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 [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]

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Quentin Montgomery-Bones
Quentin Montgomery-Bones
Commerce

Parchemins : 1648
Âge : 35 ans [16/05/80]
Actuellement : Gérant de la Jobarbille - Ménagerie magique
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Ξ Sujet: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyLun 13 Juin - 23:09

Un "pop" sonore se fit brusquement entendre parmi la quiétude des lieux et Quentin Montgomery apparut dans la rue Principale de Pré-au-Lard, les bras aussi chargés qu'ils pouvaient humainement l'être. Le jeune sorcier avait terminé sa journée de travail un peu plus tôt que d'habitude et avait consacré presque une heure et demi à faire les dernières courses de la soirée. La soirée, oui. Alors non, pas un diner aux chandelles avec Susan elle mangeait beaucoup, mais quand même mais bel et bien un repas avec amis de Quentin, amis de Susan et ceux qui allaient avec : les conjoints et les petit(e)s ami(e)s autant dire le double d'invités. C'est pas grave, on les mettra dehors.

Quand Quentin et Susan avaient emménagé dans leur nouvel appartement - il y'avait déjà plusieurs mois de cela - aucun d'eux n'avait pensé à fêter l'occasion en invitant des amis. Il fallait dire qu'ils s'y étaient installés fin du mois d'août et entre la rentrée des classes de Susan et la fin des congés d'été pour Quentin, aucun d'eux n'avait eut le temps de se consacrer à ça. Déjà que le déménagement avait été folklorique pour Quentin (vider son appartement Londonien en transplanant : praticité moyenne, en fait), et la reprise du travail passablement harassante, ni l'ex-Poufsouffle ni l'ex-Serpentard n'avaient pensé à inviter leurs proches en une seule grande occasion.

Ô bien sûr les amis les plus proches du couple étaient déjà passés les voir, durant l'année : Raphaël était bien évidemment en tête de liste, Lavande était passée à de nombreuses reprises, Elizabeth aussi, Sydney amie et collègue de Susan était une habituée de leur mini-bar la maison et bien évidemment, la famille proche du couple (Edward, Christian, Alban, Anabelle, etc...) n'avaient pas besoin d'invitation pour se rendre au domicile Montgomery-Bones Bientôt Bones-tout-court en fait, si Susan continuait à vouloir redécorer l'appartement à son image à toute heure du jour et de la nuit.

Arrivé au premier étage, Quentin déposa les courses sur le sol du vestibule pour se débarrasser de sa veste et après avoir posé toutes les courses dans la cuisine, se rendit dans le salon pour ouvrir les volets. Susan et Quentin avaient sans aucun doute hérité de l'appartement le plus atypique (et beau) de Pré-au-Lard. Bien qu'il faille monter d'un étage pour accéder à leur vaste demeure, le couple avait la chance d'avoir un jardin dans le prolongement de leur salon : Leur "immeuble" était en réalité mitoyen avec un grand massif de terre qu'on pourrait appeler mini-colline qui se prolongeait sur un vaste champ, donnant une vue imparable sur le lac noir. La maison était particulièrement rustique : entièrement composée de bois, l'ambiance y était naturellement très chaleureuse et on se sentait bien dans à peu près toute les pièces. Susan et Quentin avaient ouvert la cuisine à l'américaine sur le salon et la salle à manger, en faisant une grande pièce à vivre. Le sol entièrement constitué d'un parquet ciré couleur noisette c'est leur côté chocolat-forever donnait à l'opposé de la cuisine, sur un vaste escalier en colimaçon de bois, entrant dans un vaste trou circulaire dans le plafond, celui-ci facilitant l'accès aux chambres. Deux grands canapés blancs destinées à Susan reposaient sur un tapis cotonneux façon mouton pelé de la même couleur, donnant à la pièce un aspect moelleux et reposant.

Les volets et la porte vitrée enfin ouverts, la pièce était très lumineuse, mais ça n'allait hélas pas durer, vu l'heure avancée de la fin d'après-midi. D'ailleurs Susan n'allait pas tarder... Elle devait encore être occupée avec le professeur Flitwick, bien loin le petit vieux des soucis culinaires et festifs de son assistante. Et on le comprenait : entre une crémaillère à laquelle il n'assisterait pas et une tea-party avec ses jeunes aiglons, le choix était vite fait.

Quentin ne se découragea cependant pas, il avait certes du pain sur la planche et bien qu'il était épuisé de sa journée de travail un bon petit verre de bourbon le requinquerait, ce qu'il allait faire n'était pas plus éprouvant que ce que Susan faisait tous les jours pour lui avant qu'il n'arrive (tard) du travail.

D'un coup de baguette magique, Quentin s'occupa en premier lieu du salon : les canapés s'écartèrent dans un premier temps pour laisser le passage vers l'extérieur, des torches lumineuses éclairèrent le jardin et les plantes s'y trouvant façon Fort Boyard, une table de jardin apparut et s'habilla en moins de temps qu'il ne faut pour le dire de verres et de bouteilles de jus d'orange, bien sûr. La table du salon en chêne massif s'allongea presque naturellement pour contenir aisément une dizaine de personnes et une nappe bleu ciel décora le tout. Les verres, assiettes, couverts et chandelles tombèrent quelques secondes plus tard du ciel pour se dresser à leur place pendant que Quentin était déjà dans la cuisine.

Il avaient préparé l'essentiel du repas la veille mais restait bien évidemment les préparations de dernières minutes, celles qui prenaient en réalité le plus de temps et de travail. Fort heureusement, Susan n'allait pas tarder à arriver, à deux ils abattraient déjà plus de travail.

Spoiler:
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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

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Âge : 35 printemps (21 juin 1980)
Actuellement : Professeur de sortilèges
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptySam 18 Juin - 23:54

Avis au (potentiel) lecteur : c’est ici un livre post de bonne foi lecteur. Il t’avertit dès l’entrée que je vais honteusement plagier Michou je ne m’y suis proposé aucune fin ce qui risque de t’ennuyer très vite. Je n’y ai nulle considération de ton service ni de ma gloire charmant (là on en saute un peu) : ce n’est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain va donc faire un truc utile, tiens. Adieu donc. Ou, pour le dire autrement : étant donné que ce machin est dix fois trop long comme mes premières parties de leçon, tiens ! Coïncidence ? Je ne crois pas… et que je t’aime bien, lecteur (je pense à tes petits yeux fragiles), tu peux sauter tous les paragraphes précédant le BREF (75% du post, donc. A une vache près). Tu peux aussi sauter ceux d’après, remarque, mais dans ce cas, c’est certainement que tu as cliqué sur le mauvais sujet. Moi aussi, ça m’arrive.

