| | | Mission (parfaitement) Impossible [PV] |  |
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Invité 
![Mission (parfaitement) Impossible [PV] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | Ξ Sujet: Mission (parfaitement) Impossible [PV] Mar 8 Fév - 15:08 | |
| Annagovia était en planque. Entendez par là qu’elle s’était cachée dans les toilettes des filles du troisième étage, dans l’espoir de surprendre les confessions, au choix, soit d’une Gryffondor avouant avoir embrassé Roman, soit d’une Serpentard racontant comment, et surtout pourquoi, elle lui avait fait boire un philtre d’amour. La rouquine était sur la piste de ces deux jeunes gourgandines depuis plusieurs semaines déjà (elle cherchait la première par simple curiosité, la seconde avec un désir évident de lui faire bouffer sa baguette jusqu’à ce que mort par suffocation s’ensuive), mais force lui était de reconnaître que son enquête piétinait (ceci étant, quelle idée avaient les professeurs, de leur donner tant de devoirs, quand ils avaient des questions primordiales à régler au plus vite ! La vie de Roman était en jeu, dans cette affaire !), aussi avait-elle décidé, en cette glaciale journée de novembre, de passer à la vitesse supérieure. Le jeu des options et des emplois du temps voulait que la jeune fille fût libre de tout cours le jeudi après-midi : l’idéal pour lancer une campagne d’espionnage digne de ce nom ! Il était, en effet, beaucoup plus difficile d’intercepter les confidences le week-end, surtout quand le temps était à la neige, car, alors, la plupart des élèves restait confinée dans les différentes salles communes, ce qui limitait cruellement le nombre de potins et autres petits secrets à circuler dans les couloirs. En semaine, par contre, les révélations allaient bon train, et il n’était pas difficile de les saisir quand on avait un tant soit peu de méthode.
Si Annagovia n’avait pas opté pour un placard à balai désaffecté ou une armure vide pour mener à bien son opération d’espionnage, c’était qu’elle avait bon espoir d’obtenir de bien meilleurs résultats dans les toilettes, et plus particulièrement dans ceux du troisième étage, où se tenaient les trois quart des cours (au troisième étage. Pas dans les toilettes. Ce serait un peu étroit et pas très pratique pour prendre des notes. Par contre, pour copier sur son voisin…) : dans son esprit, la sale cachottière de base se garderait bien de confier dans des couloirs ouverts aux quatre vents ses plus noirs secrets à sa meilleure copine (celle avec qui c’est à la vie, à la mort, même que plus tard elles monteront une boîte de cosmétiques sorciers ensemble et qu’elles habiteront dans le même appartement. D’ailleurs, on est tellement unies qu’on a échangé nos brosses à cheveux. C’est ça, l’amitié, la vraie). Non ! Les épanchements dignes de ce nom avaient un autre QG : les toilettes. C’était là, devant les lavabos, que s’échangeaient serments d’amitié, promesses de loyauté éternelle et… aveux plus ou moins sordides. Bref, s’il y avait bien un lieu où Anna pouvait espérer apprendre quelque chose sur l’affaire qui l’intéressait, c’était bien ici.
Elle s’était donc enfermée, dès la reprise dans cours, dans une des cabines, et avait attendu, avec une impatience mêlée d’excitation fébrile, chacun des intercours, carnet de notes en main et oreille tendue, que ses proies tombent dans son piège. Malheureusement, jusqu’à présent, elle avait fait chou blanc. Tout ce qu’elle avait retiré de la pause de quatorze heures, c’était qu’une fille de Serdaigle espérait que Machin, de Gryffondor, l’inviterait pour le bal de Noël, et « Oui, je sais qu’il n’a pas inventé la plume auto-correctrice, mais il est tellement chou avec ses grands yeux noisette… ». A quinze heures, une grande de Poufsouffle avait assuré avec force qu’elle soupçonnait sa pire ennemie, une Serdaigle qui avait osé lui piquer le type sur lequel elle avait des vues deux ans auparavant, de lui avoir volé son mascara pendant le cours de Soins aux Créatures Magiques. A seize heures, Anna avait pensé dégotter quelque chose quand un troupeau de Serpentard était entré dans les toilettes. Malheureusement, il s’agissait juste une bande de quatrièmes années débiles et gloussantes qui avaient passé leur temps à critiquer Bergamotte Silverstone. La pause de dix-sept heures approchait à grands pas et, pour tout dire, Annagovia commençait un peu à désespérer… Sans compter qu’elle s’ennuyait ferme, coincée dans sa cabine ! Elle avait d’ores et déjà passé en revue tous les sorts qu’elle connaissait, révisé sa métamorphose et tenté de retrouver de mémoire toutes les recettes de potion qu’elle avait déjà eu à réaliser en cours, mais tout ceci n’avait rien de très amusant, surtout quand on était seul !
