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| L'Atelier d'Histoire de la Magie. | |
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Auteur | Message |
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Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Dim 22 Juil - 20:29 | |
| Nom : Fledge Prénom : Alyss Année : Première année Maison : Serdaigle Motivations : Ecrire un livre sur un thème précis est très interessant. Cela va permettre ainsi d'acquérir de l'expérience pour ce qui est de mêttre en forme un texte, de le rédiger correctement. Mais la conception d'un ouvrage ne peut qu'apprendre de nouvelles choses. Ce sera un travail en commun et l'aboutissement d'une année. |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Lun 23 Juil - 14:21 | |
| Sont donc inscrits Clara Toppinen, Juliette Horuni, Angel Grisham, Daphne Colls, Elyzabeth Davinson, Opal McLane, Wendy Scotts, et Alyss Flegde Les inscriptions sont maintenant closes, pour toute demande vraiment interessée et de dernière minutes veuillez m'envoyer un MP. Nous allons donc commencer par un petit travail assez simple. Au cours de l'année, chacun aura une tâche personnelle et tentera de la mener à bien, mais pour la première fois nous fonctionnerons autrement : Je vais former quatre groupes, qui travaillerons sur le même sujet, mais qui n'auront pas à travailler ensemble. Chacun travaillera sur la personnalité en question, m'enverra son travail, et je n'aurai plus qu'à collecter et mettre moi-même le travail en commun, qui sera ainsi signé de tous les élèves du groupe. J'espère que vous avez compris, sans quoi vous n'avez qu'à poser vos questions à la suite de ce message. Parlons méthode à présent. Quand je lancerai un sujet, voici sous quelle forme je le ferai (j'utilise des exemples qui ne seront pas forcément vrais) : _________Sujet = Les plus grands joueurs de quidditch. Style de rédaction = Interview. [Dans cette rubrique, vous pourrez voir apparaître des mots tels qu'interview, biographies, collecte de témoignages, etc...]. Détail = [Ici je peux par exemple dans ce cas mettre le nom de tous les joueurs qui nous intéressent pour ce travail]. Délai = A envoyer par MP à Cuthbert Binns pour le 24 Avril. _________Ainsi, cette fois ce sera... - Citation :
- Sujet = Les fondateurs de Poudlard.
Style de la rédaction = Biographies / Récit d'aventures [Vous pouvez inclure un léger interview ou témoignage, mais restez axés sur la biographie]. Détail =
- Clara Toppinen et Juliette Horuni m'écriront deux papiers sur Godric Gryffondor.
- Angel Grisham et Daphne Colls m'écriront deux papiers sur Helga Poufsouffle.
- Elyzabeth Davinson et Opal McLane m'écriront deux papiers sur Rowena Serdaigle.
- Wendy Scotts et Alyss Flegde m'écriront deux papiers sur Salazar Serpentard.
- Vous prendrez des sources obligatoires sur ce site http://encyclopedie-hp.org
- Vous inventerez tout le reste !
- Vous devez rester neutres dans vos biographies, en aucun cas embellir ni démolir un des quatre fondateurs !
- Rappel = Vous travaillez chacun de votre coté, les membres de chaque groupe ne travaillent pas ensemble.
Délai = A rendre pour le 31 Août par MP à Cuthbert Binns.
Bonne chance [Vos points seront distribués à cette date ou peu après]. [+ Flora Darkflower = Helga Poufsouffe] [+ Andgy Kortigas = Rowena Serdaigle].