- Ah, Bones, mon petit, j’ai pensé qu’on pourrait peut-être commencer à réfléchir sur le planning des examens ce soir ! Avait claironné, à dix-sept heures tapantes, et alors que le brouhaha des élèves en route pour leur dernier cours de la journée emplissait progressivement les couloirs de l’école, tel un gigantesque oracle, incompréhensible et mystérieux pour qui avait oublié d’ouvrir son troisième œil référence littéraire, référence littéraire. Toi aussi, révise ta littérature avec HPHogward, le Professeur Flitwick, avec l’air réjoui du Père Noël tirant de sa hotte magique la star des cadeaux j'ai nommé, le poney de Barbie. Mais après tout, personne n’avait jamais dit que le Père Noël n’était pas complètement sénile tiens, ça me rappelle un homme politique qui… Comment cela, censuré ?.
- Euh, oui, mais alors justement, ce soir il faut que… Avait tenté de s’interposer Susan, tandis que les deuxième année de Serpentard (alias l’engeance du démon) prenaient place dans la salle de classe. Malheureusement pour elle, le directeur de Serdaigle l’avait immédiatement interrompue, un immense sourire extatique collé sur la figure (un jour, il allait réellement falloir qu’elle songe à lui confisquer son thé à la graine de pavot).
- Et ensuite, il faudra absolument passer en revue le compte-rendu du dernier colloque magique international ! Avait-il piaillé, avec des airs de conspirateur.
- Oui, mais en fait, je dois… Bel essai, il était noble de s’accrocher, mais, hélas, caramba encore raté.
- L’avenir de la communauté sorcière est dans ce colloque, Bones, rendez-vous compte ! S’était exclamé Flitwick, les joues plus roses que de coutume (du moins plus roses que de coutume quand Madame Pince n’était pas dans les parages) sans prêter la moindre attention aux, certes frileuses, mais néanmoins louables, tentatives de communication de Susan.
- D’accord, mais le problème c’est que… Avait-elle pourtant encore chuchoté, après avoir coulé un œil prudent en direction des élèves, qui, maintenant qu’ils étaient tous installés, tendaient visiblement une oreille plus ou moins bienveillante vers l’aparté professoral.
- Allez, hop, Bones, assez bavassé ! Au travail ! Avait conclu Filius, en se frottant les mains, apparemment ravi à l’idée de décortiquer des actes de colloque obscurs et, accessoirement, écrits dans des langues aussi diverses que variées ( « L’occasion rêvée pour se mettre au javanais, Bones ! ») toute la soirée.

Une fois de plus, Susan n’avait donc pas eu le courage de dire non aux heures supplémentaires que lui imposait proposait Flitwick. Le petit professeur avait toujours l’air tellement réjoui lorsqu’il lui ordonnait demandait de rester à Poudlard après les heures ouvrables ( « Dites-moi, jeune fille, une réunion entre minuit et une heure du matin, ça vous irait ? ») qu’elle ne s’était jamais senti le cœur de lui opposer un refus catégorique. A bien y réfléchir, il pouvait parfaitement s’agir, non pas d’un réel besoin de la garder plus que de raison ( « Oh Merlin, Susan ! On a oublié de remplir les bulletins pour demain matin huit heures… Allez courage : ça ne fait que six cents appréciations à trouver. A la louche… »), mais d’une ruse diabolique mise en place par le patronat suceur de sang son mentor pour l’obliger à demeurer son esclavette soumise à vie (* Un regard de cocker, un sourire de joyeux lutin, j’associe mon capital sympathie à la corde culpabilisatrice et c’est dans la poche ! *), et ainsi imposer son autorité de Maître Tout Puissant ( « C’est qui le lion. Blague pseudo culturelle, blague pseudo culturelle chef, ici ? Hum ? J’attends ! »). Si le travail acharné n’effrayait pas la rouquine – après tout, la tradition ne voulait-elle pas que les Poufsouffle fussent des bourreaux de travail ? – elle n’en trouvait pas moins regrettable que ces heures supplémentaires lui tombent systématiquement dessus sans crier gare et, de préférence, les soirs où elle ne pouvait justement pas se permettre de rester trop tard à Poudlard. Flitwick avait beau être un maître warfwarfwarf de l’organisation des séquences pédagogiques toi aussi, révise avec HPHogward, j’ai dit, il restait cependant incapable de planifier ses journées – et, par extension, celles de Susan - à l’avance, pour ne pas dire totalement allergique à tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un planning.

Si cette situation ne l’avait pas dérangée outre mesure au cours des années passées, c’était qu’elle vivait seule et couchait, de toute façon, à Poudlard dans le cagibi des elfes de maison : dans un tel contexte aider, au pied levé, Flitwick à ranger sa bibliothèque personnelle ou à dresser la liste des fournitures scolaires à commander ( « C’est bon, Bones ? On n’oublie rien ? Parfait ! Alors maintenant, allez donc convaincre notre directrice bien aimée de nous allouer les crédits nécessaires… Merci Bones ! ») ne lui apparaissait alors que comme une continuation naturelle de sa journée. Maintenant qu’elle habitait avec Quentin, cependant, cet état de faits avait changé. La manière de fonctionner du Ministère de la Magie était autrement moins bordélique imprévisible que celle du Professeur Flitwick, et, quoiqu’il demeurât – pour l’instant – muet à ce sujet, Susan sentait bien que le jeune homme n’appréciait guère de recevoir régulièrement des hiboux, catastrophés et tardifs, lui annonçant qu’elle était encore retenue à Poudlard jusqu’à une heure indéterminée. La patience du Serpentard était néanmoins mise à rude épreuve depuis que Susan lui avait annoncé, près de trois mois auparavant, qu’elle était enceinte mais pas de lui. Pas le temps de faire de sujet, les enfants, alors on fait du deux en un. Promotion du jour, bonjour. Depuis lors, les maîtres mots du jeune homme paraissaient être quiétude et organisation, devise qui n’avait rien de commun avec les horaires en dents de scie du Professeur Flitwick. Pour autant, la rouquine n’avait pas le sentiment d’avoir plus de mal que d’habitude à s’adapter au rythme incongru de son supérieur : pour tout dire, et hormis une fâcheuse tendance à être malade tous les matins à six heures pétantes (une façon comme une autre de bien commencer la journée), Susan n’avait pas du tout l’impression d’être enceinte. Il lui arrivait ainsi de l’oublier complètement pendant des heures entières, jusqu’à ce que la réalité ne s’impose de nouveau subitement à elle, généralement de la manière la plus inattendue possible ( « Tiens, Sydney, passe-moi l’alc… Euh, l’almanach ! Passe-moi l’almanach ! Comment ça, t’en as pas ? Mais c’est une sandale c’est un scandale ! »).

