[Cours 1] Le casque de Jupiter

*Tu souris, tu parais gentil, et tout ira bien*
Figé devant l’entrée de la salle de classe, Edric observait avec son regard examinateur les élèves qui défilaient sous ses yeux pour y discerner la moindre expression. Si certains d’entre eux témoignaient ouvertement d’une bonne humeur et d’une impatience presque égales aux siennes, d’autres le laissaient perplexe. Tenez, ce jeune garçon par exemple, Serdaigle et de toute évidence plutôt âgé, il n’avait pas l’œil intéressé et fureteur qu’on trouve habituellement chez les aigles. Ou encore, cette jeune fille de Gryffondor, elle n’avait pas l’enthousiasme ni la fougue qu’on reconnait souvent chez les lions. Peut-être Edric n’y était-il pour rien mais il restait dubitatif, même s’il savait que sa matière était soit très appréciée des élèves, soit carrément détestée. Mais la totalité des élèves le salua en entrant, un bon point. Lorsque la serre sembla remplie et qu’il ne restait plus personne à l’extérieur, Edric jeta un dernier coup d’œil puis ferma la porte derrière lui. C’était l’heure.

Deuxième bon point, dès l’instant où il pénétra dans la salle et se retrouva face aux rangées, le silence envahit la serre, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Il ne comptait pas hausser le ton et si en plus les élèves se montraient attentifs, que pouvait-il demander de plus ? A vrai dire, il n'avait pas le temps de se poser la question car il était temps de commencer le cours et hors de question de perdre du temps aussi inutilement. Plus motivé que jamais, l’enseignant vint se poster derrière son bureau en hauteur qui faisait face aux paillasses désormais occupées par les élèves qui attendaient certainement qui attendaient certainement un signe de vie de leur professeur. Ce dernier ne se fit pas attendre bien longtemps et prit la parole dans un raclement de gorge.

« Bonjour à tous, je vous souhaite la bienvenue dans le jardin des serres de Poudlard, engagea-t-il. Il voulait de toute évidence paraître accueillant sans être trop formel ni maladroit. Certains d’entre vous le savent déjà mais je m’appelle Edric (avec un ‘D’, j’insiste !) Harris et c’est moi qui suit en charge de vous enseigner la Botanique cette année ». Il lui sembla discerner une déception chez certains élèves. Non mais vous pensiez quoi ? Que j’étais portier ? Il poursuivit : « je suis à votre entière disposition à chaque fin de cours si vous avez la moindre question. N’hésitez donc pas ». Il s’arrêta net puis brandit sans baguette et fit s’élever l’un des pots du fond de la salle dans les airs. Ce dernier se plaça de manière à ce que la classe entière puisse le voir, soit au centre de la rangée du milieu, à mi-hauteur. Edric rangea sa baguette et reprit : « bien, il est temps de commencer. Je vous présente le casque de Jupiter, à première vue une plante classique aux fleurs violacées et sans grand intérêt. Mais détrompez-vous. » Il fit un mouvement de baguette en direction du tableau où apparut un croquis détaillé :


Avide de savoir si ses élèves savaient ou non quelque chose à propos du spécimen, il jugea bon de commencer la partie théorique par quelques questions : « Mais avant que nous en apprécions les propriétés magiques, j’aimerais vous poser quelques questions. Quelqu'un pourrait-il, si possible, me donner les autres noms de ce spécimen ? Car vous le connaissez sans aucun doute sous un autre nom ». Il s’arrêta puis posa son regard sur les rangées d’élèves, espérant que quelques-uns auraient le cran de prendre la parole pour lui répondre.

