Invité 
 Ξ Sujet: Aelita Stones - Son vrai père  Mar 3 Juin - 13:28 | |
| Ce matin là, Aelita était allée jetée un coup d’œil à la volière pour voir si le hibou de Samuel allait bien et voir aussi si elle n’avait pas reçu de nouvelles lettres. Son étonnement fut énorme quand elle lu la lettre qui lui était adressée.Ma très chère fille,
Je sais que j’aurais dû t’envoyer cette lettre bien plutôt mais, je n’en avais ni le temps ni le courage. Je dois bien te l’avouer, ta mère est venue me voir, il y a peut et m’a demandé de te faire parvenir cette lettre. Ainsi, tu seras connaître tes origines et à même de choisir dans quelle famille tu veux vivre. Seulement, je ne suis pas d’accord avec cela… Mais, je ne vais pas te parler de ça pour le moment. Ma chère fille si tu savais comme j’ai hâte de te rencontrer et de te voir pour la première fois, ta mère m’a beaucoup parlé de toi, elle m’a dit que tu avais mes yeux est-ce vrai ? Je ne le saurais qu’une fois que tu seras ici ma chérie car, je compte bien t’y faire venir par le premier avion. Je sais aussi que tu es une sorcière ce qui ne m’étonne pas vraiment vue que ta mère l’était et que je le suis aussi.
Ma famille ainsi que ta famille désormais sommes d’une longue lignée de sorciers mais, aussi de vampires…J’espère ne pas t’effrayer en disant cela mais, c’est pour te dire que nous vivons un peu plus longtemps que des êtres humains normaux. Toute fois nous mourrons tout de même de vieillesse mais, nos corps mettent un peu moins de temps à vieillir. Nous mangeons et nous buvons normalement c’est juste dans nos gênes désormais, nous ne nous attaquons pas aux êtres humains ordinaires. Je sais que tout cela doit te faire un choc d’apprendre que ton père n’était pas ton père et que tes frères ne sont pas tes frères. Mais, sache que je ferais tout mon possible pour que tu te plaises au Lichtenstein.
Oui, ma fille je vis au Liechtenstein et mon père donc, ton grand-père est le prince de ce pays, je devrais lui succéder quant il mourra. Seulement, il ne sait pas encore que tu existes et je tiens à ce que ça ne s’ébruite pas trop car, ma femme donc, ta belle mère n’est pas au courant et je crains fort qu’elle le prenne bien. Aussi je t’enverrais passer ta scolarité à Beauxbâtons en France mais tu me reviendras chaque été et nous pourrons avoir les relations père fille que je désire tant. Evidement, il me faudra aussi te trouver un époux digne d’intérêt donc de nos rangs et de notre sang. Je suppose que tu m’as comprises ? Ta mère m’a dit que tu étais une jeune fille particulièrement éveillée et brillante. Elle m’a aussi dit que tu plaisais énormément aux jeunes gens. Si c’est le cas, je te serais grés d’abandonner toutes relations qui ne conviendraient pas à notre famille et à notre rang.
Bien ceci étant dit ma fille, je t’attends avec impatience dans notre manoir de vacances pour que nous puissions être réunit pour la première fois.
Ton Père, A. de Liechtenstein. 
*J’ai un père…, qui est un prince…, donc mes frères ne sont que mes demi-frères*, pensa-t-elle en regardant la lettre. *Non, impossible je ne peux pas le croire… Mon père était Augustus Stones et non A…, machin truc muche de Liechtenstein !*, se dit-elle en regardant une fois de plus les armoiries de la famille.
La jeune Serdaigle s’empressa alors de lui répondre :
Chère monsieur,
Je pense que vous faites erreur sur la personne ma mère a quitté mon père alors que je n’avais que 4 ans. Mon père est décédé quand j’avais 12 ans, je ne pense pas que ma mère l’aurait trompé avant cela et mes frères m’ont élevée quand mon père est décédé. Alors, pourquoi - si vous êtes mon vrai père – arrivez-vous si tard dans ma vie ?
Je suis peut-être injuste vis-à-vis de vous mais, j’ai très bien vécu jusqu’ici alors pourquoi ne pas me laisser vivre comme je l’entends ? Poudlard est pour moi la meilleure école qui soit et je n’ai pas envie de me retrouver à Beauxbâtons ! Nous avons eu il y a maintenant un peu plus d’un an la visite de deux autres écoles et Beauxbâtons en faisait partie. Franchement, ça ne me dit rien d’aller là-bas et encore moins de me retrouver à Dumstrang. Si vous êtes mon père, vous serez que le plus important pour moi c’est mon bonheur et non le vôtre !
Bien à vous,
Aelita Stones.
Elle l’envoya sans perdre un seul instant pour que son « père » la reçoive au plus vite, le lendemain matin elle avait déjà la réponse.
Ma chère enfant,
J’ai bien reçu ta lettre et je suis au regret de te dire que je suis bien ton père , j’ai donc tous les droits sur toi jusqu’à ta majorité ! Je sais que tu vas s’en doute me détester au début mais, pour moi, il est primordial que je te rencontre et que nous faisions connaissances. Quand à tes frères, ils ne sont rien pour toi (je parle au niveau du sang) ils ne sont pas de ta famille mon enfant… Je suis de ta famille ! Ta mère n’était pas la première femme de ton père, elle était sa maîtresse bien avant que la première femme d’Augustus Stones ne décède en mettant au monde ton frère Samuel. Ton père c’est remarié tellement vite que c’est sans doute le seul à n’avoir pas remarqué, que sa mère était morte.
Soit ma fille, je ne te laisse pas le choix, un majordome viendra te chercher à la gare de King’s Crosset il t’emmènera vers l’aéroport pour que tu viennes jusqu’ici. Je sais que je vais s’en doute un peu vite mais, j’ai tellement de temps à rattraper avec toi, je ne veux pas manquer cette chance. Tu rencontreras tes demi-frères et ta demi-sœur qui va seulement avoir 10 ans et qui rêve déjà d’aller dans la même école que sa grande sœur. Aelita je sais que cela ne va pas être évident pour toi au début et que de tout quitter va te procurer énormément de chagrin mais, j’ai envie de te connaître plus que tout et que tu restes un peu avec moi. Marie Charlotte Izabella Aelita, je t’en conjure ne m’en veut pas !
Ton Père, A. de Liechtenstein.
Aelita referma la lettre alors qu’une larme coulait le long de sa joue, elle n’avait pas envie de quitter Poudlard. Cette école était tout ce qu’elle avait en dehors de ses frères, les murs, les professeurs, les élèves tout cela allez lui manquer. Plus que tout Miles allait lui manquer, elle allait devoir l’abandonner et ça, ça lui était insupportable. |
| |