Frapper aurait d’ailleurs été un terme plus approprié. C’était cela : la réalité revenait la frapper régulièrement… Avant qu’elle ne l’occulte à nouveau. Une vaste ronde quotidienne d’oubli et de redécouverte. Si Susan éprouvait tant de difficulté à intégrer un fait qui n’était pourtant pas de nature à être facilement omis, ce n’était pas qu’il la laissât indifférence – tout au contraire, elle était envahie tout à la fois d’une profonde plénitude et d’un intense bonheur chaque fois qu’elle y songeait – mais plutôt que les changements qui se profilaient à l’horizon étaient bien trop énormes pour qu’elle les eût encore pleinement intégrés, d’autant plus qu’elle n’était pas prête à abandonner le Bourbon que cette grossesse était arrivée bien plus rapidement que prévu (mais un accident est si vite arrivé non, aucun rapport avec une soirée trop arrosée, m’enfin !). Oh, bien entendu, Quentin et Susan avaient d’ores et déjà envisagé d’avoir des enfants (note le pluriel, c'est important) ensemble – on atteignait rarement sept ans de relation sans au moins aborder le sujet une ou deux fois, a fortiori lorsque tous vos copains se mettaient en tête de procréer un effet de mode qui n’était pas destiné à durer, soit dit en passant – et la question était revenue plus souvent sur le tapis depuis qu’ils vivaient ensemble, mais jamais ô grand jamais ils n’avaient pris date. Lorsqu’ils pensaient à avoir des enfants, c’était toujours dans un avenir plus ou moins proche. Un an, deux ans, trois peut-être. Le temps d’être plus âgés, le temps d’être mieux installés, le temps d’être prêts. Mais l’existence, cette grande farceuse, en avait vraisemblablement décidé autrement. Etrangement, Quentin avait eu beaucoup moins de mal qu’elle à s’adapter à la nouvelle, peut-être parce qu’il avait deux sœurs cadettes et déjà quelques neveux et nièces. Pour la fille unique qu’était Susan, les bébés restaient un concept très abstrait pour ne pas dire une affabulation et, pour la première fois de son existence sans doute, elle regrettait amèrement de ne pas avoir une sœur plus âgée avec laquelle discuter. Plus âgée et déjà mère, bien entendu. Sinon elle ne servait à rien, la sœur ( « Tu as des enf… Non ? Désolée, tu ne m’intéresses pas. »).

BREF (et là, tout le monde respire). La rouquine espérait cesser de jouer au yoyo sur la grande scène de la révélation en boucle ça claque, ça ne veut rien dire, mais ça claque. Toi aussi, révise avec… Enfin, vous avez compris le concept dès qu’ils auraient officialisé la situation, es decir dès qu’ils auraient averti le monde (voire l'univers) de se préparer à la réception d’un faire-part à petits moutons gambadant joyeusement dans la prairie c’est bucolique, c’est du Virgile au printemps suivant. Et comme ils avaient le sens pratique enfin, Quentin, surtout, parce que Susan, elle compte les nuages, ils avaient décidé de profiter de la pendaison de crémaillère (et non pas de la « crémation de pendaillère », comme je l’avais écrit au début) pour annoncer la nouvelle à leurs amis. Car oui, aussi incroyable que cela pût paraître, Susan avait des amis mieux à faire, ce soir-là, que de déchiffrer un sombre article écrit en polonais. Et pourtant, Merlin seul savait à quel point elle se passionnait pour les articles en polonais. C’était même encore mieux quand ils étaient suivis d’une communication en tchèque, de préférence résumée en roumain à la fin ça sent le vécu. Malheureusement, elle allait devoir la haine sacrifier ce plaisir intellectuel pour filer, quel dommage, rejoindre Quentin à Pré-au-Lard.

- Euh, Professeur… Tenta-t-elle timidement, après presque une heure d’épluchage consciencieux d’articles, il faudrait vraiment que je m’en aille, maintenant… mon chat est malade, ma grand-mère a une rage de dent et j’ai la gangrène…
- Humph ? Dit Flitwick, en redressant brusquement la tête crac les cervicales de sa propre pile de communications dans laquelle il avait piqué du nez avait plongé avec un intérêt manifeste, Si tôt ? Enfin, allez, Bones, mon petit, allez… Mais si vous pouviez venir plus tôt demain matin… Suggéra-t-il, jouant avec brio de son capital sympathie et du point de suspension accusateur.
- Euh… C'est-à-dire que…
- L’avenir du monde sorcier, Bones ! L’avenir du monde sorcier !
- Oui Professeur…
Tant pis ! Elle aurait du mal à se lever le lendemain matin, mais pourrait finir tranquillement sa nuit sur le compte-rendu du colloque… L’un dans l’autre, ce n’était pas si terrible. De toute façon, elle n’avait pas le temps de négocier : elle était déjà en retard et Quentin risquait réellement de lui en vouloir si elle se pointait en même temps que les invités ( « Salut, Quentin ! C’est très mignon, chez nous, dites donc… Tu as préparé à manger ? Panse de brebis farcie à la menthe, comme prévu ? »). Piquant un sprint à travers les couloirs clopinant, donc, heureusement vides, à cette heure, car tous les élèves dînaient, la rouquine traversa le parc à toute allure et ne s’arrêta que pour transplaner (ce qui, étant donné la distance, était un peu risible, mais aux grands maux, les grands remèdes passe-moi le brandy) devant les grilles de l’école. Un pop sonore et une poignée de secondes plus tard, elle arrivait, essoufflée et échevelée, devant la porte de la maison des voisins. Elle a eu son permis de transplaner par erreur.

- Pardon, pardon, pardon ! S’exclama-t-elle en entrant à toute allure dans le salon, une sinistre affaire de colloque pour sauver le monde et… Tenta-t-elle d’expliquer d’un ton précipité. Mais elle s’arrêta net lorsqu’elle découvrit la table Waouh ! Tu as déjà eu le temps de faire tout ça ? Arf ! Je suis vraiment, vraiment désolée d’être aussi en retard ! J’aurais dû t’aider… Dit-elle d’un ton penaud. Elle traversa la pièce pour rejoindre le jeune homme, lui posa une main sur l’épaule et l’embrassa tendrement en guise de bonsoir Susan aime faire les choses dans l’ordre, tu notes, j’espère. Alors ? Demanda-t-elle ensuite en glissant son bras sous le sien, Qu’est-ce qu’il me reste à faire ? Pas grand chose j’espère, que je ne sois pas arrivée exprès en retard pour rien

Le travail étant, effectivement, plus rapidement abattu à deux même avec Susan Boulet dans l’équipe « Oups ! J’ai encore cassé un verre… », tout était opérationnel lorsque la sonnette tintinnabula une trentaine de minutes plus tard.
- Tu peux ouvrir ? Appela Susan qui, les deux mains dans le four se livrait à sa mea culpa quotidienne, tel l’elfe de maison lambda vérifiait la cuisson d’un plat d’accompagnement le cassoulet.


