When you're gone... ~ {PV} | Terminé !! |

Après la fin des cours, Liam se dirigea vers le parc et son immense lac noir. C’était là bas que le jeune aigle aimait réfléchir et se promenait après une journée éprouvante. La cravate aux couleurs de sa maison desserrée, sa chemise légèrement déboutonnée vers le haut, le bonhomme avançait comme un débraillé dans le parc à la recherche de tranquillité. Il n’était même pas coiffé correctement, ses longs cheveux en bataille partant dans tous les sens, désireux d’obéir à leur seule volonté. Juste avant de sortir, le Serdaigle avait déposé ses affaires dans son dortoir mais n’avait pas pensé à soigner son allure pour venir en ces lieux si calme d’ordinaire. Malheureusement pour lui, tout le monde avait du avoir la même idée car plusieurs élèves se trouvaient déjà en ces lieux, ce qui laissa le bonhomme perplexe. Lisaient-ils dans ses pensées ? Peut-être pas mais en tout cas le parc était plein a craqué, ce qui ne laissait plus à Liam une seule solution : le lac noir ! Le bonhomme entreprit alors de se diriger vers celui-ci, l’air absent.

Il repensait à Andgy… Oui, il était un peu mélancolique à vrai dire. Mais c’était de l’histoire ancienne, il fallait oublier et vite ! Le jeune homme devait repartir de l’avant, même si se relever après une telle chute était plutôt difficile. Le QI du gamin, pour son âge, était beaucoup plus élevé que la moyenne alors il pouvait bien s’en servir pour analyser la situation efficacement et trouvait le meilleur moyen de rebondir… Avançant toujours, les mains dans les poches, le jeune homme finit enfin par arriver près du lac et s’arrêta face à celui-ci afin de contempler l’immense étendue d’eau noirâtre qui s’offrait à ses yeux. Ce lac ci avait beau abrité les plus terribles créatures marines, il n’en restait pas moins d’une splendeur sans égal.

Liam resta debout dans cette position pendant un long moment, l’air absent puis finit par se baisser par terre afin de ramasser un galet. Il examina celui-ci avec attention puis le jeta de toute ses forces sur l’eau… Celui-ci fit un, deux bonds puis plongea dans les profondeurs du lac, allant retrouver ses semblables précédemment lancé par d’autres élèves. Il faisait plutôt frais mais le Serdaigle ne semblait pas vraiment préoccupé par le temps. En effet, il venait d’entendre un bruit étrange non loin de lui, tout près du lac aussi. Comme si quelqu’un pleurait, ce qui était sûrement le cas…

Le bonhomme suivit alors la source du bruit qui le mena vers un grand chêne. Là, Juliette Horuni, ravissante fille de Serdaigle pleurait ou plutôt sanglotait en silence. Elle semblait vraiment allait mal et Liam ne comprenait vraiment pas pourquoi. Bien que pas très fort dans l’exercice qu’était la consolation, le petit aigle s’approcha de la demoiselle et prit place à ses côtés sans lui demander son avis. De toute façon elle avait l’air trop bouleversée pour qu’on puisse lui poser des questions aussi futiles telle que celles-ci. Et puis, Juliette l’appréciait et lui aussi donc pourquoi lui aurait-elle refusait cette demande ? Reportant alors son attention sur la demoiselle, il resta un instant silencieux puis finit par lui demander d’un ton doux et apaisant :

« Juliette… ? Il y a quelque chose qui ne vas pas ? Tu veux peut-être en parler… ? »

