Discussion particulière...

Vous avez déjà vu le film moldu « une journée en enfer » ? Mais si celui avec Bruce Billis un tuc comme ca…et bien penser que pour ce pauvre Alister cela avait été…des vacances en enfer, réaliser, tourner et jouer pas Summerby and Co. La veille de son départ pour rentrer en famille avait été un désastre cela aurait du lui mettre la puce à l’oreille mais à cette époque il ne voyait pas plus loin que le sens propres des choses et pas mal de subtilités terrestres lui échappaient. De toute façon la fin de l’année avait été bien funeste…

La maison des poufsouffles avait subi uns forte perte et même si le jeune homme ne connaissait pas Cedric Diggory plus que ca son âme en avait prit un cou…enfin c’est surtout les questions qui lui étaient venues par la suite. Qui croire le ministère ? Harry Potter ? Bien qu’il soit quelques peut indécis Alister ne pouvait nier ce qui c’était passer et sa balance interne penchait vers le jeune gryffondor. Une balance interne….Bah quoi les pouffy ont une réputation de cancre mais même s’il a un air ahuris il pense parfois…le pauvre…on va finir par le prendre pour une asocial…Comment ca c’est un peu le cas…n’importe quoi…c’est pas parce qu’il parle peut et soutenu qui faut en déduire n’importe quoi.

Enfin bref ne polémiquons pas sur ce qu’il était avant ses vacances ou ce qu’il faisait avant les vacances. Alors qu’il était arrivé à la gare de King cross il avait eu la joie ou le malheur ca dépend ou on se pose de retrouver…sa mère. Femme adorable…ment collante. Finalement peut être qu’elle ne lui avait pas manqué tant que ca mais il se gardait bien de lui dire…Premier hic des vacances : le voyage un mois chez grand mère…Y avait pas idée si maman était étouffante grand mère était plus que soporifique et c’était une vrai torture que de passer ne serait ce qu’un seul jour en sa compagnie…mais calme et sérénité était de mise pour passer un moment…disons presque sympathique mais ca aussi il le gardait pour lui. En fait il gardait tout pour lui si bien que toute sa parole ressassée finissait par ronger l’intérieur de son âme. Bref arrivé chez « mamie » sa mère lui fit mille et une recommandations comme s’il avait l’habitude de se tenir mal. Le jeune homme avait été assez vexe de l’allusion. Mais il l’avait regardé avec un sourire qui voulait dire « mais bien sur mère »… Ah s’il n’avait pas été japonais il ne se serait peut être pas encombré de tant de manière. Mais il devait le respect à ses parents même si ceux-ci ne comprenaient pas ce qu’il voulait réellement. Mais bon c’était le même problème chez tous les adolescents « de toute façon les parents ca comprend jamais rien… »

Au bout de deux jours après avoir écumé tout ses devoirs de vacances il se demanda comment il allait pourvoir écumer son temps libre. Mise à part éviter de se retrouver seul avec les deux femmes…Heureusement dans son malheur sa grand mère possédait un immense jardin magnifique, Alister aimait se balader au milieu des végétaux des petits animaux. Il avait raconté pas mal de lapins un peu sauvage pas très coopèrent d’ailleurs enfin sauf le jour au sa grand mère en avait fait un civet…mais ce jour la bizarrement il n’avait touché a rien de son repas…quant au géranium derrière la maison il n’aspirait qu’a plus d’eau, le jeune homme lui avait bien expliqué que trop d’eau tue la plante, celui-ci têtu comme une bourrique ne cessait d’insister. C’est en descendant vers la rivière qu’il l’avait vu une petite boule de poils marron et blanche. Tapis dans le foret, la petite bête le regardait de ses yeux brillant. Au premier abord il n’y fit pas vraiment attention…mais rapidement il entendit une petite voix fluette :

« Et toi…le grand nigaud… »

Alister avait d’abord cru qu’il devenait fou puis qu’il ne voyait pas qui lui parlait. Le fourré bougea un peu pour laisser la petite chose sortir. Et aussitôt la pensée lui traversa l’esprit : c’était donc ca qui lui parlait.

