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 Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]

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Ξ Sujet: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyVen 1 Juin - 19:36

(HJ : bon, j'inaugure Very Happy Et ce en tout ! En espérant ne pas m'être trompé pour le sujet ! Mais bon... ne sachant pas où le mettre j'ai préféré le faire ici !).

Apophis était arrivé ce matin même au ministère, chargé de rendre un rapport et de transférer des dossiers d'un bureau à un autre. On lui avait laissé le libre choix pour l'installation et il en avait donc choisi un plus grand plus spacieux là où il pourrait tranquillement collecter toutes les affaires qu'il avait à traiter.

Il avait, en somme, pas mal de travail depuis quelques temps. Harry Potter était revenu à Poudlard, Sirius Black était en fuite et Voldemort commençait à faire parler de lui... Bref, les manifestations étranges et peu rassurantes refaisaient lentement leur apparition.

L'Auror posa donc toute sa paperasse sur son nouveau bureau -qu'il venait de faire installer ici. A ce moment-là, les dossiers tombèrent en vrac par terre, glissant lentement sur le bois nouvellement ciré.

Il poussa alors un profond soupir et rejeta d'un geste les quelques fichiers qui restaient, claquant la porte de son bureau dans un mouvement rageur.

Il en avait plus qu'assez et était excédé ! Il lui avait fallu entièrement tout transvaser tout seul ! Comme si personne ne pouvait l'aider, même pas un petit elfe de maison insignifiant. Et bien quoi ? Ils chassaient les Mangemorts, eux aussi ?

Il était temps qu'il prenne un peu de repos après toutes les caisses qu'il avait dû traîner… cela faisait trois heures maintenant et il n’avait pas pris une seule pause. Comme quoi, on le prenait vraiment pour un abruti de première.

Il arriva donc dans un immense couloir aux couleurs du ministère et, plus précisément, de sa section. Ca et là, des portraits d’Aurors illustres ornaient les murs de bois fuyant vers des portes massives. Lorsque l’on arrivait à leur hauteur elle s’ouvraient toutes seules et nous livraient passage, et ce sans se refermer sur qui que ce soit.

Lorsqu’Apophis était entré au ministère il s’était laissé prendre à ce petit jeu plus d’une fois et avait failli en ressortir sans bras… Il détestait ces portes tout comme il détestait les sous-fifres qui étaient chargés de les réparer. Ces petits elfes de maison n’étaient vraiment bon à rien…

Il passa donc cet étage et se dirigea vers la salle d’accueil espérant plus que tout trouver la paix et le calme dont il avait tant besoin. Il lui fallait se décontracter, autrement il terminerait la journée avec un horrible mal de tête et à grincer des dents.

Il emprunta donc le couloir menant à cette fameuse entrée. Au passage, son regard s’arrêta sur un vieux distributeur de café et boissons chaudes mais qui paraissait être tombé en panne. S’approchant de l’appareil, Sykes donna un léger coup dessus dans l’attente de voir descendre son gobelet. Mais rien n’y fit, l’appareil ne bougea pas.

Il réessaya une deuxième fois mais, cette fois-ci, de manière plus brusque. Toujours rien… Sentant que la colère commençait à lui monter au nez, il plaqua ses deux mains contre la maudite machine et la secoua comme un prunier.


« TU VAS DESCENDRE, OUI ? », hurla-t-il et bon nombre de sorciers et de sorcières présents à ce moment-là ne purent s’empêcher de sursauter, lui lançant des regard inquiets.

Apophis décocha alors un dernier coup de poing dans l’appareil puis un autre, bien plus féroce et violent –un peu comme un uppercut. Fulminant de rage, excédé, soufflant comme un taureau furieux, il se jeta à nouveau sur elle, la cognant contre le mur, manquant briser une vitre.

Finalement et, après qu’il eut épuisé toutes ses forces, il baissa les bras sagement, laissant la machine en paix. Après tout, elle était plus tenace qu’elle en avait l’air et l’écriteau « en panne » collé dessus devait finalement servir à quelque chose…

Bien qu’il ne supportât pas qu’on lui résiste, il dut bien déclarer forfait. Maugréant, grognant toute sa colère et son indignation, il détourna les talons, les mains dans les poches.

C’est alors qu’un léger son métallique se fit entendre ainsi qu’un curieux bruit d’eau et de mousse rendant un son pareil à un bâton de pluie. Apophis se retourna automatiquement vers l’appareil, les autres sorciers aussi, et ils commencèrent à le fixer avec des yeux ronds comme des soucoupes.

Le jeune Auror s’approcha donc à pas feutrés, comme s’il pressentait que l’animal allait encore lui faire faux bond. Il s’avança à sa hauteur et se posta devant elle, les jambes légèrement écartées, dominant la situation. Un large sourire se peignait sur son visage au fur et à mesure que le liquide brûlant descendait dans le gobelet.

