait de la circulation pendant des lustres. Elle aurait préféré une explication franche ( « Prudence, je sais tout de ton passé de jeune délinquante ascolaire, et je ne veux plus rien avoir à faire avec toi. »), à cet angoissant silence. Mais après tout, peut-être s’agissait-il simplement d’une stratégie extrêmement vicieuse, visant à torturer mentalement sa cible afin de ne plus quitter ses pensées. Si c’était le cas, c’était bougrement efficace, et elle avait tout intérêt à le fuir. A moins qu’il n’eût attendu de sa part qu’elle fasse le premier pas, après le bal ? Peut-être que c’était la coutume, dans son pays d’origine, et qu’il la prenait désormais pour une parfaite ingrate ? Mais alors, pourquoi prendre la peine de la revoir ? Non, décidément, tout ceci n’avait aucun sens.
La jeune sorcière n’était donc pas parvenue, loin s’en fallait, à démêler le fil de ses émotions, lorsqu’elle posa le pied sur le pont suspendu, où Panda l’attendait déjà. Les lèvres de la Poufsouffle se contractèrent étrangement, sans qu’elle fût en mesure d’expliquer pourquoi, et elle déglutit difficilement. Zut. Il était venu. - Salut, lâcha-t-elle, une fois parvenue à la hauteur du Serdaigle. Elle avait parlé d’une voix si suraiguë qu’elle se fit immédiatement l’impression d’être une dinde. Ce qui redoubla sa gêne. Beau temps pour la saison. Enfin non, pas vraiment, en réalité. Mais au moins, y’a du soleil : tu vas voir, Pré-au-Lard sous le soleil, c’est très beau… ça met bien en valeur l’architecture et tout… Voilà. La météo. La météo et l’histoire du village. Deux sujets de conversation anodins, qu’elle comptait bien épuiser jusqu’au bout. Pauvre Panda.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'art de la simplicité [PV] Jeu 4 Fév - 23:33 | |
| Pandanjila trépignait donc. Il refaisait le bal de Noël dans sa tête, puis la longue période de silence réciproque qui avait suivit avec Prudence. Il en vint à la conclusion finale, inévitable et glaçante, que la Poufsouffle ne viendrait pas c'est Louise, à la place, qui s'était portée volontaire. Le sorcier sentit un poids disparaître de sa poitrine. Certes, on lui aurait posé un lapin le premier, mais il n'aurait au moins plus l'impression de faire n'importe quoi. Le sorcier pensait à Prudence depuis la rentrée – pour ainsi dire – et il en était venu à la conclusion alarmante, que cette fille le rendait bizarre Félicitations Pandanjila, tu es un garçon. Déjà, il pensait souvent à elle, ce qui ne lui était jamais arrivé à Uagadou. Certes il avait trouvé des filles jolies, intéressantes ou même intrigantes, mais jamais ô grand jamais il n'avait aussi peu compris quelqu'un et c'est un gars qui a cours avec Trelawney qui vous parle !. Et s'il y'avait bien une chose qu'il détestait, c'était ne pas comprendre. Le bal de Noël s'était bien passé – en théorie – mais Pandanjila ne pouvait s'empêcher de le trouver imparfait. Grand rêveur, le sorcier s'était figuré tout un tas de choses qui en plus de ne pas être arrivées, étaient limite utopiques aujourd'hui. Prudence rire aux éclats à l'une de ses blagues ? Non, ce n'était même plus au stade de projet.
La jaune et noir n'avait même pas eu l'air de s'amuser au bal de Noël, c'était dire ! Il l'avait trouvée gentille mais froide, polie mais sur la réserve. Loin de s'imaginer que le fait qu'elle ne le connaissait au final, pas, avait beaucoup joué, le Serdaigle – certainement complexé par sa singularité son prénom - sentait bien qu'on le regardait étrangement. Il n'était pas d'ici, il était différent de tous les autres je le vois bien, que vous n'aimez pas la divination ! Et n'essayez pas de me faire croire le contraire ! et même si Prudence avait tenté de le cacher, il sentait bien qu'elle n'agissait pas avec lui comme avec les autres garçons. En tout cas il le supposait. Il n'était pas arrivé, à ce jour encore, à savoir si c'était de sa faute ou non.
