Thème • PV • oruguitas y mariposas.

Lu' y Tina.

Les vacances d’hiver -ou plutôt d’été pour Lucrecia, puisqu’elle était retournée en Argentine, et que là-bas, on était en plein été contrairement à l’Écosse- s’étaient achevées, et l’argentine était de retour au Royaume-Uni, dans l’internat où étaient ses cousins et qu’elle avait rejoint en début de quatrième année. Les vacances s’étaient plutôt bien passées, si l’on oubliait les fois où Camila avait : un/ hurlée après Thiago et elle comme si la fin du monde arrivait, tout cela parce que Quino avait eu la bonne idée de leur griller la priorité sur l’annonce de leur couple pendant un appel visio entre les Kostas et les Castillo et que la brune avait taxé le téléphone; deux/ le discours plus que gênant que Lucrecia avait eu avec sa mère sur les relations sexuelles, alors qu’elle avait déjà eu droit au même laïus lorsque cette dernière lui avait donné sa première potion contraceptive deux êtes auparavant; trois/ ce même discours -plus ou moins- échangé cette fois avec la mère de Thiago, alors que Lucrecia était rouge pivoine et qu’elle ne comprenait pas pourquoi, soudainement, tout le monde se souciait de leur proximité. À cela, il fallait ajouter les regards lourds de sens de Leandró, qui s’était découvert un côté grand-frère protecteur. Et à lui comme à tous les autres, elle avait répété qu’il s’agissait de Thiago, pas du premier inconnu venu et qu’il ne lui ferait jamais de mal, qu’il était son meilleur ami et partenaire de danse depuis si longtemps, que s’il y avait eu quelque chose dont elle aurait du se méfier, elle l’aurait sans aucun doute vu avant.

Heureusement, il y avait aussi eu la joie des fêtes de Noël et surtout, son anniversaire le dernier jour de décembre. Elle avait eu seize ans, juste avant la nouvelle année, et contrairement à l’an dernier, elle l’avait fêté dans les bras de Thiago, son petit ami. L’idée qu’ils soient en couple avait encore un peu de mal à s’imprimer dans son esprit, quand bien même sa possessivité n’en n’était que décuplée. Elle avait besoin d’être avec lui, tout le temps, le cherchait quand elle entrait dans une pièce s’il n’était pas à côté d’elle et, sournoisement, son esprit ne lui faisait penser qu’à son corps, contre le sien, et son coeur tambourinant en résonance avec celui de l’argentine. Bien entendu, maintenant qu’ils étaient de retour au château, l’intimité de leurs chambres n’était plus possible -encore qu’elle pouvait être toute relative, lorsque Camila était dans les parages- mais cela n’empêchait pas qu’ils étaient enfin, après un an et des poussières à se triturer l’esprit et à se poser cent milles questions, en couple.

Ce qui mettait donc Lucrecia d’une humeur assez joyeuse, malgré l’horrible météo qu’ils se tapaient en Écosse. Thiago et elle devaient d’ailleurs être les seuls élèves à avoir autant de couches de vêtements sur le dos, et sur les conseils d’Itachi, la jeune femme s’était même procuré des petites chaufferettes, qu’elle glissait dans ses poches, même simplement dans les couloirs. Il faisait bien trop froid pour son propre bien. Mais il y avait au moins un bon point quant à ce retour, puisqu’au mois de janvier, les professeurs de l’institut de Salem allaient venir et leur apprendre de nouvelles choses sur la magie, et bien entendu, Lucrecia avait hâte, très hâte. L’idée de pouvoir passer un contrat magique avec une créature magique l’enchantait au plus haut point et elle devait bien admettre qu’elle était un peu jalouse que cela soit une spécialité de Salem et non pas de Castelobruxo alors qu’ils excellaient en Soins aux Créatures Magiques et en créatures magiques tout court.

