Une tristesse retenue [PV Halloween] TERMINE

Esfir marchait dans un pas lent dans le parc. Elle n’entendait même pas les élèves rire parce qu’il avait touché leur cible, et crier de colère parce que les autres avaient été justement la cible. Fira se sentait loin de tout ça. Un peu comme déconnecté de la réalité. Sa conversation avec Strue avait été désastreuse. Pire, maintenant la jeune Russe comprenait pourquoi elle faisait ces rêves étrange, ou plutôt des souvenirs, lorsque son père la traitait de faible. Ca n’avait rien avoir avec Jonathan Harkin. Tous ces problèmes, c’était parce qu’elle avait peur, au-delà qu’une fille de son âge ne devrait pas avoir. Elle aurait bien voulu pleurer, mais ses larmes s’étaient tues depuis plusieurs années. Elles s’étaient en même temps que son cœur. Privilégiant sa raison plutôt que son cœur.

*Je vois que tu as réussis père, je suis incapable de ressentir quoique ce soit à part la peur, comme tu me l’as appris*

Elle montait les escaliers des gradins du stade de Quidditch. Elle n’y était jamais allée pour la simple et bonne raison qu’elle faisait partie de l’équipe de Serpentard en tant que Poursuiveuse. Elle choses avaient beaucoup changé depuis l’année dernière, que n’aurait elle pas donné pour retourner en arrière. Mais, le cour du temps changeait, et Nabirotchkina grandissait. Elle n’avait pas revue sa sœur depuis un moment. Le seul endroit où elle l’avait croisé, ça avait été à la bibliothèque. Quant à Cora, elle avait beau être dans la même classe, elles ne s’étaient parlées qu’une seule fois. Le jeune fille aillant perdue sa mère c’était montré très distante envers Esfir. Puis, il restait Elea, elle l’avait encore moins croisé que Cora.

Arrivé en haut, elle s’assit sur les gradins en pensant aux matchs qu’elle avait joué. Même cela ne lui remontait pas le moral. En fait rien ne pourrait le faire. Tout ça à cause de Sirius Black qui s’était enfuit de cette fichu prison, et qui en plus de ça avait ramené avec lui ces foutu détraqueurs à Poudlard. Fira en aurait bien explosé de rage, mais, elle avait appris depuis longtemps à dominés ses sentiments, ainsi, même si elle le voulait, elle ne pourrait rien montré.

Elle vit un nuage de fumée sortir de sa bouche. Elle n’avait aucune cape, pas de gants et encore moins son écharpe. La jeune Russe ne s’en inquiéta pas, elle était habituée au climat plus froid. Il suffisait de connaître son pays pour comprendre. Elle pensa à son manoir, où il faisait chaud mais l’ambiance demeurait toujours froide. Fira aimait bien son manoir. Il était particulier pour elle. Elle aimait cette ambiance qui lui correspondait à merveille. Elle regarda le ciel neigeux qui était d’une couleur gris métalique. Enfin le calme, elle entendait plus les gloussements des Gryffondor, les conversations sur le bal de Noël…

* Scheiße je l’avais oublié celui là*

Il fallait dire que c’était le cadet de ses soucis. Elle se rappelait que l’année dernière elle s’était vraiment ennuyer. Et pourquoi y aller? Fira n’avait pas de cavalier, et elle s’en fichait d’en trouver un. Mais, elle voyait bien quelques godiches glousser à chaque fois qu’elle voyait un garçon qu’elle trouvait mignon. Fira sourit, il n’y avait rien de mieux pour avoir honte, elles étaient incapables de se tenir convenablement, mais c’était toujours amusant de les voir se dandiner comme des dindes devant un coq.

Elle arrêta de sourire quand elle entendit du bruit. Elle n’aimait pas être surprise, et l’être dans un moment pareil serait vraiment très gênant. Sur tout les gradins qu’il y avait, il fallait que cette personne aille dans celui-ci. Décidemment, Fira portait vraiment la poisse

Le bruit en question, était Halloween qui avait réussit à se faire avoir par certain 6 ième année de serpentard, elle était couverte de neige, en raison que deux d’entre eux la fait pris et l’avait jeter dans la poudreuse, elle était sortie toute blanche avec les lèvres bleues-violette maintenant et elle pestait contre eux.

« pas possible, c’est des vrais gamins !?!? super je vais expliquer cela comment moi aux professeurs cette après midi, je me vois tout a fait expliquer au professeur, désolé, mais on m’a lancé dans de la poudreuse » marmonait elle en arrivant derrière Esfir.

Elle regarda le dos d’Esfir et l’accosta sèchement.

« Ah te voîlà?!?! Je t’ai cherché dans tout le parc ?!?! « dit elle en s’assyant, sans lui demander si elle pouvait, même le regard qu' elle lança à Esfir, la prevenait de pas lui dire quelque chose en plus elle ressemblait plus à un bonhomme de neige qu’à autre chose, quand elle s’assit à côté d’elle.


Elle alla directement au point sensible, elle voulait discuter avec d’elle de leur éducation et de Lui.

« Ton père a réussit à t’éduquer, le mien à pas dû assez être persévérant ou peut être qu’il y a quelque chose en moi, qui me faire ressentir ses sentiments qu’on t’a interdit depuis l’enfance ?!?! et qu’il a essayer aussi avec moi »Dit elle d’un coup à Esfir. Un nuage sortit de sa bouche, quand elle finit la phrase.

Elle regardait droit devant elle, elle gardait les anneaux et elle se frottaient les mains, en raison qu’elle avait froid aux mains.