Dernière édition par le Jeu 26 Juil - 15:58, édité 1 fois |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Mar 24 Juil - 12:21 | |
| J'ai quelques questions. Tout d'abord y'a-t-il une longueur minimum ou maximum ? Est-ce qu'on peut vraiment inventer tous les passages de sa vie, du moment que cela va avec sa personnalité ? On peut donc parler de sa famille, sa naissance, ses projets ? C'est un peu comme le mémoire d'Albus Dumbledore dans le tome 7 ? |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Mar 24 Juil - 18:49 | |
| Je n'impose pas de longueur minimum, mais cela va de soi, j'espère tout de même un travail de qualité quantitive conséquent, les 500 mots sont un grand minimum. Si vous intégrez dans la biographie un témoignage ou un interview de quelque personne que ce soit vous pouvez agrandir le nombre de lignes facilement. Vous avez du temps pour le faire, alors s'il vous plait faites le bien. Au sujet de l'invention des récits, elle est autorisée et même conseillée ! Bien sûr, et je parle en général pour les travaux que vous aurez à faire, vous devez vous imposer des repères, ceux des livres et du site encyclopedie-hp dont le lien est ci-dessus, mais après vous pouvez tout inventer, j'en serais ravi
Dernière édition par le Mar 24 Juil - 19:01, édité 1 fois |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Mar 24 Juil - 18:55 | |
| Quand vous parlez de l'interview ou du témoignage " de quelques personnes " cela peut être des Serpentards, le directeur, des journalistes éventuellement qui en auraient parler, ça aussi on doit l'inventer ou on peut vraiment essayer d'interviewer quelqu'un du forum qui pourra lui aussi inventer un peu de l'histoire de Salazar Serpentard. Parce que le témoignage de Salazar personellement, ça va être dur ^^ |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Mar 24 Juil - 19:01 | |
| ^_^ En effet ce serait délicat ! Quand je parle d'interview ou de témoignage, vous avez deux solutions :
- Interviewer une vraie personne du forum par MP ou de la façon que vous préférez, et ainsi recueillir un véritable travail de journaliste. Personnellement, je préfère cette solution.
- Faire semblant d'interviewer quelqu'un de Poudlard ou d'ailleurs, mais une fausse personne, qui n'est pas réelement sur le forum. Je ne pense pas que le directeur apprécie que l'on divulgue des propos qu'il n'a pas "réelement" énoncés.
Vous avez le choix d'interviewer qui vous voulez, un élève, un professeur, un préfet... etc comme vous le désirez ;) PS : Par contre, si vous voulez inventer une citation de Salazar Serpentard qui aurait été dite de son vivant de lui-même, vous pouvez ^^ |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Mar 24 Juil - 19:43 | |
| En fait d'interview, Alyss et moi avons eut la même idée, à savoir interviewer des "anciens élèves".
Or pour cela, nous voulions savoir 2 choses :
- Peut-on mener cette interview à 2, tout en écrivant chacune notre devoir de notre coté?
- Peut-on obtenir une autorisation spéciale à savoir : *Soit : faire venir à l'école une personne extérieure à l'école (un ancien élève) *Soit : aller à pré-au-lard (accompagné si cela est nécessaire) pour faire cette interview par exemple dans la taverne (ou ailleurs). Il reste toujours le moyen des correspondances, bien entendu, mais bon, cela ne coute rien de demander si cela reste possible autrement.
merci pour les réponses ^^ |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Mar 24 Juil - 20:01 | |
| J'aime autant la correspondance, car je ne prends ainsi aucun risque avec la hiérarchie... maintenant je vous invite à poser la question à un administrateur, au moins elle aura une réponse certaine. Au sujet de l'interview à 2, je répondrai une seule chose : peu importe la façon de travailler, ce qui m'importe c'est le résultat. Bien sûr, j'aimerai autant que vos travaux ne se ressemblent pas... |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Lun 3 Sep - 13:16 | |
| MISE EN COMMUN Peu de travaux ont été rendu, c'est vraiment dommage, seuls 3 en réalité, même pas assez pour faire tous les fondateurs. Puisque je ne lance pas tout de suite le nouveau sujet, je vous donne un délai supplémentaire pour me le rendre si vous le désirez. Ce n'est pas obligatoire, mais cela peut être intéressant et rapporter une belle somme de points. SALAZAR SERPENTARD.Un exposé brillantissime, une présentation toujours très agréable, bref, c'est très réussi. Lien = http://download.yousendit.com/CED6A86901B2990AD'APRES WENDY SCOTTS.