Dernière édition par Susan Bones le Lun 20 Juin - 18:08, édité 1 fois
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyDim 19 Juin - 11:41

Dawn avait perdu les comptes. Ca faisait un bail, maintenant, qu’elle sortait avec Lexy Terence. Elle n’avait pas tenu à jour son cahier de petit ami et savoir depuis quand exactement, elle sortait avec lui, était tout simplement impossible… Surtout qu’au tout début de leur relation, elle avait été une très vilaine fille, puisqu’elle l’avait simplement pris comme amant, alors qu’elle était toujours fiancée à Isaak Irving. Aussi n’était-elle pas capable de savoir depuis quand, au juste, elle côtoyait cet homme. Ceci étant, ce n’était pas là le plus
important. Non, ce qui comptait réellement, c’était qu’elle en était folle amoureuse. Vraiment. Chaque instant passé avec Lexy était magique… Bien plus encore que n’importe quel sortilège appris à Poudlard ! La magie de l’amour n’était comparable à aucun sortilège quant aux potions alias filtre d’amour, il faudrait demander à Alexander… XD.

Quand Dawn avait reçu l’invitation de Quentin et accessoirement Susan, elle se trouvait chez Lexy (pour changer un peu, tiens !). Assise par terre, puisqu’elle faisait des étirements, elle avait été interrompue par un hibou qu’elle connaissait bien même qu’il s’appelle Hector !. Intriguée, elle s’était redressée pour trouver de quoi ouvrir le parchemin qui lui était destiné. Pensive, elle jeta une souris morte au hibou pour qu’il lui laisse la paix, plutôt que de hurler à tout va à côté d’elle. Lisant ensuite l’invitation, elle demeura silencieuse un moment. Moment que choisit Lexy pour rentrer. Quand il vit le hibou et la tête de sa petite amie, il la questionna, et elle lui tendit le parchemin, toujours pensive.

« Je vais y aller, bien sûr, il s’agit de Quentin… »

Commença-t-elle tout en demeurant songeuse. Soupirant, elle s’étira et posa ses prunelles lacées dans celles de son petit ami :

« Et peut-être qu’on pourrait songer à faire des présentations… Qu’en penses-tu ? »

Evidemment, agir ainsi allait pas mal bouleverser leurs deux vies respectives. S’asseyant donc dans un fauteuil, elle entama la conversation avec Lexy. Plusieurs choses devaient être mises à plat, avant de songer à partir à cette crémaillère en couple :

« Bien sûr, il faut songer aux conséquences. Si les médias n’en sauront sans doute rien, ma famille, elle, ne manquera pas d’être informée… C’est inévitable, avec toute la population sorcière qu’il y a là-bas… Alors je pense que la décision t’appartient, mais quoique tu choisisses, je serais toujours de ton côté. »

Doucement, la jeune femme caressa la joue de Lexy et déposa un léger baiser sur les lèvres de ce dernier.


…………..


Le jour J était finalement venu, et le couple avait décidé de se rendre ensemble à cette soirée. Dawn avait enfilé une robe rouge moulante. Ses longs cheveux noirs étaient lâchés sur ses épaules (ce qui se faisait rare, avec son métier de danseuse classique. Ses ongles étaient vernis
de noir, et elle avait mit des talons de 10 centimètres, noir eux aussi (niveau hauteur, elle s’arrangeait toujours pour ne pas être trop petite à côté de Lexy, tant qu’à faire, ce qui n’était pas évident, étant donnée leur différence de taille (soit 20 centimètres !). Ses yeux étaient mis en valeur par des traits noirs, précis. Passant un rouge à lèvre, rouge, elle serra les lèvres et admira le résultat. Tout était parfait. Se tournant vers Lexy, elle lui adressa un sourire rayonnant, lui tenant doucement la main :

« Prêt ? »

Comme toujours, il était magnifique en même temps, il a intérêt, étant donné son métier !. Le couple transplana finalement pour Pré-Au-Lard. Ils n’eurent pas à
traverser le village, étant arrivés au niveau de la cabane hurlante. Rejoignant la demeure du couple, ils montèrent à l’étage (après qu’on leur eut ouvert la porte d’entrée du hall) et frappèrent à la porte de l’appartement. La Russe jeta un coup d’œil à son amant, ce dernier portait un coffret de fioles faîtes main (en Russie) remplies de potions que la brune avait faîtes pour le couple… des choses extravagantes, d’autres utiles… C’était un petit méi mélo qu’elle trouvait original… Dawn se sentait un brin angoissée, l’air de rien. Quand le visage de Quentin apparut dans l’embrassure de la porte, la Russe lui adressa un large sourire :

« Quentin ! »

Elle embrassa le sorcier sur les deux joues, radieuse. Puis, elle s’écarta pour lui présenter son petit ami. C’était, à présent, devenu officiel.

« Je te présente Lexy… »

Entrant, elle se trouva face à Susan Bones et alla donc l’embrasser sur la joue, parfaitement hypocrite :

« Susan ! Quel plaisir, comment tu vas ??? Mais que voies-je, ne sont-ce pas des toilettes là-bas ??? Aller, tu me les fait visiter, je suis sûre qu’on va passer un bon moment toutes les deux ! »
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyDim 19 Juin - 18:08


Lexy se souvenait parfaitement du jour où il a clairement décidé qu’il allait être sérieux et qu’il allait accepter ses sentiments pour la belle russe qu’était Dawn. Après un aveu sur la rupture de ses fiançailles, Dawn n’avait pu vu Lexy pendant quelques jours. Et durant ces jours là, le suédois s’était posé des dizaines de milliers de questions. Il avait appelé Ashaiah puis sa cousine Luca. Il avait demandé conseil à Yann aussi, mais ce dernier s’était montré plutôt inutile... Mais Lexy l’avait tout de même appelé. Il avait même passé chacun de ces jours loin de la russe avec son agent et ami... Puis il était retourné la voir, lui avait attaché le bracelet qu’il lui avait offert et s’était dit qu’il était enfin en train de devenir un mec bien. Puis ils avaient commencé par se voir, pratiquement tous les jours, et a squatter un appartement puis l’autre... Et petit à petit, ils avaient fini par rester uniquement -ou presque- dans l’appartement New Yorkais de Lexy. Si Lexy se souvenait parfaitement du jour où tout était devenu sérieux, il ne se souvenait par contre pas du jour où Dawn avait plus ou moins déménagé. Parce que cela s’était fait au fur et à mesure, et qu’ils le vivaient bien comme ça, sans aucun doute...