Elle était en train de se demander sérieusement si elle allait rester là jusqu’à dix-huit heures ou si elle n’allait pas plutôt jeter l’éponge après prochaine interclasse, lorsque le bruit caractéristique de la porte qui s’ouvrait vint la tirer de ses pensées. Le cœur de la jeune fille fit un bond dans sa poitrine : sans plus attendre, et aussi silencieuse qu’elle le pouvait, elle grimpa sur le rebord du siège des toilettes pour que la, ou les, nouvelles venues, ne voient pas ses pieds. Malheureusement, dans sa précipitation, elle laissa tomber son carnet de notes à terre avec un « ploc » sonore. Anna grimaça, tenta de le rattraper et… Plouf, se retrouva avec le pied droit dans le trou de la cuvette. Avec un hoquet horrifié, la Poufsouffle écarquilla les yeux et s’exclama, totalement oublieuse de sa mission secrète :
- Arg, non ! Mince, c’est carrément dégoûtant !
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NEIGE |
| | | | | Invité
| Ξ Sujet: Re: Mission (parfaitement) Impossible [PV] Mer 9 Fév - 8:13 | |
| Aujourd'hui, le professeur de potion avait plus qu'insister pour qu'elle participe. Elle ne pensait pas le haïr autant un jour pour ça. Jamais elle n'avait pensé à mettre son professeur dans le chaudron pour voir le résultat d'une potion. Vengeance. Tous les serpentards de deuxième année étaient sur son dos maintenant, et elle savait qu'il ne s'écoulerait pas un mois avant qu'elle soit de nouveau tranquille. Qu'elle parvienne de nouveau à se faire oublier. Un soupire s'extirpa de sa gorge alors qu'elle marchait d'un pas traînant dans le couloir. Elle sentit son corps partir en avant lorsqu'on la bouscula violemment, c'était sans doute un cinquième année vu la taille mais il ne l'avait même pas remarqué. Alors que les lèvres de Salomé s'entrouvraient pour crier quelque chose au dangereux jeune homme qui avait faillis la tuer (d'accord, faut pas exagérer quand même), ses lèvres se fermèrent tout aussi vite. Ne pas se faire remarquer. Rester silencieuse, et calme, comme d'habitude. Mais qu'elle teigne de professeur ! Pourquoi lui avait-il fait ça ? Ce n'était pas parce qu'elle n'était pas douée en pratique qu'il fallait la pointer du doigt et lui poser des centaines de question. Elle n'était pas la seule élève nulle dans la classe. D'ailleurs, elle tâcherait de faire une liste des gens plus nulles qu'elle pour la donner au professeur... C'était peut être mal avisé de sa part d'agir de la sorte et de pointer des élèves de sa classe comme ça, mais elle s'en fichait sur le moment. Ils ne sauraient pas que ce serait elle. Et elle serait tranquille. Plus qu'enrager, notre demoiselle ne pouvait s'empêcher de monter les marches de la tour à grand pas. C'était bien la première fois qu'elle faisait autant de bruits de sa vie... « Qu'est-ce que je lui ai fait à ce professeur... » Rien, elle ne lui avait rien fait. Comme elle ne faisait rien aux autres professeurs par crainte. Elle aimait son petit coin seul, douillé, ou personne ne la voyait, ou personne ne communiquer avec elle pour lui dire qu'elle était nulle en pratique. Elle savait quand même très bien jouer du poignet en sortilèges et enchantements ! Pourquoi, pourquoi, pourquoi. Son calme reprit le dessus lorsqu'elle retrouva son dortoir. Se glissant sur son lit, empoignant un livre sur les Créatures Dangereuses qu'elle avait délicatement poser sur sa table de chevet, elle se mit à lire. Mais quelques secondes plus tard, un groupe de filles de son année arriva dans la pièce en piaillant. Silence impossible. Elle n'osait pas demander aux belles filles de se taire. D'ailleurs, bizarrement, elles ne l'avaient même pas remarqués. Rapidement, elle se redressa pour emprunter les escaliers, descendre dans la salle commune vide, et quitter la tour des aigles. La bibliothèque était-il un lieu sur ? Avec Madame Pince, le silence serait assuré.
