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| Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] | |
| Auteur | Message |
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Invité
Ξ Sujet: Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] Sam 24 Jan - 21:11 | |
| Bérénice – appelons la Béré – était en plein émoi. Elle avait écrit une nouvelle lettre à l’amour de sa vie, l’idole de sa folle jeunesse ce qui compte c’est d’y croire et la personne la plus formidable que toute cette école ait jamais connu (au moins si on excepte Dumbledore). La première n’avait pas obtenu de réponse… elle ne contenait pourtant qu’une suite de compliments plus vrai les uns que les autres… Bérénice retentait donc l’expérience une seconde fois avec – on l’espère – plus de chance ce coup-ci. Elle n’avait pas envie d’être une source de gêne ou quoi que ce soit d’approchant pour le bel Ernie. Elle voulait seulement qu’il remarque son existence bien qu’elle ne fut ni aussi gourde ni aussi grecque que Juliette Horuni, la petite amie du jeune homme. Non, bien entendu, Bérénice n’est pas jalouse, qu’allez-vous chercher là ?
Béré attendait donc dans l’ombre des cachots que son bien aimé sorte de son cours de potion (qu’il avait en dernière heure de la journée). Lorsqu’elle l’aperçut enfin (dieu merci, il était seul !), elle sortit de l’ombre, tête baissée, ses longs cheveux bruns cachant son visage, telle une apparition fantasmagorique dans le faible éclairage des cachots. Cette impression était renforcée par le contraste de ses cheveux bruns sur sa peau trop blanche et la cape (blanche elle aussi) qu’elle portait en lieu et place de celle de l’uniforme. Cela n'avait rien d'un tour qu'elle voulait jouer, non... elle n'avait pas conscience que plus qu'à une sorcière, elle ressemblait à un fantôme.
« E… E… » Commença-t-elle non sans difficulté tant elle sentait l’angoisse lui prendre la gorge. La tentation était grande de laisser tomber l’enveloppe et de fuir à toute jambe ! Toutefois, elle réussit à faire un pas vers lui (sans pour autant réussir à le regarder) et à prononcer très vite d’une voix haut perché « E… Ernie ! C’est pour toi ! » Et elle tendit non sans brusquerie la lettre en question (où elle disait à quel point Ernie était formidable et comme ce serait une perte pour poufsouffle qu’il s’en aille à la fin de l’année… point de romance mes amis), toujours en train de fixer les chaussures de son camarade sans le regarder lui. Très belles chaussures par ailleurs mais c’était le cadet des soucies de la petite brunette. Elle ne pouvait en dire plus, d’ailleurs, son cœur battait trop fort pour ça. Holala, que dirait Ophy quand elle saurait qu’elle avait fait ça ? Peut-être que c’était une mauvaise idée après tout ! Mais Bérénice était présidente du fan club non officiel d’Ernie alors il était normal qu’elle lui montre son admiration… ou pas. La question restait entière et seul le septième année pouvait trancher.
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| | | | Ernie MacMillan
Parchemins : 683 Âge : 37 jets de cheveux (7 Octobre 1979) Actuellement : Adulte [Département de la coopération magique internationale] Points : 0
Ξ Sujet: Re: Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] Sam 24 Jan - 21:54 | |
| Ernie MacMillan Le Magnifique avait passé une journée plutôt agréable, ne serait-ce que parce qu'il n'avait pas eu à supporter les sempiternelles bêtises que les Carrow adoraient seriner à leurs élèves durant leurs cours. Mieux ! Il était parvenu à voler quelques moments d'intimité au milieu d'une séance d'autographe pour retrouver Juliette, pendant la récréation. Encore plus fort (oui, ce garçon a le sens des priorités) ! Son nouveau shampooing à la pomme verte semblait lui conférer une texture de cheveux tout à la remarquable (et pourtant, Merlin seul savait à quel point il avait naturellement une souplesse de cheveux épatante !). Et enfin, cerise sur le gâteau, il venait tout juste de rendre un échantillon de potion Babel - sujet de son TP du jour - qu'il savait avoir réussi avec brio avec qui ?. Bref, tout baignait pour le jeune MacMillan. Comment ? Les mangemorts ? Peuh ! Une broutille ! Potter trouverait bien un moyen de nous en débarrasser ! D'ailleurs, il avait rendez-vous avec l'Armée de Dumbledore seconde génération le soir même, et cette perspective le mettait en liesse. Car outre la noble tâche à laquelle les membres de l'AD s'employaient, plusieurs fois par semaine (oui, on ne chôme pas, à l'AD !), ces petites rencontres clandestines étaient également l'occasion de passer un bon moment entre amis, après une journée de cours.
*Il ne faut pas que j'oublie d'apporter les échantillons de shampooing à Lavande !* songea-t-il avec beaucoup de sérieux, tout en s'apprêtant à quitter le cachot de potions.