Les fameux cours allaient donc bientôt commencer et Lucrecia se posait encore des milliers de questions, sur le déroulement de la chose. Il fallait l’avouer, elle avait beau être très contente d’être ici, avec Thiago et ses cousins, l’Argentine lui manquait, terriblement. Castelobruxo aussi, et parfois, elle se demandait quelle mouche l’avait piquée, avant de poser les yeux sur Stef’, Tina ou Quino et de se rappeler qu’elle avait bien fait. Surtout depuis que Thiago l’avait rejointe. Cependant, elle était attachée ses racines, attachées à son pays, à son école. Et elle se demandait si il serait possible pour elle d’avoir un lien avec un animal un peu plus exotique qu’un fléreur. Son propre patronus prenait la forme d’un kodkod, un félin des plus normaux d’Argentine et du Chili, et sa baguette renfermait une plume d’occamy, un animal magique pour le coup, qu’elle affectionnait particulièrement. Perdue dans ses pensées, la silhouette familière de sa cousine passa dans son champ de vision : « Tina ! Tina viens ! » Elle leva le bras bien droit, avant de faire signe à sa cousine d’approcher puis tapota la place à ses côtés. « Je me posais des questions sur le cours de Salem. T’en penses quoi toi ? Je suis trop jalouse qu’on ai pas ça à Castel, alors que, pourtant, on est les pros des créatures magiques ! »

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Valentina & Lucrecia

La morosité de Valentina n’était pas passée inaperçue aux yeux de Lucrecia mais elle n’avait pas vraiment osé en parler avec l’intéressée, n’ayant pas envie de remuer le couteau dans la plaie. Elle savait que James n’était pas l’amoureux idéal pour Tina, elle avait été mise au courant de son comportement, mais elle ne pouvait s’empêcher d’être triste pour sa cousine, car plus qu’une simple cousine, elle la voyait comme une seconde petite sœur. Après tout, elle avait le même âge que Lucía, c’était logique. Elle se disait que si Tina avait vraiment envie de lui en parler et de se confier, elle viendrait la voir, qu’il était préférable,dans ce genre de situation, de laisser du temps au temps. Elle-même avait eu beaucoup de mal l’hiver dernier lorsque Thiago l’avait repoussée. Puis tout s’était accéléré lorsqu’il était arrivé à Poudlard et que leurs sentiments -et leurs hormones- s’étaient emballés. Et finalement, ils sortaient maintenant ensemble, donc tout n’était pas perdu pour Tina. Peut-être que James avait juste besoin de grandir encore un peu pour être avec Tina. En attendant, sa cousine allait devoir s’accrocher, mais Lucrecia ne se faisait pas de souci pour elle, elle était aimée et entourée.

Alors que sa cousine la rejoignait, elle passa un bras autour de ses épaules pour la serrer contre elle, lui déposant un baiser sur la joue. Elle avait commencé avec les nouveaux cours à venir, parce qu’ils n’allaient pas tarder à commencer, et surtout pour lui faire penser à autre chose que ce petit ingrat de James Potter. « Oh, je n’avais pas pensé à cela… Mais je suppose que oui ? Ce doit être une présentation voulue, sinon, la coopération ne risque pas de bien se passer… Peut-être qu’ils ressentent le potentiel, l’aura, le caractère et qu’ils font leur choix ? » Après tout, elle voyait par exemple très mal Joaquín avec un animal très calme… Car autant elle pourrait espérer que le calme de l’animal déteigne sur son cousin, elle avait plutôt l’impression que le pauvre petit prendrait peur de toute l’énergie dont le Poufsouffle pouvait faire preuve, à toute heure de la journée.