Cependant, un jour allait complètement bouleverser leur train-train quotidien. Ce jour là, Lexy avait un shooting pour toute la journée. Cependant, il comptait bien rentrer pour déjeuner à midi avec sa petite amie, et le fait qu’il était un sorcier aidait beaucoup. Ainsi, quand il avait rejoint Yann ce matin-là, il l’avait prévenu. Il voulait sa pause déjeuner à l’heure, il voulait deux heures de pauses, pour pouvoir manger avec sa copine. Si Yann était au courant pour Dawn, c’était avant tout parce que Lexy pensait que son meilleur ami avait le droit de savoir, puisque ce dernier l’avait aidé à faire son choix. Il n’avait cependant jamais vu la brune assez longtemps pour discuter avec elle, mais il savait faire en sorte que toutes les photos qui pouvaient être compromettantes pour le couple de son protégé -Lexy donc- disparaissent comme par enchantement... Quand le shooting stoppa à midi, Lexy s’enferma dans sa loge et transplana. Lorsqu’il ouvrit la porte de son appartement, il trouva Dawn, assise par terre, en train de faire ses étirements. Ou plutôt en train de lire une lettre. Le Suédois lui jeta un regard intrigué, lui demandant ce qu’il se passait, et Dawn lui passa le parchemin pour toute réponse. Lexy le parcourut rapidement et le rendit à sa petite amie.


«Je suis prêt à aller n’importe où avec toi...»

Il s’agenouilla à ses côtés et déposa un baiser sur les lèvres de cette dernière. Il n’y voyait pas d’inconvénient, s’il pouvait venir, il viendrait. Et si Dawn pensait qu’il serait maintenant bon pour eux d’officialiser leur couple, ce n’était pas Lexy qui allait refuser. Les médias, comme le disait Dawn, seraient faciles à faire taire, Yann était un pro de ce côté... Mais la famille de Dawn allait apprendre l’existence du Sang-Mêlé qui partageait la vie de leur petite Sang-Pur... Et bien, s’il fallait se battre, il se battrait...

«Si tu le veux, je le ferais. On ira à cette soirée, peu importe les risques.»

Lexy déposa un nouveau baiser sur les lèvres de sa petite amie, lui murmura un «je t’aime» à l’oreille, avant de se lever pour préparer le repas. Il savait se débrouiller côté cuisine et jusqu’ici, personne n’en n’était mort... Lorsque le repas fut prêt, Lexy appela Dawn, et discuta avec elle. Ils devaient maintenant penser au cadeau, mais Dawn semblait déjà avoir une idée en tête...

***

Le jour de la crémaillère était arrivé plus rapidement que ne l’aurait pensé Lexy. Dawn avait contacté Quentin pour savoir si elle pouvait amener quelqu’un, et après une réponse positive de ce dernier, ils avaient chercher ce qu’ils pourraient éventuellement dire... Car avouer qu’ils avaient été intimes pendant que la brune était encore fiancée à Isaac Irving, ce n’était pas vraiment la meilleure des choses pour la réputation de la belle russe... Même si ses amis s’en ficheraient peut-être, sa famille s’en moquerait bien moins. Ils s’étaient préparé deux heures avant de partir. Bah oui, chacun passant une heure dans la salle de bains, il fallait bien ce laps de temps pour ne pas être e retard ! Tandis que Dawn avait revêtit une magnifique robe rouge, Lexy lui, avait enfilé un jean noir, une chemise blanc et avait passé une veste de costume par-dessus. Avec des chaussures italiennes, son look passait parfaitement bien, sans faire pingouin pour autant.


«J’ai le cadeau, donc oui ! On est parti !»

Et oui, c’était Lexy qui portait le cadeau. Et Dawn avait fait fort, Lexy ne pouvait pas le nier. Les amoureux transplanèrent à Pré-Au-Lard, arrivant près de la Cabane Hurlante. Pas bien loin donc, de la demeure de l’ami de Dawn. Lexy ne savait pas qui était invité, mais il savait qu’il ne connaissait personne, ou peut-être une personne, en dehors de sa petite amie, par le plus grand des hasards... Mais il y croyait tout de même moyennement. Arrivés à destination a droite, Dawn appuya sur la sonette. Quand la porte s’ouvrit, la brune sauta au cou de celui qui avait ouvert. Quentin, comme elle venait de l’appeler. Quand Dawn s’écarta pour laisser passer Lexy, et qu’elle le présenta, ce dernier tendit sa main et esquissa un sourire.

«Bonsoir, ravi de faire votre connaissance.»

Félicitations , Bravo ? Lexy ne savait pas vraiment quoi dire... Mais ce n’était pas trop grave, si ? Enfin. Le cadeau dans la main gauche -puisqu’il avait tendu la droite à Quentin-, il suivit Dawn vers la compagne de Quentin. Susan donc. La bise que lui fit Dawn le fit presque rire. Elle semblait tout sauf sincère dans ses paroles... Mais peut-être voyait-il cela parce qu’il vivait tous les jours avec la russe.

«Enchanté.»

Lexy fit la bise à la rousse, et jeta un regard vers Dawn pour le cadeau. Il le donnait maintenant, où il le posait sur une table ? Oui, on l’aura compris, Lexy n’était pas DU TOUT habitué aux crémaillères... Quand il faisait des fêtes, c’était souvent avec pleins de stars, et il suffisait de payer une bonne grosse bouteille de champagne pour dire qu’un cadeau avait été fait... Rien de bien compliqué quoi !
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Heaven Gibson
Heaven Gibson
Directeur Serpentard

Parchemins : 2363
Âge : 14.02.84 ;; 32 ans
Actuellement : Professeur de potions & styliste aux 1001 Symphonies
Points : 0


Informations supplémentaires
SIGNE PARTICULIER:
RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: Aucun
FACECLAIM: Kaya Scodelario & Juliette Koch-Sian


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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyDim 19 Juin - 23:52


Un jour normal avait débuté dans la demeure londonienne de Raphaël Gibson et Heaven Clarks. Le début des vacances avait été prononcé deux jours plus tôt, et la fin de Poudlard, ses ASPIC et le départ de Taliesin également. Heaven était définitivement adulte. Elle avait fini ses études, était majeure et vivait avec son petit ami depuis un an désormais. Ce matin-là, quand elle s’était réveillée, Raphaël était déjà debout. Il avait cette manie de se réveiller plus tôt qu’elle et de la laisser dormir. Alors parfois, elle trainassait au lit, alors que le brun bossait, répétait, ou s’enfermait dans son bureau -qu’Heaven évitait soigneusement d’approcher, de peur de se prendre un sort en pleine face. Elle se fichait bien de savoir ce que Raphaël pouvait y faire -quoique- mais tout de même, elle savait son petit ami assez timbré pour avoir enchanté la porte, et elle préférait éviter toute troisième guerre sorcière...

