Premier matin d'école ! {Libre à tous les Gryffondor}

Le premier matin des cours ! Hermione s’était levée tôt juste pour cela. La Gryffondor voulait être prête pour son premier cours, celui de Potions. Bon, d’accord, il fallait avouer que ce n’était pas la matière que Hermione aimait le plus, mais elle ne la détestait pas non plus. En fait, la quatrième année ne détestait aucune matière qui existait, mise à part une seule, et celle là, je crois que vous savez c’est laquelle : la Divination.

Bref, Hermione était dans son dortoir des filles et se réveillait lentement. Il était six heures trente du matin et comme à l’habitude, les oiseaux chantaient à l’extérieur. La lionne se leva, enfila ses pantoufles et se positionna devant son miroir. Elle sortit une brosse et se peigna durement les cheveux. Étant donné qu’on était le matin, ils étaient ébouriffés et pleins de nœuds. Après un bon dix minutes, les cheveux de la rouge et or était parfait. Hermione s’habilla donc et descendit dans la salle commune.

Une fois là, elle fut surprise de voir Ronald qui était assis devant la cheminée (bien entendu éteinte !). La quatrième année s’approcha de Ron et constata qu’il... Dormait ! Hermione éclata de rire. Son ami était vraiment pathétique... Passer sa soirée dans la salle commune et s’endormir sur un divan, c’était bien du Ron ça ! Le Gryffondor émit un petit grognement et ouvrit tranquillement les yeux sous le regard d’Hermione. Ron poussa un cri qui fit encore éclater de rire Hermione. Elle s’assis sur le pouf devant le sofa de Ronald et le regarda se réveiller. « Alors, je suis si laide ce matin ? » Demanda Hermione en rigolant. « Franchement, comment as-tu fais pour t’endormir sur le divan de la salle commune Ron ? Tu étais trop paresseux pour te lever ? » Ron grogna une fois de plus et se leva. « Je faisait le devoir de Potion que Rogue nous a donné. » Répondit- il en se dirigeant vers le dortoir des garçons.

Hermione l’agrippa par le bras. Ron se retourna lentement. « Qu’est-ce que tu fou ? Laisse moi aller me coucher bon sang ! » Hermione le regarda avec un air du genre ‘tu crois pouvoir aller te coucher maintenant toi ?’. « Tu es en train de me dire que tu veux que je te lâches, que je te laisse aller te coucher pour que tu te réveille en retard, que tu manque le cours de Potions et que tu me supplie de faire ton devoir ? PAS QUESTION ! » Ron sursauta lorsque Hermione lui cria ‘Pas question’. Il grogna et regarda son amie toujours aussi entêtée. « Écoutes, je vais me coucher et je te promets solennellement que je ne te demanderai pas de faire mon devoir. » Hermione le regarda fixement et après un moment, le lâcha. Il quitta la salle commune sur le champ et monta les escaliers en quatrième vitesse. La Gryffondor le regarda partir et sourit. Au moins il la laisserait tranquille pour ça ! Elle tourna donc les talons et descendit les marches de la tour de Gryffondor en chantant l’hymne de Poudlard. Allez savoir pourquoi, cette chanson lui est rentrée dans la tête au moment où elle s’est levée.

Une fois arrivée dans la Grande Salle, Hermione regarda qui était là. Quelques élèves matinaux comme elle, parlaient en déjeunant, mais apparemment, personne qu’elle connaissait n’était debout. La rouge et or pris place à la table des lions et déposa son sac à ses côtés. Elle se servit un petit verre de jus de citrouille et le bus tranquillement. C’est alors qu’une chouette arriva et vint se poser sur la table. Hermione reconnut la Gazette du Sorcier et elle pris le journal. Elle fit signe à la chouette qu’elle pouvait s’envoler. Au même moment que l’envol de la chouette, un main vint se poser sur ses épaules. Hermione sursauta sur le coup, puis se retourna, désirant savoir qui lui tapotait l’épaule à sept heure trente du matin…

{666 Mots ! Le chiffre du démon... XDDD Mdr ! }

Comptabilisé

Après une bonne nuit de sommeil réparateur, Angel s’était éveillée tout aussi tôt que d’habitude. Le rituel se répéta : pâtée et câlins aux chats, passage à la salle de bains. Se laver et s’habiller, le tout sans déranger qui que ce soit. Maintenant qu’elle était vêtue de frais et dents brossées, elle tournait un peu en rond dans le dortoir où ses compagnes rêvaient encore. Oserait-elle les réveiller ? Elle n’en avait pas le cœur. Opal devait sûrement être plongée dans une aventure palpitante vu les soubresauts qu’elle effectuait inconsciemment dans ses draps blancs alors que Cliodna, elle, souriait aux anges… sûrement roses.