Quand il vit une tornade carrément de cheveux blonds arriver sur lui non !, le sorcier se surprit à baisser les yeux. Et oui, Pan' était gêné. Un sentiment auquel le flegmatique décontracté bleu et bronze n'était pas habitué : c'était le moins que l'on puisse dire. Mais que lui faisait cette fille, nom d'un Nundu ?!
- Salut !
Il avait planté ses yeux noir clair dans ceux de la préfète et la détaillait à présent avec intérêt tu as une trace de dentifrice sur la joue. Elle avait l'air tendue et étrangement, ce sentiment le détendit un peu Pan et Prue, le yin et le yang de la communication. L'ordinaire assurance de la truculente Poufsouffle avait disparu et il sentait étrangement - cette fois-ci - qu'il pouvait prendre le dessus. Si ce n'était d'elle, au moins le dessus sur sa peur.
- C'est drôle, tu sembles nerveuse. Lança Luna le sorcier, détendu, incapable de ne pas dire ce qu'il pensait. Il était du genre factuel et très honnête, même si ce trait de caractère, au bal de Noël – caché par son envie d'apparaître sous son meilleur jour – ne s'était pas trop manifesté.
- Je dis ça rapport au fait que tu parles météo : c'est ce que font les gens nerveux en général, ici, j'ai remarqué. Et question personnes embarrassées : il s'y connaissait. Depuis qu'il était à Poudlard, les trois quarts des personnes qui lui parlaient lui crachaient dessus prenaient des pincettes. A croire qu'il se changeait en panthère. Ah oui mordait. Son stress avait à présent totalement disparu : revoir Prudence l'avait replongé instantanément dans l'état d'esprit du bal de Noël : le contrôle d'une part, mais le plaisir surtout. Cette fois, il ne retenait que le plaisir : il était content que la sorcière ait accepté de le rejoindre, en fait. Mais tu as raison, ce soleil est très joli. Conclut-il, benêt souriant, en regardant la nature alentour.
Les sorciers commencèrent à avancer tranquillement vers Pré-au-Lard, quittant le pont suspendu Prudence, pourquoi tu sautes du pont ? Tu vas te faire mal: ce face-à-face n'avait rien de naturel et maintenant que la sorcière était arrivée, ils n'avaient aucune raison de rester plantés là. Plongé dans ses pensées, le sorcier ne savait pas par quoi commencer. Il avait une bonne vingtaine de choses à dire, mais aucune ne semblait appropriée et propice à l'instant. Il voulait parler du bal de Noël, surtout, mais il voulait aussi parler de tout ce que la sorcière lui inspirait. Une petite voix dans sa tête lui soufflait de garder quelques infos pour lui, cependant écoute-la.
- J'ai mis un moment à trouver le courage de te parler. Je croyais que je t'avais fait passer un très mauvais bal de Noël... Tout en marchant, il regarda la sorcière, la mine penaude. Il était à ce jour toujours persuadé que la préfète avait passé l'un des pires bal de Noël de sa vie et qu'il en était l'unique responsable. Ce qui était drôle, c'était que ce sentiment n'était pas venu durant le bal, mais pendant les vacances d'hiver : juste après le bal, le sorcier se sentait enchanté de la soirée qu'il avait passé avec la belle Irlandaise. Il était ravi qu'elle ait accepté d'être sa cavalière, ravi qu'on l'ait vue à son bras, ravi d'en apprendre plus sur elle et sur sa vie, ravi pour tant de raisons qu'il ne pouvait pas toutes les lister j'ai une vie. Les nombreux échanges avec la préfète, les quelques détails de sa vie Irlandaise et les quelques précisions sur ses amis avaient cependant rapidement disparu au profit d'un sentiment amer d'infériorité. Comme quoi le temps aussi créait aussi du drame. - Le fait que tu sois là me donne un peu d'espoir, cependant. Il gâta la Poufsouffle d'un sourire charmeur ravi : Pan' retrouvait peu à peu - il le sentait - sa confiance en lui. L'effet Prudence était inversement proportionnel à celui de la kryptonite sur Clarcky Superman : plus il en était proche, moins il en souffrait.
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