HELGA POUFSOUFFLE.Un exposé tout aussi brillant, très très réussi. - Citation :
- Mon sujet étant de traiter de Helga Poufsouffle, j’ai dû beaucoup fouiller afin de recueillir de plus amples informations sur cette co-fondatrice de Poudlard. À part qu’elle était d’origine écossaise et qu’à un moment donné elle avait croisé Godric Gryffondor, Rowena Serdaigle et Salazar Serpentard, j’ignorais à peu près tout sur cette noble dame car, comme pour les autres fondateurs, les écrits relatant sa vie n’ont débuté qu’après son décès.
J’ai consulté de nombreux ouvrages de la bibliothèque qui, malheureusement cette fois, se révéla assez pauvre sur le sujet. Je n’avais plus que deux solutions si je désirais rentrer un devoir correct : le voyage temporel ou le contact avec les esprits. J’avoue que, bien qu’étant à Gryffondor réputé pour son courage, moi j’en manque parfois. Alors… un voyage dans le temps… Je me suis donc adressée – en douce – à notre devineresse Mrs Trelawney. Je n’avais pas grand espoir vu la manière dont sa pratique était souvent critiquée mais je n’avais plus d’alternative. Cela se passa un soir de pleine lune. Sibylle avait accepté ma démarche et m’invita à une séance très privée. Dans ce décor connu des élèves de troisième année, je me suis sentie très perdue. Quel chichi, que d’odeurs et atmosphère étouffantes ! Tous ces coussins et fanfreluches me donnèrent la nausée mais je persévérai en m’asseyant sur un pouf de tulle rose alors que Mrs Trelawney agitait ses colifichets sous mon nez :
Vous allez avoir besoin de votre troisième œil !
** Ah bon ? Il y en a un troisième ?**
Docile, j’ai écouté ses recommandations. Je lui devais bien ça puisqu’elle allait, juste pour moi, tenter d’invoquer l’esprit de Helga Pouffsouffle !
Elle en fit des salamalecs ! Elle brûla plusieurs sortes d’encens, recouvrit les lampes de voiles arachnéens avant de se poser face à moi. Yeux clos, bras écartés paumes vers le haut, elle marmonna quantité de paroles inaudibles. À mon grand effarement, la pièce, d’un coup, sembla s’obscurcir. Les flammes des chandelles vacillèrent et la devineresse changea de voix :
Bonsoir ! dit-elle, transformée. Tu m’as invoquée, pose-moi tes questions.
Prise au dépourvu, je paniquai puis débitai à toute allure :
Vous êtes bien Helga Poufsouffle ?
Naturellement ! Que désires-tu ?
Je… Je voudrais tout connaître de vous. Quand êtes-vous née ? Quels étaient vos pouvoirs ? Pourquoi avez-vous fondé Poudlard ?
Je croisai les doigts en attendant une réponse qui ne tarda pas.
D’une voix douce, un peu rêveuse, elle enchaîna :
Je suis née en 940 en Ecosse à Great Glenn près du célèbre Loch Ness. Mes parents, passionnés au plus haut point par la nature, et particulièrement la flore m’ont transmis leurs goûts et leur savoir sur cette matière tout au long de mon enfance. Les Poufsouffle dirigeaient à l’époque une serre gigantesque - la plus grande de tout le Royaume-Uni - qui fournissaient des plantes à la quasi-totalité de l’État et ce, pour toutes sortes d’utilisations : décoration florale, ingrédient pour potions. À l’âge de 9 ans, alors qu’une horde de loups sauvages s’approchait de sa cité, la peur provoquée par cette vision me fit créer à l’intérieur du lac l’illusion d’une créature gigantesque qui effraya les canidés. Cette illusion continue d’ailleurs de « protéger » la cité actuellement. Je ne sais pourquoi on l’a baptisée Nessie. Cette anecdote a été retranscrite par des poètes, troubadours et journalistes jusqu’à tes jours, enfant. Que désires-tu d’autre ?