Un gargouillis intempestif de son estomac gêna profondément Angel. Elle avait dîné légèrement la veille au soir et, à présent, son organisme hurlait de faim. Elle ne pouvait pas rester là en attendant sagement que les autres ouvrent un œil. Elle avisa un parchemin et sourit :

** Je vais leur laisser un mot**

Elle saisit une plume d’oie fraîchement taillée qu’elle trempa dans un encrier avant de se diriger vers sa table de chevet où elle s’appliqua dans sa rédaction.
** C’est bête comme système, ne put-elle s’empêcher de pense tout en écrivant. Un monde si riche en inventions utilise toujours ce moyen archaïque pour écrire. Ils critiquent les Modus mais eux, au moins, ils connaissent le stylo-bille**

Une pensée nostalgique vers son père la fit soupirer en marquant le point final de sa missive qui disait ceci :

Je suis en bas pour déjeuner. Je vous y attends. Bisou.

Elle souffla sur l’encre et posa le parchemin bien en évidence sur les pantoufles d’Opal puis, à petits pas silencieux, elle vida les lieux.
Quel parcours ! Encore un truc moldu qui manquait cruellement ici : les ascenseurs !
Obligée, chaque jour, de se farcir un nombre incalculable de marches d’escalier entre le rez-de-chaussée et le septième étage, Angel regrettait souvent les facilités du monde paternel.

** On se croirait vraiment en plein Moyen-Âge ! songea-t-elle brièvement. De plus, ces volées bougent parfois sans crier gare, ce qui n’arrange pas les choses.**

Heureusement, cette fois, Angel put effectuer son parcours sans rencontrer d’obstacles intempestifs. Elle atteignit enfin le hall et se dirigea vers les doubles portes qui s’ouvraient sur la grande salle. Timide, comme d’ordinaire, elle jeta un œil à la ronde.

** Il est vraiment tôt, il n’y a pratiquement personne.**

Son regard émeraude fit le tour des lieux avant de se fixer sur la table destinée aux élèves de Gryffondor. Là, non loin, une jeune fille aux cheveux bruns ébouriffés réceptionnait le paquet d’une chouette, une sorte de journal, probablement la gazette du sorcier.

** Ciel, je rêve !** pensa Angel.

Ce ne pouvait être qu’elle, celle qu’elle admirait et enviait secrètement : Hermione Granger.

Angel avait entendu parler de cette jeune fille aussi intrépide qu’intelligente. Que d’exploits à son actif ! Certains – surtout les Serpentard – la décriaient mais Angel savait que cette demoiselle Moldue était réellement… quelqu’un. En première année, elle avait participé à vaincre les pièges tendus par les professeurs eux-mêmes pour rendre inaccessible… quelque chose de très important dont Angel ignorait la nature. En seconde année, Hermione avait été pétrifiée par le monstre souterrain qui hantait les lieux. L’an dernier, son héroïne s’était encore distinguée en participant à plus de cours qu’il n’était permis à une élève… normale !
L’occasion était trop belle, il n’y avait personne alentours. La tentation devint irrésistible au point que la timidité quasi maladive de la 1ère année fondit mieux que neige au soleil.
Dans un état presque second, une force irrépressible la poussant en avant, Angel fit l’inimaginable. Il était trop tard pour reculer, elle osa poser une main sur l’épaule de la jeune fille qui renvoyait la chouette du courrier. Surprise, Hermione se retourna ; Angel bredouilla :

Miss.. Granger ? C’est un honneur pour moi de vous rencontrer. J’ai tellement entendu parler de vous. Je m’appelle Angel Grisham, de.. 1ère année. Je tenais juste à vous admirer… enfin, je veux dire à vous avouer combien je vous admire. Excusez-moi de vous avoir dérangé.

Aussitôt, le rouge aux joues, Angel pivota sur ses talons prête à détaler mieux qu’un lapin traqué par des chasseurs féroces.

