au bord de l'eau

* Apres son cour de métamorphose, qui pour être vraiment sincère n'avait absolument rien suivit, il sortit de la salle en traînant les pieds. Il avait un mal de crâne mais plus qu'abominable, cela avait commencé a repas de midi, a maint reprise il s'était touché le front il n'était absolument pas chaud, il n’avait ni mal dans ses membres et n'avait pas mal a la gorge non plus. Alors il estima que s'était un manque de repos. Pourtant l'heure de reprise des cours, l'avait complètement cassé. Il avait l'impression qu'on le martelait avec un énorme marteau piqueur. Pour passé se mal, il décida sur un coup de tête d'allé faire un petit tour au lac, l'histoire de respirer un peut d'air frais et pure. Il avait déposé ses affaires dans son dortoir comme un fantôme qui traverse un mur. Il se mit à courir dans les couloirs pour atteindre alors la grande porte. Par chance elle était ouverte il ne perdit donc pas de temps a s'arrêter, et accellera l'allure. C'est légèrement essoufflé qu'il arriva au bord du lac.

Kylian se passa une main dans ses cheveux et fixa l'horizon d'un regard vide de toute expression. La seule chose qu'il aurait désiré à cet instant de retrouvé son anal, cela lui trottait toujours énormément dans l tête. Un scorpion ne pouvait vivre que 8 ans. Et lui il se voyait très ma en prendre un autre après que Thany soit mort. Car aucun scorpion même identique a lui ne le remplacera, s'était aussi bien inimaginable qu'improbable. Absolument rien ne remplacera Thany. Mais cette punition lui pesait très lourd sur la conscience.

Dehors, au ord du lac plus ou moins tranquille, Il faisait froid, humide, et quand on levait la tête, vers le ciel, celui était recouvert d'une légère brume. Pas un temps où l'on avait envie de sortir. Mais c'était connu et prouvé, Kylian était de nature contradictoire. Il aimait aller dehors quand il faisait mauvais temps. Même si tout le monde était dedans. Bref, on ne s'étendra pas sur ses envies et ses pensées car franchement... pas intéressant.

Il tourna la tête et observa la forêt au loin, enveloppée de brume. Le danger l'avait toujours attiré d'une irrésistible manière, mais là... Là il avait quelque chose à faire, ici vers le lac. Il se pencha en avant et trempa ses doigts dans l'eau. Elle était gelée, tellement qu'elle brûlait presque. Il adorait cette sensation... Retirant sa main, il observa les légers remous à la surface. Un monstre ? Il n'y croyait guère, même si l'idée l'excitait plus qu'autre chose. Ses yeux balayèrent les alentours... Il n'y avait personne. Tant mieux. Ce qu'il comptait faire requérait une tranquillité absolue.

Il s'installa bien au milieu de 2 arbres a coté du lac, puis Il s'essaya par terre, dans la position appelé " position du lotus " afin de médité un peut.
Oui il avait besoin de faire le vide dans son esprit pour être un peut plus léger. En faite s'était surtout pour être dans le calme, et tenté de se reposer un peut. Mais bon tout ça pour dire, qu'il en avait vraiment besoin. Et que s'accorder même une petite pose dan cette position ne pouvait lui faire que le plus grand bien. *


[ 545 mots ]

Un vent froid soufflait depuis quelques jours déjà. Un froid agressif et qui faisait reculé bien des élèves, aussi courageux soient-ils. L’air était plutôt humide, et un brouillard commençait à naître dans le ciel étrangement bleu cyan. Ce bleu qui surgissait chaque période de grand froid. Le vent faisait voler les boucles blondes de Pénélope. La jeune sorcière, malgré ce temps fort peu propice à la promenade était de sortie. L’air était si froid que le simple fait de respirer faisait mal à la gorge.

La serdaigle ne sortait pas peu couverte. Elle portait une longue robe de sorcière, ainsi q’une cape d’hiver, bien rembourrée et chaude. Une écharpe aux couleurs de sa maison autour de son cou blanc. Un joli bleu et bronze, qui faisait parfaitement ressortir la pâleur de sa peau ainsi que la clarté de ses pupilles azur. Le tout était complété par une paire de gants bleus rayés bronze, couleur de sa maison, dont elle n’était pas eu fière.