J’étais très impressionnée mais je poursuivis l’entretien :
On… On dit que vous saviez faire pousser rapidement des plantes ? Est-ce vrai ou est-ce une rumeur ?
Trelawney maintenant devenue une Helga corpulente aux cheveux rouges, me sourit :
D’autres évènements vinrent perturber ma jeunesse. À 14 ans, fière d’une expérience récemment réalisée avec mon père sur des graines de chênes, je décidai d’appliquer les effets de la toute nouvelle formule sur un parc situé dans la cité… L’exécution du sortilège par mon père n’avait provoqué que l’apparition d’une petite pousse de chêne. Cependant, à peine ai-je prononcé « ilianum » (la- dite formule) en direction d’une des partie vierge du parc, qu’une armée de chênes adultes, droits et robustes s’élevèrent si haut en direction du ciel que personne n’aurait pu réfuter le fait qu’ils ne l’atteignaient pas !
En grandissant j’ai beaucoup affectionné ce sortilège. Je l’utilisai à de nombreuses reprises et sur d’autres types de végétaux. Poudlard a d’ailleurs « subi » les conséquences de cette affection…vous aurez certainement remarqué la hauteur plus qu’incroyable des arbres de la forêt interdite ? Mais nous ne attarderons pas là-dessus car il s’agit d’ores et déjà d’une autre partie de l’histoire de Poudlard.
J’osais à peine formuler mes questions tant j’étais abasourdie par la situation. Je me concentrai :
Quand vous est venue cette passion de l’enseignement ?
C’est auprès de mes parents que j’ai appris à développer ses pouvoirs. Ces derniers étaient en outre les précepteurs des autres enfants de la cité vu que le pays ne comptait aucune école proprement dite à ce moment. De ce fait, dès que j’eus 18 ans, mes parents me jugèrent assez mûre et responsable pour les aider à livrer leurs produits ; ce que je fis durant les 50 ans qui suivirent. Je fus à mon tour botaniste et pédagogue des enfants de la cité.
Oui, mais… Et les autres fondateurs ? Quand et pourquoi les avez-vous rencontrés ?
Au cours de mes nombreux voyages à travers le pays, je rencontrai de nombreux autres instructeurs et types d’enseignements auxquels je me confrontai ou m’associai très souvent. Le plus marquant à mes yeux fut sans doute celui du village de Longley au Pays de Galles en été 975 ; j’y assistai à un cours magistral de très haute qualité donné par une préceptrice dont j’avais souvent entendu parler et dont la leçon rassemblait des préceptes fondés à la fois sur les sciences, arts et nature. Son nom était Rowena Serdaigle. Je lui fis immédiatement part de mon enthousiasme.
A partir de ce moment, une amitié très forte, fondée tout d’abord sur l’érudition naquit entre nous. Puis par la suite, Rowena Serdaigle fut fréquemment invitée à Great Glenn pour des visites de courtoisies ou pour y donner un cours. En 977, aidée par mon amie, je publiai mon premier manuscrit consacré à l'éducation, « Show them how to… » (littéralement « montrer leur montrer comment… ») dont la haute qualité et l’aspect novateur me firent remporter un succès ahurissant. Je fus rapidement reconnue au sein de la communauté sorcière anglaise pour mes connaissances et capacités. Dès lors en 979, nos célébrités nous amenèrent à rencontrer un sorcier anglais qui était plus connu pour ses nombreuses batailles contre des mages noirs que pour l’enseignement promulgué : Godric Gryffondor.
J’étais soufflée par toutes ces révélations mais désirais en apprendre plus encore. J’osai demander :
Les oppositions entre religions vous ont-elles dérangées ?
Jusqu’à cette époque les sorciers ne cherchaient pas beaucoup à cacher leurs pouvoirs. En effet les moldus, généralement très croyants, étaient facilement convaincus que les agissements magiques dont ils étaient témoins constituaient une intervention de leur dieu.