Si elle était elle-même assez compliquée niveau nourriture - même si elle mangeait de tout, bien qu’elle triait beaucoup ce qu’elle mettait dans son assiette - elle savait que les tendances végétariennes à véganes de sa cousine n’étaient pas forcément en adéquation avec ses origines - elle voyait encore la tête de son père la première fois qu’elle avait annoncé ne plus vouloir de viande ou de poisson lors de l’asado traditionnel - et si maintenant, toute la famille faisait attention à ce que la petite dernière puisse avoir de quoi manger malgré tout, elle comprenait que ses croyances déteignaient forcément son comportement envers les animaux. « Ah oui ? Je voyais plus des duels à Durmstrang moi, parce que je suis plus ou moins certaine qu’ils ne vont pas se résoudre à nous apprendre la magie noire… » Parce que toutes les écoles, si ce n’est l’école Bulgare avaient clairement pris position contre cette matière et qu’elle préférait aussi ne pas la voir, même si les cours des autres écoles restaient optionnels… « Tu as déjà réfléchis à quel animal pour être ton partenaire ? Je te verrais bien avec une licorne, ou un bel abraxan… Mais plus une licorne quand même. » Après tout, Tina était une grande romantique, elle adorait les livres et elle était mignonne, il fallait donc un animal qui collait à sa cousine. Elle la voyait très mal faire amie-amie avec une acromentula par exemple !

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Lucrecia avait toujours été très tactile. Mieux valait, après tout, elle pratiquait la danse, et plus particulièrement le tango argentin, depuis son plus jeune âge. Et on ne pouvait pas danser le tango en étant à des kilomètres de son partenaire ou en répugnant le contact physique. Certains que la danse aidait, mais qu’elle le devait surtout à ses origines. Elle ne savait pas trop qui avait raison et s’en fichait un peu, tant que son entourage la laissait faire. Thiago le premier, avait été celui qui avait le plus subit les besoins de la jeune fille de le serrer dans ses bras, après une compétition gagnée. Ses cousins eux, étaient un peu faits du même bois de baguette qu’elle, donc ce côté là, elle pouvait s’avouer chanceuse, son entourage proche n’y voyait aucun inconvénient.

Si Lucrecia s’était inscrite aux différents cours qu’avaient pu proposer les autres écoles, c’était essentiellement parce qu’elle voulait en apprendre toujours davantage, pourtant, le Chouxpeau avait hésité avec Gryffondor et non pas Serdaigle avant de finalement se décider pour Serpentard. Mais elle était à Poudlard pour en apprendre toujours plus, et quoi que mieux que des cours spécialement organisés pour les sorciers britanniques pour ajouter des cordes à son arc ?! Son futur était toujours incertain, elle oscillait entre plusieurs idées, bien que la danse surpassait facilement toutes les autres. C’était normal, après tout, sa vie n’avait toujours qu’autour de cela pendant de nombreuses années ! Alors que Tina s’inquiétait pour l’attribution de l’animal avec qui serait passé le contrat, Lu’ elle se demandait plutôt quelle créature allait bien pouvoir être la sienne. « Hum, je ne sais pas trop. Ça réduirait sans doute les possibilités non ? Après, je doute qu’un dragon surgisse de nulle part, en effet… Mais dans ce cas, c’est assez… réducteur non ? Je veux dire, c’est bien d’avoir un contrat avec un animal, mais si cet animal ne te convient pas, juste parce que celui qui te conviendrait parfaitement n’est pas là où tu es toi ? » Elle imaginait mal un élève d’une autre école, d’un autre continent radicalement différent de  celui-ci genre Moussa s’accommoder d’une créature européenne juste par faute de mieux. Enfin, ils verraient bien pendant le cours. « Je vois très mal Quino avec un veaudelune, ne t’en fais pas. Par contre un crabe de feu éventuellement… » C’est sûr qu’ils feraient des étincelles !