« CA comme tu dis est une Hermine Royal oui, royal je te dis…nommer Charlotte si ca t’intéresse ! » lui avait elle répondu et le dialogue avait commencé ainsi entre les deux.

*c’est moi que tu traites de nigaud alors que tu as un nom aussi ridicule…*

«La politesse jeune homme est de se présenter »

*Et pourquoi faire d’abord…*

« Il me semble que ta mère t’a élevé autrement non ? »

*qu’est ce que tu connais de ma mère*

« Assez pour savoir qu’elle est légèrement collante »

*OH tu as vu ca aussi, mais elle est gentille...je suis Alister Summerby enchanté Charlotte*

« Tu parles de mon nom mais le tient est pire surtout lorsqu’on te regarde tu as plutôt une tête à t’appeler Akira tu sais. »

*oui je ressemble a ma mère surtout les yeux...Enfin la n’est pas la question qu’est ce que tu me veux ?*

« Te décoincer...Non sans blague t’a apprit à rire ? »

* je ne vois pas le rapport alors qu’est ce que tu me veux ?*

« Tu me nourris et tu me soigne et moi je deviens ton animal de compagnie… »

*qu’est ce que j’y gagne moi ?*

« Une distraction, un peu de vie dans ta vie… »

*ca rime tu le fais exprès…et si j’accepte il est ou le piège.*

« Un piège je vois pas de quoi tu me parles… »

*c’est ca je vais te croire en plus…*

Voila c’est ainsi qu’il se lia d’amitié avec Charlotte l’hermine royal…enfin royal mais pas dans ses manières plus cradot qu’elle tu meurs.il n’avait jusque maintenant jamais vu un animal manger aussi salement et après elle venait lui reprocher la présence de miette de chips dans son lit (oui lorsqu’il bouquine il grignote toujours un peu.). Celle-ci avait fait sa vie tout naturellement, elle avait investit le lit d’Alister, sa chambre…si elle avait pu surement la salle de bain mais le jeune homme ne supportait pas de voir son regard pervers sur lui et encore moi s’il était à moitié nu. Il avait toujours l’impression qu’elle voulait le dévorer.

Etrange amitié n’est ce pas surtout qu’on a l’impression qu’ils s’entendent comme chien et chat. Mais plus il se dispute et plus ils s’aiment en fait...la complexité de l’ado ne s’explique pas croyez moi. Enfin bref, charlotte avait prit rapidement ses marques dans sa vie et était en permanence avec lui que se soit dans son sac, sa poche ou au tour de son cou (a noter c’est ca place préférer). Alister était donc beaucoup moins réceptif à sa mère et à sa grand mère au il ne le faisait pas exprès mais il était souvent en conversation avec son hermine si bien qu’il n’entendait généralement pas ce qu’elles lui disaient. Et lorsque les poules enfin les deux femmes insistaient pour savoir ce qui le tracassait il les avait envoyé balader. Sa mère choquer c’était mis à hurler :

« La folie c’est emparée de mon fils » puis quelques mots en japonais avant de s’effondrer.

Alister un peu inquiet c’était tout de même excuser sous les fous rires de Charlotte. Après un regard noir ils étaient tous les deux remonté dans la chambre du jeune homme pour faire la valise de celui-ci. Ils étaient rentés un mois plutôt accompagné de la grand mère qui voulait voir son fils. L’hermine très agréable n’avait fait que critiquer ses tenues vestimentaires en profitant pour lui dire que ses affaires moldu faisaient pépé. Et ils avaient continué à se disputer encore et encore….

Maintenant ils étaient tous deux dans un compartiment du train qui les menaient à Poudlard. Charlotte était installée sur ses genoux les yeux fermés ronronnant comme un chat alors que les doigts du jeune homme caressaient son doux pelage. Par pensée elle s’adressa à lui.

