Bonheur et joie matinale

Aelita c’était levée tôt, elle avait le sourire aux lèvres, la joie de vivre se lisait sur son visage, elle était heureuse… Oui, heureuse d’être de retour au château, d’avoir un petit ami aimant et d’avoir cours. Vous trouverez ça s’en doute étrange qu’une élève aime avoir cours mais pour un ou une élève de Serdaigle ce n’était pas rare. La jeune fille arriva donc dans la Grande Salle en chantonnant gaiement un ou deux refrains de sa connaissance avant de s’asseoir à la table des Serdaigle.

*Ca sent drôlement bon*, se dit-elle en regardant les tables déjà garnie de mets plus succulent les uns que les autres.

Aelita leva alors la tête, non pas pour voir si Malefoy était à la table des Serpentard comme elle avait fait les trois années précédente. Mais, pour voir si Miles y était et si il lui ferait un signe qui la mettrait de bonne humeur pendant toute la journée. Elle ne vit pas Miles mais un autre visage familier, celui de Diabalzane, la jeune fille ne la regardait pas mais Aelita cru bon de détourner le regard pour ne pas avoir à le croiser.

Daphne s'était levée tôt ce matin là, enfin, comme tous les autres matins...Elle s'était habillée, et lavée, bon, ça c'est tous les matins...Elle était sortit du dortoir des Serdaigles, et s'était dirigée vers la Grande Salle. Après un bon petit temps dans les escaliers fous de Poudlard, elle réussit à se retrouver dans la Grande Salle.

*C'est toujours aussi beau ici !!*

Elle s'était dirigé vers la table des Serdaigles, et vit une fille plus grande qu'elle, d'ailleurs, elle la connaissait, c'était la capitaine de l'équipe de Quidditch de Serdaigle [Je fais comme-ci c'est un jour après l'entraînement, dis moi si ça gêne ou pas]. Elle regardait les Serpentard, puis se retourna, ne pouvant plus croiser un regard des Serpentards.

*Qu'est-ce qu'un Serdaigle peut avoir à regarder chez les Serpentards ??*

Mais avant que Daphne est pu s'asseoir, elle remarqua qu'il y avait déjà un Serdaigle, très grand.

*Bon, d'accord* Elle alla s'asseoir de l'autre côté d'Aelita, puis, prenant sa respiration, car elle devait le faire à chaque fois avant de parler, parce qu'elle était timide, elle dit au garçon qui venait d'arriver, et surtout à Aelita:

-Bonjour !!

Comme d'habitude, Daphne se trouva impolie.

*Mais après tout, dire bonjour, c'est poli !! Il ne faut pas que je me prenne la tête à chaque fois que je parle !!*

Elle regarda la table, qui était remplie de mets qui parassaient délicieux. Elle prit un peu de jus de citrouille, et une tartine avec de la confitures aux fraises. Elle commenaça à manger, tellement rapidement qu'Aelita et le garçon n'avait pas eu le temps de répondre quoi que ce soit. Le garçon qui venait d'arriver, ce servit en jus de citrouille, et en renversa un peu. Il demanda à Aelita si elle avait un mouchoir. En tous cas, Daphne n'en avait pas.

-En tous cas, moi je n'en ai pas.

[Désolé si certains passages sont bizarres, enfin pas bizarres mais...C'est parce que Damien et moi on a posté à peu près en même temps, alors j'ai du changer mon message ]

Aelita était donc perdue dans ses pensées quand un jeune homme de 6ème ou de 7ème année vint s’installer juste en face d’elle. Elle faillit le remercier, car grâce à lui, elle pouvait observer en tout impunité la table des Serpentard. Celui-ci ne semblait guère très éveillé et renversa son jus de citrouille, malheureusement il n’avait pas de serviette ou de mouchoirs sur la table afin d’effacer les traces de son méfait. Mais dés qu’il eut formulé la demande d’en avoir un porte serviette apparue sur la table prés d’Aelita qui lui tendit en lui faisant un sourire. La jeune fille ne lui dit rien d’autre pour ne pas le vexer ou qu’il interprète mal ses paroles. Une jeune fille de première année arriva donc à la table des Serdaigle et les salua, Aelita reconnu tout de suite Daphné la gardienne de l’équipe de Quidditch.

- Bonjour Daphné tu vas bien ? lui demanda-t-elle en lui souriant.

La jeune Serdaigle ne pouvait s’empêcher de sourire en cette journée, quand tout à coup elle sentit un courant d’air froid dans son dos. Des milliers d’hiboux rentrèrent alors dans la Grande Salle pour déposer le courrier, Aelita reçu la Gazette du Sorcier. La jeune fille parcouru les lignes sans trop voir ce qu’il y était écrit quand un article l’interpella.



Il semble que les ennuis du ministère de la Magie soient loin d’être terminés, écrit notre envoyé spéciale Rita Skeeter, Récemment montré du doigt pour l’insuffisance de son service d’ordre lors de la Coupe du Monde de Quidditch, et toujours incapable de donner la moindre explication concernant la disparition de l’une de ses sorcières, le ministère se voit à nouveau plongé dans l’embarras à la suite des fantaisies d’Arnold Weasley, du service des détournements de l’artisanat moldu.

*C’est vraiment pitoyable, elle ne sait même pas retenir un nom correctement*, pensa-t-elle en continuant de lire l’article.

Arnold Weasley, qui fut poursuivit il a deux ans pour possession d’une voiture volante, s’est trouvé impliqué hier dans un incident qu’il l’a opposé à des représentants de l’ordre moldu (appelé gendarmes) à propos de poubelles particulièrement agressives. Il semblerait que Mr Weasley se soit précipité au secours de Maugrey…

*C’est notre nouveau professeur de Défense*, pensa aussi tôt Aelita.

… « Fol Œil « , un ex-Auror d’un âge avancé, qui fut mis à la retraite par le ministère lorsqu’il apparut qu’il était devenu incapable de faire la différence entre une poignée de main et une tentative de meurtre. Comme on pouvait s’y attendre, en arrivant devant la maison transformée en camp retranché de Mr Maugrey, Mr Weasley fut bien obligé de constater que l’ancien Auror avait une fois de plus déclenché une fausse alerte. Avant de pouvoir échapper aux gendarmes, Mr Weasley s’est vu contraint de lancer plusieurs sortilèges d’Amnésie afin de modifier la mémoire des témoins. Il a cependant refusé de répondre aux questions de la Gazette du sorcier qui souhaitait lui demander pourquoi il avait cru bon d’impliquer le ministère de la Magie dans cette bouffonnerie peu digne d’un de ses représentants, et dont les conséquences pourraient se révéler fort embarrassantes.

- Non mais vraiment pour qui elle se prend celle-là ? Ah je ne l’aime vraiment cette journaliste qui four son nez partout ! dit-elle sans se rendre vraiment compte qu’elle parlait à haute voix.