Consignes :
- Toujours 2 points par message,
- Vous êtes vivement invités à répondre à la question (rappel : facultatif, pas besoin de mon autorisation). Il y a au total 15 réponses possibles, chacun peut donc participer (évitez à tout prix de donner plus qu’un nom, ça ne rapporte pas plus de point)
- Je ne demande que les noms, pas autre chose (hors sujet = message édité)
- BONUS (facultatif) : répondre aux énigmes suivantes et m’envoyer les réponses par mp (deux énigmes sont proposées, mais vous pouvez très bien ne répondre qu’à une seule).
Enoncé : « Un homme noir de peau, habillé de vêtements noirs, marche au milieu de la rue. Une voiture tous feux éteints s’arrête pile devant lui. Il n’y a pas de lune, et les réverbères sont éteints. Comment le conducteur l’a-t-il vu ? »
ET/OU : « Combien de fois y a-t-il le chiffre 9 de 0 à 100 ? »

Sophie était très contente de commencer le cours, d’autant que comme la Botanique était une de ses matières préférées, elle avait d’ores et déjà reconnu laplante qui se trouvait sur le bureau du Professeur Harris. Il s’agissait d’un casque de Jupiter, connu sous différentes appellations. Elle ne pouvait pas résister à l’envie de répondre à la question du professeur et de, ainsi, gagner quelques points supplémentaires pour sa Maison. Depuis qu’elle était là, aucun autre Poufsouffle n’était arrivé, mais il y en avait déjà beaucoup avant qu’elle-même n’arrive. Et parmi les personnes qui venaient d’entrer en scène, ou plutôt en classe, la jeune Poufsouffle n’en connaissait que deux. Elyna Artanis et la jeune fille s’étaient rencontrées dans le Poudlard Express avant même la toute première Répartition. Elles s’étaient tout de suite bien entendu et étaient restées amies malgré le fait qu’elles avaient été réparties dans deux Maisons différentes. Eryne était, elle, une Première Année que Sophie avait rencontré récemment et avec qui elle s’entendait relativement bien. Ne pouvant résister à l’envie de répondre, la jeune Sophie leva la main. Etant interrogée, elle répondit :

« Cette plante a aussi pour nom Aconit, Monsieur Harris. »

Ignorant volontairement le papier d’Elyna pour le moment, Fredericke se concentra sur le cours. Nous ne le dirons jamais assez, il ne faut pas se fier aux apparences ! Fredericke était une jeune fille tout à fait sérieuse dès qu’elle posait un pied dans une salle de classe, elle étudiait même avec beaucoup de ferveur jusque tard le soir. Vous me direz que c’est normal puisqu’elle reste jusque tard pour s’amuser avec ses amis, mais justement, ce n’en est qu’une preuve plus probante car pour autant qu’elle souhaite discuter avec Billie ou Hainoa, vous pouvez être certain qu’ensuite elle repassera ses leçons quel que soit l’heure. Après, avouons le, pour quelqu’un qui est atteint d’une maladie du sommeil, Fredericke se contentait très bien de six heures de sommeil par jour en dehors de ses périodes de crise, cela lui laissait donc l’opportunité de bosser au moins jusqu’à minuit sous sa couette avec juste le bout de sa baguette pour lire son livre. C’était aussi souvent comme ça qu’elle faisait lorsqu’elle était prise de l’irrépressible besoin d’écrire dans son journal intime le compte rendu de ses dernières aventures. De fait, elle connaissait donc certains des noms de l’aconit, elle en avait même parlé en cours de potion, le terrible cours de potion de tous ses cauchemars ! beurk ! bref, autant ne pas y penser et lever la main. Elle était déçue de s’être fait prendre de court par Sophie et Elyna pour les noms les plus connus et aux connotations les plus scientifiques. Tant pis, il en restait encore quelques uns en réserve car cette plante ne manquait pas de noms ! C’était le moins qu’on puisse dire vu qu’il y en avait plus d’une dizaine… sûrement que c’était à cause de ses propriétés mais aussi tout simplement de son aspect particulier, propre à faire travailler toutes les imaginations… sauf celle de Fred’, elle n’avait pas d’imagination du tout à vrai dire. Mais ce n’était pas le sujet.