La sorcière marchait doucement, évitant les quelques plaques de verglas qui avaient tendance à se former de ci de là ces temps-ci. La jeune fille n’avait pas vraiment de but, si c’était uniquement de se promener, d’adirer sa belle école, ce parc, puis, optionnellement de vérifier qu’il n’y ait pas d’anomalies dehors. Il fallait avouer qu’elle avait parfois tendance à être paranoïaque. Mais après tout, c’était pour le bien de l’école et de ces occupants…

La belle jeune fille de 16 ans arrêta sa progression une foi arrivée en bordure du lac. Il lui fallait opter pour une direction à suivre à présent. Jusqu’alors, elle était allée tout droit, sans autre but que celui d’avancer, encore et toujours plus loin. Maintenant, elle devait aller soit à droite, soit à gauche. Elle opta pour la droite, étant droitière, elle tournait plus facilement de ce côté-ci, de plus, elle ne tenait pas à s’éloigner du château, se promettant de rentrer assez vite, ne tenant pas spécialement à se rendre malade pour une simple promenade trop prolongée.

La sorcière prit donc le chemin qui se trouvait à sa droite, et poursuivit sa route, marchant toujours avec lenteur et prudence. La sorcière s’arrêta quelques mètre plus loin, apercevant une silhouette assise entre deux arbres, non loin du lac. La sorcière se demanda ce qui se passait ; la personne avait-elle eu un malaise ? Ou était-ce juste un petit rigolo qui ne remarquait même pas que le temps n’était pas à la bronzette ?

Pénélope continua sa marche, puis s’arrêta à cinq mètres environ du petit garçon, un jeune élève bien spécial tout de même. D’après sa potion, il semblait être en train de méditer. Par ce temps-ci, il serait tout de même bien mieux dans sa salle commune ou dans son dortoir… pénélope ne disait rien, et ne faisait pas de bruit, réfléchissant à l’attitude à adopter vis-à-vis de ce petit bonhomme si… étrange. Elle souffla doucement, l’air était vraiment froid et bien désagréable. Cependant le ciel était si bleu que l’envie de sortir avait tout de même triomphé du froid ambiant. Mais tout de même, il fallait être en mouvement !

[522 mots]

* S'était dans des moment comme celui la que Kylian faisait attentivement attention a se qu'il entourait. Certes il ne voyait absolument rien, vu que ses yeux étaient fermés, mais il était très attentif au bruit qui l'entourait. Le moindre bruit a proximité de lui, il l'entendait encore pus que parfaitement bien. Tout se qu'il l'entourait que le bruit soit fort ou léger, il pouvait entendre. Du craquement de branche entre les 2 arbres où il était, que le bruit que faisaient les quelques courageux poissons qui sautaient a la surface de l'eau pour se laisser retombé dans celle ci. Au moindre plus petit bruissement d'herbe. En pleine méditation tous es sens étaient ouvert a l'extérieur; Cependant celui qu travailler le plu et n outre le mieux était son ouie, depuis tout petit il avait eu un certain qu'était d'avoir l'ouie très fine, il pouvait entendre des sons que parfois les gens mme ne pouvaient pas percevoir. En faite il avait jute eu un peu de chance, car l'être humain composé de 5 sens en avait un plus développé que les autres. Chez Kylian il s'agissait de l’ouie.

De plus lors des petites attaques effectué par son père au temple, afin de le faire utilisé les 3 sorts qu'il avait appris la bas pour sa propre défense, l'utilisation de l'ouie était plus que primordiale. Cela permettait de detecter sans aucune difficulté apparente si quelqu'un se rapprochait ou non, l'ouie était comme un petit système d'alarme, qui déclenchait un état d'alerte dans le corps humain quand un bruit suspect parvenait aux oreilles.

Autrement dit la il en entendit un, s'était un bruissement d'herbe, puis après quelque secondes écoulé, c'est un léger soufflement qu'il entendit, mais vraiment très léger. Encore plus inaudible qu'une expiration. Il ouvrit alors d'une traite les yeux. Se pupille était toute dilatée, mais avec la lumière du jours, celle ce reprirent une taille a peut près normal. Il inspira un bon coup, tout en gardant sa positions actuelle pour évité d'affolé la personne qui a pressent se tenait derrière lui. Il se passa la langue sur les lèvres, et fini par se levé. D'un pas assez lent il se retourna.