Elle allait continuer.

« la seule chose que tu peux ressentir, c’est cette peur qu’on nous a appris depuis notre douce enfance, dès la première fois qu’on c’est fait corriger , elle c’est encrée en nous pour toujours, rien pourra la faire disparaître, mais je sais que nous pouvons si nous le voulions c’est ressentir les autres sentiments, la tristesse, la colère, la joie, l’amitié et je crois le plus important l’amour, en raison que c’est le seul qui peut ouvrir notre cœur comme jamais, je doute pas qu’un jour nous deux, mais si l’éducation de nos parents à été de nous apprendre à refuser ce sentiment, va apparaître plutôt que nous le pensons, et personne, mais personne pourra nous empêché d’aimer cet être, peut être nous refuser de la voir certe, nous mentir sur son compte aussi, mais enlever ce sentiment d’amour non »dit elle en regardant ses chaussures.


« Ça sera impossible !! j’ai oublié aussi quelque chose, on ne doit pas se gêner de montrer se qu’on ressent, !?!?! mais si pour toi c’est difficile de pleureur , de se mettre en colère ou encore de montrer sa joie à quelqu’un, pour moi ce n’est pas difficile, je ne le sais pas pourquoi, mais j’ai réussit à le montrer, on est des êtres humains Esfir, avec un cœur !?! et je ne pense pas que l’être humain peut venir insensible à ce point là !?! donc lâche toi !?!?! « dit elle cette fois-ci en la fixant du coin de l’œil.

« Tu peux y aller, il y a personne sauf moi, mais je ne vaux rien du tout « dit elle pour l’encourager à se délivrer de ce point qui la pesait plus que tout.

Elle allait se mettre à parler de LUI, maintenant.

« Je dois t’avouer quand j’ai lu le journal, je n’étais pas enchanter d’apprendre cette mauvaise nouvelle !?!? Refaire revenir LUI, je crois qu’on devrait l’arrêter avant que les personnes chères à nos cœurs meurent ou se fasse en prisonnier à cause de lui « dit elle en pensant, à son père et ses grands –parents et surtout à quelqu’un, d’autre que la seule idée de le voir s’enrouler pour Lui la rendait inquiète.

*Oui, je suis aussi inquiète, je n’ai pas envie de voir les personnes qui m’ont chère mourir ou être emprisonné par leurs idées et surtout pour soutenir ce fou. Je sais que le fameux jour où je lui ai dit ce que savait et qu’il m’a mentit affrontement, mais ce que j’ai entendue pendant cette fameuse crise c’était la vérité et c’était leur voix*

Elle était absente maintenant, son regard était vide d’expression, même son visag était venu légèrement triste.

*Pourquoi siruis Black , veut faire revenir Lui ??!?! ont étaient si bien maintenant *pensa t’ elle en soupirant

Des anciens souvenir lui apparurent, elle se rappelait trop bien le jour ou elle avait remarqué la marque des ténèbres sur l’avant bras de son père, elle avait 7 ans puis celle des son grand-père ,il y a de cela une année et leures réponses froides.

« Papa, c’est quoi cela ?!! »Avait elle demandé avec sa voix de petite fille en montrant l’avant bras de son père.

« Ça ma fille, c’est la marque du maître, mon maître et ton futur maître à toi Hall, tu devras aussi lui obéir, le jour de tes 18 ans tu seras enroulé et tu le serviras tout comme moi »lui avait il d’un ton froid

et elle entendit la suite

« C'est quoi le tatouage que tu as grand –papa sur ton avant bras gauche « demanda t’elle en le regardant droit dans les yeux.

Son grand-papa déboutana le bouton de la manche de la chemise et souleva la manche et lui répondit froidement, mais avec un sourire.

« Ce n’est pas un tatouage Halloween, c’est une marque magique, la marque de notre maître, ton père a du t’expliquer « dit il en regardant sa petite fille, qui faisait la grimace.

Le grand-père lui expliqua vaguement

« Tu es encore trop jeune, pour comprendre les motivations, de notre maître, mais quand tu auras l’âge de t’engager ,tu seras enroulé en raison que notre famille le soutient et toujours d’accord avec ses opinions »dit il en partant avec le sourire.

Halloween se prit la tête dans les mains à la fin de se mauvais souvenir.

Esfir ne prit même pas la peine de se retourner, elle avait parfaitement reconnue la voix de Strue. Elle ne prit pas non la peine de répondre quand, celle-ci l’avait interpellé. Elle n’était vraiment pas d’humeur à s’engueuler avec elle. Elle supportait difficilement qu’on la traite d’idiote, puisqu’elle ne se considérait pas comme telle.

En tout cas, Fira put constater que Halloween ne devait as être connue pour son tact, puisqu’elle lui parla directement de leur éducation. C’était vraiment la dernière chose dont elle voulait parler. Mis à part le sujet concernant Voldemort. Mais apparemment, Strue avait l’air de faire fausse route. Elle préférait la prévenir. On ne savait jamais.

-Strue, mes parents ne m’ont jamais frappé. Ils se sont contentés de m’abaisser, tout comme ma soeur. Je ne sais pas si tu es fille unique ou pas, ou si c’est seulement dans notre famille, ou seulement en Russie, mais chez nous, c’est le fils qui…

Esfir ne savait pas trop comment expliquer ça. Elle trouvait ça, tellement normal, que l’expliquer à quelqu’un devenait assez dur. Chez elle, avec un seul mot tout le monde avait compris.

