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 Ξ Sujet: Avec ses deux amies mauvaise humeur et pensées sombres...  Jeu 1 Nov - 20:55 | |
| " Cher Keelia,
T’écrire cette lettre ne m’enchante pas vraiment ma chère fille, mais je le dois.
Ta tante Sofia est tombé gravement malade, elle est donc à sainte Mangouste en ce moment. Ta mère ainsi que moi-même et d’autre membre de la famille restent à son chevet. Je voie donc le bal organisé pour ton deuxième anniversaire annulé, ainsi que l’impossibilité de ton retour chez nous aux prochaines vacances. Nous t’enverrons tes cadeaux, et de nouveau vêtements pour les vacances.
Nous t’embrassons. Ton père. " La lettre que Keelia avait dans les mains fut lamentablement chiffonné, déchiré, déchiqueté et pour finir jeté par en bas des escalier de la volière de Poudlard. Emporter par la colère Keelia envoya valser tout ce qui se trouvait autour d’elle. L’enveloppe fut écrabouiller au sol et tout ce qui se trouvait dans la volière fut jeter en l’air. Une fois de plus elle devreias supproter de rester dans cette fichu école pour des vacances, et les vacances de son anniversaire en plus. Elle allait devoir supporter le jour ou elle aurait ses douze ans les élèves de cette école. Car être dans l’école ce jour fatidique n’était pas trop désagréable, mais supporter ses idiots d’élèves l’était. Chez elle au moins elle pouvait recevoir ses cadeau et filer dans sa chambre, s’allonger sur son lit, savouré un petite moment la journée, puis reprendre ses occupation sans être déranger par qui conque. Elle pouvait prendre un cachier et dessinait toute la journée sans qu’une seule fois on la dérange. Mais ici ?! dans l’école, il était impossible de retrouver une vrai intimité. Dans le château il était impossible de rester seule, à la bibliothèque ils y avait les intellos et les livres qui semblait vous espionner à chaque instants. Dans la grande salle, il y avait toujours quelques élèves. Dans la salle commune ? toujours un bouffon qui venait s’y mettre pour lire, pour se réchauffer, même dans le dortoir des filles il était impossible de ce retrouver seule au moins une demi heure, il y avait toujours une pimbêche pour venir s’y réfugier. Elle ne serait donc pas tranquille le jour de son anniversaire et en plus de cela, elle ne verrait pas sa famille, enfin sa famille, la famille qu’elle voulait voir était plutôt ses cousins et cousines avec lesquels elle avait le loisirs de faire tous les quatre cent coups. Mais cette lettre fichait tout en l’air et la ramenait à passer des vacances à l’école…
Keelia allait retourner dans la salle commune broyer du noir lordsqu’une chose tomba sur son épaule, non non se posa sans délicatesse sur sa fine épaule de demoiselle faisant hurler la jeune fille de peur. Avant que celle-ci ne se rendent conte, que cette « chose » n’était qu son hibou, son fichu hiboux qui venait de lui apporter une nouvelle terriblement mauvaise. - CASSES-TOI !!!
Elle envoya quelques mètres plus loin ce hibou de malheur et sorti de la volière sans se retourner. Dun pat rageur et l’esprit chambouler. On ne pouvait donc pas dire que ses parents étaient parfaits, ses parents n’était que de pauvre moldus incapable. Et elle les détestait profondément.
Marchant rapidement, courrant presque, Keelia Stuart entra dans le château de Poudlard. Le hall était comme toujours bondé, des tonnes d’élèves se bousculaient, piaillaient et riaient, on aurait pu se croire dans un vrai poulailler. Mlle Stuart ne fit ni attention au regards furibonds des élèves ni à leurs pieds. Elle fonça ne freinant pas son pat et écrasant quelques pieds au passage. Marmonnant dans sa barbes des « bien fait » et « t’avais cas te pousser !! »
Les élèves de cette écoles n’était que des incapable, les poufy de pauvres enfant déluré et bête, les gryffy des pauvres toutous, les serdy des intello et les Serpy, il n’y avait aucun serpy qui se ressemblait, autant certains était de vrai serpy, autant d’autre était de pauvres loques, ou bien de pauvres pimbêches !!!
Keelia entra dans la salle commune. Il n’y avait personne, ce qui était bien rare, mais notre demoiselle n’en doutait pas, du monde ne tarderai pas à affluer dans la salle. En compagnie de ses deux amies mauvaise humeur et pensées sombre mlle Stuart alla lourdement s’asseoir sur l’un des fauteuil une place devant la cheminé, qui par un temps pluvieux pareil était allumé. |
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