{Duo de choc - - - PV

Nous étions en décembre, il neigeait et Alek en avait déjà marre. Pas de la neige, non, bien au contraire, il adorait la neige, l’hiver c’était la vie (à son humble avis :p), mais ce qui le gonflait grave, c’étaient tous ces Anglais là (ouai ouai, carrément, les Anglais dans leur globalité, et pan, dans les dents, bande de british !!!). Pas qu’il ait un réel problème contre la nation (quoique…), mais plutôt contre tous les étudiants qui se plaignaient tout le temps. Quand il ne neigeait pas, il voulaient de la neige, maintenant qu’il y avait de la neige, ils râlaient parce qu’il faisait trop froid… Non mais quelle bande d’indécis (oui parce que genre, Alek, lui, il ne se plaint absolument jamais… haha, comment ça, personne ne me croit ??? Mais mince, quoi, c’est vrai je vous di !!! o_O). Bon, ok, niveau crédibilité, nous pourrons sans doute repasser *sort*. En tout cas, Alek, lui, il adorait la neige et ça le gonflait grave que les trois quarts du château tempêtent contre ce qu’il aimait. Oui, oui, c’était bête de se fâcher pour ça, mais au fond n’était-ce aps aussi bête que de râler contre la météo (contre laquelle on ne peut strictement, rien… Tandis que pour les mécontents… On peut toujours les faire taire *paf*).

Bref, Alek fusillait donc une fille des yeux, qui râlaient parce que la neige avait mouillé le bas de sa robe et il lâcha avec colère et agacement mêlés dans sa voix :

« Tu ne vas pas crever pour un peu de neige, bordel. »

Sur ce, il traça son chemin, s’attirant un regard noir et quelques insultes venant de filles si peu subtiles et profondes qu’il s’en tamponnait royalement le coquillage… Puis il rejoignit le hall d’entrée. Il soupira de lassitude et aurait pu passer un bon moment, mais il fallait que tous ces idiots lui gâchent sa journée… Bande de trous du’c tiens *paf*. Heureusement, tout n’était pas perdu, puisqu’il y avait un de ses potes qui allaient au réfectoire (pardon, grande salle, bon on ne va pas chipoter bon sang, si ? u_U). Retrouvant un peu le sourire, Alek s’exclama :

« Hey, Nicolas ! »

Il le rejoignit, soulagé (parce que franchement, broyer du noir avec des envies de meurtre ce n’était pas plus sa passion que ça, vous voyez le genre ?). Lui serrant la main (virilement, cela va de soit *paf*), il s’imposa (parce que dans la vie, faut savoir s’imposer pour avoir ce qu’on veut, et ouiiii !) :

« Bon, on va bouffer ? »

Voilà, comme ça, il était cordialement invité à la table des Aigles (Bon, si Nicolas souhaitait squatter chez les Vipère il n’y avait pas de soucis non plus, hein –du moins pour la vipère en question qui venait de lui adresser la parole-. Et si jamais ça embêtait quelqu’un, ce quelqu’un n’avait qu’à venir le dire, Alek lui péterait les dents, histoire de lui montrer qui décide ici (sifflote). Sur ce, il était grand temps d’entrer dans cette salle pour voir ce que les elfes avaient fait de bon à manger. Parce que si les cours de Poudlard laissaient à désirer (du humble avis d’Alek… bien sûr). La nourriture en revanche valait le détour (même si c’était sans doute bien meilleur encore à beauxbâtons o_O)


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Les conditions de Nicolas n’étaient pas démesurées (et pas spécialement incompréhensibles pour la Vipère mal intégrée que représentait Alek) aussi répondit-il sans plus chercher à marchander que cela (comme s’il y avait matière à marchander de toute façon, lui ça lui convenait très bien…) :

« Pas de soucis, ça me fera du bien de m’éloigner de certaines bêcheuses… »

