Rencontre souhaitée... [Pv Elea][Terminé]

C’étaient des pas… Oui, c’étaient des pas qui avaient résonné dans le couloirs et qui c’étaient brusquement arrêté. Maintenant, Damian en avait la conviction, il n’était pas seul dans les cachots et il comptait bien découvrir qui était la personne qui se trouvait elle aussi dans cet endroit lugubre aussi tard dans la nuit. Son instinct lui dictait curieusement de ne pas s’en faire car ce n’était pas un professeur mais un élève… Dans ce cas, que faisait il là aussi tard ? Et surtout, de quelle maison était-il ? Se promener la nuit dans les cachots en étant un Gryffondor était plutôt risqué… D’ailleurs, le jeune homme s’imaginait mal un élève descendre sept étages à presque onze heures du soir pour se promener dans les cachots, c’était tout simplement inimaginable ! Le Russe se mit donc en tête que ce devait sûrement être un Serpentard, ce qui le fit un peu plus serein, même si il pensa que sa baguette aurait été utile en pareilles circonstances. Cependant, ses craintes furent bien vite dissipées lorsqu’il sentit qu’on s’approchait de lui et qu’on murmurait un Lumos… Il avait sentit ses craintes se dissipés car la personne en face de lui était… Elea Mayan. Damian n’en revint pas. Il resta debout, l’air surpris, la main toujours collée contre le mur…

* C’est un rêve et je vais bientôt me réveiller c’est cela ? Mais oui, cela ne peut être autre chose… Je ne l’ai plus revu depuis… Depuis le bal de fin d’année où je lui ai d’ailleurs donné un baiser sur la joue… *

A ces souvenirs, Damian sentit une bouffée de chaleur envahir sa tête mais il ne laissa rien apparaître. Le jeune homme n’exprima pas même la moindre gêne et se contenta de garder un visage impassible, ses yeux bleus électriques fixant ceux d’Elea. La jeune italienne donna l’impression au jeune homme d’être devenu plus belle. Ses formes étaient devenues plus féminines, ainsi que son visage qui ne conservait plus cet air enfantin de lorsqu’on avait entre dix et douze ans. Le Russe comprit alors qu’il n’était pas le seul à changer et qu’il devrait prendre plus conscience de son environnement. D’ailleurs, il ne pouvait pas se faire à l’idée que jour après jour, sa sœur devenait une femme lentement mais sûrement. D’ailleurs, il se demandait même si ce n’était pas pour cela que sa jumelle l’agaçait tant ces temps-ci… Dans ce cas ce n’était pas sa faute et Damian devrait ainsi trouver un temps pour s’excuser du comportement qu’il avait eu dans le train envers sa sœur…

Quelques instants plus tard, une douce voix se fit entendre, rappelant alors le Russe à la réalité. Une voix douce et chantante, qui sonna mélodieusement dans le cerveau du jeune homme, telle une symphonie. Décidemment, la belle italienne lui faisait vraiment tourner la tête comme jamais personne avant ne l’avait fait, ce qui prouvait bien des choses pour le Russe. De plus, elle venait de l’appelé ‘bel étranger’ ce qui laissait peut-être espérait qu’il lui plaisait vraiment. En tout cas, maintenant qu’il l’avait retrouvé ici, il ne comptait pas la laisser filer si facilement… Damian laissa alors un sourire complice apparaître sur son visage et répondit, l’air amusé.

« Personne d’autre que toi… » A la lueur de la baguette d’Elea, Damian constata que l’italienne n’était pas très bien vêtue. Elle devait sûrement avoir froid... Le Russe retira alors sa veste avec des gestes lents et s’approcha de la blonde. Il déposa alors sa veste sur les épaules de la demoiselle et en effleurant au passage ses épaules avec délicatesse. « Tu auras moins froid comme cela. » Dit Damian. Il n’avait pas l’habitude de faire ce genre de chose sauf pour les personnes proches de lui comme Dawn...