Cependant, dès 980 des persécutions envers des sorciers ou des moldus accusés d’actes de sorcellerie commencèrent à être recensés. Au fil du temps et elles se firent plus nombreuses, violentes et surtout encouragées par les représentants de leur religion qui condamnaient ouvertement la Magie. Malheureusement, cette situation nuisit profondément à l’enseignement : il fut quasiment impossible de faire pratiquer la magie aux enfants en toute sécurité.
Ainsi, après de longues rencontres et discussions entre les futurs fondateurs, un projet naquit : la création d’une école commune pour les enfants dans toute l’île (pas encore Royaume- Uni…).
Dans le but de concrétiser notre projet, nous fîmes appel à un dernier mage - anglais lui aussi - précédé par sa réputation d’homme riche et extrêmement puissant et qui proscrivait activement les exactions commises par les Moldus : Salazar Serpentard.
En 982, les plans généraux et l’organisation étaient terminés. Deux ans plus tard, les matériaux et les sorciers nécessaires réunis, la construction débuta.
En outre, J’ai eu l’honneur de convaincre de nombreux sorciers à participer à la construction de l’école (architecte, bâtisseurs ou simples assembleurs de matériaux…) afin de l’accélérer le projet. Tous ont été convaincus de la nécessité de cette école pour leur progéniture.
En 990, la première école de sorcellerie pour tous les enfants d’Ecosse, d’Angleterre et du Pays de Galles naquit : Poudlard !
J’étais sciée par ces révélations et osai à peine une autre question :
Que s’est-il produit ensuite ? On parle d’une divergence d’opinion entre Salazar et…
C’est exact ! Je m’occupais principalement des cours de botaniques fondant la maison de mon nom : Poufsouffle. Elle était destinée aux élèves patients et travailleurs ; son blason est un blaireau sur un écu jaune et noir. Godric a eu l’idée du Choixpeau magique pour la répartition des étudiants mais Salazar n’était pas d’accord. Il refusait d’admettre les enfants d’origine moldue ce qui créa un fossé entre nous. Les Serpentard sont, depuis, restés à l’écart des autres vu leurs prétentions à la pureté du sang.
Je sentis que le temps qui nous étais imparti pour converser s’achevait. Déjà, la voix douce de Helga Poufsouffle devenait un murmure édulcoré. Je tentais une ultime supplique :
N’éprouvez-vous aucun regret ou remords d’avoir créé cette école ?
Non ! sourit Helga via Trelawney. Jamais je ne regretterai d’avoir permis à des enfants d’origines diverses d’être éduqués convenablement dans la pratique de la Magie. Tu es Gryffondor. Ainsi en a décidé le Choixpeau. Montre-toi digne et fière de ta maison tout en respectant les autres élèves. Je n’ai qu’une dernière phrase à ajouter… ( sa voix se fit de plus en plus inaudible) Sache que… en tout temps et en tout lieu… seule l’union… fait… la force !
Pfft… Terminée la séance. Sibylle Trelawney reprit une apparence normale en clignant fortement des yeux derrière ses gros verres de lunettes :
C’était bien ? dit-elle, hésitante.
J’avouai que oui et la remerciai chaleureusement pour cette expérience extraordinaire. Je me suis ensuite ruée dans ma salle commune afin d’y retranscrire cette interview peu banale.
D'APRES ANGEL GRISHAM.
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Ξ Sujet: Re: L'Atelier d'Histoire de la Magie. Lun 3 Sep - 13:17 | |
| ROWENA SERDAIGLE.Ce dernier devoir est à la hauteur des deux autres. - Citation :
- La vie et l’œuvre
des personnages célèbres du monde magique nous parvient, à travers le temps, en un compendium assez imprécis, où se mélangent la véritable histoire et la légende. Rowena Serdaigle n’est, en aucun cas, l’exception.