-J’ai un petit frère. C’est lui qui transmettra notre nom. Alors, il est le favori. Ma sœur et moi devons faire en sorte qu’il ne manque de rien, et nous devons aussi montrées l’exemple. Alors on se tient à carreaux. C’est aussi simple que ça. Je ne sais si tu vois ce que je veux dire, mais je ne peux pas mieux l’expliquer…

Elle ne savait pas pourquoi, elle expliquait cela à Halloween. Elle n’en avait jamais ressentit le besoin, et tout ça lui semblait naturel. Elle continuait à regarder le sol. Elle ne voulait pas croiser le regard de Strue. D’ailleurs elle n’avait pas levé la tête depuis le début. Son nez et ses joues étaient rosis par le froid, mais Fira avait supporté des températures bien plus basses dans son pays.

-Nous avons pas la même peur. Je ne sais pas quelle est ta peur, mais la mienne c’est de faire honte à ma famille, et d’échouer. Il est hors de question que je devienne le maillon faible d’une prestigieuse famille. Ma personne ne compte pas. Quant aux autres sentiments, oublie les, tu souffriras moins.

Elle se rappelait des phrases que son père lui disait toujours. Elle les connaissait par cœur. Elle les récita comme une poésie. Une poésie qu’elle ne pourra jamais oublier.

-La tristesse est signe de faiblesse, l’amitié sert à livrer, l’amour existe seulement pour abuser. La colère est une arme secrète, mais seulement si tu sais la maîtriser. N’es confiance en personne, et encore moins à tes proches puisque c’est ceux là qui te duperons et gagnerons. Quant à la joie, oublie la. Si tu tiens à ta vie, oublie tes sentiments.

Fira se leva et se pencha vers la balustrade. Elle regarda le vide qui la séparait de la terre. Puis, elle se tourna lentement avec un sourire aux lèvres.

-C’est charmant, n’est ce pas? Je n’ai pas réussit à la retranscrire parfaitement en anglais, mais en russe tout est en rythme. Mais on dirait que toi, tu es tombée amoureuse de quelqu’un…

Elle avait retrouvé son impassibilité habituelle. Elle s’était retournée vers elle, les coudes posés sur la balustrade. La jeuen Serpentard avait pu constater que Strue avait été la cible de plusieurs personnes. Avec ces lèvres bleutées, Fira avait l’impression de parler avec un cadavre.

-Quant à montré ce qu’on ressent, je n’ai pas l’intention de donner des armes à quiconque contre moi. Je ne serais jamais preuve d’une stupidité pareil

*Quoique, là Fira, c’est ce que tu es en train de faire*

-Tu as choisis de ne pas te gêner pour montrer tes sentiments, c’est ton droit. Avant, je le faisais et je trouve que c’est bien trop cher payé pour ceux que ça apporte. Qu’on remue le couteau dans la plaie sur moi, ne m’intéresse pas. Que les autres saches que je suis en doutes, et c’est le meilleur moyen de m’achever. Qu’il sache que je suis joyeuse ils s’empresseront pour que cette joie disparaisse. Que je sois triste, il remueront le couteau dans la plaie et se sera pire que tout. Qu’il sache que je suis amoureuse, ils m’atteindront en lui faisant du mal. C’est aussi simple que ça Strue. Alors détrompe toi, être un cœur de pierre n’est pas aussi difficile. Un humain peut devenir ainsi, s’il sait pourquoi. Apparemment, ton père ne sait pas ça…

Elle ne voulait pas agresser son père, mais Halloween voulait jouer franc, alors Fira faisait de même. Elle lui expliquait pourquoi elle agissait ainsi. Elle ne voulait pas tomber dans le panneau. Mais la jeune fille savait, qu’elle était la plus froide des enfants Nabirotchkina. Fira constatait à chaque instants que son père avait réussit. Elle affichait un sourire froid. Aussi froid que lorsque Strue lui avait posé la question sur son éducation. Mais ce n’était pas contre Halloween. Pour une fois, elle n’avait rien à lui reprocher.

-Je n’ai pas l’intention de pleurée. Je ne pleurais jamais devant personne. Aussi insignifiante qu’elle soit…

Elle pensait avoir fini de parler des sujets qui fâchent, mais Strue n’en avait pas fini apparemment. Et il semblait qu’elle ait compris de quoi parlait Esfir. La jeune Serpentard regretta immédiatement. Mais c’était elle qui avait allumé la mèche. Il fallait qu’elle assume les conséquences.

-Mais qui nous dit qu’il réussira. Les détraqueurs réussiront peut être à l’avoir avant. Et je me fiche un peu des autres personnes. Et puis, le Seigneur des Ténèbres est censé être mort. S’il revient on sait toute les deux ce qui nous restera à faire…

Pourquoi devrait elle se soucier des autres? C’était chacun pour soit même. Les faibles mourraient, et les forts survivaient. C’était aussi simple que ça. La loi de la nature. Tous les êtres humains étaient ainsi. A par ceux qui croyaient en des valeurs absurdes.

Elle se remémora le jour où son père lui avait montré la marque des ténèbres. La jeune Fira avait été fascinée. Son père voyait que ses yeux brillaient, lui avait adressé un sourire encore plus froid que la banquise. Un sourire qu’Esfir s’était juré de savoir imité un jour. Mais, elle avait seulement 12 ans.

Flashback

Ils étaient dans le salon, au coin du feu. Esfir faisait une partie d’échec avec sa sœur. Leur père, leur avait demandé de venir, et avait relevé son bras droit, révélant ainsi la marque des ténèbres.