Prenant la parole poliment, elle donna donc un des noms de la plante merci wikipédia « On l’appelle aussi le capuce de moine monsieur » puis, elle retrouva le silence d’une après réponse avec satisfaction et fit un léger clin d’œil à sa voisine, Elyna, qui trépignait sûrement d’impatience qu’elle lui réponde. Profitant d’un moment d’inattention du professeur, elle gribouilla très rapidement « C’était génial. On en parle plus tard. » Peut-être que si Elyna devait patienter, elle serait plus calme après… car Fredericke savait parfaitement ce que son amie pensait de tout ça, mais bon elle ne pouvait pas comprendre. Elle était plus jeune et elle n’avait jamais connu la pression familiale avec laquelle devait vivre la jeune allemande depuis sa naissance… enfin, pas tout à fait sa naissance, elle devait avoir deux ans quand la promesse de mariage avec Franz avait été contractée… en tout cas, une chose est sûre, elle n’avait pas vécu ça, on ne l’avait pas non plus élevé pour être une parfaite petite épouse… rah, rien que de repenser à son enfance, Fredericke se sentait tendu. Pas étonnant qu’à l’époque elle était une vraie boule de nerf. Décidément, même si rien ne pouvait être parfait, elle préférait son présent à son passé, se promettant bien que le futur serait encore meilleur.

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VAMPIRE

A peine Elizabeth s'était installée que d'autres élèves arrivèrent dans la salle de classe - enfin -, dans les serres de botanique plutôt. Emma fut la première à arriver après elle et il ne fallut pas trop longtemps à Elizabeth pour comprendre qu'elle allait se mettre à côté d'elle juste pour avoir plus d'informations sur Edric, son grand frère qu'Edric plaisait à la jeune fille. En même temps elle était jeune et c'était marrant de voir comment elle le regardait. Emma était préfète depuis quelques temps déjà et Elizabeth aimait bien "ronder" en sa compagnie. Elle était plutôt jeune et c'était agréable de la prendre sous son aile. En plus de ça elle était à Serdaigle, une maison qui avait malgré elle tendance à se rapprocher de Poufsouffle. C'était un peu le déroulement logique de la chose en fait, Gryffondor et Serpentard flirtant dangereusement depuis quelques temps déjà, les deux maisons restantes s'étaient rapprochés non pas par défaut ou par stratégie, mais plus par affinités. Il fallait dire que dans le comportement, les aigles et les blaireaux étaient assez semblables. En effet on peut dire sans trop se tromper que le côté sérieux et travailleur des Poufsouffle et des Serdaigle a eut tendance à les rapprocher et honnêtement, personne ne s'en plaignait. Dire qu'à l'époque les Gryffondor étaient inséparables des Poufsouffle et les Serdaigle des Serpentard, il était clair que si les anciens revennaient à Poudlard, ils ne reconnaitraient plus rien. Tout ça pour dire que Beth appréciait particulièrement Emma, sa camarade préfète, et justement, la voilà qui venait s'asseoir à côté d'elle.

« Bien sûr que non, viens Emma ! »

Et c'était bon, Elizabeth avait sa voisine de place pour le reste du cours. D'autres élèves arrivèrent ensuite et Elizabeth se contenta de sourire à ceux qu'elle connaissait, sans trop parler toutefois puisque le cours n'allait pas tarder à commencer et qu'elle ne voulait toujours pas se faire remarquer dès la première heure plus tard, à l'occasion, mais pas maintenant.

Le cours commença enfin et Elizabeth fut ravie de voir avec quelle habileté son frère s'exprimait. Parfait, s'il continuait comme ça, tous les élèves allaient être à ses pieds en 3 minutes chronos ! Même Wade – ce râleur de première – allait changer de place, même on parie ? !

Edric commença ensuite sur une question sur le casque de Jupiter et il ne fut pas longtemps à Elizabeth pour se souvenir de ce qu'elle avait lu sur ça. Elle leva donc naturellement la main, éliminant au fur et à mesure des réponses, celles qu'elle ne pourrait pas dire "Elizabeth à vous." "Ah ben, j'peux pas, tout a été dit" :

« Char de Vénus. »

Pas la peine de faire des phrases à chaque fois, avec toutes les participations qu'il y allait avoir, on avait compris l'idée "Il s'appelle aussi" ça allait bien, on savait plus ou moins de quoi on parlait, quand même. Non ? Enfin de toute manière Elizabeth s'en fichait le professeur était son frère, elle savait qu'elle avait juste et il n'avait pas demandé d'enrober sa phrase dans 4h de discours inutiles. Des fois, c'était bon de faire bref et rapide, surtout quand vous aviez au moins 15 réponses possibles à une simple question !