[627] mots

Comptabilisé

Hermione se retourna et arriva face à face avec une jeune fille. Elle était sans aucun doute à Gryffondor, et elle semblait en première année. Elle était bien timide et souriait. « Miss.. Granger ? » La Gryffondor sourit. « Oui, c’est bien moi… » La jeune fille devant elle baissa la tête, paraissant gênée. « C’est un honneur pour moi de vous rencontrer. J’ai tellement entendu parler de vous. Je m’appelle Angel Grisham, de.. 1ère année. Je tenais juste à vous admirer.. enfin, je veux dire à vous avouer combien je vous admire. Excusez-moi de vous avoir dérangé. » Hermione fit des yeux ronds. Elle l’admirait ? Mon dieu, mais Hermione n’était pas une personne extraordinaire ! Ce qui fit rougir la lionne, c’est le fait que Angel, la petite première année, l’admirait. Mon dieu, mais qu’avait-elle donc fait pour se faire admirer ? La quatrième année sourit à Angel. « Je… Merci à toi, ça me touches beaucoup ! Tu sais, répondit Hermione avec un peu plus d’assurance, je ne suis pas tellement différente de toi, mis à part le fait que je suis en quatrième année… »

Puis, Hermione entendit son nom. « Salut Hermione ! » Elle détourna les yeux. C’est alors qu’elle aperçu Andgy qui mangeait à la table des rouges et or, un tout petit peu plus loin d’elle. Hermione fit signe à Angel de venir avec elle et s’approcha de sa nouvelle préfète. « Bonjour Andgy ! Tu as passé de belles vacances ? Au fait, félicitation pour ton nouveau poste de préfète ! » Hermione pris place avec ses effets devant Andgy. Elle avait tout apporté, bien qu’elle n’avait rien mis à part son sac, son journal et son verre de jus de citrouille. Angel avait suivit la jeune fille. Hermione se dit qu’elle pouvait bien les présenter. « Angel, voici Andgy Kortigas, la préfète de Gryffondor. Je ne sais pas si tu la connais, mais elle est également la capitaine de l’équipe de Quidditch de Gryffondor. Elle est en deuxième année. » Hermione sourit à Andgy. Elle venait de faire le portrait total de sa camarade de classe. « Andgy, voici Angel Grisham, une nouvelle recrue dans la maison de Godric Gryffondor ! Elle me parlait pour me dire… » Hermione hésita à révéler la conversation brève qu’elle avait eu avec Angel. « … Qu’elle avait beaucoup entendu parler de moi ! »

Ouf ! Hermione sourit aux deux jeunes filles et se pris une tartine. Elle la beurra de confiture aux mûres et croqua à pleines dents dans le pain. Les mûres étaient un fruit que Hermione adorait. Elle mangeait souvent ses petites baies sauvages le matin, car elles avaient un petit goût exquis… Hermione bu une autre gorgée de jus de citrouille et regarda dehors à travers la grosse vitre de la grande salle : Il faisait très beau ! Encore une belle journée. La jeune fille se dit que si il ne faisait pas trop froid, elle pourrait probablement aller prendre une petite marche entre deux cours tout à l’heure…





Comptabilisé

Un petit coup de patte et un câlin de museau froid sur le nez tirèrent Opal du sommeil. En ouvrant les yeux ce qu’elle aperçut en premier fut Sage qui la fixait de son fascinant regard doré.

-Alors toi !…te voilà transformé en réveil, mon joli…tu t’ennuies ou quoi ?, elle se redressa en s’étirant et constata que les lits de se voisines étaient déserts, oups ! on dirait que je suis un peu en retard !, avec son énergie habituelle elle sauta du lit et au moment d’enfiler ses pantoufles tomba sur le message qu’Angel y avait posé.
Il n’y avait pas de temps à perdre, à toute vitesse Opal passa dans la salle de bains pour en sortir en un temps record pour s’habiller et aller rejoindre ses camarades.

Plus vite dit que fait…les escaliers de Poudlard, à part d’être longs avaient la manie de changer de place à leur bon vouloir et justement quand on était pressé. Cette fois ne fut pas l’exception et Opal se trouva en train d’aller justement à l’endroit où elle n’avait aucune envie de se rendre...et cela pendant un bon quart d’heure, jusqu’à ce qu’elle parvienne à attraper le bon escalier, qui sans se dévier de sa route habituelle la mena , enfin, au rez-de-chaussée.

En essayant de remettre un peu d’ordre dans ses cheveux et reprendre un rythme de respiration normal, Opal trottina jusqu’à l’entrée de la Grande Salle, espérant ne pas la trouver vide…après tout elle avait un retard considérable sur ses camarades et certainement la plupart avait déjà fini leur petit déjeuner, ce qui aurait été lamentable parce que la petite australienne mourait littéralement de faim, on n’avait qu’à entendre les gargouillis de son estomac !