-Un jour les filles, vous porterez cette marque. Vous y ferez honneur, ou vous mourrez. Vous servirez le maître lorsque vous serez des sorcières de deuxième cycle. C'est-à-dire quand vous aurez toutes les deux 17 ans.

-Mais c’est dans très longtemps

La jeune Esfir en ce temps là avait été très enthousiaste. Mais à ce moment là, elle s’attira les foudres de son père, lui parlant froidement, que la jeune Nabirotchkina avait encore des frissons.

-Porter cette marque est un privilège que tu n’as pas encore atteint. Et si tu continues comme ça, tu ne le mériteras jamais.

Toutes les jeunes filles de son âge seraient partit en courant et en pleurant. Mais Fira n’était pas comme ça. Elle savait qu’à ce moment là, elle empirerait son cas.

Fin du flashback

Esfir revint à la réalité. Ce n’était pas le moment de perdre pied. Elle regarda Strue se prendre la tête dans les mains. Elle fit un sourire.

-Alors toi aussi, tu repensais au moment où tu as la marque?

Halloween venait d’apprendre quelque chose d’intéressent sur Esfir, dans sa famille c’était le garçon qui était choyé et non l’aînée, comment lui dire qu’elle était une enfant unique.. Tout simplement avec sa franchise habituelle.

« Je vois, mais je n’ai pas ce problème, je suis fille unique »dit elle d’une voix neutre.

Puis la conversation continua jusqu’à qu' Esfir lui dit quelque chose qui marqua profondément Halloween.

Qu’il sache que je suis amoureuse, ils m’atteindront en lui faisant du mal. C’est aussi simple que ça Strue. Alors détrompe toi, être un cœur de pierre n’est pas aussi difficile. Un humain peut devenir ainsi, s’il sait pourquoi. Apparemment, ton père ne sait pas ça…

Elle n’avait jamais pensé à cela, elle n’avait même pas réfléchi à l’idée que montrer se sentiment là pourrait courir à la perdre de l’autre. Halloween déglutit avec difficulté cette foi-ci.

« Tu as raison, pour nous il faut mieux que nous fermions nos cœurs ?!?! »Répondit elle en se mordant la lèvre inférieure.


Mais la suite fut de plus en plus douloureuse à entendre, surtout à y croire.

C’est charmant, n’est ce pas? Je n’ai pas réussit à la retranscrire parfaitement en anglais, mais en russe tout est en rythme. Mais on dirait que toi, tu es tombée amoureuse de quelqu’un…

Halloween regarda droit dans les yeux Esfir qui était appuyé sur la balustrade, elle lui répondit d’un ton froid.

« Qu’est- ce que tu en sais de cela ?!? Tu joues la dame de cœur maintenant « répondit elle avec agressivité, preuve qu’elle avait touché droit au but.


Puis Halloween fut un moment absent, elle repensait à la marque et tout le tralal qui allait avec, quand elle entendit une autre question d’Esfir, elle avait la tête dans les mains et elle ne la releva pas pour lui répondre.

-Alors toi aussi, tu repensais au moment où tu as la marque?

« Tu vas peut être me traiter de traîtresse à notre maître, mais moi cette marque je ne la veux pas ?!?! et je ne veux pas mettre ma vie en danger pour LUI, mais si je serai obliger de le servir « dit elle en serrant les points et en relevant les yeux sur Esfir.

*J’ai envie de venir aurore Esfir, et oui pour combattre tous ses fous qui le soutient ?!?! Mais si mon cœur bats pour un des leur3*

Strue était fille unique. Cela n’étonnait pas Esfir. Elle aurait été peut être différente, ou peut être pas. Mais de toute façon ça ne changeait rien à la situation actuelle. La jeune russe avait compris qu’elle devait rester à sa place. Et puis, il y avait pire…

-Tu as de la chance Strue quelque part. Mais je ne voudrais pas être à ta place. Mes parents seraient sur nos dos, veillé à ce que je ne m’écarte pas du droit chemin…

Puis, elle parla, jusqu’à ce qu’elle en vienne aux sentiments d’amour. Un sentiment qu’Esfir avait toujours méprisé. Et qu’elle mépriserait toujours. Elle sourit quand Halloween réagit violemment lorsqu’elle lui dit qu’elle était amoureuse.

-Je ne savais rien. Tu t’es trahi toi-même en réagissant aussi violemment. C’est la preuve que les points faibles se montre par les sentiments. Tu n’as pas apprécié ma remarque, et je le comprends. Tu as été malmené rien qu’avec cette phrase. Halloween, je ne suis qu’une gosse de 12 ans, imagine que tu te sois retrouvé devant mon frère, cela aurait été pire, il est meilleur manipulateur que moi. Mais serais encore pire si tu avais été en face de quelqu’un qui maîtrise complètement cette art…

C’était la première fois qu’elle appelait Strue par son prénom. Preuve que leur relation avait un peu évolué. Bien qu’elle reste toujours fragile. Mais Fira était réaliste, elles avaient des convictions complètement différentes. C’était impossible qu’elles deviennent réellement amies.

Elles eurent toutes les deux une absences. Ce fut Esfir qui revint sur terre la première. Fira aurait bien acquiescé devant les dires de Strue. Elle avait raison, elle devait le servir. Mais la jeune russe crut déceler de l’espoir dans le regard d’Halloween. C’était en totale contradiction avec ce qu’elle venait de dire. Elle lui fit un sourire désabuser.

