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 Ξ Sujet: Correspondance }}{{ Je t'ai longtemps boudé...  Mar 6 Mai - 20:46 | |
| Le six Avril 1996. Cher père, Je sais que je t’ai longtemps boudé, et je m’excuse pour le mal que ça a put te coûter, malgré le fait que tu es voulu rester en contact avec moi même si je passerais sûrement le reste de ma vie loin de toi. Je m’excuse aussi de ne pas avoir répondu à toutes les lettres que tu m’as envoyé au pensionnat, et de ne pas être venu te voir lorsque tu m’as rendu visite à Londres, je devais être trop occupé à la lecture de « La topographie, un atout essentiel » ou un roman, oui, pour une fois, « Le Parfum » un vrai chef-d’œuvre, d’ailleurs, si tu as un peut de temps à la boulangerie, je te le conseil grandement, malgré que tu n’es jamais eus une grande passion pour la lecture… Oui, je me rappel aussi de ça, je n’avais beau avoir que 5ans, je me rappel de tout comme si c’était hier… Le petit jardin où je m’asseyais pour lire mes premiers livres alors que ma sœur s’amusait à un quelconque jeu, et essayer comme toujours de m’arracher à a lecture pour me ‘transformer en garçon normal !’ comme elle aimait le dire. Je me rappel aussi de ma petite chambre à côté des Fournaux, et quand j’avais un petit creux au milieu de la lecture passionnante du « Seigneur des anneaux » ou d’un quelconque autre livre fantaisiste que j’affectionnais tout particulièrement, je venais te voir, alors que tu étais beaucoup trop occupé pour m’écouter, pour te demander un cookies, et je me rappelle encore de leur gout tendre et des petites de chocolat fondantes…
Ici tout vas bien, j’apprends des centaines de choses tout les jours, hier même j’ai appris à faire flotter des plumes dans les airs !! Tu verrais ça père, c’est drôlement amusant, j’ai rarement prit autant de plaisir à un exercice pratique… Ici, tout est merveilleux, amusant et contradictoire à la petite pension Londonienne où je devais me surpasser sans cesse, montrer que j’étais le meilleur car ma pension était la meilleure, pour faire simple, mépriser les gens qui sont moins cultivés que moi, mais moi, je déteste faire ça… A mes yeux, toute personne m’est égale voir au dessus, mais personne n’est en dessous de moi, ou en tout cas pas à cause de mon statut d’étude. Père, je voulais te demander quelque chose… Pourrais-je venir vous voir à la boulangerie en attendant la rentrée des classes ? Cela me ferait extrêmement plaisir de vous revoir tous, toi, maman et Julie… Elle me manque beaucoup elle aussi, comme elle a dû grandir !!! Et moi je suis resté petit, on m’a apprit qu’un mari devait être plus fort et plus grand que sa femme, mais visiblement, je ne ferais jamais un bon mari… Peut-importe. Elle doit être rentrée à la Fac maintenant non ? Une Fac de quoi ? Pitié, ne me dit pas de droit, je hais tout ces politiciens qui n’on comme seul argument d’être charismatique, mais peut importe après tout ! Elle doit faire ce qui lui plait dans la vie. Comment vas maman ? Mieux depuis la Septembre ? La dernière que je l’ai vu, elle avait beau me le cacher, elle n’était pas en très grande forme, j’espère que ce n’était effectivement qu’une petite maladie passagère comme elle me l’avait dit…
Malheureusement, je ne pourrais pas vous montrer tout ce que j’ai appris la prochaine fois que je vous verrais, car il est interdit d’utiliser la magie en dehors de l’établissement. Les règles de cet établissement ont beau être appropriées, elles sont parfois trop strictes, oui, moi le garçon le plus règlementaire d’Irlande, je trouve les règles trop strictes, il faut croire que je change… On n’a le droit de faire que très peut de choses, qui sont d’aller en cours, à la Bibliothèque, dans le Par cet dans sa salle commune, et bien entendu de prendre son repas dans la grande salle. Tu verrais comme cette salle est merveilleuse ! Le plafond est magique, il reflète le temps qu’il fait dehors, c'est-à-dire qu’il est comme un morceau de ciel qu’on aurait arraché pour le mettre dans la salle. Mais ne t’inquiète pas, s’il pleut, la pluie ne tombe pas sur nous, elle s’arrête quelques pieds au-dessus de nos têtes, je dis bien pieds car la salle est immense, on dirait une cathédrale ! Et la nourriture apparaît toute seule sur les plats et les assiettes ! Je dirais bien ‘comme’ par magie, mais il me semble c’en est fort, et pas n’importe laquelle, la nourriture est excellente ! Ah, et on boit du jus de citrouille, et il y a un fantôme pour chaque maison qui vient souvent nous rendre visite pendant les repas. Je suis dans la maison Serdaigle, celle des érudits, tu me diras : « Comme par hasard » et je serais tout à fait d’accord avec toi, notre devise est « Tout homme s’enrichit lorsqu’abonde l’esprit. » et notre fantôme est la Dame Grise, c’est une très gentille dame qui essaye de me faire comprendre toutes les coutumes des sorciers, car je ne sais pas grand-chose, comme j’ai grandi auprès de moldu… De gens sans pouvoirs magiques.
J’ai hâte de te lire lors de ta réponse, je t’aime, Joachim, ton petit malin de fils. |
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