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[541 mots]

VAMPIRE

Roman ne lâchait pas Edric Harris des yeux. Il essayait de trouver une ressemblance avec les autres membres de la famille Harris qu'il connaissait. Il connaissait Elizabeth, il connaissait William, et il connaissait les triplés, pour être déjà entré dans leur boutique, à Pré-au-Lard. Si Roman avait vu juste, les filles Harris avaient les yeux marrons, et les garçons les yeux bleus. Mais pour être franc, la ressemblance entre Edric et William était impressionante. Même coupe de cheveux, même couleur, même yeux, même nez. C'était frappant. William était peut être un petit peu plus grand, malgré qu'il soit un peu plus jeune (de combien, d'ailleurs ?!), mais ça ce n'était pas sûr du tout, Roman n'avait pas vu Willy depuis trop longtemps pour se souvenir exactement de sa taille précise. Quoiqu'il en était, Edric Harris était un beau gosse dans le genre, et il était clair que la botanique ferait moins de réticents qu'avant ! Déjà parce que le côté "directrice des gagnants de la coupe des 4 maisons de chaque année" n'était plus là qu'Edric était ce qu'on pourrait appeler, quelqu'un de "neutre". En plus il était jeune et nouveau donc facilement corruptible plus facile à apprécier, et en plus de ça, il allait nécessairement apporter du neuf au cours. Inutile de dire que le nombre de "fan" d'Herbologie allait grimper en flèche d'ici les prochaines semaines.

C'est alors qu'après avoir échangé quelques mots avec Annagovia, le professeur Harris se décida à commencer son cours. Il se présenta, posa les bases et posa avec le thème du cours. Le Casque du Jupiter ? Oui, Roman connaissait, il avait déjà vu Alban et Anabelle y travailler dessus, il y'a quelques années. Roman étant un vrai fan de mythologie grecque même si plus tard, il sera lui-même un Dieu Grec et n'avait pas pu s'empêcher d'être captivé par ce qu'il avait vu ce jour là. Ainsi, presque naturellement, Roman leva la main pour lancer la seule réponse – réponse qui lui paraissait en plus ça parfaitement adaptée à la situation, puisqu'il était fan aussi de la directrice de Poudlard – qu'il connaissait, mais quelle réponse ! Il tremblait d'impatience de la dire avant que quelqu'un ne le fasse à sa place.

« Le casque de Minerve ! Le casque de Minerve ! »

Ça paraissait d'alleurs bizzare qu'il ne l'ait pas dit plus tôt, sa réponse, vu comment il était facile pour lui de s'en rappeler. Mais bon, ça c'était dit, ce n'était plus à faire, au moins. Roman affichait une mine parfaitement heureuse. Il était heureux déjà d'avoir pu participer en cours (son gros kiff), mais surtout d'avoir pu participer au nouveau cours d'un nouveau prof trop la classe, et aussi d'avoir pu donner une réponse qu'il était fier de s'être rappellé. Après tout, Roman n'étudiait pas (oui on sait, grave erreur) chaque livre de cours entièrement avant chaque nouvelle année, parce qu'il avait assez à voir cette année avec les 4 précédentes. Les BUSEs c'était à la fin de l'année et il était temps de se faire bien voir par les professeurs et de retenir un maximum de choses.