« Ah oui, peut-être, tu as de la ressource ! » répondit-elle a sa cousine lorsqu’elle lui proposa l’occlumencie comme cours spécial de Durmstrang. C’était déjà moins problématique que la magie noire. « Je pense oui, après tout, c’est l’un de nos domaines de prédilection. Le professeur Londubat n’est pas mauvais, mais la matière est tellement plus poussée à Castel… » Cela valait aussi pour le soin aux créatures magiques et c’était pour cela que Lucrecia gardait l’idée d’être peut-être magizoologiste dans un coin de sa tête. Sait-on jamais ce qu’il puisse arriver à la danse. genre, un Thiago blessé « Oh? C’est vrai ? Mais tu ne me l’as pas raconté !! C’était comment ? Et oui, c’est très rare, mais ça ne m’étonne pas, tu es un amour ! » Et elle était sincère, à ses yeux, Tina était la personne la plus adorable au monde, même devant Lucía, et pourtant, il s’agissait de sa propre sœur ! « J’aurais aimé un occamy oui, après tout, c’est la plume que renferme ma baguette. Mon patronus est un kodkod, rien de bien magique… » Elle réfléchit un instant, avant de reprendre « Peut-être plus Thiago pour le fléreur, tu connais son amour pour les chats… ou alors Kate ? Moi… je ne sais vraiment pas… Un botruc peut-être ? Après tout, il mélange plante et créature… » Et il était moins dangereux que d’autres créatures du même type auxquelles Lucrecia pouvait penser. « Je me demande à quoi cela nous servira… Je veux dire, on ne va pas l’envoyer combattre à notre place, si ? » Car dans ce cas, un botruc était une très mauvaise option !

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Lucrecia esquissa un sourire aux paroles de sa cousine et la serra une nouvelle fois dans ses bras, lui collant un baiser sur la joue. « Tu n’es pas ma cousine pour rien, tu es trop adorable ! » Car beaucoup de gens ne se souciaient en effet pas du bien être des animaux. Mais pour Lucrecia c’était primordial. Elle avait d’ailleurs longtemps hésité à prendre un chat à Thiago pour son anniversaire, connaissant l’amour que son meilleur ami - et désormais petit ami - avait pour ces félins. Cependant, avoir un chat voulait dire de nouvelles responsabilités et elle ne savait pas si le jeune homme était prêt pour cela. Pas qu’il soit négligent, loin de là même, on parlait de Thiago après tout, mais il fallait avouer qu’il avait plus de responsabilités depuis la rentrée de septembre avec son poste de préfet. Surtout qu’ils avaient, en plus de leurs petits tête-à-tête torrides, décidés de reprendre l’entraînement avec plus de sérieux. Alors forcément, tout cela était très prenant. « Ça serait bien, un Botruc, c’est quand même beaucoup plus calme… Mais qui sait ce que Quino serait capable de faire s’il avait un Crabe de Feu… » Mais quand même, elle trouvait que cette créature irait bien à son cousin, ils étaient t tous les deux particulièrement… explosifs !

Lorsque que Tina lui raconta son expérience avec la licorne à l'orée de la Forêt Interdite, Lucrecia la fixa, les yeux plein d’amour et d’émerveillement.  « Ohhhh, mais c’est génial ça ! Hagrid a raison, c’est très très rare qu’elles se laissent approcher, et encore plus qu’elles se laissent caresser ! Mais ça ne m’étonne pas, tu as un coeur pur. » Oui, il n’y avait que Tina qui pouvait vivre une chose pareille ! Lucrecia devait s’avouer un peu jalouse, mais en même temps, elle était si contente pour sa cousine - surtout après ce qu’il s’était passé au bal - qu’elle ne s’en soucia même pas. « On verra bien, je serais peut-être surprise lors du cours ! Et Stef’, tu la vois avec quoi ? Je dirais bien… Un croup peut-être ? Ou alors un niffleur ?  » Mais en même temps, Stef’ était tellement versatile que Lucrecia trouvait qu’elle pouvait s’entendre avec énormément de créatures différentes, du moment qu’elles étaient bienfaisantes. « Oh, et pourquoi pas un vivet doré, vu qu’elle joue au Quidditch ? » Lucrecia elle, n’était pas une grande fan de ce jeu, mais comme sa cousine, son cousin et son petit ami jouaient tous les trois, elle était bien obligée de se rendre sur le terrain pour les encourager.