Après cela, il s’éloigna un peu de la demoiselle, ne voulant pas trop la gêner dans ses mouvements… Bien qu’elle ne semblait pas vraiment intimidé par le Russe qui pourtant était du genre à faire froid dans le dos par sa froideur. Durant quelques instants, celui-ci attendit qu’Elea prenne la parole mais finit par céder à la tentation, trouvant que le silence devenait de plus en plus pesant.

« Tu n’arrivais pas à trouver le sommeil aussi ? » Sa question était floue et soudaine, donc l’italienne pouvait très bien ne pas comprendre de quoi Damian parlait. Mais le jeune homme préféra ne rien ajouter, laissant le loisir à sa campagne de deviner de quoi il parlait, bien que pour lui, c’était évident.

La jeune fille scruta Damian de plus près, il avait plutôt bien changé durant ces vacances bien que ses yeux dégagent la même attraction et la même profondeur. Le regard n’était il pas le miroir de l’âme ? Celui du jeune homme semblait si doux et électrique à la fois, chose que l’italienne n’avait jamais vu jusque là. Il semblait si… différent, mais en quoi ? Ses traits étaient toujours aussi bien dessinés, fins et parfaits mais il semblait aussi plus charismatique que lors de leur dernière rencontre. Rencontre qui avait finit par un petit baiser… Non non, n’imaginez pas le pire ! On va dire un petit baiser sur la joue que le beau brun lui avait administré comme au revoir. Bien sûr Elea était restée encore un peu perplexe à la grande salle devant le buffet à finir son verre, charmée par la douce musique qui avait pris la salle, mais aussi à cause la personne qui l’avait quitté à ce moment là. Elle s’était en suite réfugiée dans la salle commune en repensant à toute cette belle soirée et en se demandant ce qu’il en serait de demain, ayant finit de fermer ses valises d’un coup de baguette sec, s’endormit ensuite dans les bras de Morphée en ne pensant plus aux bruits étranges qui baignait le dortoir inhabituellement. Le lendemain elle s’était bien demandée si tout cela n’avait été qu’un rêve éphémère ou autre, mais la robe rose envoyée par sa mère se tenait toujours allongée au pied de son lit. Preuve qu’elle n’avait pas rêvé et que Damian Kostovak avait bien fait part de sa présence la veille lors du bal. Joli comme réveil me direz vous ? Eh bien non, car elle avait oublié de se lever tôt comme à l’habitude, résultat une demi heure pour se changer, se coiffer, traîner sa valise, manger et regagner avec les autres la gare. Course contre la montre qu’elle avait pourtant gagner à cinq minutes près.

Mais revenant plutôt au beau serpentard qui se tenait juste devant elle et qui était depuis maintenant quelques heures son centre d’attention et en même temps son voleur de sommeil. Il n’était pas plus gêné que ça de se retrouver à une heure si tardive bravant impeccablement et sans grande inquiétude les règles administrées par le règlement et le sourire amusé qui s’accrochait sur ses lèvres ne fit qu’accentuer la pensée d’Elea. Que penserait Dawn si elle voyait son frérot faire perdre quelques points à sa maison en déambulant dans les cachots alors qu’elle avait comme poste « préfète de serpentard », ce qui incitait bien de longues et longues responsabilités comme par exemple… faire régner l’ordre en enlevant des points. Une chose semblait plus que sûr, elle n’allait décidemment pas être contente et c’est ce qui fit naître un petit sourire au creux des lèvres d’Elea. Mister Kostovak risquait gros mais elle ne se décida pas à le lui faire remarqué encore une fois. *Il sait ce qu’il risque et puis je devrai surtout penser à moi… Je n’aurai pas un traitement de faveur non plus*

