Londres - Duplex de Michael et Samuel Stones

[HJ : cela se passe pendant les vacances de Juillet et Août, il est donc normal que ça jouxte un peu ce qu'il se passe pendant et après les examens]

Nous étions le 29 juin, mes frères étaient allés tous les trois au manoir Stones pour aller prendre ce qui leur revenait de droit dans le manoir, car père leur avait légué la plus par de ses affaires. Ils prirent tout ce dont ils avaient droit d’emporter et une fois que cela fut fait ils transplanèrent, vers la demeure de Jéremya.

- Bon, il faut que nous trouvions une solution !

Jéremya parla le premier vu que c’était lui l’aîné de la famille même si toutes les décisions étaient prise en définitive par Michael.

- Bien que nous proposes-tu Jéremya ?
- Il faut que l’un d’entre nous s’occupe d’Aelita et vu que Samuel et toi viviez déjà sous le même toit à Londres, propose que vous vous chargiez d’elle, moi je n’aurais pas le temps de m’occuper d’elle et elle sera très malheureuse avec moi donc je ne le souhaite pas.

Dit-il en parlant à mes deux frères qui acquiescèrent, Jéremya s’installa alors dans son fauteuil qui était dans un sal état mais qu’il adorait par-dessus tout.

- En tout cas une chose est sûr c’est que je ne regretterais pas de ne plus mettre les pieds au manoir.

S’exprima alors Samuel en s’asseyant à son tour sur un des tabourets qui faisaient le tour de la table, Michael en prit un autre.

- Plus qu’un jour et nous revoyons notre chère sœur.
- Oui, j’ai hâte d’être à demain.
- Vous pouvez passer la nuit ici si vous voulez, je n’ai pas de travail, j’ai demandé deux jours de congés, je ne sais pas quand Charlie va les prendre mais en tout cas, le patron ne veut plus qu’il reste travailler pendant au moins deux semaines, ça va faire trois ans qu’il bosse et il n’a jamais prit de jour de congé, c’est un fou.

Ajouta Jéremya en riant après avoir vidé quelques bouteilles de Whisky Pur Feu, ils allèrent tous les trois se coucher. Le lendemain à la première heure ils étaient tout les trois debout, douchés et habillés, ils transplanèrent alors pour venir me rejoindre à la gare de King’s Cross. J’étais seule sur le Quai de la gare, vu qu’ils s’étaient trompés dans les heures et que tout le monde avait rejoint leur famille.

Et bien, vous en avez mis du temps, mais je suis heureuse de vous voir, leurs dis-je en leurs souriant, alors racontez moi vos exploits, leurs demandais-je en les regardant tous les trois mais surtout Samuel.

- Oui, oh ça va pourquoi tu me regardes comme ça ? J’ai juste flirté avec une apprentie, pas très futée, mais très jolie, je ne pense pas qu’elle sera prise ce qui est dommage parce qu’elle avait un très beau…
- Ca va on a compris Sam, pas besoin de détail, sinon toi comment c’est passé cette année ? Car on n’a pas reçu de nouvelle de toi.

Me demanda Michael en coupant la parole à Samuel, j’étais un peu gênée, il est vrai de ne pas l’heure avoir donné de nouvelle, mais je n’aimais pas trop écrire des lettres.

Oui, je suis vraiment désolée de ne pas vous avoir écrit…, en fait…, mais on peut rentrer chez nous avant ? Car j’ai besoin d’une bonne douche avant de vous en parler, leur dis-je en baissant les yeux.

- Bien sûr nous allons rentrer, mais avant…
- Oui, avant il faut qu’on te dise que…
- Le manoir va être vendu !

Quoi !, m’exclamais-je en les regardant tous les trois, comment ? Pourquoi ? C’est là que nous avons grandis père n’a pas pu nous faire ça…

- Ce n’est pas père qu’il l’a fait mais mère, il lui avait légué le manoir…, c’est une bonne nouvelle non ? Les souvenirs que l’on avait été des souvenirs malheureux, alors que maintenant nous pouvons repartir à zéro.

Me dit Samuel en me regardant droit dans les yeux tout en me souriant, je ne savais pas quoi répondre, il est vrai que j’avais quelque mauvais souvenir mais il y en avait aussi des bons.

Oui, tu as sans doute raison, mais il y avait des souvenirs dans cette maison qui me plaisais bien, comme la fois où nous avons fait une bataille de polochons ou quand vous veniez me border dans mon lit, je n’oublierais jamais c’est moment là, leur dis-je en les regardant.

- Tu es trop sentimentale !

Me dirent-ils tous les trois en cœur, puis Samuel me prit dans ses bras pour transplaner.

