Rencontre choc

J’avais tellement de livre dans les bras que je ne voyais pas devant moi, j’espérais juste ne pas tomber dans les escaliers, quand soudain je percutai quelqu’un. Je tombai alors à la renverse laissant échapper mes livres qui me retombèrent dessus un à un.

*La poisse*, me dis-je en essayant de me relever, c’est à ce moment que je croisa un regard bleu turquoise qui me dévisageait.

Je suis désolée, je ne vous avez pas vu, dis-je en commençant à ranger mes livres, je vis alors son insigne de préfète ainsi que celui de sa maison.

Je lui fis, alors un sourire tout en continuant à récupérer mes livres.

Ce n’est rien, dis-je en lui souriant, je m’agenouilla alors prés d’elle pour l’aider, à ramasser ses affaires, c’est moi qui devrais m’excuser, je ne regardais pas non plus où j’allais.

Je ramassa ses livres et les lui donnait, puis je remarqua que son insigne était Gryffondor sa salle commune, n’était donc pas très loin.

Je vais t’aider à les amener à ta salle commune, c’est bien là que tu te rendais n’est-ce pas ?, lui demandais-je en lui souriant.

Oui, je m’apprêtais à rentrer, lui dis-je en lui souriant, ça serait gentil, je crois que j’ai pris un peu trop de livre, lui dis-je en lui souriant.

Au fait, je me prénomme Alehandra Stones, lui dis-je en la regardant et en me relevant maintenant que mes bras étaient un peu moins chargé.

Tu es à Serdaigle ? Je l’ai vu sur ta robe, lui dis-je en rougissant et en plus préfète, tu dois avoir des tonnes de travail, lui dis-je en lui souriant.

Oh, oui, mon insigne, lui dis-je en lui souriant, oui, c’est très prenant comme travail, cela donne du fil à retordre, lui dis-je pour plaisanter.

Puis, je pris soudainement conscience du prénom de la jeune fille.

Tu es la petite amie de Harry, n’est-ce pas ?, lui demandais-je en lui souriant, il m’a beaucoup parlé de toi tu sais, lui dis-je en la regardant.

Oh, mais je manque à tout mes devoirs, je suis Aelita Stones, lui dis-je en regardant droit devant moi.

En bien, j’espère, dis-je en plaisantant, nous continuons à marcher, quand elle m’annonça qu’elle s’appelait Aelita Stones.

Moi aussi, j’ai beaucoup entendu parler de toi, lui dis-je en lui souriant, tout le monde pense que nous sommes de la même famille, lui dis-je en riant.
Ce qui me parait peu probable, il y a des tas de Stones en Angleterre, j’en suis sûr, lui dis-je en lui souriant.

Oui, il ne m’a dit que des éloges sur toi, lui dis-je en lui souriant.

Je fus surprise quand elle me dit avoir entendu parler de moi, mais pas pour mon attirance, pour le plus célèbre des Serpentard, non c’était juste à cause de nos noms de famille, je m’en sentis soulagée. Je lui fis alors un sourire et continua à marcher à ses côtés.

Oui, je sais mais c’est quand même étrange qu’on se retrouve toutes les deux dans cette école, tu ne trouves pas ? lui demandais-je en me retournant vers elle.

C’est vrai que c’est un peu étrange que l’on soit toutes les deux ici, lui dis-je en y réfléchissant, mais je ne m’en fait pas plus que ça, tu as l’air d’une fille très bien et si jamais je suis de ta famille, ça ne changera pas grand-chose dans ma vie, lui dis-je en lui souriant.

Tu connais Harry depuis le train n’est-ce pas ?, lui demandais-je en la regardant, moi aussi, je le connais depuis le train, mais il est assez discret sur sa vie, tu ne trouves pas ?, lui demandais-je par curiosité.

Je me baladais dans le couloirs quand je vis deux jeunes filles en m'approchant un peu j'apperçus avec plaisir qu'elles n'étaient autres que les filles que je préfèrais ici. Je m'approchai d'Alehandra et glissa ma main dans la sienne et lui sourit. Puis je regardais Aelita, elle avait le sourire ce qui me fit grandement plaisir.

- Salut vous deux, comment allez vous, Aelita je vois que tu as retrouvée le sourire.

Je tournais la tête vers la droite et mon regard fut attiré par un petit livre qui se trouvait par terre, je m'abbaissai et le ramassa, je vis sur la couverture le nom d'Alehandra.

- Toujours aussi maladroite, a ce que je vois, lui dis-je en souriant.

Oui, Harry, mais c’est grâce à ta chère amie, lui dis-je en lui souriant, nous, nous sommes rentrée dedans tout à l’heure, lui dis-je en le regardant.

Je lisais un livre et elle en transportait beaucoup trop, nous, nous sommes donc percutée de plein fouet, dis-je en soupirant.

Bon et bien, vu que tu es là Harry, je n’ai plus rien à faire ici, lui dis-je en l’embrassant sur la joue pour lui dire au revoir.