-Strue pour moi porter la marque est un signe d’honneur. Tu ne veux pas la porter et encore moins de mettre en danger pour Lui. Le maître sera que tu ne veux pas le servir. Ca te mettrais peut être en danger. Je ne veux pas te faire changer d’avis. Mais le servir entraîne des conséquences que tu ne voudras sûrement pas faire face. Imagine, qu’il faudra tuer, faire souffrir les gens, se sera inévitable, si tu n’es pas capable de faire ce genre de travail, tu mourras, puisque tu ne lui serviras à rien.

Elle la regardait dans les yeux. Strue était en train de se sentir à elle-même. Elle songea avec amusement, comment les choses finiraient entres elles. Si elles étaient dans des camps opposés, et qu’elles s’affrontent. L’une d’elle devrait mourir et Fira savait qu’elle défendrait chèrement sa vie. Mais penser que Strue le tuerait peut être, cette pensée apaisait étrangement Esfir. Elle ne savait pas pourquoi, mais, elle n’avait jamais peur de la mort. Peut être parce qu’elle n’avait rien à perdre… Un vent glacial fit voltiger les cheveux de Fira devant son visage. Cela lui fit du bien, cela lui rappelait son pays, l’ambiance de son manoir.

-Nous avons seulement 12 ans, et on parle déjà de notre avenir. Nous changerons au fur et à mesure que nous grandirons. Nous n’aurons peut être plus du tout les même points de vue que maintenant sur la vie.

La jeune russe disait cela, mais elle n’y croyait pas trop. Elle était certaine qu’elle deviendrait mangemort, et qu’elle mourrait pour le maître des Ténèbres. De toute façon elle préférait mourir plutôt que d’être livrée aux détraqueurs. Et puis, c’était quoi une vie? Les humains ne faisait qu’un cours passage sur terre.

Halloween regardait droit dans les yeux Esfir, elle lui disait qu’elle avait de la chance à quelque part, mais d’un côté elle la plaignait en raison que ses parents seraient probablement sur son dos en épient chaque geste de leur fille, pour vérifier qu’elle vienne une bonne serpentarde, Halloween serra encore plus les poings, puis poussa un soupir, ce n’était pas si simple pour elle, en raison que tout le monde dans le monde des sorciers et surtout dans les familles de sang pur savaient qu’il préfèrerait avoir un garçon qu’une fille en raison que le nom s’éteindrais le jour ou la fille se marierait.

« J’aurais aimé avoir un frère, au pas que je me sens seule, c’est plutôt pour notre sang et mon nom de famille, en raison que le jour ou on me mariera, le nom des Strue disparaîtra sauf si mes parents décide de faire un autre enfant, mais ça m’étonne beaucoup de leur part»dit elle en regardant les cerceaux avec un regard perdu.

Elle avait dit « on « pas pour rien, en raison qu’elle savait que ce n’est pas elle qui choisira au moment voulut son mari, mais bien ses parents ou plutôt son père, mais si cette idée la déplaisait, elle ne pouvait rien y faire, comme l’idée de servir Lui.

Puis arriva une discution sensible.

-Je ne savais rien. Tu t’es trahi toi-même en réagissant aussi violemment. C’est la preuve que les points faibles se montre par les sentiments. Tu n’as pas apprécié ma remarque, et je le comprends. Tu as été malmené rien qu’avec cette phrase. Halloween, je ne suis qu’une gosse de 12 ans, imagine que tu te sois retrouvé devant mon frère, cela aurait été pire, il est meilleur manipulateur que moi. Mais serais encore pire si tu avais été en face de quelqu’un qui maîtrise complètement cette art…


Halloween se leva et s’approcha d’Esfir et s’appuya sur la balustrade, les bras croisés,le regard lointain, elle lui répondit.

« ma réaction a été naturelle Esfir, c’est comme si je te disais à toi que tu étais amoureuse, et que tu ne le voulais pas l’admettre d’avance, mais que tu avais remarqué ton changement t’attitude à son écart, et que tu ne comprenais pas cela, tu viens toi-même de mettre le mot sur ce changement d’attitude »dit elle en en faisant un pause

« et aussi j’ai voulu le protéger, c’est bête en raison qu’il n’est pas là, mais ce que tu m’as dit avant m’a fait réfléchir et je me suis rendu compte quand l’aimant lui, je le mettais en danger inconsciemment et cela je ne le veux pas ?!?! Je ne veux pas qu’on lui fasse du mal à cause de moi. Ça ne pardonne pas mon comportement certes, mais ça l’explique et ça prouve encore une fois que je suis faible, que je n’ai pas reçu à faire ce qu’on m'a enseigné depuis 6 ans et je connais quelqu’un qui est doué pour me tirer les vers du nez, c’est mon père et je le sais qu’au moment qu’il me verra, qu’il saura en me regardant qu'il y a quelque chose de pas rond « dit elle en regardant droit devant elle.

Halloween se demandait pourquoi, elle parlait de cela avec une fille, qui venait seulement au bout de 2 ans de l’appeler par son prénom.. elle n’avait aucune idée.

*enfin elle prononce mon prénom pas trop tôt * pensa t’elle en souriant

Mais la suite, la glacial sur place.
-Strue pour moi porter la marque est un signe d’honneur. Tu ne veux pas la porter et encore moins de mettre en danger pour Lui. Le maître sera que tu ne veux pas le servir. Ca te mettrais peut être en danger. Je ne veux pas te faire changer d’avis. Mais le servir entraîne des conséquences que tu ne voudras sûrement pas faire face. Imagine, qu’il faudra tuer, faire souffrir les gens, se sera inévitable, si tu n’es pas capable de faire ce genre de travail, tu mourras, puisque tu ne lui serviras à rien.