Genre la préfète casse burne (pour citer une personne à tout hasard…). Le Serpentard reprit donc ensuite :

« Ha mais par contre on bouffe pas avec ta meuf, nana, gonzesse, choisir le mot de votre choix… copine ! »

Ouf, il avait peut-être éviter le drame là, en pensant bien à dire ‘copine’ et pas les autres noms communs qu’il avait pour habitude d’employer dans ce genre de cas… Non pas qu’il n’aime pas la petite amie de Nicolas… mais si c’était pour se taper le chandelier pendant le repas, merci, mais sans façon, il préférait largement supporte l’autre blondasse sans intérêt à sa propre table !

S’installant à la table des Aigles sans être plus gêné que ça (parce que tout le monde le sait : quand il y a de la gène, il n’y a pas de plaisir, et Alek était quelqu’un qui aimait énormément trouver du plaisir, et ce sous différentes formes –même si l’une d’elle était tout de même prédominante (on aura bien compris qu’il s’agissait de la compagnie des filles…). Quant au sujet phare ce fut Nicolas qui l’aborda c’pas moi c’est lui !!! mais c’était pas pour déranger le serpentard qui répondit, souriant :

« Ca roule, tout tranquille… j’ai une cavalière pour le bal qui se trouve être très canon, donc j’ai pas à me plaindre… »

Et lorsque Nicola slui parla de sa pote, là, la fameuse ‘carry’ comme il disait si bien, Alek grimaça :

« Cette fille est trop bizarre… mais ma cavalière, hein, elle elle est normale, mais ta copine là… Sans parler de ses jupes, je la trouve vraiment trop space, enfin, bref, si tu l’aimes bien tant mieux pour vous, hein… Après j’ai rien à dire en soit. »

Parce que Alek avait beau être un sale con, il n’était pas du genre à rejeter des potes à lui à cause de leurs relations. Ce n’était pas parce que Nicolas parlait avec cet énergumène qu’il serait forcé d’en faire autant. Tout comme il n’avait rien contre le fait que ses potes n’aiment pas Blake ou Romily, mais qu’ils ne viennent surtout pas lui dire de laisser tomber ces filles là, parce que là, pote ou pas, Alek leur casserait la gueule. On ne touchait pas à ses amis, point barre. Donc il respectait le fait que Nicolas puisse avoir des goûts bizarres, tant qu’il n’était pas forcé de le suivre et d’en payer les frais, ce n’était pas grave.

Alek observa ensuite l’étendue des victuailles du jour, se demandant ce qu’il allait pouvoir manger cette fois… Poudlard était très bizarre, mais la nourriture qu’on leur servait n’était pas trop mauvaise, donc le sorcier s’adaptait assez bien à cet environnement… En tout cas aux heures des repas, sinon, il avait parfois le blues dans cette drôle d’école. Après tout on l’avait envoyé ici de force (même s’il n’aimait pas Durmstrang, qu’est ce qui disait à ses parents qu’il préférait aller à Poudlard, hein ???). Et dès qu’on lui forçait la main, Alek était quelqu’un qui avait tendance à se braquer immédiatement. Il était de ceux qu’il fallait savoir manier avec douceur pour éviter qu’il n’explose…

Prenant donc un morceau de pain, pour commencer, il rempli son assiette d’une bonne tranche de rosbif qu’il agrémenta de pommes de terres. Puis le pichet d’eau à la main, il se servit et proposa à son ami :

« Tu veux de l’eau ? »

Tant qu’à faire, qu’il fasse le service, hein !

« Et toi quoi de neuf ? »

En espérant éviter les sujets fâcheux, genre les histoires de couple (à tout hasard) trop barbantes !