[558 mots !]
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Comptabilisé

Juliette pleurait de plus belle, les yeux rivés dans le creux de ses deux genoux. Elle avait un tantinet froid, car elle était venue en simple uniforme, sans sa robe de sorcière. De la manière dont elle était placée, ses genoux étaient un peu plus réchauffés et ses bras aussi. La jeune fille sanglotait tristement lorsqu’elle entendit un bruit très étrange. Comme le froissement d’une pierre sur le lac. Juliette releva les yeux doucement, juste assez pour savoir ce qui se passait proche d’elle. Elle vit une ombre floue, très floue. Elle était par contre entourée de traits masculins, pas féminins. Juliette l’avait vu de la manière dont il avait lancé cette pierre dans le lac, celle qu’elle avait entendu… La Serdaigle décida subtilement de baisser le ton de ses pleures, car elle ne voulait pas attirer l’ombre vers elle. Elle ne voulait pas paraître pathétique, bébé ou encore pleurnicharde. Surtout si l’ombré était masculine…

Elle replongea donc son visage blême, triste et étiré dans le creux de ses genoux et pleurnicha de plus belle, mais beaucoup moins fort. Elle repensait à tout ce qu’elle avait vécu… Elle y pensait tellement fort que lorsque les pas du jeune garçon se rapprochèrent, elle ne s’en rendit même pas compte. C’est ce qui la fit sursauter, le moment où Liam pris la parole.

« Juliette… ? Il y a quelque chose qui ne vas pas ? Tu veux peut-être en parler… ? »

Juliette releva la tête. Elle ignorait qui lui parlait. Peut-être l’ombre et la pierre de tout à l’heure. Elle essuya ses larmes qui coulaient encore sur sa joue et regarda l’inconnu, qui apparemment, ne l’était pas tant que ça. C’était Liam Darling, un jeune homme très gentil qui était en même année qu’elle, à Serdaigle. Juliette sortit un sourire sincère.

« Bonjour Liam… »

Juliette défit la boule qu’elle c’était créée. Elle se mit en indien et sourit à Liam pour ensuite lui faire signe d’approcher. Pendant que Liam approchait, Juliette laissa son visage dériver sur le lac. Devait-elle dire à Liam ce qui n’allait pas ? Devait-elle lui raconter son histoire ? Juliette ne savait rien de tout ça, mais elle avait un étrange sentiment à l’intérieur d’elle : Le sentiment que Liam allait garder tous ce que Juliette allait lui dire pour lui. Ce sentiment était très gentil, mais elle ne connaissait pas assez Liam pour savoir si c’était bel et bien vrai. La gamine contempla le lac. Il était si sombre, si beau, si mystérieux. Soudain, un tentacule sortit du lac et y rentra aussitôt. Juliette sourit. C’était le calmar géant, la mystérieuse légende mythique qui pesait sur Poudlard. Soudain, Juliette se rappela que Liam était là. Elle se tourna vers lui, car sa décision était prise…

« Je… Je vais un peu mieux, mais ça ne va pas vraiment, comme tu as dû le remarquer… »

Juliette décrocha un sourire très sincère, puis enchaîna.

« Tu es capable de garder un secret, je le sais… Alors je vais te dire ce qui ne va pas… »

Juliette fit de gros effort pour ne pas repartir à pleurer. Elle devait se montrer forte, car elle savait qu’au plus profond d’elle-même, elle l’était, plus que quiconque dans ce monde.

« Tout part de ma mère… D’origine, j’habite au Canada depuis que je suis née. Ma mère est une sorcière, mais… Juliette sentit une larme couler le long de sa joue… Mais elle a décidé, suite à je ne sais quoi, de renier toute personne sorcière… Tu comprends ? Alors je te laisse imaginer lorsqu’elle a sut que j’étais une sorcière… »

Juliette sentit de plus belle des larme de tristesse couler lentement sur sa joue.