Non, lâches-moi, on va encore atterrir sur le toit de votre immeuble, mais à peine j’eux dit ça que Samuel transplana.

Et bien sûr nous nous sommes retrouvé chez madame Fermonpolis la voisine de Samuel et de Michael. Heureusement dans son jardin, elle sortit en trombe de son jardin avec son balai pour taper les intrus.

- Non madame ce n’est que moi.

Lui dit Samuel qui fut à deux doigts de se faire frapper par le balai de madame Fermopolis, elle le baissa et demanda à mon frère d’attendre en levant un doigt, elle reparti chez elle et revient avec un gâteau.

- Spécial – pour - vous !

Dit elle en donnant le plat à mon frère qui le reçu dans le ventre, Mrs Fermopolis ne parlait pas bien français, c’était une veille grand-mère juive qui habitait le quartier depuis des années.

- Merci madame trop aimable.

Dit Samuel d’une voix étouffée.

[A suivre…]

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907 mots

Nous nous rendîmes alors dans l'appartement de mes deux frères qu'ils avaient tous deux achetés récemment, je ne savais pas pourquoi d'ailleurs.

Pourquoi avez vous pris cet appartement ? Je vous imaginais dans une maison où autre chose, mais pas dans un appartement, leur dis-je pendant que Samuel déposait le plat que madame Fermopolis avait fait sur la table.

- Elle me l’a encore envoyé droit dans les côtes…, elle est gentille c’est pas ça mais elle ne sent pas sa force.

Pour nous prouver ses dires, il remonta son t-shirt et nous montra les nombreux bleus qu’il avait eut. Jéremya alla se servir une bière dans le frigo, pendant que j’allumé la télévision – vous ne trouvez pas ça un peu étrange ?-.

- Vous avez une télévision ?

Demanda Jéremya depuis la cuisine, il vient à toute vitesse voir ce que j’étais entrain de regarder comme chaîne.

Ils sont dans un quartier de moldus, alors forcément ils ont la télévision, lui répondis-je en haussant les épaules.

- Comment sais-tu la faire fonctionner ?

Me demanda Michael avec un regard plein de curiosité et je voyais qu’il trouvait ça fascinent que je sache la faire fonctionner.

Mes amis en avaient une et ils m’avaient montré comment elle marchait, lui dis-je en le regardant, ça n’a rien de compliqué ni de savant, il suffit d’appuyer sur les touches de se boîtier, qui s’appelle une télécommande, c’est comme pour le téléphone, leur dis-je en les regardant tous les trois.

- Ah oui…, le té – lé – phone… et c’est quoi ?

Le téléphone mon cher Samuel c’est ce qui est là, lui dis-je en leur montrant qu’ils en avaient un.

- Ah je me demandais aussi ce que c’était…, je pensais que c’était un élément décoratif…

Non, c’est ce qui sert au moldu pour communiquer entre eux, c’est très utile, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux, nous utilisons des moyens encore précaires pour communiquer par rapport à eux. La magie nous aide beaucoup il est vrai et que les Moldus ne savent pas s’en servir, mais il ne faut pas négliger leur science…

- Tais-toi ! Tu ne sais pas ce que tu dis ! Nous sommes plus fort et plus intelligent qu’eux ! Ils ne sont rien sans la magie, ils ont besoin de chercheurs alors que nous…
- Nous aussi Michael, nous avons besoin de personnes qui recherchent de nouvelles formules. Aelita a raison, nous nous voilons peut-être la face en mettant les moldus de côté !
- Tu es devenu fou Jéremya ?
- Non, je ne suis pas fou, je dis juste que le progrès est peut-être là sous notre nez et que certain ne veulent pas le voir.
- Baliverne, je monte dans ma chambre !

Michael monta quatre à quatre dans sa chambre et claqua la porte de celle-ci, Jéremya se dirigea alors vers moi et posa un genou sur le sol.

- Ecoute ma puce…
- Ca va elle a plus quatre ans…
- Samuel !
- Ca va j’ai rien dit !
- Ce que je voulais te dire Aelita, c’est que je dois m’en aller, mais je te promets de trouver une solution pour qu’on vive tous les quatre…, je te le promets.

Jéremya sorti alors de la maison et transplana, je regardais un moment par la fenêtre la nuit était déjà là depuis un moment et le ciel était sans le moindre nuage. Il ferait sûrement un temps magnifique dehors et je ne pourrais pas voler, chose que j’aurais sûrement fait si nous étions au manoir.

[A suivre...]

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[596 mots]

Deux semaines plus tard.

Je vivais un véritable enfer, moi qui m’imaginais que ça serait mieux qu’avec père, je me trompais complètement. Michael était insupportable, je ne sais pas qu’elle mouche l’a piquée mais en tout cas, ça ne devait pas être la « Tsé-Tsé ». Je ne l’avais jamais vu comme ça, avant il était doux et gentil, mais ici s’en était fini.