Mais à peine arriva t-elle devant la bibliothèque, qu'elle glissa ses doigts sur la clenche, que rien ne se produisit lorsqu'elle poussa la porte. Elle essaya, encore et encore, alors que des jeunes gens passaient près d'elle et pouffer de rire. Salomé était consciente qu'elle avait l'air ridicule à pousser la porte, à supplier la verrou de s'ouvrir immédiatement pour qu'il mette fin à sa souffrance. Qu'avait-elle fait pour mériter cela aujourd'hui... Pince était surement partis. Elle s'installa contre la porte, alors que les jeunes élèves passaient devant elle tout en poursuivant leur discussion. Du coté de Salomé, elle était en train d'établir dans sa tête les mauvaises choses qu'elle avait pu faire aujourd'hui pour que Dieu la pointe du doigt. Sachez qu'elle n'est en aucun cas croyante, mais dans une telle situation, on finit toujours par se demander si Dieu n'a pas une dent contre vous. Finalement, résigner, la brunette se redressa pour se diriger nul part. Impossible d'aller dans les dortoirs alors qu'elle n'avait plus cours, tout le monde s'y retrouverait, et comme d'habitude, il y aurait beaucoup de bruit. La seule chose qu'elle aimait faire lorsqu'il y avait du bruit, c'était écouter les conversations, espionner. Parfois c'était intéressant, mais quand ça ne l'était pas, il fallait immédiatement changer de groupe. Les filles avaient tellement de chose à se dire, pourquoi elle ne parlait que de livres et de cours ? Et aussi... elle avait vraiment envi de demander à une dernière année ou un... s'il y avait moyen d'animer son journal. Elle n'avait pas trouver grand chose d'intéressant dans le livre de la bibliothèque la dernière fois... Désespéré... Dans les toilettes, c'était le silence, il n'y avait personne. Mais alors qu'elle se dirigeait vers une porte pour aller... faire tout ce qu'on fait dans des toilettes, un bruit sourd lui parvint. En premier lieu, quelque chose qui tombait sur le sol, un livre peut être ? SACRILEGE ! Qui avait osé faire tomber un livre. Dans des toilettes en plus... C'était... Mais elle n'eut pas l'occasion de poursuivre ses pensées alors qu'un autre son lui parvenait, moins amusant toutefois. Comme si quelqu'un venait de tomber dans les toilettes justement. Mais comment pouvait-on tomber dans les toilettes quand on était assis ? Il fallait vraiment y aller fort... Ou alors la jeune fille qui venait de jurer avec dégoût faisait autre chose que ses besoins dans les toilettes. Salomé ne put s'empêcher d'hausser les sourcils alors qu'elle se dirigeait vers la source du bruit, oubliant complètement pourquoi elle était venue ici. Elle toqua à la porte avant de murmurer d'une voix un peu trop basse pour qu'on entende chacun de ses propos distinctement. « Tu vas... bien... ? Qu'est-ce ... qui se passe ? » Sur le moment, elle était quand même vraiment curieuse de savoir ce que faisait la jeune fille dans les toilettes. peut être était-elle un envoyé spécial. Peut être une envoyée spécial très jeune qui devait se glisser dans les élèves de Poudlard pour découvrir des informations sur chaque élèves... ? Ah... Fallait vraiment qu'elle fasse très attention alors. Mais deux choix s'imposaient à elle. Soit elle attendait que la demoiselle sorte, soit elle prétextait une chose urgente à faire tout de suite. Parce que son interlocutrice devait être dans un sacré était si elle était tombée dans les toilettes.
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| Ξ Sujet: Re: Mission (parfaitement) Impossible [PV] Sam 12 Fév - 18:35 | |
| Annagovia était figée. Au grand concours de "Un, deux, trois Soleil", elle serait certainement sortie gagnante. Malheureusement, personne n'avait jamais organisé un tel concours dans une cabine de toilettes et, si on lui avait demandé son avis, la rouquine n'aurait sans doute pas dit qu'un premier prix valait la peine de plonger le pied dans la cuvette des toilettes (sauf s'il était constitué d'une réserve à vie de chocogrenouilles, auquel cas, on pouvait en discuter). Une moue d'intense dégoût plaquée sur le visage et les joues bien plus pâles que de coutume, Anna fixait d'un oeil ahuri son soulier un peu comme si elle espérait pouvoir revenir en arrière par la simple force de son regard.
* Beûrk, beûrk, beûrk ! C'est ignoble... Arg, il faut absolument que les elfes me désinfectent chaussure et chaussette, après un coup pareil, et plutôt deux fois qu'une ! * songea-t-elle, sans parvenir pour autant à ôter son pied de la cuvette afin de porter au plus vite ses affaires aux elfes de maison. En réalité, elle n'osait plus bouger le moindre muscle, tant la situation l'horrifiait. Une chance qu'elle n'ait pas aussi fait tomber son carnet dans le trou, parce que lui, pour le coup, elle aurait été obligée de le récupérer à la main. Ou alors d'essayer un wingardium leviosa, mais c'était prendre le risque de s'asperger d'eau au passage, et, pour l'heure, avoir une chaussure humide lui suffisait amplement, merci bien !