Il s’en saisit alors, faisant attention de ne pas se brûler, puis le porta à ses lèvres afin de souffler dessus et atténuer la chaleur. Bon nombre de personnes le regardaient encore, lui, le jeune homme qui s’était énervé et avait brutalisé cette pauvre machine et qui, à présent, faisait très attention de ne pas s’ébouillanter…

Il tendit un sourire amusé à l’appareil et lui dit un léger « merci », se traduisant ensuite par une salutation des plus respectueuses.
Il jeta un regard alentour à la petite assemblée et les gratifia d’un sourire triomphant faisant ressortir ses traits d’enfants rieurs.


« Veni, vedi, vici ! », et il leur tendit un léger clin d’œil juste avant de s’éloigner en gloussant.

Marchant à grands pas à travers l’étroit couloir, une main portant son café et l’autre en coupe pour le protéger, il ne cessait de le fixer –ses yeux rivés sur sa couleur brune, envoûté par son odeur robuste et forte.
Tout à ses pensées, il ne remarqua pas que quelqu’un venait en face de lui et que la collision serait imminente s’il ne se reculait pas pour le laisser passer…

Et voila ce qui se produisit ! Il heurta la personne de plein fouet, son épaule cognant contre la sienne, l’arrêtant en pleine course ! Le café se déversa en un jet marron sur toute sa chemise, l’éclaboussant sur le haut de sa poitrine, allant jusqu’à brûler sa peau.

Apophis poussa un hurlement –davantage de rage que de douleur.
Il lâcha son gobelet, serrant poings et dents, et se retourna brutalement sur la personne qui avait osé le bousculer.

Voyant que cette dernière était aussi estomaquée que lui, il le saisit par le col sans ménagement et ramena son visage à quelques centimètres du sien.


« Ecoute-moi bien, petit présomptueux ! Gronda-t-il d’une voix glaciale, je ne supporte pas de voir qu’on ne fait pas encore attention dans ce fichu ministère ! Alors, je te conseille maintenant de me faire platement tes excuses, autrement je te garantis que je te ferai ingurgiter tout le mare de ce maudit café jusqu’à plus soif ! ».

Il le rejeta férocement contre le mur. Les personnes qui les entouraient commencèrent sagement à s’éclipser…

« Alors maintenant, tes excuses ! Reprit-il, ses yeux de dément braqués sur lui, j’attends ! ».

Apophis passa lentement une main tendue dans ses cheveux blonds et épais, recoiffant les quelques mèches qui étaient tombées sur son visage tendu de colère…


Dernière édition par le Dim 10 Juin - 0:27, édité 2 fois
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptySam 2 Juin - 0:54

Bibibipbibipbibipbibipbibip la main droite de samuel remontait son oreiller sur sa tête alors que l'autre fracassait son réveil contre le mur de sa chambre. Bon sang mais quelle heures était-il? Le jeune homme ne se rappelait pas même pas avoir mit son réveil et puis de toute façon il ne faisait pas ce bruit la...il se demandait ce qui lui avait prit. Le cerveau encore embrumer il essaya de se remémorer sa soirée...
Hum il avait bu, vu son mal de tête il en était sur....il avait dansé avec une brune non une blonde euh il ne savait plus très bien. Alors qu'il essayait en-vain de se souvenir de la suite une gémissement féminin proche de lui attira son attention...Samuel se redressa très vite, regarda autour de lui affoler...

* Mer*** je suis pas chez moi....*

il pausa de nouveau son regard sur le lit...une fille...au moins c'était une fille...puis reporta son attention sur ce qui semblait être une chambre. En-vain il essaya de se rappeler du prénom de la fille...mandy, non melody...non plus Melanie oui ça devait être ça. Il sauta du lit faisant attention de ne pas la réveiller. S'habilla en moins de deux et transplana directement au ministère vu l'heure tardive on allait lui passer un sacré savon.
Enfin transplaner est un grand mot pour Samuel, il voulu se rendre dans son salon mais atterri une nouvelle fois dans les rosiers de madame Pires. Puis rentra pour prendre le réseau de cheminette qui le mènerait directement au ministère.

*oh mais c'est quoi cette odeur...hum c'est moi beurk je sens la rose maintenant...c'est très virile vraiment...*

c'est donc la tête dans la brume que Samuel arriva dans les couloirs du ministère. Il fit un petit sourire à la jeune femme de l'accueil. Puis se dirigea un peu au radar vers son bureau. En passant il décida d'aller se chercher un petit café histoire de pouvoir ouvrir les yeux correctement mais surtout de pouvoir répondre de son retard à son patron qui devait déjà faire le pied de grue devant son bureau. Il bailla fortement...

*J'aurais jamais du boire autant...*

son attention fut attirer par un bruit tout à fait désagréable pour l'heure qu'il était. Des mots fusaient dans tous les sens.