Halloween tourna la tête en direction de Esfir, elle se mit à lui sourire, en l’entendant parler, comme si Halloween n’était pas capable de tuer ou de faire souffrir les gents, elle la jugeait faussement, Halloween était peut être quelque’ un de doux et gentille en apparence et violente physiquement, mais elle était aussi quelqu’un de dangereux quand on touchait ou adressait la parole d’une façon violente ou moqueuse envers des proches à elle, mais Esfir se doutait pas de ce côté de la de sa personnalité, elle lui répondit.

« C’est vrai que le symbole de cette marque est jolie, mais je sais aussi que je vais devoir la porter, et si ce n’est pas moi qui tendra mon poignet c’est mon père qui tiendra mon bras pendant la pose de cette marque ?!?! »Dit elle d’une voix neutre.

« Mais tuer, faire souffrir, ne devrait pas poser trop de problème, il faudra juste tirer sur la bonne ficelle ?!?! »Dit elle d’un sourire mauvais en regardant droit devant elle

*à noël, je vériférerais sur le bras de Samuel si ma crise disait juste ?!?! j'en sur il en fait partit et il va devoir m'expliquer pourquoi il m'a menti ce soir là quand je lui reveller cela.*

Halloween savait qu’elle ne pouvait pas éviter la marque des ténèbres, servir ce fou ça sera plus compliqué à éviter et en faisant cela elle sait qu’elle mettait sa propre vie en danger sauve si Lui, déciderait différemment, mais ça étonnerait profondément.

Puis Esfir, lui fit remarquer que c’était trop tôt pour penser à cela, elle avait raison.

« Oui, trop tôt, il y a pas eu assez de choses « dit elle dans un vague murmure.

Esfir comprenait parfaitement ce que voilait dire Halloween. Bien sûr on allait pas choisir un marie pour elle, et elle doutait qu’elle se marie un jour d’ailleurs, elle sera peut être morte avant que cela arrive. Mais Fira s’en fichait totalement.

-Je comprends…

Elle n’avait rien de plus à ajouter. Elle n’allait pas lui raconter toute sa vie non plus. Mais c’était étrange, que les deux jeunes filles se confie l’une à l’autre. Elles qui se détestaient depuis pratiquement deux ans. La vie réservait parfois des surprises, que même Esfir n’aurait pu imaginer. Finalement elle n’avait pas un total contrôle d’elle-même.

Quand elle lui dit sa façon de penser, sur les sentiments, Esfir aurait cru qu’halloween allait s’énerver. Mais, c’était seulement pour la mettre en garde, elle ne disait pas ça, pour une simple vengeance. Mais Halloween resta calme, ce qui étonna agréablement Esfir. Peut être que désormais, lorsqu’elles auraient une discutions, cela ne se terminerait pas en crise de colère, comme à l’accoutumé.

-Ce sait que c’est naturel, tous les sentiments sont naturels, mais il faut apprendre à les dissimuler. Tu les sentiras toujours en toi, mais fur et à mesure tu ne t’en rendras peut être plus compte.

Maintenant, elle n’avait plus qu’à écouter Halloween, elle n’avait plus rien à lui dire. Elle lui avait révélé ce qu’elle pensait des sentiments, et surtout sur l’amour. Le sentiment le plus dangereux pour elles, des futurs mangemort.

-Je suis contente que tu aies compris. Mais t’as faiblesse c’est juste le manque de connaissance. Ca s’arrange. Tu as encore un an, pour savoir te maîtriser, avant de parler avec ton père. Ou alors trouve une autre solution, va passer tes vacances d’été chez une amie.

Halloween ne la regardait pas, mais elle comprenait cette réaction. Elle n’avait jamais été amoureuse, et espérait ne pas l’être. A son goût cela entraînait beaucoup trop de complication pour un sentiment si éphémère.

Fira fit un sourire ironique. Elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle ne trouvait pas que Strue avait dit quelque chose d’idiot, mais elle avait semblé d’avoir oublier un facteur important.

-Tu as oublié quelque chose. A ce moment là, tu seras majeure. Ce sera à toi de décider, pas à ton père. Tu as l’air déjà rebelle, à seulement 12 ans, imagine quand tu auras 17 ans… Imagine que tu n’habites plus chez lui à ce moment là. Quant à faire souffrir ou tuer, imagine que ce soit quelqu’un qui est cru en toi… Tu trouveras toujours la force?

Esfir lui posait cette question, puisque elle-même, elle ne savait pas pour elle. Elle ne savait toujours pas si elle aurait toujours la même philosophie de la vie. Elle deviendrait peut être plus sombre. Moins gentille, plus féroce, plus sadique. Ou alors tout le contraire… Personne ne savait ce que nous réserve la vie.

-Je suis quand même contente qu’on est eu cette conversation. Ca m’a apaiser.

Elle ne savait pas pourquoi, elle disait ça à Halloween. Elle n’osait même pas la regarder. C’était la première fois qu’elle disait ce qu’elle pensait, et qui ne soit pas digne de la famille Nabirotchkina.

-Appelle moi Fira à l’avenir.

Elle ne disait pas ça pour rien. C’était un gage d’amitié, qu’elle offrait à de rares personnes. Désormais, Halloween en faisait partit. Sauf, si elle ne voulait pas de cette amitié, bien entendue.