Rassemblant son courage à deux mains, la jeune fille s'efforça de soulever précautionneusement son pied pour se tirer de la fâcheuse position dans laquelle elle était. Hélas, à l'instant précis où, en équilibre sur un pied, l'autre, dégoulinant, levé à l'équerre au-dessus des toilettes, Annagovia tentait de retrouver un semblant de dignité avant de clopiner jusqu'aux cuisines (dont l'entrée top secrète n'était plus top secrète depuis belle lurette, sauf, peut-être pour le première année un peu à la ramasse) où, à cette heure de la journée, tous les elfes s'affairaient à préparer le repas du soir, quelqu'un toqua à la porte de la cabine. Mince ! La fille (enfin, on suppose) anonyme entrée dans les toilettes quelques minutes plus tôt ! Anna l'avait totalement oubliée... Tu parles d'une piètre détective, se dit-elle, consciente que, d'un point de vue discrétion, elle pourrait toujours repasser. Que faire ? Feindre de ne pas être là ? Mais ce serait sans doute vain ! D'une part parce qu'il aurait été franchement optimiste de croire que l'inconnue n'avait pas clairement entendu de quels cabinets tant de boucan émanait, d'autre part parce que, si elle ne répondait pas, la petite voix était bien capable d'ouvrir magiquement la porte, histoire de vérifier qu'Annagovia n'avait pas fait un malaise. Or, la Poufsouffle n'avait aucune envie d'être surprise dans la posture du flamant rose arthritique au-dessus de la cuvette.
* Arf ! Franchement Roman, si tu savais ce que tes bêtises m'obligent à faire... * grommela-t-elle en son for intérieur, tout en s'efforçant précautionneusement de reposer la pointe du pied à terre. "Spouitch", fit la semelle gorgée d'eau. Une eau qui, s'aperçut avec horreur la jeune sorcière, remontait lentement mais sûrement le long de sa grande chaussette d'uniforme. Oh Seigneur.
- Oh, ça va nickel ! assura-t-elle bravement, mais la voix un peu chevrotante, les yeux rivés sur la laine mouillée de son vêtement, Juste un petit problème de... Hum... Chaussette... précisa-t-elle, mortifiée, car elle ne pouvait s'empêcher de passer en revue tout ce que son interlocutrice devait être en train de s'imaginer.
* Oh Merlin... J'espère au moins que ce n'est pas la fille de Gryffondor ou la pétasse de Serpentard que je cherchais à identifier... Ce ne serait vraiment pas de chance de tomber sur l'une d'entre elles pile au moment où je grille ma super planque ! * songea-t-elle encore, avant de ramasser à la va vite plume et calepin et de les fourrer sans ménagement dans son sac de cours, avant que nul ne pût soupçonner ce qu'elle trafiquait. Puis, lorsqu'elle se fut assurée de ne rien avoir laissé traîner derrière elle, la Poufsouffle entrouvrit légèrement la porte des toilettes et, passant la tête à l'extérieur, lança un coup d'oeil inquiet à la personne qui lui faisait face.
Ouf ! Une Serdaigle (ou alors une Serpentard déguisée en Serdaigle pour noyer le poisson. Ne jamais sous-estimer l'esprit retors des Serpentard !). Un peu soulagée à cette constatation (mais un peu seulement, car l'humidité de son pied gauche l'empêchait de se réjouir franchement), d'autant plus que la fillette qui avait frappé à la porte était, de toute évidence, bien trop jeune pour que Roman s'y intéressât (sauf s'il s'agissait d'une Serpentard déguisée en Serdaigle et qui avait pris du polynectar pour prendre l'apparence d'une élève plus jeune. Ne jamais sous-estimer l'esprit retors des Serpentard. Ni celui d'Annagovia d'ailleurs), la rouquine adressa un sourire faussement détendu à sa camarade, et lança d'un ton détaché :
- Ah salut... Attends, je libère la place tout de suite, mais hum... Tu n'aurais pas une chaussette en rab' sur toi, par hasard ? demanda-t-elle, les yeux emplis d'espoir.
Après tout, les Serdaigle étaient censés être des gens organisés et prévoyants : ils devaient se promener avec trois ou quatre médicaments, un bézoard, dix plumes de rechange et au moins une paire de chaussettes supplémentaire sur eux, non ? C'était certainement inclus dans le contrat quand on était envoyé chez eux ! Certes, la fillette était un peu plus petite qu'Anna, mais cette dernière préférait nettement se promener en chaussettes, mais les pieds au sec, dans les couloirs, plutôt que de devoir faire "sploutch, sploutch" jusqu'aux sous-sols, surtout que la cloche n'allait pas tarder à sonner, et que les Serpentard ne la rateraient sûrement pas si elle venait à les croiser (quelle idée, aussi, d'avoir mis la salle commune de Poufsouffle dans le même secteur que celle des Serpentard. Les fondateurs avaient certainement dû jouer les emplacements à la courte-paille, elle ne voyait pas d'autre explication plausible) !
(998 mots)
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