*La violence toujours la violence, ça n'en finira donc jamais*

en portant son gobelet brûlant de café à ses lèvres son regard se posa sur les deux protagonistes qui se disputaient. Son sang se glaça alors en voyant l'un des deux. Il poussa un cri de surprise et en lâcha sa boisson. Les sourcils froncés et sa respiration plus rapide, Samuel avait senti la rage monter en lui d'un coup...ne devait-il pas être mort??? Samuel l'avait pourtant vu mort...mais c'était bien son père devant lui qui maintenait l'homme au mure. Le jeune homme ne réfléchit pas et se précipita sur lui....en criant:

« Tu es mort....je vais te tuer... »

Il attrapa l'homme devant lui pour qu'il se retrouve face à lui et son poing droit se fracassa directement sur le visage déjà rouge de rage de l'homme. Les yeux de Samuel n'était que fureur et rage...Comme il détestait ce visage qui était mort normalement. Alors qu'il s'apprêtait à sortir sa baguette pour le terrasser, ses yeux bleus s'attardèrent sur SE visage justement....il lui ressemblait tellement....mais en le regardant bien il était tout aussi diffèrent...plus...plus jeune. Le jeune homme était perdu et son regard tantôt rageur se fit perdu...Non ce n'était pas lui...

« Par merlin qu'est qui m'a prit....Pardonnez moi... »

Mais il ne l'avait pas louper, comment avait-il pu le confondre avec l'être abjecte qu'avait été son père. Il était bête, il l'avait toujours été mais aujourd'hui il avait battu tout le record.
Nerveusement il se passa la main dans les cheveux...mais revoir ce visage et ses traits l'avait tout de même perturbé. Samuel était sous le choc.
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptySam 2 Juin - 10:17

"Bon alors ??! Tu crois que je vais attendre jusqu'à Noël prochain ?".

Apophis grinça des dents, il en avait plus qu'assez. La personne en face de lui ne bougeait plus, plaquée contre son mur la bouche ouverte et les yeux agards. Elle n'osait même plus faire un seul mouvement, bien trop pétrifiée par la colère et la réaction de l'Auror à son égard.

"Je vais t'apprendre !! Gronda-t-il furieux, sale morveux !!".

Et il fit un pas vers lui, les mains levées à hauteur de son cou, tendues comme les serres d'un aigle prêt à l'étrangler.
Apophis ne savait encore ce qu'il allait lui faire. Les idées traversaient sa tête aussi vite que des balles le faisant sourire et se repaître de ses rêves au fur et à mesure qu'il avançait vers lui.

Qui sait ? Peut-être qu'il lui casserait suffisamment la figure pour l'emmmener en civière à l'hôpital ? Ou mieux encore, lui briserait les dents pour qu'il n'ai plus qu'à se nourrir de soupe jusqu'à la fin de ses jours ?

Ou alors non ! Comment n'y avait-il pas pensé ? Il allait prendre une barre de fer et lui briser les genoux ! On allait voir après qui pourrait marcher et renverser le café des autres !

Apophis lui tendit un regard carnassier tandis que sa propre ombre imposante se profilait sur le visage livide du jeune homme. Ce dernier leva les bras au-dessus de sa tête pour se protéger et attendit sagement que sa fureur s'abatte sur lui.

Mais elle ne vint pas et, au lieu de cela, il entendit une gigantesque clameur, comme un cri enragé, suivi d'un coup sec et mat, amorti par le moelleux d'une chair quelconque...

Le pauvre garçon rouvrit alors les yeux et baissa ses bras lentement, presque graduellement. Il remarqua alors qu'on était venu en quelque sorte lui porter secours. Sentant une toute nouvelle joie et un grand soulagement l'envahir, il ne put s'empêcher de sourire tandis que, lentement, le démon blond qui voulait le massacrer se relevait, titubant sur ses jambes.

Le jeune homme venu le sauver bredouilla un « Par merlin qu'est qui m'a prit....Pardonnez moi... » et parut alors très ennuyé d'avoir frapper cet homme. Il ne comprit pas vraiment pourquoi et préféra partir tout simplement avant que les choses ne s'enveniment...

Manifestement, cette personne n'avait pas vraiment su mesurer l'ampleur de son acte -d'autant plus que son adversaire en faisait deux comme lui- et devait à présent amérement le regretter...

Profitant de ce que son tortionnaire était sonné, il courut à toutes jambes ne se retournant que pour vérifier s'il n'était pas suivi...

A présent sur ses deux jambes, tanguant encore face à la puissance du coup porté, Apophis Sykes fixait celui qui venait de le frapper en plein visage.
Du sang coulait le long de sa bouche et il sentit le liquide chaud descendre le long de son menton. Tendant alors un regard terrifiant à son assaillant, mêlant colère et hilarité, il porta la paume de sa main à ses lèvres et essuya l'hémoglonine naissante très lentement, prenant presque son temps.