« J’ai un frère, âgé de 17 ans. Il habite au Canada, mais lui, il habite avec mon père à Montréal, tandis que moi je vis à Gatineau, à environ une heure et demi de là. Ma mère, lorsqu’elle a sut que j’étais une sorcière et que j’allais aller à Poudlard, m’en mise à la porte. Oui, tu as bien compris. Elle m’a donné cent dollars et elle m’a dit de déguerpir. Tu te rends compte ? J’avais onze ans et j’étais à la rue… Ce n’est pas ce qu’il y a de plus amusant, crois moi… Heureusement, même si j’étais jeune, j’ai sut quoi faire. J’ai été retrouver mon père et Nathan mon frère, à Montréal. Là-bas, j’ai été accueillie comme au paradis. Mon frère m’a dit qu’il allait tout régler, et moi, comme une imbécile, je l’ai cru… »

Juliette pleura en silence, mais trouva la force intérieure de poursuivre son récit. À mesure qu’elle expliquait tout à Liam, la jeune bleue et bronze se sentait étrangement libre. Elle avait comme un poids en moins sur elle.

« Un an après cet incident, rien n’est réglé… Juliette sentit un lac couler sur ses joues… Maintenant, ma mère n’a plus ma garde. C’est mon père qui l’a. Nous habitons maintenant à Londres, la ville que personnellement, je déteste… Nous avons un domaine immense, mais ce n’est rien comparé au Canada… Même si à Gatineau j’avais une petite maison, au moins là bas j’étais entourée des gens que j’aimais… Ici, je suis avec mon affreuse belle mère et sa fille déplaisante qui vient à Poudlard… »

Juliette regarda Liam. Il l’écoutait, ne disant rien. Juliette lui décrocha un sourire de remerciement. Ça faisait du bien de raconter à quelqu’un tout…

« Ma mère me manque, voilà pourquoi je pleure… Je vis à une extrémité de la terre, et elle à une autre. Je sais très bien que ma mère s’en veut à mort de m’avoir mise à la porte. Ça fait 13 ans que je la connais et je le lis dans ses yeux… Mais seulement, le juge ne veut pas qu’elle se retrouve seule en ma présence. Nous ne pouvons donc jamais parlé seules à seules… C’est difficile, crois moi… »

Juliette ne sentit pas de larme couler sur ses joues. Elle sentit uniquement une étrangement satisfaction. Elle se sentait libre comme l’air. Juliette se retourna vers Liam – car tout le long de son récit, elle avait parlé en regardant le lac, et lui sourit très sincèrement. Elle le remerciait du fond du cœur de l’avoir écouter…

« Merci Liam… »



1O3O mots, on ne compte pas les citations

Liam s’était installé près de Juliette après que celle-ci l’ait salué tristement et lui avait posé une question avant de laisser s’installer le silence entre les deux jeunes gens. La jeune fille semblait atrocement triste ce qui eut pour effet de créer un nœud dans l’estomac du jeune Serdaigle qui se demandait pourquoi ? Pourquoi elle se trouvait dans cet état ? Quelqu’un lui avait-il fait du mal ? Elle devait alors porter plainte à un professeur ou encore à Dumbledore, le directeur de Poudlard. Celui-ci allait sûrement pouvoir arrangé ses problèmes et en même temps punir celui qui avait fait du mal à la jeune Serdaigle. M’enfin, Liam décida de comme même prendre compte de la situation, sachant que peut-être Juliette n’avait qu’un coup de blues…

Assis alors à quelques mètres, il la vit changer de position et fit de même, sauf que lui ne la regardait pas mais observait le lac, lui tendant comme même une oreille attentive. Il faisait plutôt frais mais le jeune homme se sentait bien, la douce brise lui picotant le visage. *C’est beau…* pensa le jeune bonhomme avant que la Serdaigle ne prenne la parole d’un air plutôt étrange. Apparemment, il savait garder un secret… Comment pouvait-elle le savoir ? Elle ne l’avait jamais vraiment côtoyé mais si le jeune aigle inspirait la confiance aussi facilement, soit, il s’arrangerait pour garder le ‘secret’ de la demoiselle à ses côtés.