- Aelita, je pars travailler…

J’en venais à avoir peur de ses mots, car quand Samuel partait Michael se transformait en un bourreau sans cœur.

- Aelita !? Combien de fois t’ais-je dit que dés que tu entends la porte d’entrer claquer, tu dois venir immédiatement dans ma chambre et…

T’apporter ton petit déjeuner et le journal qui vient…, dis-je en attendant que la sonnette retentisse à fin de savoir que je sache que le journal était…, d’arriver !

- Bien alors qu’est-ce que tu attends ?

Je montais les escaliers, avec un plateau pour le servir au lit comme tous les matins et avec le journal en prime.

- Bien, tu peux aller faire la vaisselle, c’est mon tour cette semaine et je n’ai vraiment aucune envie que mes mains sente le produit pendant deux semaines.

Michael ?, lui demandais-je en le regardant pour qu’il relève les yeux.

- Oui ?

Quand est-ce que Jéremya revient ?, lui demandais-je alors qu’il n’avait pas daigné relever les yeux vers moi.

- Quoi ? Tu veux déjà qu’il revienne ? Tu n’es pas bien avec nous ?

Me demanda-t-il en relevant ses yeux, il avait enfin abandonné son journal qui était tombé sur la page où on parlait d’une évasion à la prison d’Azkaban.

Non ce n’est pas ça…, commençais-je quand je lus soudain ce qu’il faisait marqué, il y a eut une évasion ?, lui demandais-je en venant m’asseoir près de lui.

- Tiens les nouvelles du monde sorcier t’intéressent maintenant ?

Me demanda-t-il mais voyant que je ne bougeais pas il commença à me lire l’article.

- Sirius Black, qui peut prétendre au titre de plus infâme criminel jamais détenu à la forteresse d’Azkaban, échappe toujours aux recherches, nous confirme aujourd’hui le ministère de la Magie. « Nous faisons notre possible pour capturer Black, nous a déclaré ce matin Cornellius Fudge, le ministre de la Magie, et nous demandons instamment à la communauté des sorcières et sorciers de rester calme. » Fudge a été critiqué par certains membres de la Fédération internationale des Mages et Sorciers pour avoir informé de la situation le Premier ministre Moldu. « Il est clair que c’était mon devoir, a déclaré Cornellius Fudge non sans une certaine irritation. Black est un fou, il représente un danger pour quiconque se trouve en sa présence, sorcier ou Moldu. J’ai obtenu du Premier ministre l’assurance qu’il ne dirait pas un mot à qui que ce soit de la véritable identité de Black. D’ailleurs, ne nous y trompons pas : qui le croyait si jamais il le faisait ? » Les Moldus ont été avertis que Black était armé d’un pistolet (sorte de baguette magique dont les Moldus se servent pour tuer), mais ce que craint la communauté des sorcières et sorciers, c’est un massacre tel que celui qui s’est produit il y a douze ans , lorsque Black a tué treize personnes d’un coup en lançant un seul sort.

Je restais sans voix comme paralysée, un prisonnier d’Azakan venait de s’échapper, et pas des moindre vu qu’il avait tué treize personnes.

- Pfff, baliverne le ministère peut gober n’importe quoi…
- Michael ça suffit !

[A suivre...]

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588 mots

Jéremya venait de rentrer dans la pièce, Michael regardait Jéremya comme pour lui dire « je n’ai rien fait », Michael se leva alors, dévoilant ainsi ça presque quasi nudité vu qu’il ne portait qu’un caleçon. Je n’avais jamais vu mes frères nus, donc je me retournais pour ne pas le voir, j’étais devenue rouge écrevisse et Jéremya le remarqua.

- Tu pourrais être plus discret !
- C’est elle qui est montée jusqu’ici, qu’elle en assume les conséquences !

Dit-il en ouvrant la porte de sa chambre puis en courant dans les escaliers Jéremya le suivit, alors que je restais dans la chambre, vous allez donc pouvoir suivre une conversation dont je ne su rien avant bien longtemps.

- Tu allais lui dire n’est-ce pas ?
- Je ne sais pas pourquoi on garde le secret !
- Parce qu’on ne sait rien de ce qui est advenu de lui, Michael !
- Bon sang, mais Black c’est échappé d’Azkaban la Gazette ne parle plus que de ça ! Même les Moldus sont au courant pour qu’il soit retrouvé le plus vite possible !
- Si il est retrouvé, ils le tueront, personne ne sera que ce n’était pas lui ce jour là !
- Je suis sûr que ce crétin de Fudge va penser qu’il en veut à Potter !
- Le pire c’est qu’il va certainement vouloir prendre contact avec lui…
- Pourquoi ?
- C’est son filleul !
- Pour changer de sujet quand comptes-tu dire à Aelita ce que nous somme tous les trois ?
- Quant il reviendra, une fois là, on avisera de ce qu’on lui dira !