Jetant alors un bref coup d'oeil à sa main entrouverte, il reporta immédiatement son attention sur lui. Un petit sourire se dessina lentement sur ses lèvres et il en fut comme transfiguré par cette expression sinistre qui naissait sur son visage si pâle...

Doucement et calmement, sans cesser de le fixer, il leva sa main vers le jeune homme, montrant ainsi le sang qui commençait à sécher en son creux. Ses yeux brillèrent alors d'une étrange lueur...


"Tu vois ce que tu as fait ? Dit-il d'une voix étonnamment sobre et monocorde, tu vois ? Regarde donc, des comme ça je suis en train d'en cracher par ta faute... Tu comprends ?".

Il leva un sourcil dans l'attente de sa réponse et son sourire s'élargit alors, découvrant des dents blanches noyées dans le sang. Il se mit à rire :

"Crois-moi, tu vas vraiment regretter que je ne sois pas un fantôme !".

Il essuya rapidement sa main couverte de sang le long de sa cuisse et s'approcha de lui, les poings serrés. Son pas était lourd et menaçant, ses talons claquant ferme contre le parquet comme s'il s'apprêtait à donner la mort.

Mais, au lieu de lever son poing et de l'abattre sur le visage de son adversaire, plutôt que de se jeter sur lui toutes griffes dehors et de le saisir à pleines mains, il s'arrêta net, à sa hauteur, le toisant sur un sourire amusé.


"T'as eu peur, hein ? Souffla-t-il d'une voix désincarnée, t'as eu peur ?
Et là ? (il leva sa main avec vélocité mais ne l'abaissa pas) Et là ? (il arma son poing mais ne s'arrêta qu'à quelques centimètres de sa mâchoire) Et là ? (son genou se plia et il l'envoya à hauteur de ses testicules, mais il stoppa net).

Ohh non, pas de ça entre nous, hein ?".


Il lui offrit un charmant sourire et, tout en époussetant le haut de l'épaule du jeune homme, il tâcha de lui donner meilleure allure.

"Dommage... t'as oublié ton noeud pap' !". Il éclata d'un rire gutural...

Se reprenant alors lentement, il lui tendit un sourire des plus carnassiers et commença à toucher le haut de sa poitrine de son index, comme pour l'ennuyer.

"Et là ? Fit-il penchant sa tête de côté d'un air observateur, et là ?".

Il répéta l'opération jusqu'à ce que ses coups soient plus précis, plus forts et plus rapides.

"Et là ? Et là ? Et là ? Et là ? Etlà ? Etlà ?...

Dis-moi, je t'ennuie pas trop j'espère ?".


Son sourire s'élargit, partant bientôt d'une oreille à l'autre, faisant pétiller ses yeux coquins.

"Sinon, tu peux m'en coller une autre, va ! Ca prouvera que tu sais au moins te défendre quand on t'embête !... Alors ? T'en penses quoi ?".

Et cette fois-ci il le bouscula de manière bien plus violente, si puissante qu'il aurait pu le faire tomber...

"Et là ? Je t'énerve ? Dit-il soudain plus agressif, et il le repoussa à nouveau, et là ? T'en as marre ? (il fit de même) Et maintenant ? T'es content ? Pas content ?".

Il recommença, marchant au fur et à mesure qu'il reculait...

"Et là ? T'as envie de m'éclater la gu**le ? T'as envie de prendre tes aises avec moi ?".

Il le repoussa une dernière fois de façon plus subite et plus ferme. Il lui offrit un magnifique sourire qui, en d'autres circonstances, auraient pu être avenant s'il n'avait pas été de lui...
Il secoua la tête, dépité, attendant à présent la réaction du jeune homme...


"J'suis joueur, hein ?".
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyLun 4 Juin - 1:41

Lorsqu'il c'était levé, il avait senti que c'était pas ça journée mais la...il battait le record. D'une Samuel avait cru voir un homme qui était mort mais en plus celui ci était son père, de deux il lui avait carrément balancé sans ménagement son poing dans la figure. Pour finalement se rendre compte que ce n'était pas possible mais quand plus l'homme en question était fou de rage. Le jeune homme releva la tête pour le regarda dans les yeux et vu le regard de fou qu'il lui lançait il n'aurait sûrement pas du faire ça.

*Je veux rentrer chez moi.......*

Son regard se baissa sur le sang qui lui recouvrait la main. C'est sur il n'y était pas aller de main morte mais en même temps il l'avait prit pour son père...Ça joue en sa faveur non?? Puis la voix d'un fou entrain de rire retenti du fond de sa gorge et Samuel eut beaucoup de mal à déglutir.

"Crois-moi, tu vas vraiment regretter que je ne sois pas un fantôme !".