Heureusement , elle s’était souciée pour rien. La Grande Salle était pleine d’élèves qui prenaient leur repas matinal dans une ambiance pleine de convivialité. Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Opal s’arrêta à l’entrée pour chercher Angel des yeux, pour le moment sa gentille compagne de voyage était l’unique repère sûr dont elle disposait dans cette énorme école pleine d’inconnus. Elle ne tarda pas à la voir, à la table des Gryffondor bavardant avec d’autres élèves…mais pas n’importe quelles autres élèves…c’étaient des grandes et parmi ces grandes il y en avait une que Opal connaissait, pas personnellement, mais de l’avoir vue dans des photos animées à la Gazette du Sorcier, que ses frères avaient ramené lors de leur retour au foyer…Hermione Granger ! Elle était, selon les calculs d’Opal, en quatrième année et toute une célébrité parmi les élèves de Poudlard. Elle avait pourtant l’air d’être une fille tout à fait normale et agréable puisqu’elle bavardait gentiment avec une petite nouvelle.

En repassant les conseils, répétés mille fois par sa mère , sur les bonnes manières à tenir lorsqu’on rencontre des inconnus, Opal arbora son sourire le plus innocent et poli et s’approcha de la table des rouge et or.
Arrivée où se trouvait Angel, elle sourit à la ronde en disant doucement :

-Bonjour tout le monde! Est ce que je peux m’asseoir à côté de toi, Angel ?



(523 mots)

Comptabilisé 522 mots

Angel voulait s’évaporer, s’évanouir dans la nature, fuir son audace incommensurable, devenir invisible. Pourquoi avait-elle agi ainsi ? Cela entrait en totale contradiction avec son caractère ordinaire. Certes, Hermione Granger était la figure de Poudlard qu’elle appréciait le plus, et voici que… sans fioritures, celle-ci l’invitait à la suivre ; mieux, à la présenter à la préfète de sa maison. C’était un rêve ou… un cauchemar. Angel souhaita soudain :

**Devenir Animagus ! Me transformer en souris et… disparaître.**

Son vœux ne se réalisa évidemment pas. Dans le fond, c’était une chance parce que sous forme de souris peut-être que sa chatte Alba l’aurait-elle croquée sans autre forme de procès.

Elle accompagna donc sa favorite jusqu’à la place occupée par Miss Kortigas qui l’accueillit d’un sourire condescendant.

** Où me suis-je fourrée ?** songea Angel coincée entre l’objet de son admiration et sa préfète incontournable quoique respectée.

Elle ne connaissait ni l’une ni l’autre, et aucune d’entre elles ne semblait se soucier de cette paumée de première année qu’elle représentait. D’ailleurs, Hermione Granger semblait plus s’intéresser à son déjeuner et au temps extérieur qu’aux tourments de cette petite fille de onze ans complètement larguée par les événements.

Le repas devant elle noua soudain la gorge d’Angel. Elle ne savait plus quoi dire ni faire se sentant parfaitement idiote entre ces deux anciennes de Poudlard qui papotaient à bâtons rompus. La faim lui tenaillait les entrailles mais elle était sûre que ni une crêpe ni un jus de citrouille ne passeraient. Elle se servit, la tête ailleurs, de toast et de marmelade d’orange, en ouvrant les oreilles.
** Tu dois te montrer humble et digne, lui souffla une voix sage. Pourquoi hésites-tu ? Montre-toi telle que tu es, lui en insuffla une autre**

Au milieu des deux, Angel se tourmenta gravement :

** Elles vont me juger parfaitement stupide. Je ne suis qu’en première année. Je connais certaines choses mais je me sens si nulle face à elles ! Hermione… C’est la perfection incarnée. Par Merlin que j’aimerais lui ressembler ! Elle dispose de pouvoirs que je ne posséderai sans doute jamais, je me sens si gourde… Mamy Rose me donnerait un claque pour un tel aveu, mais… **

Il fallait qu’elle puisse se délivrer du carcan d’inquiétudes où elle s’enlisait. Quel sujet aborder avec de telles notoriétés ? La gorge étroitement nouée, elle couina d’une voix à peine audible :

Quand arrivent-t-elles, les délégations étrangères ? Le savez-vous ? On parle tellement du tournoi de trois sorciers que j’en suis toute perturbée.

C’est tout ce qu’elle avait trouvé de mieux à évoquer : le tournoi des trois sorciers.