Le sourire de la jeune fille s’accentua un peu plus aux paroles du jeune brun aux yeux bleus. Ainsi il avait voulut la revoir,elle. Mais pourquoi dans les sombres couloirs des cachots dans ce cas ? *Il y a plus sympathique comme endroit* Ne sachant pas vraiment pourquoi, elle ressentit comme une pointe d’amusement à la situation. Jamais elle n’avait pris la décision d’aller s’aventurer hors de la salle commune à une heure pareille et voilà qu’elle s’en contre fichait la nuit même où elle rencontrait Damian dans un endroit plutôt hostile. Le russe retira alors sa veste d’un geste lent et Elea crut vraiment qu’il était devenu fou pour avoir un tel acte alors qu’il faisait plutôt froid à en crever dans les cachots. Elle voulut le lui faire remarquer mais il l’enveloppa de sa veste pour la protéger du froid à ses dires. Un petit frisson parcourut Elea lorsque le beau jeune homme effleura ses épaules délicatement. *C’est vrai que je vais vraiment être malade avec tout ce froid* un léger « merci » frôla les lèvres de l’italienne qui pourtant laissait entrevoir une petite teinte rosée sur ses joues. Elle sentait une douce chaleur l’envahir sans trop savoir pourquoi et encore moins comment. Le fait était que pour la première fois elle rosissait pour ne pas dire rougissait. Bien sûr ça ne se voyait pas tant que ça mais c’était plutôt quelque chose d’anormal pour elle, une italienne qui gardait toujours son sang froid en toute circonstance ne laissant rien s’entrevoir sur son visage si ce n’était un petit masque d’indifférence.

« Tu n’arrivais pas à trouver le sommeil aussi ? »

Cette question lui parut bien lointaine, résonnant comme un écho dans ses oreilles. Elle la fit tout de même revenir à un semblant de réalité, retrouvant lentement ses sens pour répondre le plus normalement possible sans paraître le moins du monde troublée :

On va dire que oui !... Mais que dirait ta sœur si elle savait que toi… tu enfreignais le règlement ?

Elle ne savait pas trop quoi penser, et voulait même arrêter de le faire. Aucune gêne ne se peignait sur son regard pourtant c’était bien un sentiment de trouble qui l’avait saisie à son emprise. La jeune fille l’oublia encore une fois pour se concentrer plutôt sur la personne face à elle :

Tu as bien changé depuis le bal de fin d’année !

Dans le léger faisceau qu’émanait la baguette d’Elea, Damian put constaté que celle-ci le scrutait sans gêne, ce qui le fit sourire. Il se souvint alors du bal avant les vacances, où il avait du laisser à contrecœur Elea pour aller voir sa sœur qui avait été abandonné par Blaise. Celui-ci avait pris la fuite et depuis, Dawn n’avait fait que parler de lui pendant les vacances, ce qui était en partie une raison de la dispute, si on peut appeler cela comme ça, entre les deux jumeaux. Mais revenons en a cette nuit magique où il avait rencontré Elea… Il était bien sûr parti après lui avoir administré un baiser sur la joue mais aussi en exprimant ouvertement son désir de revoir la demoiselle, pendant ou après les vacances, peu importe ! Le Russe était sorti de la grande salle, et avait retrouvé sa sœur sur les marches qui menait aux étages. Après lui avoir parlé un peu, ils étaient tous les deux rentré dans la salle commune où il n’y avait plus personne. Là le jeune homme avait souhaité bonne nuit à sa sœur et était monté au dortoir, son esprit entièrement occupé par la belle italienne. Là, le Russe avait retrouvé Blaise qui faisait semblant de dormir et ne lui avait pas adressé la parole. Ce n’était pas à lui de faire la morale au métis mais son attitude était tout simplement irréfléchi pour quelqu’un de son rang… Enfin, cette nuit Damian avait dormi, certes, mais à son réveil, ses pensées étaient toujours axées sur la belle demoiselle avec qui il avait partagé sa soirée. Malheureusement pour lui, il n’avait pas revu Elea avant de partir et il en était là maintenant, à penser à elle tout le temps…