« Non c'est toi le fantôme...euh enfin tu y ressemble en tout cas... »

*Merlin la ferme tu t'enfonces...je sais je sais...*

Oh il n'était pas stupide loin de la, et ses boyaux lui disaient bien qu'il allait passé un mauvais quart d'heure. Déjà il voyait sa main s'approcher dangereusement de son visage. Mais Samuel ne ferma ni les yeux, ni ne bougea ou essaya de se protéger...il regardait l'homme dans les yeux sans sourcilier. Puis qu'il devait mourir aujourd'hui autant que se soit dignement. Mais la réaction de l'homme l'étonna il ne le frappait pas se contentant de le bousculer ce qui le faisait reculer par la même occasion....

"Dommage... t'as oublié ton noeud pap' !"

Le rire de Samuel retenti c'était tout de même un peu nerveux. Il essuya ses mains humides sur son jean. Et lui sourit....un fou comique, c'était pas banal tout de même.

*t'es marrant toi aussi.....ou lala sourit pas on voit tes dents O.o *

Le fou, le bousculait toujours un peu plus violemment en mimant des mouvements tous aussi violent les uns que les autres. La fatalité se dit Samuel, il avait réussi à passer à travers les mailles du filets tellement de fois en étant un mangemort pas du tout accompli qu'il fallait bien qu'il se laisse prendre une fois pour toute....tout ce qu'il avait espéré c'était que ce ne serait pas douloureux mais c'était râpé, il semblait bien.

* aller frappe vite et achève moi rapidement...pitié....je tiens solennellement à remercier Ma soeur que j'aime de tout mon coeur, Beth que je n'ai jamais cessé d'aimer, mon poisson rouge....les femmes qui sont toujours magnifique et le plus beau des péché...Adieux...*

Samuel pensait qu'il allait lui procurer le coup de grâce et même si son comportement ne laissait pas paraître qu'il était très nerveux à l'intérieur c'était tout autre. Le son de la voix de l'homme monta d'un cran lui cirant qu'il devait avoir peur...et le jeune homme se retrouva coincer entre le mur et lui. Il finit tout de même par lui demander:

« Dis-moi, je t'ennuie pas trop j'espère ?".

« Non, non t'inquiète » réussit-il à prononcer tranquillement.

Puis l'homme continua son numéro essayant de déstabiliser Samuel attendant sans doute une réaction de sa part qui ne venait pas et qui devait sûrement l'énerver au plus haut point.


"Et là ? T'as envie de m'éclater la gu**le ? T'as envie de prendre tes aises avec moi ?".

"J'suis joueur, hein ?".


Samuel lui sourit, il était désespéré et ne comptait que sur son humour à tout preuve. Très calmement comme s'il croyait à ce qu'il disait il lui répondit:

« Non chéri pas ce soir j'ai l'a migraine.... »
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyLun 4 Juin - 13:20

« Non chéri pas ce soir j'ai l'a migraine.... »

A ces mots, Apophis éclata de rire ; un rire puissant, toinitruant, à faire trembler les murs. Il en revint au jeune garçon :

"Pour sûr, tu n'as pas ta langue dans ta poche !".

Il le considéra un instant les mains sur les hanches, la tête penchée de côté sur un sourire lugubre.
Etrangement, ce jeune homme avait eu le don de le tirer de sa mauvaise humeur et de le faire rire plus qu'il ne l'aurait cru.

Il avait de l'audace, des trippes et il ne se laissait pas démonter si facilement. L'Auror appréciait ce trait de caractère ; de ceux qui savent faire face aux difficultés avec tenacité et, si possible, une légère pointe d'humour.

Il trouva alors qu'il serait dommage de gâcher une si belle occasion en se précipitant trop vite sur sa victime... Il fallait faire durer le plaisir, augmenter la difficulté afin que le triomphe soit sans faille et plein de gloire.

D'ailleurs, il s'amuserait certainement davantage en le laissant en paix maintenant. Mieux ne valait pas amocher tout de suite son si joli trophé.

Il n'avait plus qu'à installer son épée de Damoclès, instiller une légère peur et l'avoir à l'usure, c'est aussi simple que cela ! Le traquer, le piéger, le coincer dans des coins et des recoins improbables dont il ne pourrait se sortir qu'avec brio et talent !

A présent qu'il lui avait résisté, il devenait la proie qu'il devait chasser. Cette petite altercation s'était changée en un jeu étrange où Apophis -comme à son éternelle habitude- le poursuivrait jusqu'à l'avoir vraiment, pour lui, pour s'amuser, le dominer.

Cela s'était fait comme un automatisme, comme une réaction tout à fait naturelle dans une situation donnée. L'Auror ne sortait pas du cercle très fermée de sa pensée et les choses et événements devenaient alors pour lui d'une logique implaccable.

Il était le trapeur venu pour achever la bête, le bourreau là pour exécuter son supplicié. Tout était simple et programmé et c'était ainsi. Il ferait peur à ce gosse, lui ferait vivre un enfer et cela lui plairait ! Il s'amuserait de le voir se débattre au bout de son fil comme un asticot à un hameçon.

