Sur le fauteuil

-Ce n'est rien ma puce.

En effet depuis un petit moment maintenant j'avais pris l'habitude qu'on me parle de Voldemort donc de mes parents. Je dois dire qu'au début, je ne comprenais pas grand chose sur leurs morts mais au fil du temps de nouveaux éléments s'ajoutent à l'histoire et j'ai à présent conscience du grand courage et du grand amour de ma mère pour moi.

- Moi aussi, je suis si bien avec toi, je me sens tranquille et " normal " car quand tu m'as connu tu ne connaissais pas mon " histoire "

Je repensais ensuite à notre balade en balai.
- Alors ma petite balade t'as plus mis à part la chute et Drago mais c'est lui qui nous à jeté un sort.

Oui, j’ai adoré, car je me sentais proche de toi, lui dis-je en le regardant, tu es tellement adorable Harry, lui dis-je en lui souriant.

Je regardais l’heure à la pendule de la salle commune et vis qu’il était bientôt 23 heures, mais je ne voulais pas le quitter, je voulais rester près de Harry.

Nous devons déjà nous quitter, lui dis-je tristement, en lui caressant délicatement ses doux cheveux.

- Moi aussi j'ai adoré et j'ai surtout aimé le moment où j'ai déstabilisé Malefoy.

Puis je l'a vis regarder l'heure et lui souris à contrecoeur, je me serai bien endormi avec elle dans mes bras.

- Bonne nuit ma douce, les cours alala quel calvaire.

* Pfff vivement les vacances *

Je la retournai vers moi et l'embrassai sur sa bouche si délicieuse à mes yeux, j'aurai voulu que ce moment dure une éternité mais non il faut qu'on se quitte pour quoi ? Pour une heure de potion en premier cour avec Rogue le lendemain.

Moi, j’ai plus aimé le moment où tu m’as embrassé, mais bon chacun sa vision des choses, lui dis-je en lui souriant.

Je le regarda droit dans les yeux, je m’y perdrais si on ne me retenait pas, je m’y noierais volontiers dans ses deux émeraudes qui sont si précieuse pour moi.

Bonne nuit, mon tendre Harry, lui dis-je en me laissant succomber à la douceur infinie de ses lèvres.

Se baiser, n’était pas un simple baiser pour moi, car j’y faisait passer tout ce que je ressentais pour lui, tout l’amour que j’avais en moi, rien que pour lui.

Je t’aime, lui dis-je avant de me dégager de son étreinte, pour aller rejoindre mon dortoir, je l’embrassa encore une fois furtivement sur les lèvres avant de partir en courant.

[Dortoir des filles]