Le Russe ayant cédé sa veste, il sentait le froid entré en contact avec sa peau mais lui ne le ressentait pas autant que l’italienne. Il était habitué à vivre dans des climats polaires, notamment en Russie. Elea l’avait remercié et un « Ce n’est rien… » Était sorti de la bouche du jeune homme. Elle lui faisait tant d’effet à cet instant qu’il aurait pu s’approcher d’elle et l’embrasser, sans aucune gêne. Le temps passa alors, chaque seconde semblant duré une éternité. Les deux jeunes gens s’observaient alors que la jeune italienne n’avait toujours pas répondu à Damian. Les minutes défilaient à présent et cette fois-ci, les deux Serpentards étaient dans l’obscurité total. La baguette d’Elea s’était finalement éteint pour les plonger dans le noir et Damian commencait peu à peu à s’inquiéter. Peut-être serait-il plus sage de retourner à la salle commune ? Mais alors que le Russe allait proposé a Elea de revenir sur leurs pas et de rentré dans la salle commune, celle-ci parla enfin et lui demanda ce que penserait sa sœur de lui si elle le voyait là, enfreignant le règlement…

« Je ne sais pas… Peut-être serait elle déçue ou alors qu’elle ne m’en ferait même pas la remarque ? En tout cas elle serait bien capable de nous mettre des heures de colle car elle prend son nouveau rôle très a cœur… »

Après avoir répondu, le Russe se tût à nouveau et hésita à proposer à sa compagne de revenir dans la salle commune. Il voulait tant rester seul avec elle mais en même temps, le Russe ne se sentait plus aussi au calme qu'il l'aurait voulu dans ces cachots humides. Ceux-ci semblaient abriter toutes sortes de bestioles maléfiques qui faisaient toutes sortes de bruits, les deux jeunes Serpentard étaient en effet entourés de sons hétéroclites qui rendaient les lieux peu rassurants. Le Russe percevait vaguement le feulement d'un chat, le léger claquement irrégulier des pattes d'un rat ou des bruits de chaînes poussées par un souffle invisible ou un fantôme noctambule, Rusard aurait été à son aise... Les odeurs n'avaient rien de très agréables, Damian sentait ce qu'il identifia comme des relents d’animaux morts, ou pires ! Poudlard semblait avoir en son sein des choses assez morbides et terrorisantes, pourquoi Dumbledore ne faisait-il pas en sorte de rendre tout cela vivable ? Mais à nouveau, ses pensées s’étaient égarées et il n’avait entendu qu’a moitié ce que lui avait dit l’italienne. Selon elle, Damian avait changé durant ses vacances mais elle ne dit pas dans quel sens… En bien, en mal ? Nul ne pouvait savoir !

« Tu as aussi changer… » Dit le Russe. « Tu es devenu encore plus belle que tu ne l’étais déjà… » Déclara Damian dans un murmure parfaitement audible. Il voulu alors s’approcher d’elle mais à peine eut-il fit un mouvement qu’il glissa sur le sol crasseux. S’accrochant alors au bras de la demoiselle, le jeune homme força sur ses jambes afin de ne pas tomber et de faire ainsi chuté Elea avec lui et se remit debout doucement, pestant contre lui-même. Sur ce coup là, il avait vraiment été maladroit ! Damian tenait toujours le bas de l’italienne et il lui sembla impossible de le lâcher. Sa peau était si douce… Son regard plongeait dans celui de la blonde, le jeune homme s’approcha alors un peu plus, jusqu’à ce que son visage ne soit plus qu’à quelques centimètres de celui d’Elea. Elle était magnifique… Dans un élan d’inattention, Damian céda alors à la tentation et vint déposer ses lèvres sur celles de la belle italienne dans un geste doux et lent. Il espérait ne jamais se détacher d’elle…