Comme il appréciait cette sensation, celle d'avoir toujours une quelconque emprise sur quelqu'un ! C'était parfaitement grisant, d'autant plus que l'enjeu était de taille, la personne difficile à avoir...

Lentement, le sourire amusé qu'il lui tendait se déclina, tordant ses lèvres en un rictus démentiel et terrifiant, découvrant à nouveau de grandes dents de loup.

Se reprenant, il lui décocha alors un dernier clin d'oeil et passa sa main afin de dégager les cheveux qui lui tombaient sur le front.


"Bon, il ne me reste plus qu'à te laisser", dit-il simplement puis, tout en renfonçant ses mains dans les poches de son pantalon, il lui sourit à nouveau.

Passant alors devant lui sans manquer de cogner dans son épaule, il se retourna sur son passage, lui adressant alors ce dernier petit mot :

"Je t'attendrais, mon ange, n'aie aucune crainte !".

Puis, lui envoyant un dernier baiser de loin, il s'éloigna d'un pas léger dans un rire gutural et puissant, montant peu à peu dans les aigues et s'estompant à mesure qu'il disparaissait...
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyLun 4 Juin - 23:38

Samuel n'en revenait pas de ce qu'il venait de dire...et visiblement l'homme en face de lui non plus. Il l'entendit rire, non pas le rire de dément qui avait retenti peu avant mais pour une fois un rire franc. Samuel sourit, il était quelque peu soulager qu'il le prenne comme ça. Le jeune homme l'observa un long moment attendant que l'homme se décide enfin à faire quelque chose.

*Bon au moins....je l'entends plus...en même temps je suis pas sur que se soit vraiment bon signe...Dois je te répéter que tu l'as bien chercher??? *

il secoua la tête, et l'autre qui ne disait toujours rien. Il semblait pris avec sa propre conscience...mais est ce qu'un dingue comme lui avait vraiment une conscience. Apparemment et heureusement pour Samuel, le géant avec bien une conscience puis qu'il s'éloignait un peu de lui.

*J'ai chaud monsieur...je peux sortir... *

Samuel se décolla du mur et pour se mettre légèrement de coté maintenant qu'il était libre. Il n'avait qu'une envie c'était de partir et de laisser l'homme devant lui en plan. Mais quelque chose lui disait que s'il faisait ça il n'allait pas faire long feu et que sa misérable vie serait de courte durée.

« euh... »

*T'a vraiment l'air c***...tu sais??? *

Oh oui il le savait, mais c'était pas la première fois. Ni la dernière de tout façon le jeune homme enchaînait gaffes sur gaffes...pas une journée sans qu'il se batte ou qu'il lui arrive quelque chose qui le mettait mal à l'aise. Peut être aussi qu'il attirait les ennuis?

"Je t'attendrais, mon ange, n'aie aucune crainte !".

Voilà les mots que l'homme prononça, avant de le quitter en lui faisant une clin d'oeil. Samuel en était estomaquer mais un franc sourire destiné à l'homme naquis sur son visage. Il l'avait prit au dépourvu et l'homme bon joueur avait reprit dans son sens. Alors qu'il le voyait faire demi tour samuel lui lança à son tour...

« Avec plaisir...promis je t'attendrais...Chéri »

Il ne demanda pas son reste et se sauva direction le département de transport magiques....ou le regard foudroyant de son patron l'accueillait.

*Si j'avais su....je me serais fait casser la figure *

[The end ou comment rester en vie xD]
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyDim 10 Juin - 0:27

[Un peu plus tard]


Lorelai était dans les rues de Londres pressant le pas pour arriver à l’heure au ministère, une fois arrivée dans la cabine téléphonique, elle souffla une voix se fit alors entendre et lui demanda où elle voulait se rendre.

- Etage 8 Atrium !
- Bienvenue à vous Miss Davalle
- Merci, dit-elle avant que la cabine ne s’engouffre dans le sol.

Une fois arrivée au 8ème étage la cabine stoppa net, elle se dirigea alors vers l’accueil et déposa ses dossiers sur le bureau du secrétaire.

- Je suppose que vous allez, les monter vous-même et que je ne vais pas faire le voyage n’est-ce pas ?
- Et bien, je…
- Vous n’êtes pas très débordé et puis je suis sûr que vous avez un stagiaire ou deux qui traîne dans le coin n’est-ce pas ? dit-elle en souriant.

Elle tourna alors les talons et pris un autre ascenseur pour se diriger vers le bureau des Aurors, elle soupira l’ascenseur était encore plus lent que dans ses souvenirs. Une fois que celui-ci stoppa, elle en sorti, la jeune porte parole entra alors dans un couloir et vit une machine à café.

- Et bien, ils ont fait des frais depuis la dernière fois, se dit-elle à haute voix avant de sortir son porte monnaie pour prendre un café.