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Nicolas eut vite fait de rassurer son ami, d’Emma il n’y avait nulle trace et cela ne risquait pas d’arriver. En fait, même s’il faisait de son mieux pour lui changer les idées, les problèmes de santé de son père s’aggravant avec le temps et surtout avec la disparition prolongée de la magie rendait Emma nerveuse, et comme d’habitude, elle se réfugiait dans le travail. Nick ne savait plus quoi faire contre ça, mais il fallait qu’il se fasse une raison, il ne pouvait pas lutter face à des problèmes de cette ampleur.

« Non t’inquiète, elle est pas là. » Fut donc sa seule réponse, après tout, c’était tout ce que voulait savoir Alek pas vrai ? Quant à la suite, Nicolas bloqua sur ce que Alek disait à propos de Charisma bien avant de s’intéresser à la cavalière de celui-ci. En même temps, il n’avait jamais douté que son pote se trouve une fille pour aller au bal, en fait, il l’aurait même bien vu y aller avec deux filles, une à chaque bras (pensée qui n’était pas si loin que ça de la vérité au fond). Si Charisma était appelé la reine ou la princesse des Glaces dans l’école, c’était à cause de lui. Avant, il se moquait de la jeune fille, il ne voulait pas être méchant, c’était pour rire, mais ça avait été vite dégénéré et il ne s’était aperçu que très tard, l’année précédente en fait, que Charisma avait des raisons d’être comme ça. Et aussi qu’au fond, elle était bien plus honnête que lui. Elle avait des problèmes, c’était certain, mais ça se voyait, lui, il en avait aussi, et peut-être n’était-il pas moins barge que Carry, mais il s’en cachait, il jouait un rôle… et le jour où son vernis de normalité tomberait, peut-être que son nouvel ami Alek ne l’accepterait pas… parce que malgré tout, il était à Serpentard, et ce ne devait pas être complètement pour rien.

Un sourire triste passa sur le visage de Nicolas qui s’assombrit un instant, juste avant de répondre, le regard brièvement fixé sur le bracelet qu’il portait au poignet et qui cachait ses scarifications. Il en avait plusieurs, des bracelets, des en tissus, des en cuirs… il fallait bien, parce que ça pouvait s’abîmer ou se tâcher et il ne pouvait pas se permettre de sortir sans. Celui d’aujourd’hui était une bande de cuir ouvragé qui partait ensuite en plusieurs autres petites bandes, cela couvrait la moitié de son avant bras lorsqu’il bougeait. La normalité… quel principe à la con.

« Space tu dis… je ne sais pas si c’est le bon terme… il y a seulement des gens dans cette école qui cachent moins bien que d’autre leur détresse… » Il avait murmuré ces mots puis il se secoua intérieurement. Ce genre de considération était probablement trop élevé pour un simple repas ! Peut-être qu’un jour il se confierait à Alek, mais là, il venait d’ébranler son peu de confiance, donc ce ne serait pas pour aujourd’hui, de toute façon, ça n’aurait pas été pour le moment car jamais Nick ne montrait ses cicatrices en public, il avait trop peur qu’un indésirable les voit. Et surtout, il pouvait vite virer dingue lorsqu’on voyait ses marques sans qu’il ne les ait montré volontairement. La dernière fois, il s’était coupé plus profondément, il avait raté son coup, et il s’était retrouvé à l’infirmerie. La loose quoi. Aussi se remit-il à sourire comme si de rien n’était, comme s’il n’avait pas eu cette ombre de tristesse sur le visage durant quelques secondes et il poussa son verre vers Alek pour qu’il lui mette de l’eau lorsqu’il lui en proposa.

« Je veux bien merci. Et donc, ta cavalière, c’est qui ? Tu comptes fricoter avec ou c’est juste une sortie amicale ? » Autant s’intéresser aux histoires de Alek, elles étaient probablement beaucoup plus intéressantes que les siennes ! Et pourtant, il lui demanda ce qu’il y avait de neuf, sauf que bah, en fait, pas grand-chose si on y réfléchissait bien.