-Par contre, ne parle de cette conversation à personne, s’il te plaît…

Esfir était très sérieuse. Elle ne voulait pas que les autres sachent, si cela devait tomber dans les oreilles de sa soeur, elle ne se le pardonnerait jamais.

Tout allait de mieux en mieux entre la russe et l’anglaise, est-ce que ça serait le début d’une amitié nouvelle entre les deux ?!?! Peut être bien que oui.

Mais quand Esfir lui parla qu’elle avait une année pour savoir se maîtriser, elle se trompait cette fois-ci, elle lui dit avec douceur.

« Non, Esfir, je n'ai même pas une semaine« dit elle en regardant l’horizon

« Je dois rentrer juste après le bals « dit elle en baissant son regard

« Il sera déjà de mauvaise humeur quand ils lui diront ce qui c’est passé cet été, je sais que père va demander les détails de cette affaire à eux, et je sais aussi que grand –père à subitement effacer certain détail dans la lettre qu’il lui a envoyé, alors je le sens qu’il va pas apprécier d’apprendre ses détails de cette sorte et de me voir arriver avec des étoiles dans les yeux, il va le faire payer encore plus ?!?! »Dit elle en se mordant la lèvre inférieure.

Puis Esfir lui fit remarquer deux détails majeurs ?!?!

-Tu as oublié quelque chose. A ce moment là, tu seras majeure. Ce sera à toi de décider, pas à ton père. Tu as l’air déjà rebelle, à seulement 12 ans, imagine quand tu auras 17 ans… Imagine que tu n’habites plus chez lui à ce moment là. Quant à faire souffrir ou tuer, imagine que ce soit quelqu’un qui est cru en toi… Tu trouveras toujours la force?

Halloween releva cette fois-ci son regard sur Esfir, elle se mit à sourire au premier détail, mais la suite la fit perdre son sourire.

« Oui, mais il y aura toujours le même pouvoir sur moi que maintenant, c’est vrai j’avais oublié cela et je me vois tout à fait à 17 ans encore plus rebelle que maintenant et peut être encore plus follement amoureuse « dit elle pour plaisanter et en rigolant, mais la suite la fit revenir sérieuse

« Il y a un certain moment où tu dois mettre tes sentiments entre parenthèse, surtout pendant nos travails futures »dit elle sérieusement

« et pour te répondre, oui je serai capable de le faire »dit elle en refixant l’horizon.

*même si j’avais de la peine à me pardonner par la suite*

Elle était repartit dans ses pensées, quand elle entendit Esfir lui dire quelque chose, qui la surprit, elle leva même un sourcil de surprise tellement que c’était inattendu de la part de la russe et elle la fixa.

-Je suis quand même contente qu’on est eu cette conversation. Ca m’a apaiser.

Halloween n’en revenait pas, Esfir aussi avait l’air étonnée de l’audace qu’elle avait pris en lui disant sa pensée.

Elle ne s’entendait pas à la suite, non plus ce qui la fit s’asseoir abasourdite.

-Appelle moi Fira à l’avenir

Là elle se releva et s’assit en regardant le dos d’Esfir, puis elle se mit à lui sourire
Halloween accepta avec joie cette amitié nouvelle.
« Appelle moi Hall la prochaine fois, Fira »dit elle pour lui faire comprendre qu’elle avait accepté

La suite finissait de lier le contrat d’amitié et elle répondit aussi positivement

« T’inquiète personne ne sera au courant de notre discutions « dit elle en regardant l’horizon de nouveau.

Elle était toute bonnement sur le cu, si on lui avait prédit que dans deux ans elle allait venir amie avec une fille qui l’avait détesté depuis le début.

Le visage d’Esfir se durcit quand Halloween lui dit qu’elle devait rentrée chez elle après le bal. Ses parents, à elle, ne tenaient pas particulièrement à la revoir, tout comme elle d’ailleurs. Elle se demandait ce que le père d’Halloween avait dans la tête quand elle dit qu’elle le retrouverait pendant ces vacances.

-Tu ne peux donc pas trouver une excuse pour ne pas le voir…

Elle laissa échapper un profond soupir. Elle ne pouvait pas aider Strue tout simplement parce qu’elle n’avait jamais vécu cela. Elle avait toujours su contenir ses sentiments dans une sorte de gouffre qu’elle s’était crée. Certain appellerait ça un monde. Sauf que le sien était rempli de colère et de tristesse, où l’amour et l’amitié se faisaient inexorablement piétiné. Elle n’avait jamais été amoureuse, et l’amitié, il faudrait bien la sacrifié un jour ou l’autre. Mais, que Fira ne soit pas pressée que ce jour arrive. Mais le temps passait sans que personne ne puisse l’en empêcher.

Esfir lui fit un sourire quand celle-ci lui dit que son père aurait toujours la même autorité lorsqu’elle aurait 17 ans. Peut être, mais peut être pas non plus. Il était si facile de se soustraire à l’autorité. Il fallait seulement oublier la peur, et la remplacer par la froide colère. La colère était l’arme la plus puissante, mais encore fallait il savoir quand lâcher la bride, et pouvoir la maîtriser. Fira la maîtrisait parfaitement, elle savait qu’un jour elle exploserait de colère. Mais, elle espérait que ce jour là, cela serait impressionnant. Bref, elle voulait faire la fierté des Nabirotchkina.