C’est alors qu’elle entendit derrière elle la porte du bureau des Aurors claquer et un homme en sortir. Lorelai soupira et secoua la tête, elle sortit quatre mornilles et les mit dans la fente, les pièces tombèrent dans l’appareil, la jeune fille composa alors le chiffre qu’elle voulait, mais rien ne se versait.

- C’est bien ma veine ça, dit-elle en secouant la machine, salo*****, tu vas marcher oui ? demanda-t-elle en donnant un coup de pied sur le côté de la machine, un gobelet tomba et commença à se remplir. Et bien voilà quand tu veux, dit-elle en prenant le café qui venait d’être fait.
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyDim 10 Juin - 12:52

Apophis avait vraiment besoin d’air… Plus de deux heures qu’il écoutait ce discours interminable qui n’allait nulle part et n’avait, pour ainsi dire, ni queue ni tête. Il n’y entendait rien et ne voulais, en lui-même, rien y comprendre.

Ainsi avait-il préféré demeurer en retrait, baillant aux corneilles de temps à autre, levant les yeux et montrant son attention dès que cela était vraiment nécessaire.

Mais ce qu’avait fini par dire son supérieur avait eu le don de l’énerver au plus haut point. Plus que de l’ennui, il ressentait à présent exaspération et hargne tandis que la moutarde lui montait progressivement au nez.

Battant la mesure du pied, à moitié avachi sur sa chaise –qui, si petite, avait du mal à contenir son grand corps- il restait les bras croisés sur son ventre, le visage fermé et le regard glacial.

Rupert Potrolis, celui qui tenait ce si joli discours, continuait fermement en faisant de grands gestes de politiciens, appuyant ses mots tout en cognant son poing dans sa main, persuadé que cela aurait un certain effet.

C’était un homme petit, voûté et moustachu, qui autrefois avait été Auror mais qui maintenant n’avait plus que son vieux chat et toute l’éternité d’une retraite bien méritée pour seuls compagnie.

Le poids des ans et des années de bons et loyaux services avaient laissé leurs traces et le vieil homme balbutiait, cafouillait, se répétant souvent, revenant sur ce qu’il disait précédemment pour changer d’idée et de version.

C’était une véritable catastrophe ambulante, une tornade qui, à coup de mots creux, dévastait ce qui restait de pensée dans cette humble salle !

Il y tenait, le bougre, à ces méthodes « pacifistes » ! Ce vendu de bureaucrate accroché à ses idées sur le progrès et la modernité !

De meilleures conditions d’interrogatoires et de garde à vue pour les suspects ! Une meilleure écoute des personnes inculpées ! Un savoir-faire tout en finesse dans l’art de la parole et de la diplomatie ! En somme, une main de fer dans un gant de velours !

Il faut dire que ces propositions l’avaient quelque peu amusées au début. C’était mignon, ce vieux, qui voulait montrer que les Aurors n’étaient pas tous de grands malades mentaux adeptes des interrogatoires musclés et des fouilles gestapistes…

C’était charmant de constater qu’il souhaitait que les choses changent, que les uns et les autres soient traités avec plus de respect par les forces de l’ordre ! Adorable de voir à quel point il tenait à ce qu’ils soient tous des exemples pour la société, symbole de maîtrise de soi, d’humilité et de justice.

Lorsqu’il dit ces quelques mots, Apophis Sykes ne put s’empêcher de s’esclaffer. La majorité des Aurors présents se retournèrent alors vers lui et lui tendirent un regard interrogateur. Le vieil homme s’était arrêté et avait levé la tête dans sa direction, lui demandant alors ce qui n’allait pas.

Et Sykes, se réjouissant de ce court intermède, avait rétorqué sur un petit sourire qu’il se moquait bien de tout ce bla-bla destiné à faire bonne figure auprès du peuple et des médias, que pour lui cet homme n’était qu’un « trieur de paperasses ridicule » de plus !

Le petit homme s’était raidi de toute sa hauteur –un bon mètre cinquante !- et lui avait lancé un regard moribond à travers ses lunettes demi-lune et ses yeux de fouines.

C’est curieux de voir à quel point l’on s’attache aux détails idiots, mais l’Auror remarqua que le maigre cou de poulet qui soutenait sa tête ne cessait de déglutir dans des plissements de peau répugnants et indignés.

Le jeune homme avait alors ri de plus belle, reprenant sur le fait que ce genre de pensées ne l’intéressait guère et que l’homme lui faisait perdre du temps sur son heure de pause. Outré, l’autre lui jeta un regard noir de colère tandis que certains Aurors gloussaient seuls dans un coin.


« Oui, avait-il repris sur ses airs de démon entêté, je ne vois absolument pas pourquoi nous perdrions notre temps à vous écouter une seconde de plus !

Qui plus est, vous n’êtes pas le seul à venir nous tenir ce genre de propos… Des personnes comme vous nous en voyons toutes les deux semaines… si ce n’est toutes les semaines… ».


