Maladroite un jour, maladroite toujours T_T" (Libre)

Sibylle venait de sortir de la Grande Salle, l'estomac bien plein, après un déjeuner plus que succulent. Elle se demandait qui, ici, s'occupait de la nourriture. Peut-être qu'elle apparaissait vraiment comme par enchantement ? Elle ouvrit grand la bouche d'émerveillement. Cette endroit était tellement fabuleux ! Son sac sur l'épaule, elle sautilla gaiement vers l'escalier de marbre. Quel était son cours suivant, déjà ? Une boule se forma au creux de son estomac. elle n'avait pas cours. Elle déglutit difficilement. Elle avait toujours détester avec force être seule, et si elle n'avait pas eu trop de mal lors des repas à se concentrer sur les délicieux plats au menu, il en était autrement plus difficile lorsqu'elle était sans occupation. Qu'allait-elle faire ? Où ? La question avec qui ne se posait même pas. Elle devait avoir des allures bizarres, peut-être ? Enfin aussi bizarres que l'ont puisse l'être dans un lieu pareil. Elle ne put retenir un petit sourire amusé à cette idée. Elle n'arrivait pas à être déprimé, décidément. et ce n'était pas plus mal. Elle se décida à aller à la volière. après tout, cela faisait un moment qu'elle n'avait pas eu l'occasion d'aller bichonner son petit hibou, et si elle n'allait pas le voir régulièrement, il ne s'habituerait jamais à elle. Machinalement, elle caressa une fine griffure au creux de son bras, souvenir laissé par la bestiole. il fallait d'ailleurs qu'elle lui trouve un nom. Quelque chose de sorcier ou de moldue ? Il fallait qu'il la représente un minimum. Elle chercha dans ses musiciens et écrivains favoris. Hmm ... Et pourquoi pas Fitzgérald ? Mais oui ! Comme la jazzman et Francis Scott ! Elle sourit, triomphante, et tapa son poing droit dans sa main gauche ouverte, l'air de dire, "eurêka !".

- FITZGERALD !

Elle se mordit la lèvre inférieur, le visage aussi rouge que si elle avait plongé sa tête dans de la peinture. Voilà, ils allaient la prendre pour une folle, penser qu'elle avait insulter quelqu'un, ou, pour les connaisseurs, qu'elle était une grande partisane de Kennedy. Elle fit une grimace en constatant que la halle était bondé, et commença à grimper les marches quatre à quatre, la tête enfoncé dans les épaules. C'est alors que le pire se produisit : elle se prit les pieds dans sa robe.

Naima portait son nouveau uniforme, elle avait l habitude de s’habiller a la mode moldus même si elle était une sorcière. Elle trouvait la mode sorcier horrible, la mode moldu proposait plus de choix et surtout elle était souvent jolie.
Naima s’était dépêchée de finir son petit déjeuner pour avoir le temps d’envoyer la lettre qu’elle avait écrite la veille au soir a ses parents .Pour les informer du début de vie de leur chère fille .Elle voulait absolument l’envoyer ce matin pour avoir la lettre de réponse ce soir ou demain. Elle voulait savoir pourquoi le nouveau directeur Rogue la regardait sans arrêt, comment sont père aller réagir en apprenant que sa fille était à Serdaigle, lui ancien Serpentard dont toute la famille était passé par la maison verte. Elle voulait avoir des nouvelles de sa maison, de sa famille, de ses chiens Tango et Abricot.
Naima se leva de la table sous le regard des élèves et celui du nouveau directeur. Naima sortait de la Grande Salle, elle se dirigea vers le grand escalier. L’orientation n’était pas une de ses qualités .Elle demanda son chemin a des élèves de la maison de Pousouffle qu’ils devaient être en cinquième année. Elle trouva facilement la volière, elle chercha Athéna sa chouette du regard et la trouva tous en haut perché le regard dans l horizon même elle sentait que les choses changeaient. Naima l appela, la chouette est venus tout de suite comme un chien. Athéna donna sa patte avec douceur. Naima lui enroula la lettre sur la patte en la caressant son plumage qui était d’une douceur comme elle. Elle s’était beaucoup rapprochée de sa chouette qui était un bout de sa maison.(ou sa famille je sais pas trop ).Elle s’envola et Naima la regarda jusqu'à que le point qu’était devenu Athéna disparait de l horizon. Naima resta quelques minutes dans cette position le regard dans le vide. Elle se rappela qu’elle avait cours. Elle ne savait pas où était la salle. Elle devait retourner dans la Grande Salle pour le demander. Elle fit le trajet a l envers mais là, elle observait ce magnifique château dont on ne pouvait pas compter le nombreux de tableaux tant ils en avaient. Elle descendit le grand escalier sans vraiment regarder devant d’elle. Elle observait sa nouvelle école et là un choc se produit.
Une jeune fille lui est tombée dessus dans sa chute elle entraîna Naima qui eu le temps de se tenir a la rampe de l’escalier. Elle se releva avec peine un peu chamboulée .Elle aida la jeune fille qui lui est rentré dedans.

« Bonjour ! Ca va ? » demanda Naima avec un ton rassurant qui ne présager aucune représages.