C'est alors que ses yeux croisèrent ceux de la jeune fille, elle qui pourtant n'était pas si près que ça, il estima la distance d'a peut près 7 mètres peut être un peut moins. Il la fixa d'un regard sans expression, il n'avait pas encore parlé. Quand il voyait quelqu’un pour la première fis, il gardait très souvent le silence. Cela pouvait duré au moins 5 bonne minutes car il privilégiait toujours un petit temps pour son observation. Donc, Il voulais d'abord l'observé et après l allait poliment lui parlé, enfin essayé de qui parlé poliment et gentiment, en ce moment s'était loin d'être son fort. Comme a sa grande habitude, il la regarda alors de ba en haut en faisait bien attention au moindre détaille possible la moindre petite chose qui pourrait lui donnai un renseignement supplémentaire sur la jeune fille, qui vu de loin, était plutôt assez jolie. De sur, par la couleur de son uniforme elle était a serdaigle le bleu et argent, se repérât assez facilement; En vu de sa taille probablement 5 eme voir 6 eme année. Apres sa petite déduction il leva a nouveau les yeux pour les plonger dans les siens. Puis il fronça les sourcils *

La discrétion n'a pas l'air d'être ton maître mot

* dit il sur un ton a la fois sec et assez tranchant. Il avait toujours les sourcils froncé, meme s'il n'était par en colère. Non la il allait un pet mieux seulement il n'avait pas médité assez longtemps il reprendrait peut être cela un peut plus tard dans la journée, bien au calme *


[ 630 mots ]

Le jeune garçon ne bougeait pas. Le seul mouvement qui émanait de lui était causé par le vent qui soufflait doucement dans ses cheveux. La jeune sorcière non plus ne bougeait plus, le regardant sans rien dire, sans bouger, sans rien faire. Le temps semblait s’être soudainement arrêté dans cette parcelle du parc, autour de ce lac argenté, en partie recouvert de glace. Le vent ne cessait de soufflait. Mais malgré le froid qui se faisait ressentir, Pénélope ne bougeait guère.

Enfin, le garçon se mit à bouger. Il ouvrit les yeux. Se trouvant à côté de lui, à quelques mètres, elle pu voir ses paupière bouger, mais ne pouvait bien voir son regard de sa place. Pas même la couleur de ses pupilles. La jeune sorcière se déplaça alors vers lui, tendis qu’il se levait, elle était à deux pas de lui à présent, il se retourna très lentement vers elle. Il était vraiment tout petit.

*Oua, c’est impressionnant. J’étais aussi minuscule en première année ?*

C’était amusant, quand Pénélope voyait les élèves de première année, et même les sorciers de deuxième année, elle ne pouvait s’empêcher de se poser cette question. C’était vrai tout de même. Elle ne pouvait s’empêcher de les trouver tout petit, tout maigrichon. Première année quoi. Il avait les cheveux châtain, tendant vers le roux lorsque les rayons du soleil atteignaient sa tignasse. Il était haut comme trois pommes, mais on sentait qu’il avait un sacré tempérament. Ca se voyait dans ses yeux, dans ses gestes, son intonation, tout le trahissait.

Pénélope le regardait attentivement. L’océan de ses yeux essayait de le discerner calmement. Elle aperçut l’insigne aux couleurs de Salazar Serpentard, un vert étincelant accompagné d’un serpent argenté, sur la cape du garçon. Ainsi, il était de serpentard. Cela expliquait pourquoi elle ne le reconnaissait pas. En effet, pénélope discutait souvent avec les petits nouveaux, afin de les aider à s’y retrouver dans ce grand château, mais aussi par simple intérêt personnel, elle aimait savoir si les nouveaux élèves se sentaient à l’aise dans cette école, loin de leurs parents. Pour certain, le choc était plus grand, plus important que pour d’autre, et elle s’efforcer de les aider de son mieux dans ce genre de situation. Bien que conversant avec les nouveaux élèves, les petits serpents se gardaient bien d’aller à la rencontre des autres maisons généralement. Bien que serdaigle ne soit vraiment haïe par aucune des maisons, les serpentards évitaient tout de même de les fréquenter.

Les quelques mots que prononça le petit garçon étaient assez amusants, malgré le cadre de la situation. Explication du comique de situation : un gamin, haut comme trois pommes, en toute première année à poudlard se tenait face à une serdaigle de cinq ans son aînée, ayant presque achevée sa scolarité et préfète en prime. Ce gamin regardait la sorcière, en levant un peu la tête, forcément, pour voir son visage, c’était mieux, tandis que la serdaigle n’avait qu’à baisser les yeux sur le mioche qui se permettait de lui faire une remarque aussi… bête et sans intérêt.