La seule chose sur laquelle les historiens aient réussi à se mettre d’accord est la date approximative de la naissance de Rowena Serdaigle, née Levinson, année 942. Certains donnent à Wye, dans le pays de Galles (région de Fishguard), le privilège d’être la terre natale de Rowena Serdaigle, d’autres par contre prônent qu’elle aurait vu le jour en Écosse, aux berges mêmes du Loch Ness.
Son père aurait été un enchanteur de métaux et sa mère une femme au foyer. Rien ne semblait prédestiner la jeune Rowena à un futur trop intellectuel.
Dès son plus jeune âge la petite Levinson fit preuve d’une vive intelligence et une aptitude pour les sciences qui laissait très en arrière les quelques condisciples qu’elle ait pu avoir et qui sans doute étaient bien plus âgés qu’elle. Sa grande capacité de compréhension, la profondeur de ses réflexions l’éloigna ostensiblement des enfants de son âge et sans doute aussi des plus âgés. L’histoire affirme qu’à l’âge de dix ans la petite Rowena se livrait déjà à des exercices studieux compliqués qui auraient dépassé même les compétences d’un adulte instruit.
En grandissant, la jeune sorcière n’avait cesse de s’améliorer dans tous les domaines. Enigmes obscurs, sortilèges de grande complexité, difficiles potions. La force de ses connaissances et sa magie ne l’aidaient pas seulement à elle, Rowena répandait son savoir comme une source généreuse. Le premier bénéficiaire fut son père qui, grâce aux connaissances de sa fille put étendre son activité de simple enchanteur de métaux et artisan de chaudrons à la confection d’artefacts plus compliqués comme coffres forts de tous types, épées et armures. Le tour vint aussi pour son village qui tira l’énorme bénéfice d’un incroyable système d’irrigation qu’elle mit à point en 959.
Il resta bientôt clair pour Rowena et son entourage que ses capacités ne pouvaient rester confinées à son village. Son précepteur d’ailleurs se rendit, très rapidement, compte qu’il ne pouvait désormais plus rien apprendre à la jeune sorcière dont les pouvoirs et les compétences, dépassaient depuis longtemps les siennes propres. Ceci est resté immortalisé dans les pages d’un journal personnel du maître dépassé par le talent de son élève. M. Learn (le nom précis pour un précepteur !) confia aux pages de son journal ses remarques dès les premiers jours de sa rencontre avec la jeune Rowena et ce jusqu’à la majorité de celle-ci. Ce manuscrit est aujourd’hui déposé au Musée de la Magie, à Londres et constitue un document d’un extrême importance pour notre communauté sorcière et pour les historiens. La dernière inscription date de 959, quand M. Learn se propose de remettre ledit document aux Levinson au temps de leur demander l’autorisation de faire voyager son élève à travers toute l’île pour qu’elle soit confrontée á d’autres types d’enseignement et puisse ainsi étendre ses capacités. Connaissant les événements qui suivirent il n’est guère difficile d’imaginer leur réponse. Cependant, une dernière note, déposée par le père Levinson témoigne du temps pris pour mûrir cette décision et le chagrin qu’elle entraîne. Il fait aussi état d’un cadeau très spécial, confectionné pour sa fille , qu’il introduira, à son insu, dans ses bagages et qui, d’après lui l’aiderait dans sa tâche.
Dès le printemps 960, la jeune sorcière commença à sillonner le futur Royaume Uni. Son « élargissement » débuta par différents types d’études auprès des plus réputés enseignants de l’époque qui lui apprirent l’importance de la nature, de l’art , approfondirent ses connaissances des sciences et inculquèrent aussi d’autres disciplines, qui sans requérir de la Magie, l’aidèrent à se perfectionner ; c’est ainsi que son , déjà large, savoir s’accrût avec des sujets tels que la diplomatie, la logique et encore l’architecture.
Ce périple d’apprentissage dura prés de dix ans. En 969 elle rencontra Roy Serdaigle, briseur de sorts de son office et l’épousa en 972. L’inactivité lui étant inconcevable, elle décida d’ouvrir une bibliothèque et de devenir plus tard l’une des rares préceptrices de l’île. La qualité et variété de son enseignement ne tardèrent pas à se rependre.