« Ou on va déjà ? »

*ma parole je vais finir par croire que tu es sénile…on va a Poudlard mon école de magie.*

« Ah oui c’est vrai…en fait tu es un phénomène de foire non ? »

*te parler en pensée fait déjà de moi un phénomène et puis pas la peine d’être aussi désagréable…*

« Oh ce que tu es susceptible…tient au fait tu as une chérie ? »

*je ne vois pas en quoi ca te regarde ce n’est pas tes affaires*

« T’en a pas c’est bien ce que je pensais…tu es désespérant… »

*Et toi bien trop bavarde pour ton bien*

Il avait dit ses derniers mots en lui mettant une petite tape sur le museau. L’hermine qui n’avait pas dit son dernier mot se rua sur lui et commença à le chatouiller du bout de la queue, le griffant à quelque occasion. Le pauvre poufsouffle était prit entre fou rire et gémissement de douleur…si bien que son rire se déploya fortement dans le compartiment, il pleurait de rire….

Charlotte

De lourd nuage emplis d’eau se profilaient à l’horizon, et , c’était d’ailleurs vers cette horizon que le beau train rouge partirai dans quelques minutes. Oui quelques minutes et peut-être bien moins. Malgré toutes les précautions qu’elle avait prit, malgré le fait de se coucher tôt de se lever tôt, de préparé ses affaires la veille elle était en retard bien en retard elle entendait déjà le contrôleur tirer son coup se siffler annonciateur du départ.
Quali vêtue de sa tenue de sorcière longue robe bleu et noir courrait vers la porte la plus proche, un lourde valise pleine de bric et de broc la suivant difficilement. Mlle Elvaneski aurait presque put se retourner vers la valise et lui hurlait de se dépêchait, mais en cette journée de rentrée elle n’était pas vraiment d’humeur à dire des bêtises.
Les vacances avaient été mouvementé, Quali avait été comme ballotté entre les voyages, les réceptions et les cours de dessins au manoir. Elle n’avait eu que trop peu de temps pour elle et pour dormir, et revenait à l’école aussi épuisé que lorsqu’elle en était partie. Peut-être une peu moins du fait de qu’elle pourrait piqué un somme dans le train si elle prenait le train !!

Peu à peu les gens s’en allait après avoir dit de brève au revoir à leurs enfants Quali pouvait donc mieux voir ou elle allait, bousculant les gens et murmurant de vague excuse elle fonçait vers une porte qu’elle ne voyait pas pour l’instant. Qu’elle ne vit d’ailleurs qu’au dernier moment. Elle eu à peine le temps d’attrapé la poigné dorée sur le côté de la porte et de hisser sa valise à bord, et c’est lorsqu’elle posa les pieds sur le tapis coloré du couloir central qu’elle se rendit enfin conte qu’elle y était arrivé.

Son père ne l’avait pas accompagné, sa tante non plus, madame sa tante Elvaneski l’avait déposé devant la gare, lui avait souhaité bon voyage et recommandé de bien bosser. Comme toujours… Ce matin là elle n’avait pas prit le temps de se coiffer très bien, elle le prit donc à son entrée dans le train, ne risquant plus de boucher le passage puisque une grande partie des élèves étaient installé.

Quali commença donc un recherche de compartiment, vide, ou bien peu peuplé. Il n’y en avait pas de vide, ou pas dans son wagon, les autres étaient emplis de personne qu’elle n’avait pas envie de voir, des petits, des pipelettes, des lourds, des bruyants, mais aucune personne semblant civilisé. C’est au bout du wagon qu’elle trouva un compartiment silencieux.
Elle frappa discrètement sur la vitre et ouvrit lentement. Affichant un sourire discret elle regarda dans le compartiment pour voir une personne seule…

- Euuh il y a de la place pour moi ?!

Elle baissa les yeux sur le jeune homme, ou plutôt sur ce qu’il avait sur les genoux. Une petite chose, semblant endormit. Un petite bestiole fine, chaleureuse. Une hermine !!!

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