Franchement, quel était l’intérêt d’être aussi silencieux ou discret ? Du moment qu’on n’était pas aussi maladroit et étourdi que Neville. Nous n’étions après tout pas dans une école de ninja ou quelque chose de ce genre. Pénélope prit la parole, ignorant la remarque désobligeante faite par le sorcier :

« Tu n’as pas froid à rester ainsi sans rien faire ? »

[575 mots]

* Froid?? Pourquoi? Il devait avoir froid? Il était peut être jeune, mais il était quand même résistant. Et puis il n'était pas t-shirt non plus, il avait quand même sa cape sur ses épaules. Cependant il se posa quand mme le bout de ses doigts sur ses pommettes. Ses doigts étaient complètement gelés, alors qu'au contraire ses pommettes étaient chaudes. Il supposa donc qu'elles devaient être légèrement rosi a cause du froid. Il pris une grande inspiration, et expira comme s'il n'avait pas respiré pendant un bon moment. Son haleine forma une petite brume blanche qui disparut aussitôt. Il déglutit sans lâcher la jeune fille des yeux. Ce qui était bien avait la légère distance qui les séparait c'est qu'il n'avait pas besoin de levé trop els yeux pour la regardé. Car quand il se trouvait à coté grands, il en avait marre de levé la tête, parce qu'il se sentait très petit, minable et diminué. Mais il ne désespérait pas parc qu'un jour, lui aussi sera grand, et à son tour il baissera la tête pour regarder les plus jeune.

Enfin bref, il était donc venu ici, pour méditer. Et oui peut être loin de ses parents, mais son père arrivait encore à le surveiller. Pas par des hiboux comme tout le monde pourrait le pensé, mais par des méthodes beaucoup plus sur et évolué. Très bon legiliment, même avec autant de kilomètre qui les sépare, son père entrait très facilement dans sa tête. Il se sentait donc obligé de faire queues pratiques du temple pour éviter que son père rentre en lui comme bon lui semblait. Mais au delà des apparences, il avait extrêmement peur de la méditation, il avait du allé a l'hôpital a cause de cela. Certes le temps ne le dérangeait pas, qu'il fasse beau, qu'il neige, qu'il vente, qu'il grêle, les heures de méditation étaient obligatoires. Mais un jour cela tourna très mal, en effet le garçonnet souffre d'une maladie appelé l'apnée du sommeille. A force de médité il avait non seulement fait beaucoup trop le vide dans sa tête et dans son corps, mais il y était resté trop longtemps, il avait donc fait une crise d'apnée du someille en étant en méditation.

Normalement, dans son carnet d'hôpital il est noté qu'il est mort pendant 1 minutes et 48 secondes le 26 avril 2003. Mais son coeur à réussir a partir grâce aux ambulanciers qui heureusement était arrivé a temps pour faire repartir son coeur. Mais pour en revenir à la question de la jeune fille, non il n'avait pas froid, il était habitué, enfin quand la température n'était pas trop basse. C'est sur qu'en hiver il aurait très certainement mis un gros pull. Alors il se contenta simplement de secoua furtivement la tête et de se rapproché de son interlocutrice *

Non je n'ai pas froid, mon corps est ici et mon esprit ailleurs quand je le quitte la température m'importe peut

* certes elle n'allait très certainement pas comprendre le sens de sa phrase, mais le plus important pour elle pour le moment n'était pas de comprendre oui ou non la phrase, c'est qu'elle avait plutôt la chance qu'il venait un peut de se calmer, il n'allait donc pas trop la rabaissé. Il s'arrêta alors juste devant elle, a à peine 2 mètres *

Et toi que fais tu la ?