Regardant alors toujours le lac, il entendit la jeune fille sanglotait légèrement alors que le vent soufflait de plus en plus fort. Elle commença alors à lui compter son récit, et elle débuta en parlant de sa mère et de son pays natal qui était le Canada. Etant pur anglais, il ne sortait que rarement du territoire mais ça lui était déjà arrivé de mettre les pieds dans ce pays, lorsqu’il était jeune. Lui ne s’en souvenait pas trop mais son père évoquait toujours de ‘bons souvenirs’ soi disant passaient là-bas. M’enfin, là n’était pas notre sujet car Juliette venait d’en arriver au fait… Ainsi donc sa mère l’avait renié bien qu’elle était aussi une sorcière. Elle l’avait laissé à la rue avec seulement de l’argent… C’était étrange, il fallait l’avouer mais elle devait sûrement avoir une raison.

Liam tourna alors sa tête vers elle puis écouta la suite du récit où elle parla de son frère, Nathan, selon ses dires et de son père. Apparemment ceux-ci lui avaient promis de tout régler mais selon la jeune Serdaigle, rien ne s’était arrangé, même un an après. La mère de Juliette avait perdu sa garde et celle-ci en était triste. Liam ne comprit pas alors… Qui voudrait d’une mère qui a abandonné son enfant ? Personne, oui, personne ! Mais l’explication vint après… Selon la petit Serdaigle, sa mère s’en voulait à mort. Certes, c’était bien beau cela mais n’empêche, comment pouvait elle en être sûr ? Il resta donc perplexe sur ce point là et écouta avec attention la suite. Elle détestait Londres… C’était légitime après tout, le Canada ce n’était pas du tout pareil, il avait entendu son père le dire… Puis il s’était aussi documenté !

M’enfin, Juliette continua alors ses explications et Liam put enfin cerner la vraie raison de sa tristesse… Le fait que sa mère ne soit pas là et c’était tout à fait compréhensible ! Le silence s’installa entre eux puis la Serdaigle le remercia. Le bonhomme ne suit quoi répondre et décida de murmurer un « Y’a pas de quoi… » Discret avant de retourner dans son silence. Que pouvait il bien dire ? Tout simplement rien…

[600 mots !]

Comptabilisé
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Juliette venait de raconter son histoire, sa vie et ses sentiments à Liam Darling. Ça faisait un choc, il fallait l’avouer. Raconter sa vie est quelque chose de privé, de gênant et surtout demandant en émotion. Juliette avait pris un grand risque en dévoilant une partie de sa vie – bien qu’elle soit courte hein ? – à quelqu’un de son école de magie. Plus le temps avançait en silence, plus la jeune demoiselle avait peur que quelqu’un, caché derrière les buissons, entende leur conversation et s’amuse à le dire à toute l’école. Quelle gourde et idiote ferait-elle si tout le monde la prenait pour une miss Potter féminine ? Elle ne cesserait de se faire rire à la figure, tout le monde la prendrait en pitié et elle n’aurait plus jamais de vie privée ! Waw, quelle perspective intéressante…

Gardant toujours le silence, Juliette pensait. Elle pensait à tout et à rien, se demandant inconditionnellement si elle aurait dû dévoiler un secret si énorme à Liam. D’ailleurs, en parlant du loup, lui-même semblait un peu secoué par cette révélation. Il restait muet, se contentant bien sûr, car cela paraissait, de penser. Juliette aurait tant aimé lui ressembler. Il n’avait pas l’air d’avoir une vie ‘compliquée’, comparée à elle. Il avait plein d’amis et n’avait pas d’autre soucis que ses devoirs à rendre pour le prochain cours. Juliette elle, avait plein de soucis. Sa mère lui manquait, son frère allait arriver à Poudlard, Élizabelle la rendait dingue, elle était tombée amoureuse…

La jeune fille décrocha son regard perdu dans sa tête et l’envoya balader sur le Lac Noir et dans la forêt dense verte. Les arbres, déjà, n’avaient pratiquement plus de feuilles et pendaient tristement proche du lac. Le lac lui, semblait plus profond et plus noir que jamais. Des vagues venant de nulle part dansaient sur la surface auparavant lisse du Lac Noir. Des feuilles, tombées sans doute des arbres, flottaient sur le lac, mortes. Certaines étaient oranges, d’autres jaunes, d’autres rouges et d’autres vertes… Juliette arracha difficilement son regard d’où il était et se tourna lentement vers Liam, un sourire sincère sur le coin des lèvres.