Un des plus grands cadeaux qu’on doit à Rowena Serdaigle est sûrement l’introduction de la numérotation arabe dans le monde sorcier européen, utilisée jusqu’à nos jours. Il faut remarquer aussi que Rowena Serdaigle n’a pas restreint son avidité de savoir au monde sorcier mais l’a étendue à celui des Moldus. C’est ainsi qu’elle fit connaissance avec un moldu très porté sur les sciences, un français, Gerbert d’Aurillac. S’ensuivit une riche correspondance, échangeant connaissances ainsi naquit une nouvelle discipline, connue depuis 969 : l’Arithmancie.
En 975 elle rencontra une autre préceptrice : Helga Poufsouffle. Les deux femmes se vouaient, réciproquement, un grand respect qui plus tard se transforma en une profonde amitié.
En 979, Rowena Serdaigle et Helga Poufsouffle rencontrent Godric Gryffondor lors d’une démonstration des avancées dans la Défense contre les Force du Mal.
Face à la montée , plus en plus significative, des actes de violence de Moldus contre les Sorciers. Serdaigle, Poufsouffle et Gryffondor conçurent l’idée de créer une école de sorcellerie pour les enfants de l’île : Poudlard.
À Rowena Serdaigle nous devons une idée fantaisiste : la mobilité des salles et escaliers…(grâce à ça j’arrive en retard à mes cours 2 fois sur 4 !!!)
Rowena mourut en 1039. Son mari, Roy Serdaigle, qui avait été le premier professeur de sortilèges de Poudlard était décédé depuis déjà 4 ans.
Jusqu’ici la version historique, plus ou moins bien documentée, sur la vie de Rowena Serdaigle, co-fondatrice de Poudlard…maintenant je voudrais me pencher brièvement sur l’aspect que nous laisse la légende.
Le cadeau fait par son père lors de son départ du foyer familial ne serait autre qu’un Diadème Magique qui incrémentait son intelligence et augmentait sa sagesse. Bien précieux, que Rowena gardait jalousement. Rowena Serdaigle aurait eu une fille, Helena. Celle ci, jalouse du succès maternel (Note de l’auteur : Elle devait en avoir marre , la pauvre, c’est pas facile à vivre à l’ombre d’une femme si extraordinaire !) ne trouva mieux à faire que voler le diadème maternel et fuir avec dans l’unique but de savourer, à son tour, les joies du triomphe. L’histoire ne dit rien sur ce point. On ne saura jamais si elle réussit ou non à connaître la gloire ! Rowena, au désespoir et voulant revoir sa fille…et son diadème, fit appel à un ancien prétendant de sa fille, Le Baron, pour qu’il la cherche et ramène au bercail. La belle Helena se refusa, sûrement de très mauvaise façon, parce que selon la légende, le Baron sombra dans une attaque de folie furieuse et tua la jeune femme. Ne pouvant supporter la fatalité de ses actes, le Baron opta pour le suicide ( Note de l’auteur :à supposer que s’il rentrait sans fille ni diadème son destin n’aurait été guère plus brillant). Ce qu’il se passa avec le Diadème reste un mystère…enfin, moi je sais ce qu’il se passe mais je ne peux pas le dire parce que je suis sous le sceau du secret anti-spoiler !
Helena Serdaigle se convertit en fantôme, nous la rencontrons de temps en temps dans les couloirs de l’école, nous la connaissons tous comme « La Dame Grise ». J’ai voulu lui poser quelques questions mais en fantôme comme en vie…elle s’est montrée esquive et réticente !
Quant au Baron il est devenu le Baron Rouge, fantôme de Serpentard, ne vouant aucune sympathie aux Gryffondor…alors j’ai renoncé á chercher un entretien avec la « charmante » apparition ! D'APRES OPAL MC LANE.
Après mure réflexion, j'ai décidé de donner vos points maintenant. 50 points pour chacun d'entre vous ! |
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