Généralement, Ernie aimait prendre le temps de discuter quelques minutes avec le Professeur Slughorn, après les cours. Non, ce n'était pas de la lèche ! Mais en ce début de soirée, il avait encore fort à faire avant de se rendre dans la salle sur demande - il devait notamment se laver la tête, et ça, c'était très important ! - aussi se contenta-t-il de saluer son Maître des Potions et même Maître tout court avec un respect quelque peu pompeux. Plongé dans ses pensées, Ernie franchit le pas de la grille porte, juste derrière Seamus, lequel était d'humeur assez morose malgré Lavande depuis que Dean avait quitté l'école. Le blondinet était précisément en train de se demander - non sans une certaine appréhension - si d'autres élèves seraient amenés à prendre la poudre d'escampette d'ici juin, lorsqu'elle déboula.
*Oh non ! Pitié... Pas maintenant !* supplia-t-il mentalement en lorgnant d'un oeil circonspect la fille qui s'avançait vers lui d'un air à la fois effrayé et déterminé.
Hé bien si. Maintenant. Ernie se surprit à regretter le choix de Lavande d'arrêter les potions après les BUSES. Elle aurait certainement su le tirer de ce mauvais pas. Une "petite année" qui faisait de vous son idole, c'était mignon... Les trois premières minutes. Mais passées quelques semaines, c'était juste insupportable. Pire ! Bérénice semblait toujours surgir au moment où on s'y attendait le moins. Si elle continuait, il allait devoir se résoudre à traverser sa salle commune en mode furtif et à raser les murs des couloirs ! "Sois gentil avec elle", lui avait demandé Ophy. Vain conseil ! Ernie était un garçon gentil et patient de nature (il n'était pas à Poufsouffle pour rien, nom d'un chien !). Pourtant, ce soir là, il dut résister à une envie furieuse de se tordre les mains de désespoir lorsque Bérénice s'approcha de lui.
*C'est quoi cette coiffure ? Holàlà ! Ophy ! J'espère que ce n'est pas toi qui lui as conseillé ça !* constata-t-il en se raidissant légèrement. Car quoi de pire que des cheveux maltraités ?
Machinalement, il adressa un sourire ultra bright à la jeune Poufsouffle avant d'effectuer un jet de cheveux parfait. Autant en finir au plus vite. Baissant les yeux vers la lettre qu'elle lui tendait, Ernie ne put s'empêcher de songer - non sans un certain désespoir - que visiblement, Bérénice n'avait pas été très attentive au courrier du coeur du dernier Hibou Bavard. Toutefois, Ernie prit précautionneusement l'enveloppe - un peu comme s'il s'agissait d'un machin piégé qui risquait d'exploser d'une minute à l'autre - et répondit d'un ton purement formel :
- Hé bien, je te remercie, Bérénice. Je la lirai sûrement plus tard.
Dans un nouveau jet de cheveux (fuiiiit), il rangea la lettre dans la poche de son uniforme avant de s'apercevoir que Bérénice, comme figée sur place, était perdue dans la contemplation de ses souliers. Dans cinq minutes, elle faisait pipi par terre de terreur. Un peu embêté à l'idée qu'il pouvait mettre la fillette dans un tel état, Ernie - non sans avoir d'abord vérifié que personne ne se trouvait dans les parages - se pencha nettement en avant, afin d'être à la hauteur de sa camarade et tenta de scruter son visage à travers la masse de cheveux bruns qui (bon Dieu quelle horreur, c'est y pas possible de voir ça !) pendouillait le long de sa figure.
- Tu retournais dans la salle commune ? demanda-t-il doucement, tu veux que je te raccompagne ? proposa-t-il ensuite d'un air concerné.
Car après tout, il n'était pas bon de laisser les plus jeunes baguenauder seuls dans des couloirs dont Rusard et les Carrow avaient fait leur terrain de jeux. |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] Dim 25 Jan - 11:43 | |
| Heureusement pour Bérénice, elle ne savait pas lire dans les pensées. Elle ne vit donc pas l’embarras d’Ernie, d’ailleurs, les chaussures n’étaient pas vraiment un facteur qui pouvait permettre de comprendre ce qui se tramait dans l’esprit des gens. Cela étant, même si elle avait osé lever le nez pour regarder Ernie dans les yeux, elle n’y aurait rien vu de particulier parce qu’elle manquait cruellement d’empathie et de psychologie. La bonne nouvelle, c’est qu’il avait pris la lettre. La mauvaise, c’est qu’il s’approchait dangereusement d’elle, elle allait finir par fuir à toute jambe, elle le sentait ! Heureusement, ses longs cheveux (qui certes seraient mieux attachés mais au moins ils sentaient bons) cachaient son visage pâle et la rougeur de ses oreilles et de ses joues. Elle recula d’un pas, toujours la tête baissé, maintenant concentré sur l’irrégularité flagrante du sol. Il faudrait vraiment qu’ils pensent à le polir un jour. Toutes ces stries… c’était du plus mauvais goût !