Fiasco total ! Les deux autres filles la regardèrent avec des yeux ronds. Manifestement, c’était une question sans réponse pour l’instant. Déjà Angel regretta de l’avoir posée lorsque Miss Granger lui sourit et admit – chose à peine croyable – ignorer la teneur exacte du futur tournoi.
Selon ses dires et ceux du professeur Binns – enseignant l’histoire de la magie – le tournoi de cette année serait un… renouveau, une sorte de tentative de renouer les relations entre les meilleures écoles du monde magique. Des écoles étrangères – Beauxbâtons et Durmstrang – allaient avant peu rejoindre Poudlard.
Angel s’effara :

Des étrangers ? Où va-t-on les loger ? Devrons-nous nous mêler à eux ? Durmstrang a une réputation des plus douteuses. C’est ma grand-mère qui me l’a dit. Ils sont centrés sur la magie noire. Je crains de mal les accueillir. J’ai entendu des rumeurs concernant leur attrapeur, un dénommé Krum. Il a réalisé une prestation magnifique lors de la coupe du monde de Quidditch, mais… Pensez-vous qu’il sera de la délégation ? Personnellement, j’aimerais qu’il en soit, il est trop… Euh… génial.

Soudain, son champ visuel capta une arrivée. Opal… Sa chère amie se joignait à elles. Pourvu que… Angel croisa les doigt. Elle interrompit la conversation pour se lancer et agiter la main :
Opal ! Viens t'asseoir avec nous !

Si Hermione et la préfète sursautèrent… tant pis ! Angel était si contente qu’elle en oublia tout le reste.
[600] mots

Comptabilisé 675mots

Klaralye ouvrit les yeux. C’était le pire moment de la journée pour notre jeune gryffondor, le matin! Et cette année, les lundis matin seraient les pires de tous! Premièrement, c’est lundi! Tout le monde sait que les lundis matins sont horribles! Deuxièmement, elle avait double cours de potion! Par chance, c’était avec les Serdaigles mais bon, Rogue était toujours présent -__- ! La’lye soupira et se leva. Direction => une bonne douche chaude!

Au bout d’une trentaine de minute, Klaralye était toute prête pour son premier lundi matin de l’année. Vous vous rendez contre, son premier lundi matin en tant que deuxième année à l’école de sorcellerie Poudlard ? Waaahh, à cette pensée, Klaralye se sentit comme sur un beau petit nuage tout rose et tout moelleux! =) Elle s’attacha les cheveux avec un bel élastique or, enfila sa robe et quitta le dortoir des filles. Avec tout le vacarme que son estomac fessait, Klaralye n’avait pas beaucoup le choix de se dépêcher à aller à la Grande Salle, pour prendre un bon petit déjeuner!

Klaralye était passé comme une flèche dans la salle commune. Elle avait quand même prit le temps de saluer toutes les personnes qu’elle connaissait mais, pas le temps de parler température, son ventre devenait de plus en plus bruyant. Les grognements étaient tellement forts qu’on pourrait les confondre avec une scie à chaînes. Elle sortit par le tableau, en saluant également la Grosse Dame, et partit dans les corridors.

Rendue dans le Hall d’entrée, à seulement quelques mètres de la Grande Salle, une voix plutôt grave l’interpella. La’lye figea. C’était peut-être Dumbledore qui voulait lui apprendre le décès de ses parents. Non, Dumby n’as pas une voix comme sa! Ou Rogue qui veut l’expulser pour l’année à cause qu’elle est trop incompétente ? Impossible, Rogue avait une voix beaucoup plus horrible et grinçante que celle-ci. Elle se retourna lentement.

- Aaahh, Bonjour Nick-Quasi-Sans-Tête!

En effet, une grande masse blanche flottait près de la jeune poursuiveuse. C’était, bien entendu, le fantôme de Gryffondor! Il était tellement sympathique avec tout le monde, même avec les méchants Serpentard qui venait taquiner les siens. Klaralye se souvenait particulièrement la première fois qu’elle l’avait rencontré.

C’était la toute première journée à Poudlard et La’lye avait un cours de potion. Elle avait réussit à se rendre dans les cachots avec l’aide d’une poufsouffle mais, elle n’avait pas pu aller plus loin à cause de ses propres cours. Alors, La’lye avait dut se débrouiller seule mais, se retrouver dans un labyrinthe avec comme seule lumière des torches poussiéreuse et une baguette magique que tu n’as jamais utilisée, pas facile! Finalement, le fantôme des Gryffondors avait retrouvée le jeune gryffondor complètement perdue et l’avait aidée à retrouver le bon cachot ou se déroulait son cours. Il avait même réussit à convaincre Rogue de ne pas lui retirer de points! Vraiment, Klaralye ne sait pas ce qu’elle serait devenue sans lui!