-Je ne suis pas d’accord. Il te suffira d’être plus puissante, et connaître plus de sort s’il le faut. A 17 ans on peut utiliser la magie en dehors de l’école. Si tu es meilleure que ton père…

Elle ne finit pas sa phrase. Halloween ne voudrait peut être pas tuer son père, ou tout simplement le blesser. Esfir en serait capable. Elle ne tenait pas particulièrement à ses parents. Alors qu’ils soient morts ou pas, ça ne changerait rien à sa vie.

-Au fait de qui es tu amoureuse?

Bien qu’elle ne soit pas d’un naturel curieux, elle avait bien envie de savoir. Elle n’avait pas l’intention de lui nuire. Quand Fira faisait considérait quelqu’un comme un ami, il n’avait rien à craindre d’elle. Mais, il était difficile pour la jeune russe de faire confiance.

-Les sentiments entre parenthèse?! Je te conseille de t’y mettre dès maintenant alors. Ce n’est pas aussi facile…

Elle avait parlé d’un ton plus dur qu’elle ne l’aurait voulu. Mais ce qui était fait, était fait. Elle présentait toujours les choses comme elles étaient. Mais la peine de se compliquée l’existence en essayant d’avoir du tact.

Elle acquiesça simplement quand Halloween lui dit qu’elle pouvait l’appeler « Hall ». Elle avait accepté son amitié, et le passé était oublié. Bien que le coup du poing dans la figure de Cora restait toujours dans sa gorge, elle essayerait de passer outre. Elle savait qu’elle avait accordé à Halloween un mauvais jugement, mais ça, elle ne le dirait jamais. Elle était bien trop froide pour exprimer ce qu’elle ressentait devant une personne. Le visage de Jonathan Harkin s’imposa dans son esprit. Qu’elle balaya aussitôt. Ce n’était pas le moment de laisser des parasites entrer dans son esprit.

Quand lui promit de ne rien révéler de leur discussion, Fira se tourna vers elle.

-Je te fais confiance, mais trahis là, et tu t’en mordras les doigts. Même si je dois attendre une décennies pour me venger… Et je pense que tu n’apprécieras pas. Mais, si tu m’accordes ta confiance, sache tout de même, que je te ferais rien. Bien que je sois à Serpentard, je crois en la confiance, mais pas au pardon.

Fira n’avait pas parlé d’une voix menaçante. Mais, elle tenait à prévenir Halloween. Elle se souvenait du jour lorsqu’elle était petite, quand, quelqu’un lui avait fait une tâche (au sens figuré^^) elle avait été jusqu’à faire pleurer cette personne, et sans aucun remord. Elle n’hésiterait pas encore une fois, si cela devait s’avérer nécessaire.

[Dsl pour le temps, mais comme je suis en internat, je peux pas poster en semaine ^^"]

Halloween aurait aiméde ne pas partir de Poudelard pendant ses vacances, mais son père l’avait arracher de ce nid sans pitié, elle serait même obligé de vivre avec une jeune femme qui est sa mère pendant 4 jours, elle ne connaissait strictement rien d’elle, après 11ans d’absence c’était compréhensible. Oui Halloween avait une rage sourde, une rage qui montait, montait en pensant à sa mère. Elle allait lui faire payer son absence, quitte à la blesser, profondément ou à la tuer à petit feu. Elle allait lui rendre la vie pas facile, elle serait une vraie peste pendant ses quartes jours. Elle va lui faire regretter son geste de l’avoir abandonné et d’avoir faire souffrir son père de la sorte, elle va comprendre qu’on ne touche pas au Strue de la sorte et même pas du tout !!!!

C’était sur ses pensées si sombres qu’elle entendit la suite d’Esfir, elle lui répondit d’un ton froid et sec.

« Oui, t’inquiète pas je serais plus forte que lui, mais une chose qui est sur, je n’irai pas askaban!!! « dit elle en serrant la mâchoire.

« Je ne le tuerai pas, ni le blesser, mais Elle, je ne sais pas si je serai capable de me retenir le jour de mes 17 ans de lui faire payer, ce manque d’amour …. »Lâche t’elle dans un murmure la fin de la phrase avec une voix brisée

Ses yeux se remplirent de larmes, mais aucunes d’elle se mit à glisser sur ses joues pâles, c’était impossible maintenant pour Halloween de pleurer sa mère, elle n’arrivait tout bonnement pas.


Heureusement pour Halloween,Esfir changea de sujet, elle lui causait de son amoureux, Halloween remercia du regard Fira de se changement, voila une discussion qui pourrait lui enlever la photo de sa mère souriante qui se trouvait dans sa tête, pour la remplacer d’une pitchette par celle de Samuel. Halloween se mit à sourire en pensant à lui, mais son sourire s’effaça aussi rapidement qu’il était venu.

« C’est un jeune homme d'ici, mais ce cher jeune homme, ne sais pas vraiment m'approcher et moi aussi.. c'est compliqué » dit elle d’un ton amer.


« Bref je dois être condamnée depuis mon enfance à faire fuir les gent ou pas être aimé en retour par ceux que j’aime « dit elle en la regardant , en même temps , elle pensait à son père , sa mère et à Samuel.

Mais le ton que Fira employé pour lui adresser la parole, fit dresser les poils d’Halloween de frustration, elle se morda la langue pour pas lui répondre violement.

« Ce que je suis entrain de faire déjà ma chère Fira »dit elle en regardant de nouveau les buts, d’un ton faible.

C’est vrai Halloween c’était promis de venir froide comme de glace des aujourd’hui envers les personnes qui lui avaientt fait le plus souffrir, son père, sa mère et Samuel, cet fois-ci c’était différent c’était pour pas avoir le cœur brisé.