Maintenant qu’elle était physiquement assez loin d’Ernie pour réfléchir à ce qu’elle allait mettre demain à sa proposition, elle leva une micro seconde ses yeux fardés de noirs sur le jeune homme, les lèvres pincés, avant de rebaisser la tête très vite parce qu’elle avait croisé son regard. « Ou… Oui m… mais… Je… » Qu’est ce qu’elle voulait dire déjà ? « Je… ne veux pas te… enfin… vous… déranger. » Et voilà qu’elle recommençait à bégayer. Ophélia, où es-tu quand on a besoin de toi ?
A une distance raisonnable de son idole, elle tentait de réfléchir à la meilleure attitude à adopter. En un sens, c’était une occasion formidable de passer ne serais-ce que quelques minutes en sa compagnie mais… son cœur ne lâcherait-il pas en cours de route ? Et puis, s’ils croisaient ne serais-ce qu’une seule personne, elle prendrait sûrement la fuite – c’était plus fort qu’elle – et se ridiculiserait… A moins qu’Ernie apprécie à sa juste valeur la vitesse à laquelle Bérénice était capable de courir. Disons le, si l’athlétisme était un sport sorcier, Béré aurait toutes ses chances d’être la meilleure au 100 mètre. Elle était extrêmement rapide, d’ailleurs elle adorait la vitesse… mais courir dans l’idée de partir très loin de la personne à qui on a offert une lettre quelques minutes auparavant… ça craignait.
Elle tourna alors entre ses doigts une mèche de cheveux bruns, fixant maintenant sa main plutôt que le sol. Mieux valait qu’elle se taise et qu’elle se laisse porter par le cours de l’histoire car dès qu’elle ouvrait la bouche, elle se faisait honte…
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| | | | Ernie MacMillan
Parchemins : 683 Âge : 37 jets de cheveux (7 Octobre 1979) Actuellement : Adulte [Département de la coopération magique internationale] Points : 0
Ξ Sujet: Re: Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] Mer 4 Fév - 14:11 | |
| Il est de notoriété publique que quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt. Ernie n'était pas un imbécile - n'en déplaise à ses détracteurs ! - mais il n'en était pas moins humain. Et, à l'instar de tout humain bien conditionné, il avait tendance à lever le nez pour regarder dans la même direction que tout le monde, des fois qu'il se passerait quelque chose d'intéressant qu'il pourrait revendre à Megan. Lever le nez ou bien le baisser, d'ailleurs. Ce qui était bel et bien le cas ici. Bérénice avait piqué le nez en direction de ses souliers et paraissait tellement hypnotisée par la contemplation du carrelage qu'Ernie, sans même s'en apercevoir, se mit lui aussi à lorgner le sol, une partie de son cerveau s'attendant sans doute à y découvrir quelque curiosité extraordinaire. Pourtant, on aurait pu penser que six années pleines passées au milieu des Poufsouffles lui avaient appris depuis longtemps que la mode "souliers forever" était plus une manifestation de la timidité chronique qui semblait frapper les blaireaux (à quelques rares exceptions près) que la promesse d'une nouvelle intéressante. Certains réflexes ont la dent dure. Un peu honteux de s'être - une fois encore - laissé si facilement avoir et surtout, surtout, particulièrement gêné à l'idée qu'il puisse être responsable d'une telle poussée de stress chez sa jeune camarade, Ernie ne put s'empêcher de se passer une main faussement désinvolte dans les cheveux avant de commenter avec un sourire ultra bright mi figue mi raisin (c'était vrai, à la fin ! Elle lui donnait le sentiment d'être un monstre over dangereux !) :
- Jolies chaussures.
*Oh Merlin ! A tous les coups elle va croire que je lui fais des avances... Ou alors elle va vouloir m'offrir ses souliers !* songea-t-il immédiatement après, en esquissant une grimace horrifiée (qu'allait-il bien pouvoir faire d'une paire de chaussure modèle et taille fillettes ? Si encore ils avaient eu la même pointure Il ne pourrait même pas en faire don à Ophélia sans risquer de froisser Bérénice !).
Ernie haussa un sourcil so class et gratifia Bérénice d'un long regard perçant de toute façon comme elle était obnubilée par ses chaussures, il ne risquait pas de se faire griller. C'était désespérant ! Elle lui faisait l'effet d'un petit chat sauvage Chaton is back prêt à s'enfuir, toutes griffes dehors et en feulant de terreur. Une image qui ne mettait pas vraiment Béré en valeur. Vous voyez le petit rouquin dans les Aristochats ? Celui qui veut devenir chat de gouttière (Berlioz ?) ? Hé bien c'était un peu l'impression que Bérénice donnait à Ernie. Version humaine, bien entendu. Et moins rouquine (au grand désespoir de la petite, s'il avait bien tout suivi !).