[ 561 mots ]

Ce jeune garçon semblait bien étrange, ses dires se faisant aussi bien mystérieux, il semblait s’exprimer par l’intermédiaire de jeux de mots, son esprit était ailleurs ? Mais où était-il donc dans ce cas ? Après tout, était-ce réellement un jeu de mot ? Ou son esprit était-il vraiment ailleurs ? Tout était possible dans ce monde magique, dans le monde des sorciers…

Le garçon souffla doucement, laissant une légère brume blanche, il semblait à la fois étonné et sûr de lui, un curieux mélange à observer. Son regard était un peu surpris, comme s’il s’interrogeait sur un sujet quelconque, mais allez savoir lequel ? Il y avait tant de sujets divers et variés : la culture des petits pois en URSS ? Les concepts de bien et de mal ? La normalité, se définissait-elle ? Et si oui quelles en étaient les limites ? Tant de sujets possibles ! Peut-être était-ce plutôt les cours de la journée, les potions ? La métamorphose ? Un sortilège trop complexe qu’il n’avait réussi à jeter ? Finalement, il était inutile de chercher ce à quoi pouvait penser ce garçon, après tout il y avait tant de choses possible et imaginables !

En tout cas, une chose était certaine, il n’avait pas froid, enfin certaine, c’était en tout cas ce qu’il lui avouait, quant à savoir si c’était vrai… Elle n’était pas experte en divination non plus ! bien que ce soit une matière très intéressante, elle demeurait trop approximative et peu sûre. Il fallait cependant avouer que l’étude des lignes de la main était absolument passionnante, tout comme la lecture des boules de cristal vraiment très intéressant, et bien plus sûr que les feuilles de thé…

Pour en revenir au parc, car en ce moment, la jeune Pénélope n’était ni dans une salle de classe, ni en pleine réflexion dans la bibliothèque ou dans sa salle commune, non elle était au parc. Avec un petit garçon très étrange mais pas trop désagréable, bien qu’un peu distant et froid. Froid… à l’image de cette journée qui s’annonçait glaciale malgré les rayons de soleil qui inondaient par instant le paysage anglais, lorsque les nuages se déplaçaient.

Le gamin s’avança un peu plus, deux mètres à peine les séâraient, il lui demanda alors ce qu’elle-même était venue faire en ces lieux, cela paraissait plutôt évident, étant donné la situation, mais elle lui répondit en souriant légèrement :

« Ô, rien d’extraordinaire, je me promène dans le parc, avant qu’il ne pleuve. Et j’en profite pour faire une ronde. »

Puis le regard aqueux de la douce préfète se posa sur l’enfant :

« Et toi ? »

Oui, que faisait-il ici, assis par terre ? De la méditation ? C’était plutôt étonnant, étant donné la température assez rude. A moins qu’il ne soit tout simplement fatigué et ne se repose après avoir couru, mais là aussi c’était peu probable. Après tout, s’il avait couru, il serait dans une tenue plus légère et serait plus essoufflé…

Un bruissement se fit entendre au-dessus de leurs tête, et une silhouette noire passé à toute vitesse dans les airs, un hiboux, tenant dans son bec un fromage, une lettre. Le rapace accélérait son vol en vue du château, pressé de se reposer sans doute, et surtout de se mettre enfin au chaud, allez savoir d’où il venait ! Il pouvait venir des quatre coins du monde !

[568 mots]

* il regardait toujours intensément la jeune fille dans les yeux, tout en ayant les siens légèrement plissé. Rare était les personnes qui s'aventuraient dehors par un temps comme celui la. C'est pour ça que lui, contrairement aux autres aimait bien les moments comme celui la. Etre seul, dans un endroit où il n'y a personne, même si la météo, et les températures ne sont pas adéquates. Mais des fois, se poser quelque par avec une température comme celle la, provoquait énormément de bien. Enfin peut être que chez les autre sil en était autrement, mais lui, cela le relaxait énormément, son état frôlait même l'apaisement. Bon certes il n'y passerait pas des journée entière parce qu'i lui arrivait quand même d'avoir froid. Mais il pouvait resté ainsi 1 voir 2 heures sans bougé. Ou on verra juste la brume de sa respiration troublé le paysage qui les entours.

La jeune fille ne parlait pas énormément ce qui l'était plus ou moins, la plus part des filles de cette école ne savait que cancaner, gloussé, ou chuchoter. S'était assez insupportable, surtout si elles parlent plutôt fort et d'une vois aigu et strident. Mais la jeune fille en face de lui semblait disons plus calme, moins bavarde, et un peut plus intéressante a écouté, peut être avait elle enfin connu le sens du mot " évolution " comparé aux autres potiches de cette école. Parce que la plus part des filles semblent oublié que c'est pas la quantité de mots que tu peux débiter a la minutes qui est important, mais de la qualité du dialogue.