« Non, je n’espère pas… Mais si nous sommes capable de ça, de nous lier avec un animal, imagine ce que des personnes mal intentionnées pourraient faire ? » L’idée la fit frissonner, surtout après ce que Stef’ lui avait raconté suite à la petite entrevue dans la Forêt Interdite, où l’organisation avait carrément pris du sang à Viska. « Dis… Est-ce que ça va ? » Elle avait un peu attendu avant de poser cette question épineuse, mais elle ne pouvait plus éviter le sujet. Elle avait besoin de s’assurer que sa cousine allait bien, car si elle semblait paraître en forme, elle savait qu’elle pouvait cacher ce qu’elle ressentait pour éviter d’avoir quatre Castillo-Kostas-Piazzolla sur le dos.

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Tina était adorable, c’était un fait, et Lucrecia en voulait énormément à James Potter d’avoir effacé son si joli sourire de son visage. Si elle avait volontiers voulu lui mettre un sortilège bien senti en pleine tête, elle s’était retenue uniquement pour sa cousine chérie. Parce qu’elle savait que même si Tina était triste, elle n’accepterait jamais que sa famille ne maltraite le jeune homme. Oh, il n’était sans aucun doute pas à l’abris des farces de Quino, qui le prendrait sans doute un peu plus pour cible qu’à l’accoutumée, mais pouvait-on vraiment lui en vouloir ? Non, il s’agissait de sa petite sœur, aux yeux de l’Argentine, cela était tout à fait normal.

En parlant de son cousin justement, la vision d’horreur de ce qu’il serait capable de faire avec un crabe de feu comme animal « de compagnie » gagna les deux Serpentards et elles tombèrent d’accord assez rapidement. Tout sauf cela, si le château voulait rester debout. Quand à elle et la probabilité pour qu’elle approche une licorne, chose dont Tina était persuadée, lui arracha un sourire. « Tina, tu me vois bien plus gentille que je ne le suis. Je serais capable de hurler sur la première fille qui regarde un peu trop Thiago, je doute que cela corresponde à un coeur pur. » Cela étant, elle savait qu’elle était un peu dans l’abus. Mais c’était comme ça, elle n’y pouvait rien, et dans sa famille, Stef’ n’était pas en reste non plus. La haine qu’elle voyait à cette pauvre Ethel-Ethel-Ethel était équivalente à celle que Lu’ avait pour Maria - qui avait vu la photo qu’elle avait posté de Thiago et elle sur MI, car cette idiote avait aimé la photo avant de retirer rapidement son like - ou pour Cleo Davies.

« Et tout le monde sait que Détective Kostas est toujours à l’affût ! » Elle pouffa, le surnom de sa cousine la faisant toujours mourir de rire, tant il était à propos. Quand Stef’ était déterminée, elle avait tout d’un détective. Elle vit le regard de sa cousine se rembrunir au même mot où elle allait parler de James, Lucrecia prenant sa main automatiquement et la pressa doucement dans la sienne. « C’est vrai. Je pense qu’il faut de toute façon éviter de trop spéculer, on en saura plus le jour venu, pour le moment, c’est surtout notre imagination qui parle ! » Et elle débordait même, car en peu de temps, elles avaient quand même couvert beaucoup d’options, aussi bien pour le contrat magique en lui-même que pour les animaux.

Se décidant finalement à entrer dans le vif du sujet et ce qui la préoccupait le plus, Lucrecia garda la main de sa cousine dans la sienne, là couvant du regard. Elle était contente de l’entendre dire cela, et en même temps, elle avait elle-même le cœur en miette. « Oh Tina. » Elle passa une main dans les cheveux bruns de sa cousine, déposant un petit baiser sur le haut de son front, avant de reprendre : « Je suis persuadée que tu trouveras l’âme sœur. Mais tu sais que, si tu as besoin, je suis là, n’est-ce pas ? Thiago aussi, tu sais qu’il t’aime comme une sœur. » Et comme sa grande sœur lui courait sur le haricot, il ne pouvait qu’aimer encore plus Valentina ces derniers temps !

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