« Oh moi tu sais, la vie s’écoule normalement. Enfin, j’aimerais bien aller dans la forêt interdite pour parler aux centaures, mais ce n’est encore qu’une idée. Je ne suis pas suicidaire et c’est quand même hyper dangereux. » Pas suicidaire, qu’il dit. Il y en a qui s’étoufferaient en entendant ça, et il en avait une conscience aigu notre petit Nicolas, mais il savait aussi qu’il ne connaissait pas Alek depuis assez longtemps pour que ce soit le cas avec lui, ça passerait comme une lettre à la poste. Au demeurant, il ne comptait vraiment pas mourir, là, tout de suite, la plupart du temps, il allait presque bien, et en plus se faire dévorer par une bestiole à crocs ou une araignée géante c’est autre chose que de se faire monter l’adrénaline en se coupant le poignet. Non, non, il ne voulait pas mourir en servant de casse-croûte, donc il fallait qu’il peaufine les détails s’il voulait réussir à voir les centaures. Le gros problème était d’aller jusqu’à eux, après, normalement, ils devraient ne pas lui faire de mal, refuser de lui parler peut-être, mais c’est tout. Le tout était donc d’aller jusque là-bas pour argumenter, il était bon pour la causette, il pensait avoir ses chances. Oh, bien sûr, les Centaures ne devaient rien savoir de très très utile, sinon le ministère leur aurait déjà demandé (quoique, vu leur mépris pour les créatures magiques non humaines, ce n’était pas si sûr !), mais si Nick pouvait avoir ne serait-ce qu’un minuscule grain à moudre pour aider Emma à patienter, ça valait le coup de prendre des risques. Bien sûr, c’était une considération trop romantique pour Alek et Nick n’envisageait pas de le lui dire ainsi, mais il y avait tout un tas de bonnes raisons de le faire ! Le frisson de l’aventure déjà ! Parce que, quand même, sans la magie, Poudlard c’est nettement moins amusant que ça n’était. Heureusement, la nourriture était encore excellente, sinon il serait rentré à Londres dans une école moldu ! (Ou pas, il avait une légère tendance à l’exagération parfois !)

Tant mieux… Alek ne tenait pas les chandelles, et il préférait que ce tenu pour di ! Pas très envie de devoir tout le temps se le répéter… Puis ça le gonflait que tous ses potes soient en couple quoi… c’était quoi ça à la fin ??? Est-ce que lui, il s’embarrassait avec une gonzesse ??? Ben non, voyez-vous, l’est pas fou !!!! Heureusement, Blake, elle, elle était célibataire (et apparemment pas très chaude pour se trouver un mec) ce qui arrangeait bien Alek, parce que les histoires d’amour, ça va une seconde, mais pas deux ! Non.

Alek n’écouta pas ce que marmonnait Nicolas. De toute façon, il se moquait pas mal de la Kostovak. Elle était peut-être canon, mais elle était beaucoup trop bizarre à son goût, donc pas la peine de s’attarder sur elle… Alek ne tenait pas du tout à devoir parler d’une fille qu’il jugeait insignifiante (façon à lui de décrire celles qui, de toute façon, ne s’intéresseront jamais à lui, pas plus que lui ne s’intéressera à elle…). Alix aussi était de ces filles insignifiantes (raison pour laquelle Alek avait autant de mal à accepter que son pote, Axel, soit avec elle… parce que niveau pauvre débile, elle avait quand même une médaille… Emma, elle, était acceptable… Alek n’avait même rien contre l’idée de parler un peu avec elle. C’était juste l’idée d’être seul avec le couple formé par la demoiselle et Nicolas qui l’embêtait, sinon, il était open.