« Tu sais, maintenant que je t’ai parlé, je me sens étrangement mieux… Répondit-elle, souriante. Ça fait du bien de parler, surtout avec une personne comme toi... Je veux dire, répondit-elle précipitamment, étant donné que tu m’as écouté… »

Juliette sourit et pris ses deux mains ensemble. Elle commençait à avoir froid. Quelle heure était-il ? Juliette ne le savait pas, mais elle espérait que la nuit ne commence pas à tomber. Elle se tourna vers Liam et le regarda.

« Toi, comment va tu ? Tu es content de revenir à Poudlard pour une nouvelle année ? » Demanda t-elle entre deux frissons.

Liam était toujours assis par terre, le regard dans le vide. Ses cheveux commençaient à légèrement retomber en face de ses yeux à cause du vent, ce qui lui cachait un peu la vue, tandis que Juliette semblait avoir froid. En parlant de celle-ci, elle venait dé déballer toute sa vie privée à Liam qui en avait été un peu étonné au début. Mais maintenant, le Serdaigle semblait beaucoup moins l’être. Au fond, plusieurs personnes se trouvaient dans des cas comme ceux-ci et lui-même pouvait avoir des problèmes avec sa famille. Certes, pas aussi gros que la jolie Horuni à ses côtés mais peu importait pour le moment, l’important était de l’écouter avant de faire quoi que ce soit.

« Ce fut un plaisir de t’avoir entendu si tu te sens mieux, j’aurais au moins servi pour quelque chose n’est ce pas ? » Il agrémenta sa remarque d’un petit sourire nerveux puis ajouta. « Ta situation n’est pas facile, mais faut que tu fasses avec. »

Le Serdaigle ne regardait pas Juliette. Ses yeux étaient toujours rivés sur le lac qui semblait s’être figé dans le temps. Des feuilles jonchaient la surface aqueuse qui semblait se mouvoir dans l’espace au rythme du vent. Quelques petites vaguelettes ondulaient pour venir se heurté au bord du lac, tout en éclaboussant l’herbe avoisinante. C’était beau à voir, mais le jeune Serdaigle ne devait pas non plus s’éterniser ici aussi. Alors qu’il allait s’excuser pour partir, la voix de la jeune fille retentit aux oreilles de Liam, lui demandant alors si il était content de revenir à Poudlard cette année. Pris de court, le jeune homme répondit alors.

« Hum ? Je vais bien, rien de bien spécial à raconter. Quoique je n’arrive toujours pas à me faire d’amis… » Il se leva alors et épousseta son pantalon avant de répondre à seconde question de la demoiselle. « Je n’ai pas le choix de toute façon. Après tout, c’est ici que l’on apprend pour notre vie future. » Liam marqua alors une pause avant d’ajouter. « Tu sais, si Poudlard était un peu plus jovial avec encore moins de tension entre les maisons, ce serait parfait mais là vois-tu, je ne reviens ici que pour peu de gens. » Le jeune garçon accorda alors un sourire à son ami avant de lui faire un signe de tête. « Tu viens ? On rentre, il commence à faire froid… »

Et sans attendre la réponse de la jeune fille, Liam se mit à marcher en direction du château. Juliette le rejoignit quelques instants plus tard et durant le trajet les deux jeunes gens échangèrent quelques paroles et pronostiquèrent sur le trophée des trois champions. Quelques instants plus tard, les deux jeunes gens arrivèrent alors dans salle commune. Ils se souhaitèrent bonsoir et Liam monta dans son dortoir, laissant sa jeune amie en bas, près d’un fauteuil.

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