Une année éprouvante venant de se finir, Ronald Weasley, rentrait tranquillement au Terrier après plusieurs heures de trajet à bord du Pouldard Express. Ses parents l’avaient attendu lui et sa sœur sur le quai 9 ¾ de la gare. Ron les avait salué puis avant de prendre le chemin pour revenir à la maison, il avait dit au revoir à ses amis en leur souhaitant de bonnes vacances. Maintenant, il était bien arrivé chez lui, il venait de monter sa valise dans sa chambre. Elle était restée immobile pendant près d’un an, ayant par conséquent pris la poussière…. Il n’avait a chercher longtemps le travail que lui donnerait sa très chère mère le lendemain « Ronald Weasley, il est midi tu te lève maintenant ! Et nettoies moi cette chambre, quel porcherie » voilà ce qu’elle lui dirait. Enfin, tant pis demain était un autre jour, il verrait bien de toute façon.
Ron entreprit de déballer tout de même sa valise, il l’ouvrit donc mais… Il n’eut pas vraiment le courage de tout déballer, chaque année c’était la même chose, il lui fallait plus d’un mois pour déballer sa valise car trop pleine de bon souvenir, il en était nostalgique ! C’était pourtant débile, l’année prochaine il revivrait encore pleins de nouvelles aventures mais tout de même… Ce n’était pas facile. Il se contenta donc se sortir son pyjama puis referma la valise et la glissa sous son lit. Il faisait encore jour dehors, d’ordinaire, à ce moment là Ron serait avec Harry a jouer aux échecs dans la salle commune. Ce soir, il s’ennuyait, ne se sachant pas vraiment quoi faire pour passer le temps en attendant le dîner.
A l’étage juste en dessous de sa chambre, c’était la chambre de Ginny sa seule et unique sœur. Elle aussi était de retour de Poudlard. Elle avait du quitter Harry… Ca ne devait pas être très facile pour elle étant donner qu’elle tenait fortement a lui. Pourquoi ne pas aller discuter un peu avec elle ? Ce n’était pas tous les jours que Ronald prenait l’initiative d’aller parler à sa sœur cadette, surtout pour lui remonter le moral.
Ronald descendit a l’étage inférieur, se dirigea doucement vers la porte de la chambre de Ginny puis toqua doucement attendant un réponse. Pas de réponse. Tant pis. Ronald poussa la porte sans demander l’autorisation…