Cependant le faite qu'elle ne parlait pas beaucoup l'intriguait un peut, il s'attendait a beaucoup plus de question. Et le faite que depuis tout a l'heure il ne s'était pas quitté du regard l'intriguait un peut. D'habitude beaucoup d'élèves ou de personnes, n’aimaient pas se sentir fixé aussi intensément. Seulement elle cela ne semblait pas la déranger le moins du monde. A quoi pouvait elle pensé en se moment?

Il se racla un instant la gorge en gardant le silence, certes la fasse observation était passé, mais il aimait beaucoup les petits instants de silence comme celui la. Il se rapprocha alors un peut plus, et remarqua son petit sourire. Lui par contre resta neutre et impassible, le visage toujours vide de toute expression *

Je méditais

* oui il savait très bien que la méditation était loin de se pratiquer dehors, mais la il en avait besoin, donc pour lui peut importe vraiment l'endroit, le moment ou le pourquoi du comment. Il fallait le faire alors il le faisait. De plus, il n'y a que comme cela qu'il arrivait vraiment à se calmer. Il se, mis alors les mains dans les poches, sans jamais la quitté des yeux. Il pouvait resté comme ça assez longtemps.

Mais un bruit le fit levé la tête, s'était un hiboux qui semblait apporté une lettre, pour le moins pressé de rentré pour être au chaud. Il baissa a nouveau la tête, vers la jeune fille *

Tu as froid ?

[ 512 mots ]

* Il plissa les yeux comme a ça grande habitude tic qu'il avait quand il fixait les gens un eut trop longtemps. Depuis le début il n'avait ni souris, et son expression était limite restée sans vie. En faite il était loin d'être émotif, et d'exposer aux mondes entier ses sentiments. Bien au contraire, Kylian était un de ses petits garçon qui intériorisait tout et qui quasiment rien de touchait, il ne tombait ni amoureux, il était rarement en colère et il n'était jamais triste. De temps en temps il lui arrivait d'être nostalgique de son pays et de sa créature, mais il avait appris à vivre comme ça. Maintenant il avait décidé d'être plus fort, et se plonger a 200 % dans les études comme un garçon normal de son age. Obéissant peut être pas encore, mais peut être qu'au fur et a mesure il apprendrait.

Il ressentit comme une vague de fraîcheur quand le regard de la jeune fille se détacha du sien. Il souffla légèrement, provocant une petite buée qui troubla lentement l'air, mais de courte durée. Il la suivi alors de regard supposant alors qu'elle devait regarder le paysage.

Certes cela impressionnait pas mal de monde quand il disait qu'il méditait, c'est pour cela qu'il évitait beaucoup le sujet, il n'aimait pas qu'on parle de sa vie et encore moins de ses pratiques, parce qu'on ne choisis ni sa vie, ni ses parents. Quand on vous oblige à faire quelque chose depuis que vous savez marcher, après tout cela devient une simple et banale routine. Cependant en méditation cela pourrait paraître bien étrange, mais tellement qu'il s'enfonçait profondément dans sa tête afin de faire le vide total, il n'entendait plus rien, juste se qu'il voulait entendre, ou se qu'il avait besoin d'entendre, le reste il l'effaçait simplement, il se mordit la lèvre supérieur. *

Dit, est ce que c'est mal d'être ainsi différent des autres?

* lui demanda t'il d'une voix assez enfantine c'est une question qu'il se posait depuis longtemps. A vrais dire la réponse qu'elle lui donnerait lui importait vraiment peut, pour dire s'était vraiment le dernier de ses soucis, il ne vivait pas pour le regard des autres, mais comme un egoïste, " juste pour lui même ". De temps en temps s'était assez dur de garder cette mentalité, surtout pour un garçonnet de son age. Etant élevé avec des grands de 15 ans depuis sa plus petite enfance, on lui avait toujours dit, si tu ne bouffes pas les autres, alors c'est toi qui es bouffé. En autre terme, si tu n'es pas le dominant, tu es alors le dominé. Le faite de resté dans cette philosophie ne faisait ni de lui un dominant ni un dominé, il restait dans ce qu'on pouvait appelé la classe de neutralité.

Puis il fronça les sourcils, et se porta la main a son col *

Si tu as froid je peux te passé ma cape

* Il acquiesça de la tête tout en restant neutre, Pénélope, très jolie prénom *

Enchanté, Pénélope, moi c'est Kylian