Damian se sentit transporté dans un autre monde grâce à ce baiser. Un monde qui lui ouvrait soudainement plusieurs portes, toutes aussi nouvelles les unes que les autres. Le fait qu’Elea ait accepté son baiser et ne l’ait pas rejeté avait enchanté le Russe au plus haut point qui sentit les bras de la belles italiennes venir se poser autour de son cou alors que celle-ci prolongeait le baiser. Damian passa alors ses mains dans le dos d’Elea, la tenant fermement contre lui. Il ne voulait pas la laisser partir, il voulait demeurer a jamais ici, avec elle, dans les bras l’un de l’autre. Oui, à présent il en était sur, il aimait Elea ! Il aimait Elea comme il n’avait jamais encore aimé une fille !... Leur baiser dura alors ainsi jusqu’au bruit d’une armure à côté d’eux se fasse entendre. Elea dégagea alors ses lèvres du brun qui se sentit comme tout à coup revenir sur terre… Les bras de la blonde étaient toujours sur les épaules du jeune homme qui détourna en même temps que l’italienne son regard vers l’armure et l’observa avec attention, ses mains toujours dans le dos de la belle, la tenant toujours aussi fermement. Le brun ne comptait pas la lâcher de si tôt ! Mais le cliquetis métallique qu’ils entendaient commencait à devenir de plus en plus fort et après quelques instants, un rat d’une taille déraisonnable –c’est-à-dire beaucoup plus gros que la moyenne- pointa le bout de son nez hors de l’armure et se mit à courir en direction du couloir de la salle commune. Deux solutions étaient donc envisageables… Soit le rat avait été confronté à un ennemi dans l’armure, mais dans ce cas, pourquoi les bruits de lutte ne s’étaient ils pas fait entendre plus fort ? Soit il avait eu tout simplement envie de sortir, ce qui semblait beaucoup plus probable… Le Russe reporta alors son attention sur la blonde et déposa un léger baiser sur son front. En faisant cela, le jeune homme avait tenté de l’apaiser car le bruit semblait l’avoir alertée plus que Damian. D’ailleurs, quelques instants plus tard, Elea lui demanda si il n’avait rien entendu, l’air inquiet.

« Si… » Répondu aussitôt Damian. « Nous ferions peut-être mieux de rentré dans la salle commune, tu ne penses pas ? » Sans attendre sa réponse, le Russe déposa un autre baiser sur les lèvres de la belle italienne et la lâcha aussitôt pour attraper sa main. A présent, direction la salle commune si ils ne voulaient pas d’ennuis avec les professeurs ou Rusard… !

Continuant leur périple dans les cachots sombres, Damian faisait attention où il mettait les pieds, pour ne pas tomber encore et entraîner Elea derrière lui. En parlant de celle-ci, le Russe la tenait toujours par la main et une étrange chaleur semblait les lier. En parlant de chaleur, le jeune homme, espérait que sa veste tienne chaud à l’italienne bien qu’il n’était plus très loin de la salle commune. Il faisait de plus en plus froid et curieusement, plus les couloirs étaient étroits plus les courants d’air s’y faisait plus présent… Etrangement, le jeune homme repensa alors à la Russie, pays le plus développé après les Etats-Unis pour Damian. Là-bas, il faisait toujours froid. Il neigeait beaucoup aussi mais c’était un pays qui restait chaleureux de part ses traditions… Généralement les anciennes familles de sorciers, comme les Södergren, y vivait très bien et ne craignait rien du tout, ce qui accentuait le charme de ce pays.

Tout en réfléchissant, Damian ne s’était pas rendu compte qu’ils étaient enfin arriver devant le portrait qui donnait sur la salle commune et ce fut Elea qui le rappela a l’ordre. Damian murmura alors le mot de passa et le tableau s’ouvrit… Le Russe céda alors le passage à Elea, lui fit signe de la main pour qu’elle rentre, comme tout parfait gentleman l’aurait fait avec sa demoiselle d’honneur et entra derrière elle, tandis que le portrait de la salle commune se refermait lentement…