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[518 mots]

VAMPIRE

Non ! Anabelle ne dormait pas dans le fond de la classe. Non ! Elle n’était pas occupée à lire, savamment cachée derrière un voisin plus grand qu’elle, les Mémoires complètes de Saint-Simon. Non ! Elle ne s’était pas lancée dans une partie de bataille navale avec la table du fond. Car même si la jeune fille avait été fort attristée, pour ne pas dire totalement bouleversée, d’apprendre le départ du Professeur Chourave, elle n’était pas assez sotte pour faire preuve d’indiscipline pendant le tout premier cours de l’année du nouvel enseignant. Non que la Poufsouffle n’eût pas caressé, l’espace d’une seconde, d’ouvrir les hostilités, mais elle avait estimé, avec la prudence caractéristique des élèves d’Helga (un Gryffondor aurait foncé sans réfléchir plus longuement aux conséquences, quels crétins, ces Lions !), qu’il valait mieux commencer par filer doux pour tâter le terrain et, ainsi, mesurer les limites jusqu’auxquelles elle pourrait, par la suite, s’avancer pour enquiquiner Edric sans grand dommage. D’ailleurs, la parenté du jeune homme avec Elizabeth jouait sans conteste en sa faveur : Anabelle avait, en effet, trop de respect pour son amie pour se lancer à corps perdue dans une rébellion ouverte contre son frère aîné. Aussi la Poufsouffle s’était-elle présentée à l’heure en cours et, si le salut qu’elle avait adressé à son professeur ne débordait pas d’enthousiasme, il était du moins resté parfaitement poli. Depuis, sagement installée au fond de la classe (d’où elle avait une meilleure vue d’ensemble), Anabelle n’avait plus pipé mot… Mais on sentait, aux regards pénétrants qu’elle ne cessait de lancer de tous côtés, que ses pensées s’agitaient furieusement dans son esprit.

*Han ! Les plantes à pipaillon ! Où est-ce qu’il a mis les plantes à pipaillon ? Comment cela elles sont dans une autre serre ? Il n’aurait quand même pas osé les déplacer ?! Elle le sait, ça, Chourave, qu’il touche à ses plantes ?* constata-t-elle en coulant un œil chargé de reproches en direction d’Edric.

Elle faisait là, bien entendu, preuve d’une mauvaise foi à toute épreuve : comment, en effet, Harris pouvait-il espérer mener à bien son travail d’enseignant s’il n’avait pas le droit de déplacer les plantes comme bon lui semblait ? Pour Anabelle, toutefois, qui avait pour sa directrice de maison une admiration frôlant la vénération, l’idée qu’Edric pût tripatouiller dans ses serres (car, elle n’en démordrait pas, les serres restaient la propriété exclusives de Pomona !) comme bon lui semblait ?
Fronçant le nez d’un air désapprobateur, la jeune fille griffonna furieusement quelques notes sur son parchemin. Il était inutile de jouer les cancres : les ASPIC étaient à la fin de l’année et Elizabeth, même si elle lui prêtait ses notes, rapporterait sûrement au Professeur Harris qu’Ana ne suivait rien en cours.

D’ailleurs, la jeune fille avait besoin de décrocher une excellente note en herbologie si elle voulait qu’Ollivander la prenne comme apprentie à la rentrée prochaine. Certes, elle avait toujours été bonne en la matière, mais l’animosité qu’elle pouvait vouer à un professeur avait souvent eu raison de son niveau. Il suffisait de regarder le Piètre qu’elle avait décroché à sa BUSE Etude des Moldus, pourtant une de ses matières phares jusqu’en cinquième année, juste pour contrarier Edward, pour s’en convaincre. Mais elle n’avait pas besoin des moldus pour devenir baguettière… Pour les plantes, par contre, c’était une autre paire de manches ! La volonté d’Ana d’entrer chez Ollivander eut donc raison de ses réticences, et, levant la main à contrecoeur, elle renchérit à la suite de Roman :

- Elle est aussi appelée coqueluchon… Professeur, rajouta-t-elle avec une pause infime et dans un effort louable.

(605 mots)

VAMPIRE

Topic clos, inachevé hélas...
Voici les réponses aux énigmes :

1) Il fait jour.
2) 20 fois.

Et les points distribués :

Spoiler:

Rendez-vous l'année prochaine !