Ecoeuré, fulminant de rage, le vieillard lui avait alors ordonné de sortir d’un geste impérieux et rageur. Plus que ravi d’avoir semé le trouble, Apophis s’était levé nonchalamment, adressant un regard triomphant à la foule sur un charmant sourire puis il était sorti, non sans oublier de claquer la porte dans toute sa colère.

Ainsi s’était-il retrouvé dans le couloir, nerveux et excité, presque tremblant. Du coin de l’œil, il avait aperçu une jeune femme cognant avec pertes et fracas contre une machine à café. Il ne put s’empêcher d’ailleurs de se rappeler ses déboires de l’autre jour…

Tandis que la demoiselle recevait son café, achevant sur une phrase soulagée et satisfaite, il alla s’adosser contre le mur. Tirant son paquet de cigarettes d’une des poches de son pantalon –des fumemorts, l’un des tabacs le plus fort- il en extirpa une jusqu’à son filtre et la porta à sa bouche, la sortant complètement.

Fouillant alors dans la poche arrière cette fois-ci, il se saisit d’un petit briquet en or qui tinta sous la pression exercé par son pouce.

La flamme caressa l’espace d’un bref instant ses traits tendus et concentrés puis elle s’éteignit, laissant à la place s’élever des volutes de fumée noire et velouté.

Apophis tira dessus autant qu’il put puis rejeta la fumée dans les airs avec lenteur et appréciation. Son visage se baissa ensuite et il replongea dans une intense réflexion, pesant le pour et le contre dans le discours du vieil homme…
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyDim 10 Juin - 16:19

La jeune femme faillit se brûler avec le café, heureusement elle avait ressentit une forte chaleur sur sa lèvre et c’était abstenu de le faire. Elle se dirigea ensuite vers la porte du bureau des Aurors quand elle sentit une odeur familière. Lorelai ferma les yeux pour en apprécier toutes les volutes de fumées qui se dégageait de la cigarette qu’un homme appuyait contre le mur était entrain de fumer.

*Non, Lorelai…*, mais sa conscience n’eut pas le temps de finir que la jeune femme sans demander la permission à l’homme lui prit la cigarette qu’il avait entre les lèvres et prit un taffe.

Elle ferma encore une fois les yeux sous la douce volupté de ce moment, cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait plus fumé, plus sentit se goût âpre et amer qu’elle aimait tant au part avant. Profitant de la surprise de l’homme, elle lui remit la cigarette dans la bouche et poursuivit son chemin, vers la porte des Aurors. Elle voulait absolument voir un ancien ami et espérait de tout son cœur que la rumeur était fausse pour une fois et qu’il n’était pas partit sans lui dire au revoir. La jeune femme se retourna vers l’homme qui était encore non loin d’elle, elle se mordit la joue avant d’aller se remettre droite devant lui.

- Bon, j’aurais pas dû vous prendre votre cigarette, mais c’était tellement tentant…, enfin vous n’en avez rien à f***** entre nous de ce que je peux bien vous dire hein ! Mais je voudrais savoir, juste une chose c’est si Victor Johnson travail toujours en tant qu’Auror, car cela fait des années que je ne l’ai pas vu et j’ai entendu dire qu’il serait décédé, lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux.

Lorelai était quelqu’un de franc et de déterminé, il fallait bien ça pour être le porte parole d’une bande de gamins qui ne pensent qu’à faire joujou avec des Dragons.
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai]   Dans les couloirs du ministère [PV Samuel + Lorelai] EmptyDim 10 Juin - 23:28

A la phrase de la jeune femme, Apophis se concentra sur son regard et tira lentement sur sa cigarette.
Expirant alors lentement la fumée de sa bouche, il laissa glisser un sourire sur ses lèvres puis reprit :


"Connais pas...", et se furent alors les seuls mots qu'il lui adressa concernant cette personne. A vrai dire, il 'en avait rien à faire...

Peu lui importait de savoir les Aurors qui restaient ou pas, si certains étaient morts ou portés disparus du moment que lui-même était bien vivant et pouvait pleinement exercer ses fonctions.

Il se cala davantage contre le mur et fouilla alors dans la poche de son pantalon, cherchant visiblement quelque chose, la cigarette au coin de sa bouche.
Lorsqu'il le sortit, il l'inspecta quelques instants et le tendit à la demoiselle lui lançant un regard interrogateur tout en reprenant :


"Vous en voulez ? Vous m'avez l'air de pas avoir fumé depuis longtemps...".

Ses yeux pâles plongèrent dans les siens, brillants, flamboyants, et l'une de ses pommettes remonta sous l'effet d'un demi sourire.

"Je vais pas vous mordre, alors n'hésitez pas...".

Il eut un petit rire nerveux et rauque puis s'empara de sa cigarette afin d'en secouer la cendre, tout cela sans cesser de l'observer.
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