Quand elle rejoignit le salon, elle y trouva Raphaël, un hibou volant à ses côtés, un parchemin à la main. S’en souciant peu, la brune s’occupa tout d’abord de déposer un baiser sur la joue de son petit ami, avant de s’occuper de son petit-déjeuner et de son thé. Quand elle eut tout sorti, elle fut étonnée de voir que Raphaël lui tendait ledit parchemin. Elle se fichait pas mal de son courrier, quoi qu’elle riait assez lorsqu’elle lisait les lettres que des fans -complètement folles, c’était clair- pouvaient lui écrire. Elle s’attendait à avoir sous les yeux une énième lettre d’une fille «raide dingue» de son petit ami, qui lui offrait la lune et le bon dieu sans confession, quand elle tomba nez à nez avec un nom qu’elle ne connaissait que trop bien. Quentin Montgomery, le meilleur ami de Raphaël, qui ne portait pas vraiment Heaven dans son coeur, les invitaient tous les deux à sa pendaison de crémaillère... Crémaillère que Raphaël et Heaven n’avait toujours pas organisée après un an... Mais bon, ce n’était pas si important que cela, si ?


«Pour moi, il n’y a pas de problème... Tu t’occupes du cadeau ? C’est ton meilleur ami, tu sauras sans doute mieux que moi quoi leur acheter...»

La brunette esquissa un sourire et but une gorgée de son thé. Elle se demandait comme Quentin allait l’accueillir. Ils ne s’étaient pas vu souvent depuis que la brune sortait avec Raphaël, pour ne pas dire jamais... Mais bon, elle avait finit par enfouir sa jalousie... Après tout, Raphaël était son petit ami à présent, et elle vivait avec lui... Donc elle n’avait plus à avoir peur que Quentin ne s’accapare ce cher Raphaël... La petite amie de Quentin, Susan, Heaven ne la connaissait pas trop. Elle savait bien que ces deux là étaient ensemble depuis un bon bout de temps, mais après... Elle avait toujours plus ou moins reproché à la demoiselle sa maison, Poufsouffle... Mais bon, peut-être en valait-elle le coup...

***

Le jour de la crémaillère arrivé, Heaven avait passé trois heures devant son dressing, retenant Syanis -qui avait sans doute autre chose de plus intéressant à faire que de choisir une robe avec la petite amie de son maitre- pour savoir quelle robe elle allait porter. Bien entendu, elle hésitait entre trois, toutes nouvelles, qu’elle aimait autant l’une que l’autre... Et à chaque fois qu’elle commençait à se décider pour de bon, un détail d’une des deux autres robes l’attirait et la faisait changer d’avis. Finalement, elle demanda son avis à Raphaël, qui se porta sur une robe bustier blanche, avec des espèces de plumes sur le bas de la robe. Une fois habillée, elle dut choisir les chaussures, et opta pour des spartiates hautes de couleur claire.

Quand elle fut fin prête, la brune rejoignit Raphaël qui commençait à légèrement s’impatienter dans le salon. Elle déposa un baiser sur les lèvres de ce dernier -en évitant de lui mettre du rouge à lèvre partout- et après avoir vérifié qu’ils avaient bien tout -et surtout, le plus important, le cadeau !- ils transplanèrent à Pré-Au-Lard, tout près de la Cabane Hurlante. Au moins, ils n’auraient pas trois kilomètres à marcher, même si la soirée était douce.

Arrivés devant l’appartement de Quentin, puisque celui-ci avait daigné leur ouvrir la porte du bas, ils sonnèrent. Quentin lui-même ne tarda pas à ouvrir, et Raphaël le salua comme s’il était son frère. Ces deux là s’entendaient très bien depuis des années, et ce n’était pas pour rien qu’ils étaient meilleurs amis. Quand Heaven entra, elle fit la bise à Quentin, rayonnante :


«Bonsoir Quentin ! Je suis ravie de te revoir !»

Et elle était -attention les yeux- sincère. Car si avant, la présence du jeune homme l’insupportait, maintenant, elle n’y faisait plus attention. Il avait tout à fait le droit de voir Raphaël, et elle n’y voyait plus d’inconvénient. Bon, bien entendu, si le brun venait à lui faire une remarque sur son couple ou autre, elle reverrait sans doute son jugement à la baisse... Mais pour l’instant, tout allait bien. Heaven alla saluer Susan, lui faisant également la bise. Puis, déjà installés, elle trouva Dawn Kostovak, une des anciennes Perfects, à laquelle elle ressemblait plutôt pas mal, de ce qu’on lui avait dit. Elle la salua poliment, puis son regard se posa sur Lexy. Elle le connaissait bien, et était étonnée de le voir ici, et visiblement en couple... Etait-ce passager ou ... ?

«Bonsoir Lexy ! Comment vas-tu ?! Comme le temps passe !»

Elle évita toute remarque sur Keira. Elle ne savait pas trop si ces deux là se parlaient encore... Aux dernières nouvelles, non, alors mieux valait éviter de remuer le couteau dans la plaie, n’est-ce pas ?
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyLun 20 Juin - 15:17

    Voilà longtemps que Megan n’avait pas eu droit à sa part de mondanité et elle avait hésité, même, à participer à cette petite soirée en l’honneur de ses amis Quentin et Susan. Enfin, en fait d’amis, surtout Susan, elle ne s’était jamais réellement sentie très proche de Quentin, peut-être parce que c’était le frère de Christian et qu’il ne fallait pas tout mélanger, peut-être parce qu’elle avait longtemps été amoureuse de quelqu’un dans cette même maison et qu’elle s’était dit, du coup, qu’il valait mieux tous les éviter… bref. Toujours est-il que vivant à Pré-au-lard elle aussi, juste au-dessus de la boutique de Myrielle en fait, elle ne pouvait refuser d’y aller tout bien réfléchi. Alors elle s’était préparé, mais sur le carton Simon était écrit, Simon qu’elle avait quitté voilà plusieurs mois… sans rien dire à personne, seulement parce qu’elle préférait ne plus y penser. Ce n’était pas qu’elle ne l’aimait plus, non, cela aurait été beaucoup plus simple si cela avait tout simplement ça, quelque chose de banal, un amour qui se termine… Elle l’avait quitté parce qu’elle se sentait seule, qu’il n’avait plus de temps pour elle, et elle ne voulait pas d’un homme qui ne pouvait pas être là quand elle en avait besoin. Passant la main dans ses cheveux blonds, elle vérifia sa tenue, qu’elle avait cousu elle-même. Myrielle lui avait laissé un peu de tissu et du temps pour qu’elle se la fasse, comme souvent. De toute façon, depuis que Myrielle avait accouché du petit Alexandre, elle était beaucoup moins fixée sur son travail ce qui laissait respirer Meg’ qui en avait besoin après sa rupture.