- Bonjour Klaralye. Comment allez-vous ?
- Très bien et vous ?
- Très bien également! Mais bref, je voulais seulement vous souhaitez la bienvenue! répondit-il d’une voix enjoué.
- Merci, c’est vraiment très gentil!
- Et bien, je vais vous laissez allez manger. Au plaisir de vous revoir Miss Jenz!
- Au revoir Nick! le salua-t-elle

Et voila, il était déjà partit à travers une porte qui mène on ne sait trop ou! La’lye regarda durant quelques instants l’endroit par ou Nick-Quasi-Sans-Tête venait de quitter et partit en direction de la Grande Salle. Quand elle arriva, elle n’eut pas le temps d’entrer qu’Andgy venait tout juste de lui lancer un « Salut ! » avant de repartir. D’un haussement d’épaule et complètement déboussoler, La’lye rentra dans la Grande Salle et jeta un coup d’œil aux personnes présente. Il y avait un petit groupe de 5ième année que La’lye ne connaissait pas, 2 garçons de dernière année qui jouait au échec version sorcier et Hermione avec 3 1ière année. Klaralye décida d’aller se joindre à eux. C’était toujours mieux que de manger seule.

Elle s’approcha tranquillement des 4 filles avant de prendre place à côté d’Hermione. Avant de dire quelque chose, La’lye regarda rapidement les 3 filles qui était déjà la. Elles paraissaient toutes très sympathique. Elle leur fit un grand sourire et dit ;

- Salut Hermione! Salut … vous! Jm’apelle Klaralye Jenz, 2ième année! Et vous ?

Klaralye n’en rajouta pas plus, attendant la réponse des 3 filles. Elle aurait presque jurer qu’il y avait une qui s’appelait Angéla ou quelque chose comme sa. Et oui, très surprenant, Klaralye avait écouté quelques répartitions. Mais bon, on s’entend qu’elle avait aussi fait beaucoup de social! Enfin bref, en attendant la réponse d’une des 3 jeunes filles ou d’un Salut! de la part de Hermy’, La’lye se prit un bol de Lucky Charms et un grand verre de jus de pomme. Humm, elle sentait qu’elle allait se régaler ce matin! =)


Oo° 821 MOTS °oO

Comptabilisé

Dehors, il pleuvait à verse, ça sentait la fin des vacances dans la maison des Stones, les jumelles étaient excitées comme des puces à l’idée de revoir leurs amis d’école, ainsi que le cadet de ses frères. La mère d’Alehandra ne se préoccupa pas une seule minute d’elle, depuis le mariage de son frère Alexandre celle-ci l’avait prise en grippe et trouvait que tout ce qu’elle faisait n’était pas assez suffisant.

- Arthémus ! Conduis TA fille sur le quai de la gare pendant que je m’occupe de MES enfants ! dit-elle en appuyant bien sur les mots « ta » et « mes ».

Alehandra baissa alors la tête, son père rétrécit sa valise pour la glisser dans sa poche, pendant que sa fille mettait son manteau, elle s’accrocha à son bras et en un temps records, elle fut sur le quai de la gare 9 ¾.

- Ne t’inquiète pas maman est juste un peu à cran de ses temps-ci, ça va s’arranger ne t’inquiète pas, lui dit-il en resserrant l’écharpe qu’elle avait autour du cou. Passe une bonne année ma chérie, lui dit-il en l’embrassant sur le front et en sortant de sa poche sa malle qu’il conduisit au chauffeur du train sous sa bonne forme.
- Papa ! dit-elle en le suivant.
- Oui, ma chérie ?
- Je reste pour les vacances de Noël à Poudlard ?
- Oui, tu sais comme il est difficile d’avoir tout le monde à la maison, dit-il en s’éloignant déjà.

Alehandra fit oui de la tête mais son père avait déjà traversé le mur qui séparait le monde moldu de celui des sorciers. La jeune Gryffondor soupira, elle avait trouvé un compartiment de libre dans le train, mais celui-ci s’avéra être la propriété du professeur Rogue et des préfets de Serpentard qui lui dirent très gentiment – dans le sens ironique du terme - qu’elle n’avait rien à faire là. Alehandra prit alors son sac de cours et se dirigea vers un autre compartiment, seulement ils étaient tous prit. Elle passa donc le voyage debout dans le couloir du Poudlard Express, à chaque fois qu’elle croisait quelqu’un, elle dit qu’elle prenait juste l’air.

Une fois, le train arrivé sur le quai, elle descendit et monta immédiatement à bord de la calèche qui démarra presque aussi tôt, Alehandra était seule à bord, la pluie ne cessait de tomber, la jeune fille pouvait contempler les gouttes sur les vitres de la calèches. Avançant avec difficulté la diligence franchit le grand portail, flanqué de statues représentant des sangliers ailés et remontèrent l’allée du château sous une véritable tempête qui les faisait osciller dangereusement. Appuyée contre la vitre, Alehandra regardait s’approcher Poudlard dont les lumières illuminées scintillées, brouillées par l’épais rideau de pluie.