*Dans trois minutes elle me demande de marcher d'un côté du couloir pendant qu'elle prend l'autre !* se dit-il en remettant sa mèche rebelle en place (comprendre à sa place de mèche rebelle. Là où elle rendait le mieux pour l'effet coiffé décoiffé).
Finalement, il adressa un sourire en coin à la Poufsouffle dévoilant ses canines avant de répondre d'une voix grave teintée d'amusement :
- Mais non voyons, je ne te l'aurais pas proposé si je n'avais pas envie de te raccompagner. Quoique envie, ce n'est pas le mot. Et puis d'ailleurs, je ne vais pas te laisser seule dans les couloirs par les temps qui courent, conclut-il, comme si ce dernier argument, qui relevait du bon sens, suffisait pour couper court à toute protestation de la part de Bérénice (ce qui était probablement un peu optimiste de sa part).
*Une chance que la salle commune ne soit pas trop éloignée des cachots…* estima-t-il en se retenant de consulter sa montre.
(619 mots et je ne comprends pas pourquoi Word s'est subitement décidé à mal compter O_ô) |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] Sam 7 Fév - 12:01 | |
| Houlala, qu’est ce qu’elle était venue faire dans cette galère ? Elle aurait dû prévoir que gentil comme il était, il tiendrait à la ramener jusqu’à la salle commune pour qu’il ne lui arrive rien genre avec les Carrow. Non que Bérénice ne soit pas assez transparente pour passer entre les mailles du filet. Elle n’était pas du tout le genre de fille à attirer les foudres des mangemorts de tout poil. Elle bégayait quand ils lui adressaient la parole, morte de peur, et ça les amusaient mais ça s’arrêtait à peu près là. Elle n’était pas un danger (non mais vous l’avez vu quoi ?) et elle venait d’une famille de sorcier. Elle était limite inintéressante… sauf si on prenait en compte qu’elle venait d’une école de moldu mais elle avait sans doute omis ce détail. Oui. Probablement. Quand il lui parla de ses chaussures, elle leva légèrement le nez (il virait rouge lui aussi à force) et murmura « Merci. C’est… C’est Ophélia qui les a choisit. » Bérénice n’était pas capable d’aller dans un magasin pour acheter quoi que ce soit, elle commandait tout par correspondance y compris ses fringues et ses chaussures… du coup, ses derniers achats avaient eu besoin de l’approbation de sa copine Ophy. Quoi de plus normal ?
Ernie avait bien raison de la comparer à un petit chat hargneux car elle était actuellement toute hérissé, prête à fuir au moindre signe suspect. De plus, à la lueur des flammes, ses cheveux semblaient presque plus roux que brun. Cependant, contrairement à Toulouse, le chat des Aristochats [et non Berlioz], elle n’avait aucun talent particulier si ce n’est courir très vite. Très très très vite cependant. Elle pouvait distancer n’importe qui si elle y mettait un peu de cœur. Parce qu’elle était de la fin de l’année, elle avait passé un an dans un collège moldu et elle s’était inscrite au club d’athlétisme à l’époque. Autant dire qu’elle y avait fait un sacré carton. « M… Merci… Mais… » Elle hésita sur la manière de le formuler. « Je suis trop transparente pour qu’on me fasse du mal. » Elle avait dit sa phrase très vite, la regrettant presque après l’avoir prononcée. D’ailleurs, elle recula inconsciemment d’un pas, toujours la tête baissée, et prononça d’une voix qu’elle espérait calme notez l’emploi du verbe espérer, ça sous entend que c’est raté XD « Je pense qu’il est temps de rentrer. » Elle n’avait aucune envie de continuer cette conversation. Elle avait donné sa lettre, tout était terminé, elle pouvait rentrer au dortoir et vaquer à ses diverses occupations comme par exemple trier les photos d’Ernie ou bien feuilleter les magazines de coiffures pour trouver une teinture assez tenace pour la débarrasser durablement de ses horribles boucles brunes. Oui, la vie de Bérénice Bones est d’un passionnant affolant. Mais elle considère chacune de ces activités, aussi anodines soit-elle, comme l’accomplissement de son grand projet : devenir aussi bien que les MacMillan. Elle donnerait même son âme au diable pour réaliser son objectif. Être une Bones n’était pourtant pas si mal que ça…
L’herbe semble toujours plus verte dans le pré du voisin.
[526]
605 pour Ernie 515 pour Bérénice
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Ξ Sujet: Re: Tour de passe-passe avant que je ne trépasse [PV] | |
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