    Vêtue d’un pantalon noir avec des chaussettes rayées jaunes et noires et un haut argenté mais fort décolleté (comme souvent), elle avait laissé ses cheveux blonds détachés et se trouvait pas trop mal pour retrouver des gens que, pour certains, elle n’avait pas vu depuis un moment. Elle ne s’était pas pressée, ne voulant pas arriver la première alors même qu’elle vivait à côté. Elle marcha lentement jusqu’à chez ses amis et elle frappa. Une fois qu’on lui eut ouvert, elle s’approcha de Susan directement et lui fit la bise. « Bonjour Susan. Quentin. Alexander n’est pas encore arrivé ? » Elle tourna la tête pour voir si son ancien préfet était dans la place mais le grand brun n’était pas là, en revanche Kostovak version fille était arrivée. Meg’ soupira intérieurement mais retint tout commentaire, même par la pensée. Elle avait choisi de venir par une fête de moitié organisée par un serpentard, forcément, il y aurait de ses anciens congénères. Malheureusement, dans l’instant, tout le monde fonctionnait par paire. Elle avait hâte qu’Alex’ arrive puisqu’il viendrait seul aussi pour avoir moins l’impression d’être la cinquième roue du carrosse. Elle aurait aimé rester chez elle à se lamenter tranquillement avec elle-même sur sa rupture comme elle l’avait fait tous ses derniers mois mais maintenant qu’elle était là, hein, après tout… Espérons que tout allait bien se passer durant cette soirée et qu'éventuellement elle arriverait à se faire oublier.
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptySam 25 Juin - 13:06

    Pour répondre à la question (pertinente) de Megan, Alexander n’était en effet pas encore arrivé au moment où elle le demandait. Mais il n’était plus très loin de l’être puisqu’il s’activait pour ça. Non, il ne travaillait pas ce jour là, mais il avait eut quand même pas mal de trucs à régler puisqu’en ce moment il aidait un peu sa mère pour la gestion de l’école de danse. Makiko était une femme brillante et une excellente danseuse, toutefois, elle n’avait pas un don aussi inné que son père, sa sœur disparu ou encore son fils pour les affaires. Elle était une artiste avec un mauvais caractère et un esprit fin, point. C’était déjà pas mal si vous vouliez vraiment connaître l’opinion d’Alexander qui du coup devait supporter sa mère plus que son mental ne pouvait le supporter !

    Il était prévu qu’il soit le parrain du petit garçon né récemment de Myrielle en compagnie de Dawn Kostovak. Bien que Makiko ait été à son époque une vipère des plus charmantes, elle détestait les serpentards et surtout la descendante Symphonie à cause de leurs histoires communes. Bon, elle le montrait moins depuis que Myrielle avait sauvé Alexander lors de la grande bataille, mais de là à l’adorer, il ne fallait pas non plus exagérer. Heureusement, Myrielle n’étant pas invitée ce soir là (de toute façon, elle aurait décliné, trop occupé à pouponner), Makiko l’avait laissé partir presque à l’heure. Jade ne serait pas présente non plus à cette soirée, elle était souffrante, malheureusement. Rien de grave cela dit mais Alex’ se sentirait un peu seul sans sa femme pour lui tenir compagnie, surtout que le meilleur ami de son cousin Quentin parce qu’on l’oublie trop souvent mais Alexander est cousin des Montgomery ! était Raphaël Gibson, le cousin, lui, de Jade. Honnêtement, l’avis des autres, le regard des autres, et les personnes qu’il y aurait là-bas… il s’en fichait royalement, fidèle à sa réputation de je-m’en-foutiste accompli… ce qui n’empêchait pas qu’il aurait préféré que sa petite femme l’accompagne.

    Transplanant, il arriva chez Susan et Quentin. Il commença par saluer Susan d’un de ses rares sourires et d’une bise avant de serrer la main de son cousin et collègue puis il prit Meg’ par les épaules. « Besoin d’un cavalier jeune demoiselle ? » Et l’entraîna au milieu des autres invités. Il salua cordialement tout le monde, y compris Dawn, parce que cela lui aurait fait trop plaisir qu’il ne le fasse pas. Ceci dit, il termina par elle.

    « Mademoiselle Kostovak, monsieur Terence, ravi de vous revoir. » Ou pas. Le côté ex-Poufsouffle criait à Alex (tout comme à Megan) qu’ils n’avaient vraiment rien à faire là, même si laisser Susan au milieu des vipères aurait été par trop cruel. Au fond, Alexander vivait entouré d’ancien sepentard à longueur de temps et ça ne le dérangeait habituellement pas outre mesure, mais après, c’est comme pour tout, ça dépend des cas en particulier plutôt que du phénomène en général (ici, les serpentards parmi lesquels on pouvait trouver à la fois Gibson ET Kostovak, pas les verts et argents préférés d’Alex autrement dit).

    « Vous connaissez déjà mon amie Megan Jones je pense. » Il ignora volontairement le regard noir que lui jeta à ces mots Megan… il était vrai que ce n’était pas très charitable de détourner la conversation sur l’assistante de Myrielle mais pour l’instant, c’était la seule chose qui lui venait. Qui plus est, on ne le répétera jamais assez, mais en ce qui concernait Alex’, la réputation de bonté des Poufsouffles était réellement très surfaite.
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyDim 31 Juil - 17:58

    Si il y avait une chose que Tyler n’appréciait pas, c’était arriver en retard quelque part, et bien à tomber ce soir la, il avait une montagne de travail, il ne serait à l’heure pour l’invitation que lui avait envoyé Quentin. Bien sur, il allait faire tout son possible pour s’y rendre, mais il ne pouvait pas tout claquer comme ça, ça n’était pas vraiment dans le genre de Tyl’ il était sérieux et méticuleux, c’était juste hors de question, pour ne pas dire impossible pour lui de laisser un travail inachevé au milieu de son bureau. Il devait passer chercher Bérénice en plus qui était justement revenue pour se rendre à la crémaillère de sa cousine donc le timing allait être relativement short. Il ne savait pas vraiment qui serait sur place, de toute façon ce genre de soirée était toujours agréable non ? Il fallait juste trouver quelque chose à apporter au couple, et niveau idée, il voulait bien gérer le cadeau de Quentin et laisser BB voir pour sa cousine, oui c’était un bon arrangement.

    Le jeune homme se dépêcha donc de terminer sa montagne de boulot, il avait envoyé un message à sa petite amie pour qu’elle soit prête quand il la préviendrait qu’il partait de chez lui, parce que oui, il ne pouvait pas aller directement chez Quentin sans se changer après une journée de boulot, il avait besoin de sa douche et le cadeau était chez lui de toute façon, donc tant qu’à bien faire les choses, il fallait y aller jusqu’au bout. Le jeune homme termina sa paperasse et quitta le ministère aussi vite que possible. Il transplana directement chez lui, se déshabilla dans le couloir avant de prendre sa douche rapidement, il enfila un jean et une chemise, un look décontracté sans pour autant faire débrayé non plus, puis il prit le cadeau de Quentin, une bonne bouteille de champagne, c’était le genre de truc à offrir pour l’occasion non ? Un Castellane rosé était une valeur sur d’après le vigneron ou il l’avait acheté, un champagne rosé, Tyler ne connaissait pas et l’avait gouté sur place si bien qu’il avait hésité à s’acheter une bouteille pour lui aussi… Bon après pour quelle occasion ? C’était une bonne question, mais ça se conservait bien au frais non ? Bref, il avait pris une bouteille pour lui aussi.