Quant à savoir si Alek pouvait être un confident digne de confiance… Disons que pour l’instant, à part Blake (et peut-être Romily), Alek se méfiait encore de son cercle… Il avait bien sûr, trouver des points communs avec Nicolas et Axel et c’était aussi ça, le soucis… Il savait qu’à force de trop se ressembler, il y avait des risques de batailles… parce que Alek n’était pas du tout sans ignorer qu’il était un véritable salop et qu’il était, en même temps, une sale balance… Donc niveau confiance, fallait vraiment que tout soit on ne peut plus ok des deux côtés…

Souriant à la question de Nicolas concernant sa cavalière, il répondit, plutôt satisfait :

« Elorah. Et je compte bien flirter avec elle, tant qu’à faire. »

Parce qu’elle était super canon et pas bizarre, elle (comment ça, il la connaît pas ??? Ranafoutre !). Servant son ami, il reposa le pichet et réfléchit à ce qu’il allait bien pouvoir manger… Se décidant, finalement, il se servit, et laissa son ami parler à son tour quelle générosité, d’accorder, ainsi, un temps de parole à Nicolas….

Quand la forêt interdite fut mentionnée, le regard d’Alek brilla de malice… Nicolas venait de dire exactement ce qu’il fallait. Souriant, le Serpentard se lança droit dans le mur :

« Sérieux ? Moi je viens quand tu veux dans la forêt ! »

Il adorait se procurer de grands frissons… Oui, il était très con, mais bon, il aimait bien avoir des poussées d’adrénaline, et Alek était le genre de personne qui se pensait toujours invincible (ou en tout cas, capable de se sortir de n’importe quelle situation). Evidemment, c’était ridicule, mais il en était intimement convaincu à l’heure actuelle… Sans doute que le temps et les leçons de la vie sauraient le remettre sur le droit chemin et calmer ses ardeurs, mais en attendant une bonne punition plus familièrement appelée branlée et bien il se croyait supérieur et capable de tout…

Trop hautaine ??? C’était quand même pas le pote de Carry la reine des glaces la méga froidasse qui disait ça (par le plus grands des hasards ???). Jetant un regard qui était donc particulièrement sceptique à son pote, la Vipère haussa les épaules :

« Si tu étais pas pote avec Kostovak, je pourrais accepter cet argument, mais là, mon pote, je suis désolé mais c’est juste inacceptable, trouve autre chose pour lui cracher dessus, là jpeux pas accepter cette excuse, c’trop bidon ! »

S’en suivit un sourire complice qui signifiait bien qu’en soit, Alek se fichait pas mal de ce que pouvait penser son ami au sujet de sa cavalière de bal… Puis ils abordèrent le sujet ‘forêt’ et la Vipère eut l’air à la fois enchanté et impatient, quand son ami lui annonça qu’il organiserait une expédition :

« Cool alors, tiens moi au jus ! »

Quant au côté ‘documentation…’ Alek soupira doucement :

« Ben si jamais jme demandais ce que tu fichais chez les aigles, c’est bon jme pose plus la question ! »

Bon de toute façon, Nicolas était sans aucun doute bien plus réfléchi que Alek, ça ne faisait aucun doute, mais bon, il aurait sans doute pu aller dans une autre maison… Bien que du point de vue du Bulgare, les maisons ne soient pas un truc super important… Ca doit être l’effet Durmstrang, arrivé à Poudlard, les querelles de maison ne lui font ni chaud ni froid…

Bref, tout ça pour dire que l’idée de partir en expédition plaisait vachement à Alek, mais ce n’était pas pour aujourd’hui… Aussi termina-t-il simplement par des sujets de conversations plus ‘bateau’ pour finir le petit déjeuner tranquillou avec son pote. Il partit ensuite en direction de sa salle commune, après avoir salué Nicolas et lui avoir souhaité une bonne journée.

Cette dernière allait être longue, avec tout ce qu’il y avait à faire ! Entre les cours, les devoirs, et la drague, les journées d’Alek Benson sont loin d’être un long fleuve tranquille, et il n’a guère le temps de s’ennuyer en règle générale comment ça il l’a bien cherché pour les filles ???




[FIN]