Des éclairs déchirèrent le ciel alors que la jeune Gryffondor pénétrait dans le château, une fois arrivée dans le hall ses vêtements étaient trempés comme ceux de tous les autres élèves, c’est alors qu’elle reçu une bombe à eau sur elle, l’eau était plus glacée que celle qui tombé dehors. Elle leva les yeux au ciel et vit :

- PEEVES ! hurla une voix furieuse. Peeves, descends IMMEDIATEMENT !

Le professeur McGonagall, directrice adjointe de Poudlard et chef de la maison Gryffondor, venait de sortir en trombe de la Grande Salle. Elle glissa sur le sol humide saisit Hermione par le cou pour se rattraper. Elle se confondit en excuse auprès de la jeune fille, qui lui dit qu’il n’y avait pas eut de mal en se massant néanmoins la gorge.

Le professeur demanda une fois de plus à l’esprit frappeur de descendre de son perchoir, celui-ci lui répondit qu’il ne faisait rien de mal, il jeta une nouvelle bombe près d’un groupe de jeunes filles qui s’enfuirent dans la Grande Salle en hurlant. Le fantôme poursuivit en disant que les élèves étaient déjà mouillés et il lança une autre bombe sur les élèves de deuxième année. Le professeur McGonagall menaça ensuite Peeves de prévenir le directeur. L’esprit frappeur lui montra alors la langue, jeta en l’air sa dernière bombe à eau et fila dans l’escalier de marbre en glapissant comme un fou.

Le professeur McGonagall dit aux élèves d’entrer dans la Grande Salle, Alehandra avait hâte de retrouver son dortoir pour y dormir un peu. Elle vit cependant Harry, Ron et Hermione pénétrer dans la Grande Salle. Son cœur se serra alors qu’elle vit Harry, elle pensait peut-être à tord, qu’il avait changé pendant les vacances et qu’il c’était trouvé une petite amie beaucoup mieux pour lui. Elle le vit discuter avec Nick-Quasi-Sans-Tête, puis avec un garçon de troisième année dont elle ignorait le nom. Elle entendit vaguement Hermione parler des jumelles Patil, puis se furent les répartitions et elle perdit totalement le fil de la conversation. Ensuite se fut le tour du repas qui fut servit, mais Alehandra n’y toucha presque pas, elle observait en silence le comportement d’Harry, elle ne voulait surtout pas se faire remarquer.

Lorsque le dessert fut avalé par tous les élèves, Albus Dumbledore se leva et presque aussitôt la rumeur des conversations s’évanouit et on entendit bientôt plus que les gémissements du vent et le martèlement de la pluie. Le directeur avait le sourire au lèvres et il dit que maintenant que les élèves ont été sustenté et abreuvés, qu’il devait une fois de plus demander leur attention afin de leur donner quelque informations. Il prévient les élèves que la listes de Rusard concernant les objets interdits dans l’ancienne de Poudlard avait considérablement augmenté cette année et qu’elle comportait près de quatre cents objets recensés et que la liste sera visible sur tous les panneaux des salles communes.

Dumbledore poursuivit en disant que comme toujours la forêt était interdite à tous les élèves et le village de Pré-au-lard à celles et ceux qui n’ont pas encore atteint la troisième année d’études. Puis le directeur prit tout son temps pour annoncer un événement particulier qui commencera en octobre et se poursuivra tout au long de l’année scolaire, en exigeant de la part des professeurs beaucoup de temps et d’énergie. Alehandra était vraiment très intriguée parce que disait le directeur celui-ci cependant continua en disant qu’il était persuadé que les élèves en serraient enchanté car, il avait en effet le grand plaisir d’annoncer que cette année à Poudlard…

Mais au même instant un coup de tonnerre assourdissant retentit et les portes de la Grande Salle s’ouvrirent à la volée, tous les élèves regardèrent qui pouvait bien être cet étranger qui venait de perturber le discours pour une fois assez intéressant du directeur de l’école. L’homme se tenait sur le seuil, appuyé sur un grand bâton et enveloppé d’une cape noire soudain un éclair zébra le ciel du plafond magique. L’homme ôta son capuchon, secoua une longue crinière de cheveux argentés puis il s’avança en direction de la table des professeurs.

