Lors de la répartition Alehandra avait entendu prononcer le nom des Stones et elle savait qu’il était possible que son père ait un troisième frère, sans qu’elle n’en sache rien. Vu qu’elle n’avait pas été au courant dès le début pour Aelita, d’après ce qu’elle avait entendu et d’après ce qu’elle avait vue. Il s’agissait d’un garçon mais, il avait été envoyé à Serpentard comme tous les Stones excepté Aelita et elle. Elle avait longtemps hésité avant d’aller dans les cachots pour tenter de le rencontrer mais, la curiosité l’avait emportée. Toute fois, Alehandra ne savait pas comment l’aborder et tout en marchant elle y réfléchissait après, avoir était manger à la Grande Salle d’où elle l’avait vue.
*Salut…, non..., heu…, bonjour comment vas-tu ? Heu… non plus… Bon sang, c’est s’en doute mon cousin et il va me haïr parce que je suis une Gryffondor*, soupira-t-elle en s’engouffrant dans les cachots. *Bon, alors comment je pourrais lui dire, hey au fait, je suis ta cousine nos pères son frères… Ouais, comme si il va me dire chouette, je suis content de faire ta connaissance, soyons amis… Si il a été envoyé à Serpentard c’est qu’il y a une bonne raison*, se dit-elle en relevant les yeux pour constater qu’elle avait était trop loin. *Oh non, j’ai dépassé la salle commune des Serpentards, j’suis vraiment trop gourde*, se dit-elle en faisant demi tour.
Alors qu’Alehandra se demandait encore comment aborder le jeune homme sans qu’il l’envoie sur les roses. Quelqu’un d’autre était entrain de marcher dans la direction de la salle commune des Serpentards. Bien évidement Alehandra ne l’avait pas vue tellement elle était concentrée par le jeune homme omniprésent dans ses pensée qui avait le même nom qu’elle et qui ressemblait tant à Aelita.
*Evidement, je suis la seule à être rousse dans la famille*, se dit-elle en soufflant soulevant ainsi une de ses mèches. *Pourquoi Aelita n’est pas là au moins elle serait comment réagir avec lui !*, se dit-elle en percutant de plein fouet la personne venant devant elle.
- Oh non…, je… je vous demande pardon… Je ne vous avez pas vue, dit-elle confuse en ramassant les livres qu’elle avait entre les mains.
Bien sûr Alehandra ne se déplaçait jamais sans un livre ou deux sur elle. Soit pour les ramener à la bibliothèque soit pour les lire entre les cours ou à l’heure des repas pendant le week-end.