    Envoyant un message à sa petite amie pour passer la chercher, il prit sa voiture dans le garage, une très jolie Audi A5, il avait craqué la dernière fois, elle ne lui avait pas couté grand-chose, enfin il avait eu un bon apport aussi, fin bref, il voulait se faire plaisir et il avait craqué pour cette merveille. Bon, le temps de rouler un peu, de transplaner avec et d’arriver chez sa petite amie, le jeune homme klaxonna une fois devant chez elle. Elle arriva aussitôt, merveilleuse comme à son habitude, elle n’avait pas encore vu sa voiture, et il espérait qu’elle lui plaisait un peu quand même, bien que les filles et les voitures, s’étaient un peu compliqué. Maintenant, prochaine étape, la maison de Quentin. Le temps de trouver comment s’y rendre, et le tour était jouer, il avait à peine une demi heure de retard sur l’heure indiqué, tout le monde devait déjà être présent mais tant pis, il n’avait pas réussi à faire mieux. Il gara la voiture et il alla sonner à la porte de son collègue de bureau et ami également. Lorsque la porte s’ouvrit, il fit un large sourire à son collègue puis invita Bérénice à passer devant lui avant de rentrer à son tour.

    « Bonsoir Quentin, excuse nous pour le retard, fin surtout moi… j’ai eu un dossier qui m’est tombé dessus avant de partir… Enfin bref, on laisse le travail à la porte et tiens, c’est pour toi ! »

    Il lui offrit la bouteille puis avança dans la demeure Montgomery-Bones. D’un premier coup d’œil il remarqua Alexander avec qui il travaillait également, fin pas directement non plus, il n’avait pas vraiment l’occasion de parler avec lui, Susan qu’il avait fréquenté un peu quand il était encore à Poudlard, et puis d’autre tête qu’il avait déjà vu au château… Le temps de faire le tour et de dire bonjour à tout le monde, il ne quitta pas trop sa petite amie, parce qu’il n’aimait pas vraiment l’idée de se retrouver un peu seul au milieu de tout ce monde. Il s’arrêta un peu plus loin, près de Dawn, Lexy, Heaven et Raphael. Pour avoir été préfet, il les connaissait un peu, et resta silencieux pour le moment, peut-être qu’avec un verre ou deux, il serait un peu plus bavard…
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Ξ Sujet: Re: [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV]   [FÊTE] Mieux vaut tard... que jamais ! [PV] EmptyVen 28 Oct - 16:20


« Juliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiien ? Tu es là ? J'ai besoin d'aide ! », criait Sydney, un peu angoissée en voyant quelle heure il était. Il était près de dix-neuf heure, et elle avait passé plus de deux heures dans les magasins pour trouver le cadeau idéal pour la crémaillère où elle devait se rendre avec son époux. Et bien évidemment, elle n'avait rien trouvé, soit ce n'était pas approprié, soit ce n'était pas joli. Et elle n'avait pas trouvé de chose qui lui convenait, et donc elle a décidé de regarder au rayon des bouteilles d'alcool. Là, au moins, elle était certaine de ne pas faire d'erreur. Elle trouverait bien quelque chose à leur offrir. Et puis, il était évident que c'était un cadeau qui ne manquerait pas d'être apprécié. Et cette idée creuvait les yeux, ne serait-ce qu'en repensant à toutes ces soirées passées autours d'une bonne vieille bouteille de whisky pur feu ou de Vodka, dans le bureau de Rusard, le bureau de Flitwick, ou La Tête de sanglier, quand ce n'était pas le salon même de Susan et Quentin. ( tout du moins, de ce que Sydney se rappelait des petites soirées entre collègue. Elle soupçonnait d'ailleurs très fortement Susan de mettre autre chose que du jus de citrouille dans son verre. Ah ! Elle tournait mal, en fréquentant Flitwick ! ). Cependant, le plus dur restait encore de trouver quoi offrir ! Une bouteille de Whisky ou une bouteille de Vodka ? Le Whisky ! Les deux amies ne loupaient jamais une occasion d'ouvrir une bouteille ( ou deux ), de façon occasionnelle, naturellement.

Bien ( et même très énormément ) rassurée en voyant son mari, elle se jetta ( presque ) littéralement sur lui pour lui demander conseil, et le supplier de l'aider à résoudre son dilème. « Whisky ? Ou Vodka ? Ou les deux ? Tu penses que Quentin préfère la tequila ? De toute façon, c'est l'intention qui compte.. », conclut-elle tout en cherchant dans un petit tiroire, un bout de ruban rose bonbon, qu'elle attacha autour de la bouteille, de sorte qu'elle ait des airs un peu plus festifs. Elle mit la bouteille dans un sac coloré, et ils partirent, tous les deux, pour la pendaison de crémaillère. Comme ils étaient tous les deux employés à Poudlard, l'un comme professeur, l'autre comme assistante, ils habitaient à Poudlard, et devaient donc venir chez leurs amis à pieds ( ce qui était problématique les soirs où Sydney rendait visite au couple, pour partager un verre de jus de citrouille, une bieraubeurre... ou autre ). Quelques minutes plus tard, ils se trouvaient devant la maison, d'où on pouvait voir briller plusieurs torche. La maison était magnifiques et une petite voix intérieure criait des « Jalouse ! », à tour de bras, tandis que Sydney essayant de garder un air calme. « Julien ? Que dirais-tu d'acheter un appartement ? » Non, elle n'était pas jalouse.

Arrivés devant la porte d'entrée, Julien toqua et c'est Susan qui leur ouvrit. Sydney, toujours aussi crispée, bien qu'ayant un air tout à fait calme sur le visage ( ou en tout cas faisant ce qu'elle pouvait pour y arriver ), tendis la bouteille de Whisky à son amie, avec un grand sourire crispé. « Coucou Susan ! Joyeux crémaillère ! » Elle continua de sourire « Je suis enceinte ! », lâcha-t-elle, toujours aussi crispée. Oui, elle était effectivement enceinte, ou en tout cas, elle pensait l'être. Cependant, elle n'avait encore rien dit à Julien qui, tout de même, était le premier concerné. Zut ! En réalité, elle ne voulait pas lui faire de fausse joie avant d'en être certaine. La soirée ne faisait que commencer, et elle promettait d'être drôle..
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