Un claquement sourd ponctuait les pas de l’homme, lorsqu’il atteint l’extrémité de la table des professeurs, il se dirigea vers Dumbledore d’un pas lourd et claudicant. Un autre éclair illumina le plafond, la lumière qu’il avait dégageait avait éclairé un instant le visage de l’homme. Alehandra se recula et faillit tomber presque à la renverse du banc, tellement son visage était repoussant, on aurait dit qu’il avait été taillé dans du bois par quelqu’un qui ne savait pas très bien sculpter ou par quelqu’un qui ne savait pas sculpter des êtres humains. Chaque parcelle de son visage semblait être marqué d’une cicatrice, sa bouche avait l’air d’une entaille tracée en diagonal et il lui manquait une bonne partie du nez, mais son regard le rendait encore plus effrayant.

L’un de ses yeux était petit, sombre et perçant, l’autre était grand rond comme une pièce de monnaie et d’un bleu électrique, l’œil bleu remuait sans cesse, sans jamais ciller roulant dans son orbite, il était comme indépendant de son œil normal. Alehandra ne pouvait s’empêcher de le fixer, elle était intriguée par cette homme qui venait d’arriver de nulle part. Albus Dumbledore reprit alors la parole et présenta l’homme comme étant le nouveau professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal.

*Dommage j’aimais bien le professeur Lupin, enfin quelque chose me dit qu’on ne va pas s’ennuyer avec un professeur dans son style*, se dit-elle en souriant.

Le Professeur Maugrey annonça le directeur, Alehandra écarquilla les yeux elle savait de qui il s’agissait, elle l’avait lu dans un livre. Alastor Maugrey dit Fol Œil, à cause de son œil qui va dans tous les sens et qui voit tout, ancien Auror devenu complètement fou et voyant des complots partout.

*Et Dumbledor l’a prit pour nous donner cours de Défense !? Oui, à mon avis on ne va pas perdre notre temps avec lui*, pensa-t-elle en le regardant toujours.

Le professeur Dumbledore reprit alors la parole en disant que comme il s’apprêtait à le dire, l’école allait avoir l’honneur d’accueillir au cours des prochains mois un événement qu’ils n’avaient plus connu depuis un siècle. Et cet événement était le Tournois des Trois Sorciers et qu’il se déroulera cette année à Poudlard, un des Jumeaux Weasley se leva de sa place pour demander au professeur si il plaisantait. La tension qu’il régnait alors depuis l’arrivée de l’Auror se dissipa et presque toute la salle éclata de rire même Dumbledore pouffa de rire. Il répondit alors qu’il ne plaisantait pas, mais que si il voulait une plaisanterie qu’il en connaissait une bonne, c’est à ce moment là que le professeur McGonagall s’éclaircit la gorge, ce qui ramena le directeur à son discours il expliqua en quelque mot ce qu’était le Tournois des Trois Sorciers, comment les Champions allait être désignait et surtout les noms des écoles qui y participeraient. Il dit ensuite que la sélection des trois champions se fera le jour d’Halloween et qu’un juge impartiale sélectionnera les trois champions. Le professeur voyant l’enthousiasme de certains élèves croîtrent jugea bon de rajouter qu’il y avait une nouvelle règle cette année et que celle-ci était une limite d’âge toutes les personnes participant au Tournoi devront être majeur. Il ajouta qu’il veillerait personnellement à ce qu’aucun élève n’enfreigne le règlement, aussitôt le discours fini, les élèves se remirent à parler certains n’étaient pas d’accord sur la nouvelle règle et en parlait avec vivacité.

En ce qui concernait, Alehandra elle redoutait qu’Harry ne tente sa chance, malgré les dangers que cela représentaient, ainsi que la limite d’âge. Elle fut la première à courir vers les dortoirs de Gryffondor à enfiler sa chemise de nuit et à dormir plus ou moins paisiblement. Elle ne cessait de rêver qu’Harry était poursuivit par une hydre géante qui tentait de le mordre à plusieurs reprises et plus il se débattait plus des têtes apparaissaient. Elle se réveilla donc en sueur, elle était en plus en retard pour le petit déjeuner, elle se leva et alla directement sous la douche, une fois séchée elle prit de quoi s’habiller et descendit les escaliers quatre à quatre.

- Bonjour tout le monde, je suis désolée, d’arriver si tard, dit-elle en voyant Hermione, Andgy, Klaralye et d’autre jeune fille qu’elle ne connaissait pas, elle se servit un copieux petit déjeuner vu qu’il fallait qu’elle se rattrape de la veille. Alors dites moi les filles, comment trouvez vous notre nouveau professeur de Défense Contre Les Forces du Mal ? demanda-t-elle en les regardant l’une après l’autre. Oh excusez moi je ne me suis pas présentée…, dit-elle en rougissant, je suis Alehandra Stones, dit-elle aux jeunes filles qu’elles ne connaissaient pas.

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