Je descendis à cet instant la conversation était finie et mes frères se séparèrent, je suivis Jéremya qui s’installa à la table et me fit un geste pour que je prenne place en face de lui.

- Aelita je dois te parler d’une chose importante !

Il avait l’air grave, jamais je ne l’avais vu comme ça, c’était sans doute à cause de la conversation qu’il venait d’avoir dû moins c’est ce que je pensais à cet instant.

- Voilà, j’ai trouvé un manoir, nous allons vivre tous les quatre, comme je te l’avais dit, je transplanterais tous les matins. Bien sûr, je ne suis pas sûr que nos frères soient très chauds à cette idée, car ce n’est pas la porte à côté. En fait, toi non plus tu risques de ne pas apprécier…

Pourquoi ?, lui demandais-je avec curiosité mais en redoutant quelque peu la réponse.

- Parce que nous emménageons dans le Wiltshire !

C’est une plaisanterie j’espère ? Même si elle est de mauvais goût !, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux et en croisant les bras sur ma poitrine.

- Non, ce n’est pas du tout une plaisanterie je t’emmène demain la visiter !

J’étais sous le choc, mon frère venait d’acheter une maison qui n’était pas loin de chez Malefoy, je devais rêver…, non pire faire le plus horrible des cauchemars.

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505 mots

Je n’en revenais pas mon frère venait de m’annoncer, que j’allais vivre dans le même quartier que les Malefoy, j’espérais juste que la maison soit très loin de chez lui. Moi, qui comptait ne plus jamais lui parler c’était raté apparemment.

*Pourquoi faut-il que ma vie soit toujours gâchée par lui ?*, me demandais-je en soupirant.

Nous passions une soirée au calme, j’avais étudié la plupart de la journée, Samuel était revenu plutôt du travail, alors que Michael venait à peine de quitter le duplex.

- Alors comme ça Jéremya nous a trouvé un manoir et en plus non loin des Malefoy, nous pourrons leur rendre visite de temps en temps comme ça.

M’a-t-il dit pensant que j’allais me réjouir, je me levais alors et me dirigea vers ma chambre. Je venais à peine de me « remettre » de la rupture que j’avais eue avec Alexander et maintenant mes frères qui étaient sensé détester Drago, faisaient tout pour me remettre dans ses bras.

*Je ne l’aime pas ! C’est clair, c’est fini de l’histoire ancienne, du passé, je ne veux plus jamais entendre le mot Malefoy prononcé devant moi !*, me dis-je avant de m’installer dans mon lit pour y dormir.

Au petit matin, je me réveillais avec un mal de crâne et une envie de vomir, il faut dire que j’avais fait un rêve assez étrange, - je vous laisse deviner qui en était l’acteur principal-. Bref, je me lève prépare le petit déjeuner de Michael lui porte dans sa chambre alors qu’il était encore en train de dormir. Et c’est à ce moment précis que la sonnette d’en bas retenti, j’appuyais sur le bouton sans demander qui c’était vu que je savais qu’il s’agissait de mon frère aîné, que je commençais doucement à haïr de tout mon cœur.

- Tu es prête ?

Me demanda-t-il une fois que j’eu ouvert la porte, je pris mon gilet car il faisait un peu frais et nous transplanions jusqu’à la demeure. Quand je vis la maison, qui était en fait un manoir, je tombais presque littéralement sous son charme. Elle était vraiment magnifique, même si cela ressemblait plus à un manoir qu’à une maison ordinaire.

- C’est un quartier exclusivement réservé aux sorciers, les Malefoy sont à deux rues d’ici, alors je doute que tu tomberas un jour nez à nez avec Drago.

Me dit-il, mais je savais très bien qu’il essayait de me rassurer, mais le manoir était vraiment magnifique aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. J’avais trois à une chambre et à une salle de bain personnel, Jéremya me fit visiter la bibliothèque, qui était entièrement recouverte de bouquin.

- Au fait dans deux jours nous sommes invité au Manoir des Malefoy, nous t’acheterons de quoi te vêtir, d’ici là fait comme chez toi, je vais aller chercher les bagages et parler un peu avec Michael et Samuel.

Me dit-il alors que je n’écoutais que d’une oreille, tellement j’étais fascinée par la demeure. Je fis le tour du propriétaire et constatais qu’il y avait un parc mais aussi une piscine extérieur et intérieur.

[Nouveau Manoir Stones]

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